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Sujet: Multis comptes & demandes de modifications
Garrett Dinckel

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Rechercher dans: Panneau commun   Tag 3 sur 40 is the new sexy EmptySujet: Multis comptes & demandes de modifications    Tag 3 sur 40 is the new sexy EmptyMer 27 Déc 2023 - 18:57
Bonjour,
Pseudo : Le tien
Nombre de tes comptes : 2
Date de validation : 08/12/23
Ton futur personnage est-il : un scénario, de @Lisa Dinckel
Âge du personnage à venir : 49 ans
Combien de sujets en cours as-tu pour chacun de tes personnages : Garrett #3 et Adela # 7
As-tu bien répondu à tous tes sujets dernièrement ? : oui ^^
Tes personnages précédents sont-ils bien prit en main-intégrés au jeu ? Bien en main et toujours bien entourés

Merci flower
Sujet: ♔ andreas ackermann
Andreas Ackermann

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Rechercher dans: Moodboards   Tag 3 sur 40 is the new sexy EmptySujet: ♔ andreas ackermann    Tag 3 sur 40 is the new sexy EmptyDim 23 Avr 2023 - 18:05
Des histoires et des gens
Double A in action ! #3

Hannes

[2019]
Hey ! J’prévois un truc avec Lisa, tu veux venir ?

Oula. C’est quoi ton truc ? heum

Rien d’grave. siffle
Un aller-retour à Munich avec ma jaguar.

ALORS !!
Ta jaguar j’dis oui… En temps normal ça m’dérange pas d’craner dans ta bagnole, surtout celle là… walter  siffle
Mais Toi + Lisa + Jaguar + Munich… Ca pue l’embrouille…

Roh… C’est juste histoire d’une journée siffle ! Y aura rien à faire ! Juste être mon co-pilote, m’filer des chips ou la boisson et moi j’conduis ! J’ferais des pauses avant et après l’autobahn !

Aayden Johannes Sachs… Avec tout l’AMOUR que je te porte, toute l’AMITIE qui nous uni et toute la CONFIANCE que je peux avoir à ton égard… C’est non. Envoie juste moi un message quand tu seras revenu entier… C’était ton idée ou celle de Lisa ?

Les deux ?

Ok alors vous êtes dingue tous les deux… On s’fera un burger quand vous serez rentrés, mais en attendant, c’est sans moi gna

Promis slurp On s'revoit en enfer alors! Moi aussi j't'aime, mon Con !  flag

Sujet: ♔ lisa dinckel
Lisa Dinckel

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Rechercher dans: Moodboards   Tag 3 sur 40 is the new sexy EmptySujet: ♔ lisa dinckel    Tag 3 sur 40 is the new sexy EmptyDim 9 Jan 2022 - 23:51
RP
Ma vie de folles aventures
Sujet: Sorry seems to be the hardest word (Jason)
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Rechercher dans: Rp abandonnés   Tag 3 sur 40 is the new sexy EmptySujet: Sorry seems to be the hardest word (Jason)    Tag 3 sur 40 is the new sexy EmptyMar 17 Avr 2018 - 21:15


SORRY SEEMS TO BE THE HARDEST WORD
Jason BOWDEN & Louise ROSENTHAL {#}3{/#}



Si de nature Louise ne trouvait de repos que dans son lit, les bras de Jason étaient tout aussi confortable. Pour la première fois depuis un moment elle avait dormi comme un bébé ne remarquant même pas la présence du chien à ses côtés. L’appel de son mari un peu plus tard dans la soirée l’avait laissé perplexe, devoir lui mentir tandis qu’il s’occupait seul de leurs enfants l’avait mis mal à l’aise. À aucun moment elle n’avait pensé que les choses allaient de nouveau se précipiter avec le père de son fils. Malgré toute la volonté du monde, elle était comme aimantée par lui. La situation devenait aussi ingérable face à l’impatience du beau blond qui ne pouvait plus se tenir loin de sa famille. Quant à Louise, elle avait totalement perdu le contrôle de la situation à partir du moment où elle avait de nouveau franchi la limite avec Jason. Elle essayait d’oublier tout ses problèmes qui lui revenait en flashback à chaque fois qu’elle se permettait d’être heureuse. Ce bonheur, elle se l’interdisait parce qu’il créerait trop de chaos autour d’elle et que dans cette histoire elle n’était pas prête à faire souffrir ses enfants. Alors elle se contentait de ce petit moment volé se forçant à profiter au maximum de son amant. Elle ne se rappelait plus à quel moment elle avait fini par s’endormir, d’épuisement très probablement. Évidemment, elle n’avait pas pris la peine de se brosser les dents lorsqu’elle était tombé sur le dos après une énième partie de jambe en l’air. Ni l’un ni l’autre n’avait perdu de cette passion malgré l’âge et le temps. Au contraire, elle avait passé un très bon moment jusqu’à épuisement. Elle était incapable de dire si Jason avait ronflé cette nuit là.

Le réveil ne fut ni doux ni romantique lorsqu’elle ouvrit les yeux elle vit cette touffe de poil la fixé, lui léchant par la même occasion un cri d’horreur. Elle poussa la bête en se levant brusquement se demandant en l’espace de quelques secondes où elle était. Rapidement, elle reconnu le visage de Jason. « Oh mon Dieu, non, non non!! Il est quel heure ? » demanda t-elle, essayant de retrouver son téléphone égaré dans la pile de vêtement qui trainait sur la commode. « neuf heure et demi, pourquoi tu ne m’as pas réveillé ! » lui reprochant sa petite grasse matinée tandis que ses parents devaient probablement l’attendre pour le petit déjeuner. Un mauvais scénario lui traversa l’esprit lorsqu’elle vit l’appel en absence de son époux et de sa mère. Et si… ? Non, son mari n’était pas du genre à la fliquer et ses parents ne portaient pas vraiment Benett dans leur cœur pour l’appeler directement. Se rendant compte qu’elle était toujours dans sa tenue la plus simple, elle s’empara du t-shirt du beau blond qu’il portait la veille pour l’enfiler alors qu’elle tentait de rassurer ses parents sur le fait qu’elle aurait finalement un peu de retard. « Désolé ! » s’approchant de Jason, elle vint déposer un baiser sur ses lèvres se rendant compte qu’il était resté spectateur de son petit cinéma. Après tout, c’était la toute première fois qu’ils se révéillaient l’un à côté de l’autre…
 


Sujet: Sorry seems to be the hardest word (Jason)
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Rechercher dans: Rp abandonnés   Tag 3 sur 40 is the new sexy EmptySujet: Sorry seems to be the hardest word (Jason)    Tag 3 sur 40 is the new sexy EmptyVen 6 Avr 2018 - 18:19


SORRY SEEMS TO BE THE HARDEST WORD
Jason BOWDEN & Louise ROSENTHAL {#}3{/#}



Jusque là, Louise faisait preuve de beaucoup de légérté avec son amant. Les instants qu’ils avaient pu passer ensemble par le passé lui manquer et le fait de pouvoir de nouveau profiter de lui la rendait heureuse. Il y avait pourtant encore bon nombre de non-dits entre eux et leur problémes étaient loin d’être réglé. Ce qu’elle avait fait par le passé était grave au point que dans son for intérieur elle se demandait comment il avait trouvé le courage de lui pardonner. Ceci étant, elle préféra garder ce sujet pour elle, n’ayant aucune envie de devoir se justifier de nouveau sur ce qu’elle avait fait. À cet instant, il était ni question de Benett ni des enfants et encore moins de Danny malgré le blond essayait tant bien que mal de ramener le sujet sur la table. Dans ses bras, elle avait l’impression de revivre, elle se mettait à glousser pour rien. Elle fut reconforter de voir qu’il était prêt à se mettre à sa place, bien qu’elle avait conscience de trop lui en demander. Elle n’avait d’autre choix que de le faire attendre mais elle était dorénavant prête à de son côté à franchir le pas. « Oh t’exagères, il n'a rien contre toi ! » Benett détestait le jardinier, à vrai dire il ne pouvait le sentir et Dieu sait pourquoi. À croire que son époux avait un sixiéme sens qui l’avait mis en garde contre le beau blond. Elle avait beau atténué ses propos, quand il s’agissait de Jason, Benett lui sentait que quelque chose clochait avec leur jardinier. Si elle avait elle aussi été virulente à son égard, le soir même elle était revenue sur ses paroles lorsqu’elle s’était retrouvée seule avec son époux. Ce n’était peut-être pas une bonne idée que ses deux hommes soient ennemis. Elle eut un petit sourire compatissant lorsqu’elle entendit les pleurs du chien à l’extérieur de la chambre, puis elle échangea un petit rire avec Jason. Il était hors de question de le faire entrer, pas maintenant. Elle eut un grand sourire lorsque son soupirant lui avoua qu’il voulait qu’elle reste. Aussitôt elle s’approcha de lui, fourrant son nez dans son coup pour mieux inspirer son odeur. « C’est sympa chez toi aussi, enfin ça manque de déco mais j’aime bien. » dit elle avant de venir finalement se blottir dans ses bras. Avec Jason, elle n’avait pas besoin de faire semblant, elle se sentait elle même. Elle avait souvent cette sensation de se perdre dans son rôle de parfaite ménagère. À force de vouloir faire plaisir à ses proches, elle avait fini par s’effacer. Tandis que lorsqu’elle était avec son amant, elle n’avait pas peur de dire ou de faire ce qu’elle voulait. Il avait cette faculté sur elle de la rendre plus vraie qu’elle ne l’était. Il faisait tomber tout ces masques pour n’être finalement que Louise Bertolucci.

 


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Rechercher dans: Rp abandonnés   Tag 3 sur 40 is the new sexy EmptySujet: Sorry seems to be the hardest word (Jason)    Tag 3 sur 40 is the new sexy EmptyMar 3 Avr 2018 - 0:39


SORRY SEEMS TO BE THE HARDEST WORD
Jason BOWDEN & Louise ROSENTHAL {#}3{/#}



Jusqu’à son dernier souffle, Louise s’était raccrochée au blond, comme si sa vie en dépendait. Elle avait ressenti le besoin de retomber sous les griffes de son ex-amant et dans une cadence effrénée elle avait cherché à concrétiser leur amour ; dans un dernier râle elle avait tiré un drap sur son sein nu tentant désespérément de retrouver son souffle. En quinze ans, ils n’avaient rien perdu de leur passion. C’était même mieux que dans ses souvenirs, Jason lui avait manqué. Elle lui adressa un de ces sourires ravageurs dont elle avait le secret et approcha sa tête du torse de son apollon. Elle pouvait entendre son cœur tambouriner, menaçant de sortir de sa cage. Ses doigts vinrent effleurer ses poils qu’elle s’amuse à déformer. Lorsqu’il saisit sa main pour lasser leur doigt, elle le laisse faire. Elle regarde leurs mains liaient en regrettant presque que cet instant soit volé. Sa question vint rompre le silence et pourtant elle ne cilla pas une fois. Surement parce qu’elle connaissait assez bien le blond pour savoir qu’il ne laisserait pas sa dernière phrase passer. Elle prit du temps à répondre, d’abord parce qu’elle voulait profiter encore un peu du moment présent et puis elle avait peur de le gâcher par une réponse qui ne le satisferait pas. Louise marchait sur des œufs depuis quelques heures. À trop jouer, elle savait qu’elle finirait par se brûler. Elle finit néanmoins par se racler la gorge, cherchant la meilleure façon de tourner le fond de sa pensée sans le blesser de nouveau : « Je crois seulement que tu ne te mets pas à ma place ! » dit-elle préférant ne pas envenimer le débat. Elle ne pouvait pas vraiment lui en vouloir de s’impatienter, il avait passé les quinze dernières années sans son fils. Certes, il avait ignoré son existence une bonne partie de son temps ; seulement elle pouvait comprendre à quel point il était frustré de vivre prés de lui sans pouvoir le connaître. « Laisse les choses se faire naturellement ! » dit elle se relevant pour s’adosser au mur. Elle remarqua aussitôt la bibliothéque du jeune homme, un instant elle fut surprise de l’imaginer un bouquin à la main. Elle se leva pour mieux apprécier son intimité, caressant d’une main chacun d’eux avant que son attention ne se pose sur le recueil de Shakespeare, d’où était tiré son poéme qu’elle avait tantôt récité. Elle eut un petit sourire gêné en se rendant compte qu’elle avait une nouvelle fois mal jugé le jardinier. Alors qu’elle parcourait la chambre, touchant à peu prés à tout ce qui était palpable dans la chambre comme pour mieux s’imprégner de son amant. Lorsqu’il lui demanda si elle restait pour la nuit, elle s’apprêtait à refuser, par habitude et aussi parce qu’elle avait peur que Benett s’en aperçoive. « Euh, je ne sais pas ! Tu as envie que je restes ? » lui demanda t-elle en s’approchant de nouveau de lui. Elle grimpa sur le lit, déposant de nouveau quelques baisers sur sa face. « On a jamais passé toute une nuit ensemble, ça pourrait être sympa ! » dit-elle finalement. Après tout, elle n’avait pas prévenu ses parents et son époux était bien trop occupé pour contrôler ce qu’elle faisait. « On pourrait faire la grasse mat avant, prendre le petit déjeuner sur la route ! » elle eut en l’espace de quelques secondes d’être en couple avec Jason avant de se rappeler la précarité de leur situation. « Enfin, pour le moment je suis loin d’être fatiguée tu sais… Il en faut beaucoup plus pour m’épuiser » passant ses jambes sur lui. « On pourrait recommencer, encore et encore… rattraper le temps perdu ! » dit-elle d’une voix charmeuse voulant elle aussi profiter de son blond.

 


Sujet: Sorry seems to be the hardest word (Jason)
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Rechercher dans: Rp abandonnés   Tag 3 sur 40 is the new sexy EmptySujet: Sorry seems to be the hardest word (Jason)    Tag 3 sur 40 is the new sexy EmptySam 31 Mar 2018 - 22:14


SORRY SEEMS TO BE THE HARDEST WORD
Jason BOWDEN & Louise ROSENTHAL {#}3{/#}



Louise n’avait jamais été le genre de femme à déposer des mots sur ses sentiments. Elle avait toujours beaucoup de mal avec les ‘je t’aime’ lancés à tord et à travers. Bien sur elle le disait à ses enfants et à son mari mais il lui avait fallu du temps avant que ce mot ne sorte naturellement de sa bouche. On aurait pu penser qu’il s’agissait d’un traumatisme d’enfance et pourtant la jolie allemande avait grandi dans une petite famille soudée et unie. Ses parents la gâtaient du mieux qu’il pouvait et passait leur temps à la border et à la protéger. Néanmoins à cause de leurs travails respectifs, ils leur arrivaient de confier leur fille à une voisine et il lui était arrivé de se sentir aussi très seule. Enfant introvertie et adolescente solitaire, Louise a toujours été quelqu’un d’indépendante et d’asociale, ce qui pourrait expliquer qu’elle soit aussi pudique sur ses sentiments. À demi-mot, elle avait avoué au blond ce qu’elle ressentait pour lui malgré la peur du rejet et celle de trahir son époux également. Elle s’était excusée, consciente que le poids ces mots ne rattraperaient pas tout le mal qu’elle lui avait causé. Alors qu’elle espérait désespérément panser une partie des blessures qu’elle lui avait causé, elle senti deux petites pattes se poser sur son épaule. D’abord elle sursauta de surprise, puis en voyant la bête elle eut un petit sourire triste avant de l’attirer vers elle lui faire un bisou sur son petit museau poilu. Danny aussi avait un chien qu’il avait récupéré un jour en allant se balader avec des copains prés du fleuve. Il avait essayé de retrouver son maitre, déposant des affiches dans les environs avec ses coordonnées seulement personne n’était venu réclamer la boule de poil et les Rosenthal avait fini par l’adopter. Rudolf n’était pas un chien mignon, il était gras et sale, la mère de famille passait son temps à lui courir après. Elle ne connaissait pas vraiment son histoire mais il n’était pas très docile et il était arrivé que les voisins se plaignent de ses aboiements. Pourtant au fond d’elle, Louise l’adorait, il était devenu au fil du temps son confident mais elle n’en parlait à personne. Aussitôt elle lâcha Shake qui se précipita sur son maitre réclamant sa part du gâteau également. Un instant, elle se dit qu’il allait l’insulter, après tout elle le méritait pourtant ses lévres vinrent se poser sur son front. Elle baissa son regard, tout en se laissant faire. Un demi sourire se dessina sur sa bouche tandis que son air était resté triste. « Ça semble tellement simple sorti de ta bouche ! » lui expliqua t-elle, comme si elle pouvait du jour au lendemain renoncer à Benett. Elle préféra ne pas rentrer dans ce débat, de toute manière il n’y comprendrait rien. Elle n’allait pas lui expliquer que malgré tout elle aimait encore son mari et qu’il n’était pas aussi mauvais qu’il le pensait. Jason ne portait pas Benett dans son cœur, et faire l’apologie de son époux n’était pas le moment. « Tu ne sais même pas ce que tu dis ! » soupira t-elle finalement ; il n’avait aucune idée de qui était ses enfants et son époux. Il semblait oublier beaucoup de choses et Louise n’était pas facile à aimer. De nouveau ils partagèrent un baiser. Elle tira sur son t-shirt le forçant à le retirer puis vint se poser en califourchon sur lui. « T’es sur ? » lui demanda t-elle comme l’on demanderait usuellement à une partenaire pour être sur de son consentement. Elle n’attendit pas  réellement sa réponse avant d’oter à son tour son haut et vint reposer ses lèvres sur les siennes lui offrant un baiser fougueux et quelques caresses furtifs.

 


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Rechercher dans: Rp abandonnés   Tag 3 sur 40 is the new sexy EmptySujet: Sorry seems to be the hardest word (Jason)    Tag 3 sur 40 is the new sexy EmptyVen 30 Mar 2018 - 17:47


SORRY SEEMS TO BE THE HARDEST WORD
Jason BOWDEN & Louise ROSENTHAL {#}3{/#}



Louise n’était du genre à divulguer aussi facilement ses sentiments. À part ses enfants et parfois son mari, elle était très peu démonstrative de ce qu’elle pouvait ressentir et pudique aussi. Pourtant à une époque, elle avait confié ses états d’âme à son amant. Jason était surement celui qui avait atteint aussi prés le cœur de la jolie brune. À lui elle s’était ouverte sur des sujets intimes, sur la manière dont elle voyait et ressentait les choses. Pour la première fois elle avait rencontré quelqu’un prêt à l’écouter réellement sans jamais s’impatienter. Jason était à l’opposé de Benett et c’était auprés de lui qu’elle avait trouvé du réconfort. La grande bête n’était certes pas issue d’une grande famille, ni diplômée d’une grande école. Il n’avait pas toute les qualités que son mari avait, pourtant lui avait l’essentiel qui manquait à leur famille. Jason parlait le Louise. Elle n’avait pas besoin d’ouvrir la bouche qu’il comprenait où elle voulait en venir. Pire encore, elle s’était éprise de cet homme et était tombée enceinte de lui. Elle n’était néanmoins pas assez forte pour quitter la vie de strass qu’elle menait et avait fini par le perdre. Pendant longtemps elle avait pensé que c’était une bonne chose qu’il se tienne loin d’elle, puis elle avait trouvé bien des raisons qui petit à petit avait effacé l’image du blond de son cerveau. En découvrant sa paternité il avait débarqué un jour chez elle, se montrant sous son pire jour et c’était cette image qu’elle avait préféré garder de lui. Elle s’était réconforté en l’associant à l’idée qu’il était violent et impulsif. Des mensonges qu’elle s’était raconté pour ne plus penser à son ex-amant. Elle était venue dans la seule optique de l’éloigner à nouveau tandis que son cœur refusait de continuer à la croire. Elle passait son temps à mentir pour garder l’illusion qu’elle et son mari avait construit une famille solide, tandis que son château de carte menaçait de s’écrouler à tout moment. Son cœur ou sa raison ? Le choix était difficile et puis il y avait ses enfants qui eux aussi avaient dû vivre dans un tissu de mensonge. Ils étaient à un âge où il ne la comprendrait pas et où ils pouvaient facilement prendre le mauvais chemin pour se venger. Une part d’elle pensait qu’il fallait mieux rester dans son illusion, que la vérité n’avait pas besoin d’éclater. Seulement il lui suffisait d’être avec lui pour la faire douter. Elle se tenait là, face à lui et à genoux, le suppliant de ne pas l’abandonner alors qu’il se laisse tomber à son tour pour venir se serrer contre lui. La mère de famille vint déposer sa tête contre son buste, tandis qu’elle pouvait entendre clairement les battement de son cœur tambouriner dans le creux de son oreille. Ses yeux se plissent tandis qu’elle serrait le géant aussi fort qu’elle le pouvait, s’accrochant à lui comme si sa vie en dépendait. Une nouvelle fois, il fut le premier à mettre fin à cette étreinte, la frustrant de nouveau. Leur regard se croisent un instant, elle aurait voulu que son âme parle pour elle, qu’il se rende compte enfin qu’elle était amoureuse de lui mais que ce mot était trop dur à prononcer. Elle avait encore des attaches qui la forçait à se retenir. D’abord elle aimait encore son mari. Benett était peut être un salaud fini ça n’en faisait pas quelqu’un de mauvais à ses yeux. Ensemble, ils avaient passés de bons moments et des moments difficiles qui les avaient soudés. En dix-huit ans ils s’étaient alliés du mieux qu’ils avaient pu pour élever leur deux monstres et malgré qu’ils n’avaient probablement pas la palme des meilleurs parents, ils avaient essayé de l’être. Danny et Gabi aussi l’empêchait de tenter quoique ce soit de bête avec son amant. Elle secoue la tête, refusant une nouvelle fois d’entendre la vérité. Elle l’avait abandonné en pensant ne pas avoir le choix. Il avait été mis sur la sellette parce qu’elle avait pensé que moins il en saurait sur leur fils, plus elle trouverait la foi de faire avancer sa famille. Elle avait toujours regretté ce qu’elle avait fait et pourtant elle n’avait jamais trouvé de réelle alternative. Elle pourrait maudire le jour où son chemin a croisé celui du plombier et surement qu’ils ne se seraient pas connu s’il n’était pas venu réparer sa cuisine et pourtant il avait été la meilleure chose qui lui soit arrivé à ce moment. Il lui avait donné la meilleure chose qu’elle possédé, leur fils. Tout ce que cet homme touchait, se transformait en objet de valeur pour elle. Il était la clef de son bonheur et elle ne savait pas comment y accéder. De nouveau, elle s’approche de lui, se rendant compte qu’elle ne pouvait plus vraiment supporter de se tenir aussi loin de lui. Elle posa ses mains sur ses genoux et vint de nouveau se placer face à lui. « regarde moi ! » dit elle, le forçant à lever les yeux vers elle. « Je ne cherches à dresser aucun mur devant toi, ok ? Tout ce qui m’importe c’est de réparer mes erreurs. Je ne sais pas comment, mais je ne peux pas supporter l’idée que tu t’enfonces un peu plus chaque jour à cause de moi ! Ok ? » elle se sent honteuse et mauvaise de lui avoir fait du mal, bien que certaines de ses blessures sont moins profondes que d’autre. À nouveau elle vint écraser les joues du blond contre ses paumes de main, attirant de nouveau son attention sur lui « Je ne veux pas prendre ton cœur, ni le piétiner, ni te faire quoique ce soit qui puisse te faire du mal. » elle acquis d’un signe de tête de manière à être plus convaincante : « mais il faut que tu saches que les miens est entre tes mains. » Elle le laisse saisir ses mains pour y déposer un baiser tandis qu’elle détourne le regard un instant pour ne pas craquer de nouveau. Elle hoche la tête, ravalant rapidement ses larmes lorsqu’il lui dit combien tout les deux sont réelles. « Effectivement… » se contenta t-elle de dire alors qu’une l’une de ses zygomatiques se tira un peu. « Je crois en toi, c’est moi le problème dans cette histoire. » dit-elle légèrement brisée face à l’évidence. « J’aurais aimé que les choses soient plus simple et que l’on puisse trouver une solution à tout nos problèmes. »


 


Sujet: Sorry seems to be the hardest word (Jason)
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Rechercher dans: Rp abandonnés   Tag 3 sur 40 is the new sexy EmptySujet: Sorry seems to be the hardest word (Jason)    Tag 3 sur 40 is the new sexy EmptyJeu 29 Mar 2018 - 22:46


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Jason BOWDEN & Louise ROSENTHAL {#}3{/#}



Le regard de Louise s’était noyé dans celui de Jason. Elle sentait son cœur battre, ses yeux jonglés entre les lèvres et les yeux azurs du jardinier. La jolie brune ne pouvait se retenir trop longtemps lorsqu’elle était avec le beau blond. Elle avait beau faire tout les efforts du monde pour te tenir à l’écart de son ex-amant, ils ne pouvaient pas s’empêcher de se cherchaient. Ils étaient l’un et l’autre attiré comme des aimants. Elle observa l’homme un instant, malgré tout ce qu’elle lui avait fait, il était toujours là pour elle. Elle pouvait le sentir malgré qu’elle n’était plus dans ses bras, à ses côtés elle était prête à mettre de côté tout ses principes et à s’asseoir sur sa moralité. Devant Jason elle n’avait pas peur de se mettre à nu, il était surement le mieux placer pour connaître la jeune femme. Elle se vexa lorsqu’il lui parla de ses deux personnalités mais préféra ne rien dire se contentant juste de détourner son regard de lui. Tout les deux faisaient semblant de ne plus se comprendre parce qu’il était plus simple de s’aboyer dessus que de mettre de vraies mots sur leurs sentiments respectifs. Danny était peut-être le seul sujet qui leur permettait de parler comme deux adultes, se moquant de la crise d’adolescence de leurs fils. Elle secoua la tête de gauche à droite pour lui signifier que non ; elle eut la décence de ne pas entrer dans les détails des horreurs qu’il feuilletait. Benett avait activé le contrôle parental ce qui limitait l’adolescent sur son envie d’en savoir un peu plus sur les femmes. Leurs rires se joignent un instant avant de laisser place à un silence où la mère de famille tenta un petit rapprochement avec Jason. Elle se force pourtant à arrêter, repensant à son mariage désastreux, à ses enfants et le fait qu’elle blessait constamment le blond à le faire rêver. Alors qu’elle pouvait de nouveau sentir son souffle sur elle, elle décida de se lever pour quitter les lieux. S’enfuir une nouvelle fois. Au fond, elle espérait qu’il la retienne, qu’il lui prouve une nouvelle fois qu’il tenait à elle. Elle fut presque soulagée lorsqu’elle sentit son gros bras la saisir par la taille. Elle retient un instant sa respiration tandis que ses lèvres se posèrent sur ceux de Jason. Immédiatement, ils finissent par rompre les quelques centimètres qui les séparaient, tandis que ses bras venaient saisir la crinière blonde du plombier. Elle mit un peu plus de hargne à leur échange langoureux. Elle eut une sensation de brulure à l’endroit même où la main de son amant venait se poser. Dans une ferveur à peine cachée, elle osa même insérer sa langue à la redécouverte de sa cavité buccale tandis que l’une de ses mains s’était glissé sous le t-shirt de Jason. Elle se sentait revivre, les yeux pleins de désir elle était prête à dépasser cette limite qu’elle s’était jurée de ne plus enfreindre. Pourtant il finit par mettre un terme à leur échange. Elle soupira à son tour, à chaque fois qu’ils faisaient un pas l’un vers l’autre, ils en faisaient dix en arrière. « Qu’e » elle resta un instant perdu dans son regard, cherchant désespérément une lueur dans ses yeux à laquelle se rattacher. Elle comprit à cet instant qu’elle avait beau faire preuve de toute la volonté du monde, son cœur appartenait à cette histoire trop compliqué. « Ne me laisse pas… » le supplia t-elle presque mettant toute sa fierté de côté pour de nouveau se rapprocher de lui. « Pas toi ! » insista t-elle, saisissant les mains du père de son fils pour les emmener vers sa bouche et y déposer un baiser « J’ai pas envie de te perdre une nouvelle fois ! » dit-elle contredisant tout les propos qu’elle avait pu tenir plus tôt en débarquant comme une furie chez lui. Egoïstement, elle espérait le garder un peu plus pour elle . « je pourrais continuer à m’excuser pour tout ce que je t’ai fait et Dieu ça ne pardonnera jamais le mal que je t’ai fait… Je suis une mauvaise personne et je ne te mérites pas Jason ! » Elle serra ses mains de géants contre les siennes un moment, puis se mit sur ses genoux restant face à lui ; puis : « mais je t’en supplie, ne me laisse plus croire que ce que l’on a tout les deux n’est pas réelle… »


 


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Rechercher dans: Rp abandonnés   Tag 3 sur 40 is the new sexy EmptySujet: Sorry seems to be the hardest word (Jason)    Tag 3 sur 40 is the new sexy EmptyMer 28 Mar 2018 - 18:44


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Ce qu’elle ressentait pour le blondinet n’était pas uniquement physique. Elle ne supportait pas l’idée de trahir doublement son époux. Benett était un salaud, de part son comportement, mais il n’avait jamais rien fait qui l’autorise à aller voir ailleurs. Il faisait de son mieux pour leur offrir la vie qu’ils avaient tout les quatre et le fait de lui mentir prouvait qu’elle était elle aussi une mauvaise personne. Elle savait qu’elle ne pouvait plus avoir le même comportement avec Jason qu’à l’époque. Elle avait mis fin à leur relation et elle lui avait caché sa paternité ce qui la forçait à garder une distance avec son ex-amant. Pourtant lorsqu’il vint la saisir par la taille, elle se laissa faire de la même manière que lorsqu’il avait tenté de lui soulager quelques nœuds au cou. La manière dont ils agissaient l’un envers l’autre n’était pas saine et ne présageait rien de bon pour la suite. Elle avait beau résisté intérieurement contre ses propres sentiments, à chaque fois qu’il s’agissait de lui, elle redevanait aussitôt faible. Ses mots étaient à l’opposé de ses gestes et elle se maudissait d’avoir de nouveau blessé le beau blond en le narguant sur son manque de culture. À vrai dire, Jason ne l’avait jamais contredit sur ce point, elle ne voyait en lui qu’un biker plus occupée à entretenir sa moto que de lire un livre. D’ailleurs, elle l’imaginait mal un bouquin en main bien que de nombreuses fois elle s’était aperçu qu’il n’était pas aussi idiot qu’il laissait croire. Jason était un garçon qui ne parlait pas énormément de lui, il la laissait parler pendant des heures enregistrant chaque information qu’elle pouvait lui donner pour mieux l’utiliser plus tard. Contrairement à elle, il n’avait jamais cherché à lui ressortir ses problèmes contre elle mais plutôt à lui trouver des solutions lorsqu’elle n’en pouvait plus. À son tour elle enroula ses bras autour du cou du jeune homme alors qu’une foutue voix au fond d’elle lui hurlait dessus de ne pas faire ça. C’était mal, c’était joué une nouvelle fois avec ses sentiments. Elle ne pouvait pas le jeter et le récupérer quand elle le voulait seulement à chaque fois qu’elle était face à lui, elle retrouvait une part d’elle même qu’elle pensait perdue à jamais. Elle eut envie de fermer les yeux un instant, plonger son visage dans son torse et humer son odeur. Elle n’osa pas aller aussi loin par peur de le blesser à nouveau. Elle le regarda un long moment, n’osant pas mettre fin à ce moment qui lui avait manqué. Ensemble, ils firent quelques pas, comme s’ils dansaient un slow sur une musique qu’ils n’entendaient pas. « Il n’y a rien de plus réconfortant que de me retrouver dans tes bras ! » avoua t-elle finalement, en ayant assez de mesurer ses mots à tout bout de champs. Il se détacha finalement d’elle, tandis qu’elle le regarda s’éloigner un peu plus loin. Il lui demanda de lui parler de Danny, elle eut un petit sourire triste sur les lévres en repensant à leur fils. «  Danny ? » dit-elle, réfléchissant à ce qu’elle pourrait bien lui raconter sur lui : « Danny est un garçon intelligent, il aime le sport. Il pratique le football, le rugby et depuis peu la boxe. » dit-elle alors que ses yeux se pose sur le sac de sable qui orne la piéce. « Il pourrait être bon à l’école mais il n’en a pas envie. Il est très sensible… voire même un peu trop » ajouta t-elle « il a changé 4 fois d’établissement à Berlin à cause de son impulsivité et il ne supporte pas l’injustice. Et il a une collection de magazines de cul sous son lit… » ajouta t-elle avant de rire de cette dernière info. Elle l’avait découvert après qu’il lui ai demandé de ne plus ranger sa chambre. Elle n’avait rien dit à son époux et bêtement avait rangé la collection se jurant de ne plus entrer dans l’espace personnel de l’adolescent. Elle se rapprocha finalement du jardinier et vint poser sa main sur son visage. « Avoir ton caractère est surement la chose que j’aime le plus chez lui. » elle eut envie de l'embrasser mais ne fit rien. Doucement, sa main glissa sur la nuque du jeune homme et elle vint lui faire quelques petites caresses avant de retirer finalement sa main. Elle était sincère, Danny était le seul à la comprendre. Il était très proche de sa maman, malgré que devant ses copains il préférait jouer les macho. « Des fois je regrettes d’être Louise ! » murmure t-elle faiblement. Elle n’osa même plus croiser son regard, mal à l’aise de se laisser autant aller en sa présence. « Il faut vraiment que j’y aille… Ce n’est pas correct ! » chuchota-t-elle comme pour se parler à elle même.

 


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Rechercher dans: Rp abandonnés   Tag 3 sur 40 is the new sexy EmptySujet: Sorry seems to be the hardest word (Jason)    Tag 3 sur 40 is the new sexy EmptyMar 27 Mar 2018 - 21:02


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À l’instant même où la porte se referma sur eux, elle regretta d’être entrer. Au fond, elle savait pertinemment que ce qu’elle faisait n’était pas bien. Louise était incapable de résister à cet homme, malgré qu’elle prétendait le contraire. Elle n’aimait pas se contredire, pourtant elle ne faisait que ça avec lui, ses paroles n’étaient pas en adéquation avec ses gestes. La mère de famille ferma les yeux au moment où il vint poser ses doigts sur sa  nuque, elle espérait qu’il cesse de lui même malgré qu’un long frisson lui parcourra tout le corps à ce premier contact. Elle hésita à lui retirer sa main mais elle ne voulait pas le blesser de nouveau, aussi elle appréciait le petit message qu’il lui faisait. Elle souffla sur son café chaud, avant de le déposer sur un coin de la table. Elle avait saisi la photo de sa femme, resta un instant bloqué sur la photo. Il ne lui avait presque jamais parlé d’elle et par courtoisie, elle n’osait jamais lui en demander plus malgré qu’elle mourrait d’envie de l’entendre parler de son ex-femme. Elle ne savait finalement pas grand chose de son ex-amant, mais elle aimait la façon dont il la traitait. Jason avait l’air heureux. Ce sourire lui manquait, elle y avait eu le droit à une époque. Elle se sentit même jalouse de la défunte, de la facilité qu’elle avait eu à aimer le grand costaud. Elle finit tout de même par reposer se risquant à le complimenter. Il relâcha aussitôt son épaule et vint à côté d’elle, lui reprocha sa seule tentative d’être gentille.

Elle préféra ne rien dire, tandis qu’une petite boule de poil fonça droit sur le blond. Elle eut un grand sourire en voyant le chien apparaître et vint aussi le caresser. « Salut toi, comment tu t’appelles ? » demanda t-elle d’une voix complétement niaise. Elle avait également un chien, ou plutôt Danny en avait un mais elle s’en occupait plus que l’adolescent. Jason répondit tout de même à sa question, elle hocha la tête tandis qu’elle fit une petite mou de la bouche : « parce que tu connais Shakespeare ! » dit-elle pour l’embêter, avant de lui adresser un petit sourire « excuse moi, je plaisantais ! » se rattrapa t-elle aussitôt consciente qu’elle s’en était prise plus tôt à lui et qu’elle ne pouvait pas se permettre ce genre de familiarité. « Touch but my lips with those fair lips of thine, thought mine be not so fair, yet are they red. The kis shall be thine own as well as mine. » dit-elle avec un accent anglais plus qu’approximatif, puis elle sentit le rouge gagner ses joues lorsque de nouveau son regard croisa celui du blond : « Que vois tu par terre ? Releve la tête, regarde dans mes yeux où ta beauté se réfléchit… » il devait surement se demander ce qu’elle était entrain de raconter : « Vénus et Adonis, très joli poème de Shakespeare. » elle était passionnée de littérature anglaise et elle n’était pas passé à côté du dramaturge. Bizaremment, l’extrait qu’elle avait choisi lui rappela sa relation avec le blondinet. Elle acquit d’un signe de tête lorsqu’il vint lui parler de la maladie de son père et appréciait sa compassion. « C’est gentil ! » dit-elle en posant sa main sur le genou de Jason et en serrant très fort par un geste amical, qui n’en était pas vraiment un. Elle était à la fois mal à l’aise d’être là mais ne pouvait nier que la présence du jeune homme la réconfortait. « J’ai l’espoir qu’il s’en sorte, mon père a toujours été un héro à mes yeux ! » lui confia t-elle tandis qu’il lui parla d’Aurélia. Bien qu’il ne lui en avait jamais parlé, elle s’était doutée que c’était cette maladie qui l’avait emporté. « Ça craint ! » Elle secoua la tête, baissant les yeux ne trouvant pas grand chose à ajouter à ce qu’il venait de dire. Soudain il se releva pris de remord. « Non ! » cria t-elle presque lorsqu’il se mit à culpabiliser du fait qu’elle avait quitté Berlin par sa faute. « Arrête de dire ça, ce n’est pas vrai ! » elle refusait de lui faire porter le poids de son chagrin malgré qu’elle avait quitté sa ville d’origine par peur de ses sentiments pour le père de son fils : «Pas du tout, tu te trompes. On devait partir, Benett devait venir s’occuper de son nouveau cabinet à Hamburg et on l’a suivi ! » en soit c’était une demi-vérité. À son tour elle se leva et vint pauser sa main sur l’épaule de son ex-amant : « Jason, tu n’as rien à te reprocher, tu n’es pas le mauvais dans cette histoire. » elle soupira puis resta silencieuse un instant. «  Tu sais… Benett ne m’a même pas demandé comment mon père se portait. En fait, il n’a pas pris la peine de l’appeler pour prendre de ses nouvelles… » elle resta un instant de marbre, se rappelant de la réaction de son époux lorsqu’il avait apprit pour son père. Certes, il avait essayé de la consoler, quelques jours seulement et puis il avait fini par passer à autre chose, ignorant totalement le chagrin de sa femme. « Heureusement que Danny a hérité de ton caractère. » lui avoua t-elle malgré que l’information tombait comme un cheveu dans la soupe.

 


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Rechercher dans: Rp abandonnés   Tag 3 sur 40 is the new sexy EmptySujet: Sorry seems to be the hardest word (Jason)    Tag 3 sur 40 is the new sexy EmptyMar 27 Mar 2018 - 13:08


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Louise s’était mise sur son trente-et-un avant de quitter plus tôt sa maison. Lorsqu’elle rendait visite à ses parents, elle faisait toujours un effort supplémentaire sur sa tenue vestimentaire, son maquillage ainsi que sa coiffure, comme pour les rassurer sur sa vie. C’était une manière pour elle de leur dire qu’elle se portait bien, ils avaient élevé une lionne. De nature Louise n’était pas du genre à se laisser faire, elle rêvait de faire de grandes études, se faire un nom parmi les grands avocats. Elle leur promettait souvent de plaider leur cause le jour où elle en aurait la force et puis elle avait fini par se marier jeune. Ils n’y avaient vu aucun souci, seulement ils avaient beaucoup de mal à supporter ce que cet homme faisait de leur fille. Malgré que Louise trouvait toujours des excuses à son mari, il fallait avouer qu’il l’avait changé. Elle étai devenue son ombre alors qu’à une époque elle ne jurait que par la gloire. Sa vie était fade, morose, il suffisait de plonger dans son regard pour comprendre toute la frustration qu’elle avait accumulé au fil du temps. La mère de famille avait perdu son grand sourire éclatant, celui qui faisait tourner bien des têtes. Elle était toujours stressée à cause de ses enfants de peur qu’ils ne soient pas à la hauteur. Benett tenait à ce qu’ils aient un parcours irréprochable et elle se contentait de lui obéir. Elle était constamment sur le dos à vérifier qu’ils ne délaissent pas leur cours et qu’ils ne faisaient pas de bêtises, par crainte que son mari le lui reproche par la suite. Elle s’accrochait à sa jeunesse et sa beauté, parce que dans le fond c’était tout ce qui lui restait et qui au fil du temps menacé également de partir. À trente-neuf ans la mère de famille continuait à prendre soin d’elle, consciente qu’elle n’avait plus grand chose susceptible d’intéresser les autres. « De ? » l’interrogea t-il lorsqu’il lui demanda si c’était une nouvelle tentative de l’éloigner de son fils. Elle secoua la tête pour dire non. Évidemment qu’il allait mal vivre la situation, s’il devait apprendre que Benett n’était pas son père l’adolescent risquait de perdre l’un de ses plus grands repères. Benett n’était certes pas présent pour ses enfants mais lorsqu’il avait du temps à leur accordé, ils étaient plus qu’heureux de se retrouver avec lui. Gaby rêvait de marcher sur ses traces et malgré que Danny n’était pas aussi démonstratif avec son père, il l’admirait beaucoup. Elle s’était finalement levé, essuyant ses dernières larmes qui avaient fait coulé tout son maquillage. Elle devait s’en aller, la route était encore longue et au volant elle préférait conduire de journée. « Non je dois y aller ! » dit-elle lorsqu’il l’invita à entrer chez elle, puis face au regard insistant du blond elle se dit qu’elle lui devait au moins ça : « Bon cinq minutes, pas plus ! J’ai pas envie de me retrouver dans les embouteillages à Berlin ! » lui expliqua t’elle, tandis qu’elle reprenait la direction de l’appartement. Elle entra de nouveau dans son intimité et se rendit compte que jamais elle n’avait mis les pieds chez son ex-amant. Elle avait imaginé son appartement une centaine de fois. Il était un peu comme elle s’y attendait, à l’image du loup solitaire qu’il était. « Un café bien serré sans sucre s’il te plait ! » dit-elle avant même qu’il ne réitère sa proposition. « Mon père ? » elle eut un petit rictus triste : « Et bien ma foi, ce cancer le bouffe de l’intérieur et ça me rend malade de ne pas pouvoir être à ses côtés pour le soigner ! » lui avoua t-elle, tandis qu’elle se posa finalement sur l’un de ses canapés. « Je suis une mauvaise mère, une mauvaise épouse, une mauvaise amante mais j’essaye de rester quand même une bonne fille. Histoire de. » osa t-elle même ajouter sans vraiment sourire de sa remarque. « Je dois avoir une place bien au chaud en enfer qui m’attend, j’ai tout foiré avec tout le monde… » soupira t-elle, puis elle mit la main sur une photo d’une femme. Elle caressa le portrait avant de le reposer : « Je ne l’avais jamais vu… tu as bon goût ! » elle regrettait au fond de lui avoir parler d’elle en mal plus tôt car elle savait combien sa défunte épouse pouvait lui manquer. « Et elle aussi… »

 


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Rechercher dans: Rp abandonnés   Tag 3 sur 40 is the new sexy EmptySujet: Sorry seems to be the hardest word (Jason)    Tag 3 sur 40 is the new sexy EmptyLun 26 Mar 2018 - 14:46


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Elle se sentait minable de pleurer mais elle n’arrivait pas à se calmer. Elle laissait échapper toute sa frustration, toute sa colère, tout ce qu’elle avait pu accumuler au cours de ces dernières années. Elle ne supportait pas être faible. La main sur le visage, elle laissa ses larmes coulées comme une gamine de cinq ans. Comment avait-elle pu se montrer aussi ignoble avec le père de son fils. Jason ne lui avait jamais rien fait ; elle était celle qui lui avait gâchée la vie. Egoïstement, elle l’avait gardé sous le coude en l’absence de Benett, elle s’amusait avec le veuf quand elle le souhaitait et lorsque les choses étaient devenues trop sérieuse elle l’avait jeté comme une vulgaire chaussette. Elle se laisse basculer sur l’épaule du beau blond, tandis que sa tête s’enfouie dans l’un de ses gros bras. « Je ne voulais pas en arriver là ! » continuait-elle à se lamenter. Elle ne voulait pourtant pas en arriver là, c’était toujours la même chose. Elle ne pouvait s’empêcher d’être attirer par le motard. Rapidement, elle renifla un bon coup, puis tenta d’essuyer ses dernières larmes. « C’est ridicule ! » dit-elle, les yeux bouffis par les larmes. Elle eut presqu’un léger sourire lorsqu’il lui avoua ne pas aimer la voir pleurer. Qu’est ce qu’il pouvait être niais lorsqu’il le voulait. Elle aimait sa candeur, elle appréciait la manière qu’il avait de toujours dire ce qui lui traversait l’esprit sans utiliser de filtre. Elle secoua la tête et lorsqu’il lui parla de trouver une solution, elle soupira. Évidemment, elle avait envisagé une bonne centaine de solutions mais aucune n’était possible. Il lui promit de faire un effort et elle était elle aussi prête à en faire de son côté pour leur fils. « J’aurais voulu que les choses se passent autrement Jaz ! » dit-elle se libérant finalement de ses entrailles. Elle n’avait pas le droit de le retenir sous pretexte qu’il lui offrait un peu de bonheur lorsqu’ils n’étaient que tout les deux. Son choix était fait depuis des années et elle n’était pas réellement prête à renoncer à sa vie de luxe pour l’homme qui la rendait heureuse. Elle se trouvait abject de lui faire l’effet inverse. « Je ne pensais pas tout ce que je t’ai dit tout à l’heure. J’y suis allé un peu fort ! » soupira t-elle avant de se relever ; « mais j’accepte de te faire confiance si tu me promets de ne pas merder ! » avait-elle vraiment le choix ? « Danny ne s’en remettrait probablement jamais et il… il adore Benett ! » évidemment, il n’était pas le meilleur des pères mais le jeune garçon n’avait connu que lui. Il chérissait chaque instant qu’il pouvait bien passer ensemble. Après avoir remis en place sa jupe : « Ah et une dernière chose, je pars à Berlin tout de suite et je ne reviendrais pas avant une bonne semaine… Donc si tu passes pour le jardin, molo avec Benett ! » dit-elle en faisant allusion à sa dernière rencontre et combien il avait manqué de les griller. « Mon père est malade ! » soupira t-elle, ayant l’envie un peu plus de se confier à lui. Cette information ne le regardait pas, pourtant elle lui avait souvent parler de sa famille, de ses parents, de sa vie en général qu’il pouvait comprendre ce qui l’a préoccupé aussi…
 


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Rechercher dans: Rp abandonnés   Tag 3 sur 40 is the new sexy EmptySujet: Sorry seems to be the hardest word (Jason)    Tag 3 sur 40 is the new sexy EmptyDim 25 Mar 2018 - 19:14


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Elle sent les larmes lui montaient pourtant elle n’en démord pas. Elle se force à rester digne devant son ex-amant et ne veut pas faiblir devant lui. D’un signe de tête, elle lui fait ses Adieux. Sa voix est tremblante, le mot est finalement plus difficile à dire qu’elle ne le pensait. À vrai dire, elle n’imagine pas devoir revivre à nouveau sans lui. Ces quinze dernières années avaient été longues, comment avait-elle réussi à faire face à sa trahison. Elle n’était pas seulement une putain d’égoiste, elle était aussi une putain de menteuse. Elle n’avait aucun scrupule à mentir à toutes les personnes qu’elle aimait par peur de la vérité. Elle avait pris l’habitude de nier la réalité lorsque celle-ci ne se rangeait pas en sa faveur. Elle avait avancé dans ce petit couloir miteux. À tout les coups des dealeurs et des prostituées y vivaient. C’était le genre d’endroit où elle ne mettait jamais les pieds, des femmes comme Louise dans un endroit aussi mal loti, merci mais non merci. Elle avait pressé le pas pour rejoindre rapidement sa bagnole. Elle avait essayé de retenir sa respiration pour ne pas craquer, elle s’était forcé à ne jamais pleurer devant Jason ou devant Benett. Louise aimait jouer les femmes fortes, elle s’en foutait d’être prise pour une personne sans cœur tant qu’on ne la voyait pas pleurer. Les larmes étaient un signe de faiblesse et elle ne voulait pas non plus se montrer fragile. Alors qu’elle s’apprêtait à emprunter la cage d’escalier, elle sentit le bras de Jason la saisir. Dans un mouvement assez mou, elle lui fit face malgré que ses yeux s’humidifiaient sans qu’elle ne puisse y faire quoique ce soit. « Jason laisse moi ! » le supplia t-elle, sans réussir à lui faire face. Elle serra les dents, tandis que son cœur s’était mis à battre trop fort à ce contact. Elle ne prit même pas la peine de l’écouter puisqu’elle savait déjà qu’il avait raison. Pourtant, son débit de parole attira son attention. Elle voudrait mettre ses mains sur ses oreilles, enfoncer ses index dans ses orbites pour ne plus rien entendre de ce qu’il disait. Pourtant elle resta figée, sotte devant le beau blond. Elle ne savait pas où donner de la tête sans que cette scène ne prenne une tournure plus tragique. « Laisse moi, je t’ai dit ! » hurla t-elle, retirant son bras d’un geste brusque et devenant presque hors de contrôle. « Laisse nous, putain ! » continuais-t-elle de crier sans réussir à retenir ses larmes ni maitriser quoique ce soit. « Je t’ai dit de me laisser ! » dit elle une unième fois, sans réellement se rendre compte qu’elle se donnait en spectacle dans ce couloir. Sa voix se cassa tandis qu’elle se laissait à son tour glissait sur le mur pour se mettre à pleurer comme une enfant. Elle avait besoin de laisser sortir toute sa frustration, elle se fichait pas mal de perdre finalement pied devant l’ex-plombier. Elle ramena ses genoux contre sa poitrine déposant sa tête sur ses ces derniers, tandis que ses joues se noyaient dans des larmes qu’elle était incapable d’arrêter ; et dans ses lamentations elle répéta plusieurs fois « Je suis tellement désolée ! »  
 


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Rechercher dans: Rp abandonnés   Tag 3 sur 40 is the new sexy EmptySujet: Sorry seems to be the hardest word (Jason)    Tag 3 sur 40 is the new sexy EmptyDim 25 Mar 2018 - 17:07


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Louise était venue dans l’optique de l’éloigner de leur fils. Ses propos dépassaient les bornes, elle les laissait s’échapper sans mesurer la peine qu’elle pouvait le causer. Il fallait que ça sorte, elle se moquait des conséquences. Elle s’était montré odieuse avec son ex-amant. Pourtant chaque parole blessante qu’elle lui crachait à la gueule lui brisait le cœur elle aussi. Jason ne méritait pas la manière dont elle était entrain de s’acharner sur lui. Jusque là, il avait toujours fait profil bas. Il avait accepté sans jamais rechigner qu’elle ait choisi Benett plutôt que lui. Il n’avait pas révélé la vérité pour ne pas la mettre dans l’embarras et tout ce qu’il cherchait c’était de connaître son fils. Jason ne roulait pas sur l’or, à voir son appartement, les lieux étaient plutôt rudimentaires. Ses meubles n’étaient pas forcément en accord les uns aux autres et il n’y avait pas réellement de recherche au niveau de la décoration. Néanmoins, il n’y avait pas de vaisselles qui trainaient ou de tâches au sol. Seuls quelques bouteilles d’alcool finit trônaient sur la table basse, ainsi que quelques vêtements sur son canapé. Elle avait essayé de le blesser en remettant sur la table des sujets qu’il lui avait confiés sans jamais se douter qu’elle les utiliserait un jour contre lui. Elle aussi se sentait méprisante de jouer ces cartes. Au fond, elle n’appréciait guère lui faire du mal. Puis elle repensa à Benett, à combien elle pouvait le détester lorsqu’il se mettait à mépriser les gens qui n’avaient pas leur rang hiérarchique. Ses parents étaient eux aussi une cible facile pour son époux. Il passait son temps à les critiquer et répétait constamment qu’il se sentait à l’étroit dans la maison où elle avait grandi. Elle ne disait jamais rien pour ne pas envenimer les choses mais c’était bien un point qui l’insupportait chez son époux. Au fond, elle était devenue un peu comme lui. Elle jugeait non plus les gens à leurs valeurs morales mais aux objets de valeurs qu’il possédait. Perchait sur ses talons de grande marque, elle venait pourtant de s’attaquer au vrai père de son fils. À celui qui lui avait donné le bon spermatozoïde pour créer Danny. Elle essayait de rester froide et distante pourtant à chaque fois qu’elle replongeait trop longtemps dans son regard, elle se sentait mal. Sa tristesse l’a renvoyé dans une image d’elle-même qu’elle n’appréciait pas. Son cœur manque un battement lorsqu’il lui parle d’amour. Elle retient un instant son souffle, se force à garder la tête haute malgré qu’au fond d’elle, l’envie soudaine de craquer venait de la prendre. Elle ne s’était encore jamais sentie aussi vide de l’intérieur. La douleur de ses propres mots lui brisaient le cœur, comment pouvait-elle sortir de tel méchanceté sans sourciller. Elle refusa même de lui répondre lorsqu’il lui demanda combien Benett était impliqué dans l’éducation de leur enfants. À vrai dire, elle n’avait jamais compté ou peut être ne l’avait-il jamais fait pour qu’elle ait à compter quoique ce soit. Lorsqu’il l’invita à sortir, elle soupira. Elle l’avait mérité et par fierté elle ne voulait pas rester un instant de plus devant ce miroir horrible qui lui faisait revenir en pleine gueule des vérité qu’elle n’était pas prête à accepter. Elle arriva à ses côtés, elle avait obtenu ce qu’elle méritait, Jason la détestait. Elle avait tout fait pour l’éloigner de nouveau d’elle parce qu’elle n’était pas suffisamment courageuse pour prendre les rênes de sa vie après l’avoir confié pendant dix-huit ans au même homme. « Jason, écoute… je suis désolée qu’on en soit arrivé là. » soupira t-elle finalement, malgré le déferlement de haine qu’elle lui avait donner plus tôt. Elle baissa les yeux un instant avant de s’avancer vers l’extérieur de son appartement. « Je, je t’en supplie laisse les choses comme elles sont ; pour l’amour de Danny au moins. J’ai toujours pris soin de notre fils. » dit-elle se disant qu’au prix que ça valait, peut être que cette information pouvait le rassurer. « Adieu ! »
 


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Rechercher dans: Rp abandonnés   Tag 3 sur 40 is the new sexy EmptySujet: Sorry seems to be the hardest word (Jason)    Tag 3 sur 40 is the new sexy EmptyDim 25 Mar 2018 - 17:05


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Les mots s’enchainaient et la colère continuait de monter en elle. La mère de famille ne mesurait pas l’ampleur de ses propos, elle voulait seulement lui rendre l’appareil et ne se rendait même pas compte qu’elle avait largement dépassé les limites. Devant le grand costaud, elle ne se plia pas parce qu’elle savait au fond d’elle qu’elle ne courait aucun danger. Jason n’était pas dangereux, il ne lui faisait pas peur contrairement à son époux. Des deux, elle avait toujours craint Benett, plus brutal dans ses propos et peut être même plus définitif dans ses actes. Jason était un grand dur au cœur tendre et égoïstement elle s’attaquait à lui, s’en fichait de le briser parce que dans le fond elle avait peur de ce qu’il pourrait se passer par la suite. Elle avait peur de la présence de cet homme dans sa vie. Elle qui pensait avoir tourner la page sur lui frôlait la crise cardiaque à chaque fois que leurs regards se croisaient. Il l’entrainait vers le bas, elle qui au fil des années avoir réussi à se trouver une place dans un système favorable au riche seulement. Louise venait d’un milieu défavorisé et toute sa vie elle avait tenté de s’en sortir. Elle avait pris au goût au luxe et à toujours obtenir ce qu’elle désirait. Fille d’ouvrier, elle avait pourtant vu son père travailler à la sueur de son front. Chaque centime qu’il gagnait était le fruit d’un dur labeur. Ses mots étaient violents, méchants, rudes mais dans ce venin qu’elle lui crachait en pleine figure, elle espèrait l’éloigner de nouveau d’elle. L’enjeu était trop important, il ne s’agissait plus seulement de lui ou d’elle, mais de toute sa famille. Son débit de paroles était rapide, elle l’assènait de coup violent par des demi-vérités bien trop lâche pour assumer sa part de responsabilité. Et puis elle finit par se taire, tandis que le silence emplissait quelques secondes la pièce. Elle se mit à trembler nerveusement, prête enfin à l’écouter, lui laisser enfin son temps de parole. Il répéta d’abord ses mots comme pour mieux s’en imprégner. Elle essayait de n’avoir aucune empathie pour cet homme, se forçait à éviter son regard trop longtemps. Il était son mal incarné. Il suffisait de voir comment il était capable de la changer en plongeant ses yeux azurs dans les siens. Sans le vouloir, elle était devenue esclave de ses sentiments pour le père de son fils. Tout ce que son mari était incapable de lui donner, Jason le lui offrait. Ses bras étaient toujours croisés sur sa poitrine, une manière de se protéger de qu’il pouvait dire. Elle exerçait une pression sur sa cage thoracique comme pour rendre la douleur psychologique moins douloureuse que sa petite mutilation physique. Intérieurement, elle se mordait la langue pour essayer de contrer sa colère. Elle soupirait à chaque mot qu’il prononçait un mot comme pour se détacher de ce qu’il pourrait dire. Elle eut même un rire mauvais lorsqu’il l’accusa de l’avoir privé de Danny : « Ton fils ? Ton fils ? » répéta t-elle, levant la tête au ciel et passant sa main dans sa jolie crinière brune ; « Est ce que tu sais au moins ce que c’est que d’être père ? » elle retournait son passé contre lui, elle était consciente à quel point ses paroles étaient vicieuses. Elle balaya du regard la piéce, saisit une bouteille de whisky qui trainaient ; la secoua sans lacher son ex-amant du regard. Puis : « Tu n’aurais même pas été capable de l’élever correctement ! Tu le dis toi même… » elle se détestait d’être aussi mauvaise dans ses propos. Elle était sournoise, ne prenait que ce qu’il l’arrangeait. « Et puis, on sait tout les deux que si tu l’avais su tu m’aurais poussé à avorter. Ce n’est pas comme si tu étais prêt à l’aimer ce gosse. » elle soupira de nouveau, tandis que ses doigts cognaient nerveusement son autre bras. Elle n’avait pas eu le temps de reprendre qu’il la devança de nouveau. Elle plissa les yeux à ce qu’il dit, secoua la tête n’acceptant pas ses accusations. « Mon connard de mari est aussi le père de ma fille ! » hurla-elle, lorsqu’il l’accusa de ne pas l’avoir choisi. Elle aimait Gaby et Danny de la même façon. « Et tu oublies que sans lui, ton fils n’aurait pas eu la vie qu’il mène aujourd’hui. Benett s’est toujours très bien occupé de Danny. Ça tu ne lui enlèveras pas ! » elle fronça les sourcils n’appréciant pas la façon dont il s’adressait à elle. « Toi et moi ça n’a jamais été sérieux, ok ? » dit-elle, malgré qu’elle n’en pensait pas un mot. « Et je ne suis pas la seule à t’avoir utilisé… » son ton se voulait plus essoufflée par ce rude combat. Elle marquait une pause après chaque mot, pour être sûr qu’il en comprenait bien le sens. « Tu cherchais juste à oublier ta femme.. Aurélia ! » dit-elle consciente que malgré les années le sujet était encore douloureux pour lui. « Au moins avec Benett, je ne suis pas obligée de vivre avec le fantôme d’une autre ! » elle avait conscience qu’elle remuait le couteau dans la plaie. Elle s’approcha de lui comme pour le défier : « Ose me le dire droit dans les yeux, que tout ce dont tu m’accuses est entièrement de ma faute ! » cherchant de nouveau à saisir son regard !
 


Sujet: Sorry seems to be the hardest word (Jason)
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Rechercher dans: Rp abandonnés   Tag 3 sur 40 is the new sexy EmptySujet: Sorry seems to be the hardest word (Jason)    Tag 3 sur 40 is the new sexy EmptyDim 25 Mar 2018 - 17:00


SORRY SEEMS TO BE THE HARDEST WORD
Jason BOWDEN & Louise ROSENTHAL {#}3{/#}



C’était la toute première fois que Louise laissait Benett et les enfants seuls à la maison plus d’une semaine. Son père était gravement malade, un cancer qui le rongeait depuis quelques années déjà et malgré qu’il semblait parfois aller mieux ce n’était plus du tout le cas aujourd’hui. Quitter Berlin avait été la meilleure chose qu’elle ait pu faire pour ses enfants, seulement ça l’avait éloigné de ses parents. Enfant unique, elle se devait d’être là pour eux négociant avec son époux pour aller quelques jours dans sa ville natale. C’est le cœur lourd qu’elle quitta son foyer un peu plus tôt dans la journée, laissant une liste de chose à faire à son mari au cas où il se perdait sans elle. Benett n’avait jamais eu à prendre le relai et maintenant que les enfants étaient un peu plus grand, elle espérait qu’il puisse prendre un peu plus ses responsabilités. « Je n’en ai que pour une semaine ! » avait-elle dit, embrassant son fils qui avaient l’air de moins bien vivre le départ de sa maman. Jamais elle ne s’était sentie aussi mal de devoir abandonner son foyer. Elle avait essayé de rassurer tout le monde. Seule Gabi avait l’air de tirer l’avantage sur le départ de sa mère, consciente qu’elle pouvait multiplier les sorties sur le dos de ce père trop souvent absent. « Pas de bêtises ! » elle avait claqué la porte de sa maison et s’était dirigée vers sa bagnole ranger sa petite valise rouge. Trois heures de routes c’était long, mais elle avait préféré faire le chemin en voiture pour pouvoir rester libre de ses mouvements. Et puis, elle avait quelque chose à régler avant de partir rendre visite à ses parents. Elle y avait pensé toute la semaine et même si elle avait eu plus peur que mal, elle n’oubliait pas combien Jason avait manqué de la mettre dans la merde. Benett était un homme à la fois intelligent et très suspicieux, il était connu pour être jaloux lorsqu’il s’agissait de sa femme ou de ses proches en général. Il s’était toujours montré très méfiant à l’égard des autres et autoritaires aussi. Lorsque le beau blond était venu chez eux, elle avait manqué plus d’une fois de se trahir. Elle rougissait et gigotait plus que nécessaire, heureusement pour elle son jeu d’acteur n’était pas si mauvais et Benett n’y avait vu que du feu. Elle avait roulé jusqu’à la sortie de la ville, dans un quartier où sa voiture faisait un peu tâche. D’ailleurs, elle récupéra les papiers du véhicule et vérifia qu’elle n’avait rien laisser trainer qui pourrait attirer d’éventuels voleur. Elle n’était pas très rassurée en pénétrant à l’adresse indiquait sur le papier qu’elle tenait en main. Hésitante, elle croisa un type pas très net de l’ascenseur, il lui fit un clin d’œil et parti tout sourire, l’air de se moquer d’elle. Elle arriva devant une porte, vérifia le nom sur la sonnette et appuya plusieurs fois sur la sonnerie. Elle savait pourtant que Jason préférait toquer, il lui avait plus d’une fois raconter le pourquoi du comment, mais en colère contre lui elle décida de faire l’inverse de ce qu’il voulait. À peine la porte fut ouverte, qu’elle pénétra dans les lieux sans en être forcément invité. L’appartement était plutôt bien entretenu malgré que plusieurs objets trainaient un peu partout. Elle s’avança jusqu’à la pièce principale puis se tourna enfin vers le motard : « À quoi tu joues sérieusement ? » l’assena t-elle, trop en colère pour prendre la peine d’utiliser les futilités usuels. « Je t’avais pourtant prévenu Jason ! » ne laissant aucun soupçon sur le ton énervé qu’elle utilisait. « Tu as déjà manqué de me gâcher la vie une fois! Tu veux recommencer ? C’est ça ? » son regard vint se planter dans celui de son ex-amant ! Elle ne savait pas vraiment quoi faire ou quoi dire exactement pour se débarrasser de lui. Et une part d’elle, continuait à l’aimer malgré qu’elle savait pertinemment qu’elle et lui ce n’était pas possible. « Jason, laisse nous tranquille ! Danny n’a pas besoin de toi, je n’ai pas besoin de toi… Refait ta vie, évolue, j’en sais rien moi ! Mais j’ai pas envie de continuer à vivre éternellement avec la boule au ventre de perdre tout ce que j’ai ! » le supplia t-elle finalement. Évidemment, elle n’avait pas l’essentiel. Sa vie l’ennuyait, son mari était un parfait salaud mais qu’importe pour ses enfants elle avait accepté de vivre comme ça. Le fait que le blond faisait surface dans sa vie à chaque fois qu’elle pensait que les choses allaient s’arranger dans sa famille ne lui rendait pas service. Elle s’avança dans la pièce, remarqua le sac de boxe au milieu de la salle, elle posa sa main dessus, lui rappelant son adolescent qui les suppliaient de lui en installer un dans sa chambre. Ses parents avaient toujours refusé qu’il en ait un, trop bruyant et Louise n’était franchement pas fan des sports de combats.

 


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