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 Quand tout va mal, il reste la famille - Julius

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Quand tout va mal, il reste la famille - Julius
Mar 31 Mar 2020 - 17:38
Dire que je passais par une mauvaise période était encore bien loin de la réalité. Accident, séparation, problème de santé, déconnage en boite. La liste commençait à être longue et je n'y voyais pas d'issue. Par contre je sais que je n'allais pas me laisser abattre, j'étais forte c'était pas quelques embûches qui allaient me mettre à terre. Depuis mon accident je voyais les choses de manière très différente, après tout j'avais résisté à un carton magistral donc j'étais solide. Je me disais que rien ne pouvait plomber mon moral, pourtant la vie faisait en sorte que je me laisse prendre par la dépression mais non. J'étais une emmerdeuse et c'était moi qui dictait les règles donc j'allais tenir et pour ça le travail était devenu un refuge, entre la concession à gérer et mon nouveau poste je n'avais presque plus une seule minute à moi. Et valait mieux car quand j'en avais je faisais une connerie.

Ce soir c'était un soir sans, j'avais pas le moral. Mes côtes me faisaient un mal de chien et question souffle j'irais pas courir un marathon. Je décidais d'envoyer un message à Julius pour lui demander s'il serait ok de venir chez moi, malbouffe et alcool au programme. Ah oui j'vous ai dis mais Ju' est mon cousin germain. Fils du frère à ma mère et à part qu'on est beaux gosses tous les deux rien ne peut faire deviner qu'on est de la même famille. Pour ça faut nous voir tous les deux pour arriver à voir les points communs. Dans la famille je suis la seule à l'avoir toujours soutenue pour l'armée, je pars du principe que chacun fais ce qu'il veut de sa vie. Je ne suis personne pour juger et c'est la famille donc je dois soutenir. Cette prise de position m'a valu quelques belles engueulades avec ma mère mais c'est comme ça. Je comprenais qu'elle ne voulait pas perdre son neveu comme elle avait perdu son frère mais au final ça ne la regardait pas. Surtout avec son fils dans la police et sa fille au pilotage elle était mal placée pour parler de l'éventualité de perdre un enfant.

Ennnfiiinnn bref là ça faisait quelques temps qu'on avait pas eu l'occasion de se voir. Moi boulot...en même temps quoi d'autre? et lui bah je sais pas en fait. Peut être une fille, en fait je savais plus trop. Comme moi il n'était pas spécialement du genre à parler de sa vie, à tous les deux si on nous posait la question "ça va?" la réponse était invariablement la même "ouais". Pour lui je sais pas mais pour moi ça voulait dire: qu'est ce que ça peut te foutre que j'aille bien ou pas? Donc je comptais un peu sur cette soirée pour rattraper le temps perdu, se mettre au parfum de news etc. Et le truc qui était juste génial avec les militaires c'est qu'ils étaient toujours à l'heure donc quand j'entendis sonner pile poil je savais déjà qui c'était. Kaiser se mit à aboyer comme d'habitude et j'allais ouvrir à l'interphone puis ma porte. Je jetais un dernier coup d’œil , malbouffe check , alcool check, au cas où Monsieur soit dans une période "j'mange sain " j'avais pris des trucs bons pour la santé mais c'était vraiment au cas où.
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Re: Quand tout va mal, il reste la famille - Julius
Dim 12 Avr 2020 - 17:39

Quand tout va mal, il reste la famille

ft Kirsten Köhler| Julius Jaeger

Julius n’était pas au top, le moral ne crevait pas le plafond et il ne flottait pas dans les nuages en mode super happy la vie c’est trop cool au contraire même il en venait a haïr la vie tout simplement, il avait des tendances dépressive depuis son retour du front blessé, son incapacité à repartir n’était pas digérer et ne le serait sans doute jamais mais il n’en parlait pas, ne le montrait pas et il était très peu autours de lui à le savoir, la famille était au courant plus parce que sa mère avait eut besoin de se confier qu’autre chose parce qu’il n’était du genre à aller quémander de l’attention et de longue conversation déprimante. Se soir il était invité chez sa cousine cela faisait un moment qu’il ne l’avait pas vu et il était content de pouvoir avoir de ses nouvelles des bruits qui circulait dans la famille elle avait aussi eut des moments compliqué les deux âmes cassé de la famille allait donc se faire un repas gras et une séance beuverie pour se remettre d’aplombs et pouvoir affronter de nouvelle difficulté quand on était comme eux on ne réussissait jamais réellement à sortir la tête de l’eau même quand on en avait l’impression.

Il n’était pas sortie de chez lui depuis qu’il y était entrée après sa mise au point slash rupture avec Amalia il n’avait pas la tête à faire semblant mais il avait accepté le rendez-vous alors bien dans les temps il c’était préparer et avait enfin quitter sa tanière il était militaire il y avait une chose qu’il détestait plus que tout c’était le retard et il mettait un point d’honneur à toujours tout prendre en compte pour être pile à l’heure c’était un entraînement mais cela fonctionnait toujours et ce fut a l’heure exacte qu’il sonna en bas de chez sa cousine qui lui ouvrit rapidement la première porte elle avait du se douter qu’il serait ponctuel et se tenir prête. Il grimpa les marches au pas de course mais fut vite rattraper par sa jambe qui tira un bon coup il l’avait poussé alors qu’elle était froide et cela se faisait de suite ressentir, maudite jambe qui était responsable de beaucoup de ses tracas partageant la tête d’affiche avec une sulfureuse brune qu’il n’arrivait pas à s’enlever de la tête et du cœur. Il continua donc son ascension plus lentement mais fini par arrivé à bon port et frappa avant d’entrée il avait sonner en bas elle l’attendait et la porte n’était plus fermé à clef c’était donc signe qu’il pouvait entré sans attendre qu’elle vienne lui tenir la porte.
«  Salut Kir ! »
Il entra directement dans le salon et ne lui demanda pas comment elle allait cela ne servait à rien elle lui dirait oui quoi qu’il arrive et il ne voulait pas s’embarrasser de parole inutile.
«  Mais je vois que tu a tout préparer je suis reçu comme un roi je vais y prendre goût »
Julius n’était pas envahissant il ne venait que peu souvent et ne passait pas de longues heures au téléphone l’avoir comme cousin n’était pas bien compliqué pour peu qu’on ne soit pas du genre inquiète au possible comme sa mère qui faisait une attaque au moins bobo qu’il pouvait se faire.
«  Alors on se pète l’estomac ou le foie en premier, les deux en même temps ? »
Normalement il faisait attention à avoir un mode de vie sains son corps et sa santé était deux choses importantes dans son boulot mais là il était au fond du gouffre et comptait bien faire un écart dans sa bonne conduite pour une soirée une fois de temps en temps cela n’allait pas le tuer.
   
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Re: Quand tout va mal, il reste la famille - Julius
Sam 18 Avr 2020 - 14:14
La porte n'était par fermée car je savais qui allait arriver et puis si je me trompais, la personne aurait la surprise de faire la rencontre d'un berge allemand pas forcément très amical avec les inconnus qui osaient venir sur son territoire. Je savais qu'il avait déjà repéré Julius dans l'escalier alors je le laissais accueillir mon cousin alors que je terminais de préparer des petits canapés pour manger. Se péter le ventre ok mais on pouvait le faire avec du foie gras. J'entendis mon cousin entrer mais je ne me retournais pas parce que j'étais en train de couper un truc et que me connaissant si je me retournais, le couteau irait dire bonjour à mon doigt. "Salut Ju" Je terminais de couper un peu de charcuterie.

"Ouais t'as vu ça? je sais recevoir maintenant héhé." J'avais appris par la force des choses depuis que je travaillais à Hambourg. Avant non, ce n'était pas mon rôle d'assurer l'intendance mais maintenant je devais m'occuper de tout. Et puis on se voyait tellement rarement avec Ju' que j'avais envie de mettre les petits plats dans les grands mais sans se prendre la tête. Après j'avais les moyens de me procurer de bonnes choses alors j'allais pas m'en priver. "Les deux en même temps, mais quelle question." Ouh là je commençais à m'inquiéter pour lui. Si moi je faisais gaffe à ce que je mangeais, à mon corps etc c'était rien en comparaison de ce que faisait Julius donc là qu'il parle de manger et boire en même temps allumait toutes mes alarmes internes. Je m'approchais de lui l'air suspicieux, mettant ma main sur son front. "Non pas de fièvre...qui m'a changé mon cousin? "

Je savais qu'il était dans une période pas facile dans sa vie mais là je savais pas que c'était aussi grave. J'amenais le plat et le posait sur ma table basse. Kaiser allait de moi à Ju' pour demander des caresses. Ce chien était un véritable pot de colle quand il vous avez adopté. "Bon alors la situation pour toi est aussi catastrophique que ce ta mère en dit ou comme toute mère normale qui se respecte elle en rajoute dans le drama?" Enfin ça , ça dépendait votre mère car pour la mienne j'avais eu un accident bénin, bah voyons...je me suis tellement amusée à me faire exploser ma voiture, à être dans le coma. Ca ou Ibiza j'avais choisi l’hôpital. Bref là on s'en foutait un peu. "Alors pour bien arranger notre future crise de foie, j'ai des bières mais aussi de l'alcool fort faut pas déconner on est pas des fillettes. Et à manger alors là y'a de tout du gras type chips, du gras type saumon fumé. Fin voilà y'a de tout. " J'aimais bien la bière mais là j'avais besoin de beaucoup plus fort alors j'allais me faire une vodka pomme.
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Re: Quand tout va mal, il reste la famille - Julius
Mer 22 Avr 2020 - 20:55

Quand tout va mal, il reste la famille

ft Kirsten Köhler| Julius Jaeger

Ju avait donc débarqué chez sa cousine accueillis par le chien de celle-ci, le militaire pénétra rapidement dans le salon et avisa tout ce que la brune avait prit la peine de préparer pour eux et autant le dire il y en avait a foison elle avait visiblement prévu de l’engrosser. Le métisse c’était amusé à la taquiner avec lui il ne fallait pas être fragile de la taquinerie sinon on prenait cher avec lui heureusement la femme qui lui faisait face était rodée a tout ça et savait comment réagir.
« Tu a pris des cours ? Ou tu a trouvé un passion dans l’art d’avoirs des invités »
Ce qui ne devait pas être le cas au vu de caractère assez froid de sa cousine. Le brun lui demanda alors par quoi ils allaient commencé, le foie ou l’estomac parce que les deux allaient souffrir en fin de soirée mais il ne savait pas lequel il allait rendre malade en premier et Kirsten l’aida à trancher de manière simple et efficace, pas de favoritisme les deux allaient prendre en même temps c’était sans doute mieux ainsi.
« Tu as raison il serait bête d’en laisser un de côté je ne voudrais pas créer de jalousie entre mes organes »
Et visiblement son comportement à lui aussi était inquiétant il n’en avait pas eut l’impression pour le coup mais la brunette s’approcha de lui pour posé la main sur son front et vérifié si il avait oui ou non de la température ce qui n’était pas le cas, manger et boire serait juste un bon moyen de ne pas pensé à son cœur brisé cela n’était pas signe d’une maladie quelconque.
« Tu deviens dramaturge ma petite vieille, je ne suis pas malade parce que j’ai soif et faim quand même »
Bon d’accord il devait avoué niveau nourriture d’ordinaire il était plutôt chiant, il voulait que cela soit équilibré et pas trop gras, sa mère était habituée et avait retravailler tout ses plats pour les rendre adapté au régime alimentaire de son fils lui apprenant ensuite les recettes pour qu’il ne mange pas toujours la même chose.

« Je n’ai pas changé y’a pas d’autre modèle de Julius en stock l’usine à pris du retard »
Il préférait en rire il n’aimait pas s’apitoyer sur son sort cela ne lui ressemblait pas et il n’était pas venu ici pour ça, mais comme toujours il avait été devancé et Kir avait été mise au courant de la situation lui demandant si cela était aussi catastrophique qu’on lui avait rapporté le faisant levé les yeux au ciel.
« Bon sang mais elle a appelé toute la famille ou quoi ? Elle doit avoir rajouté dans le drama ce n’est qu’une histoire de cœur je pensait avoir trouvé une femme qui m’aimait et pouvait comprendre vu qu’elle est aussi militaire »
Mais cela ne c’était pas passer comme prévu et maintenant il en payait le prix mais il n’allait pas se laisser abattre, en tout cas pas en public il le faisait seulement chez lui dans son intimité rassurante qui le voyait devenir une loque depuis quelque jours. On pourrait en douter en le voyant aujourd’hui mais quand on le connaissait on se doutait qu’il ne s’effondrerait jamais devant quelqu’un même si c’était un membre de sa famille.
« Tu a raison on est clairement pas des fillettes fait péter la vodka pour qu’on se mette bien ! Du gras c’est top je vais pouvoir profité un peu de tout ça de toute façon je ne retournerais jamais sur le terrain alors je peux bien grossir un peu »
Depuis son retour il faisait tout pour pouvoir y retourner et il comprenait maintenant que cela ne serait jamais possible alors autant se laisser un peu de leste et se faire plaisir de temps en temps.
« Et toi alors remise a cent pour cent ou pas encore ? »
Il comprenait la jeune femme après tout les deux étaient pareils leur accident leur avait fortement coûté étant donné que leur passion et métier était toute leur vie.

   
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Re: Quand tout va mal, il reste la famille - Julius
Dim 26 Avr 2020 - 13:47
"Ni cours ni passion...On reçoit pas mal à la concession et contrairement à l'écurie je dois moi même faire certaines choses donc voilà." C'était un des trucs que j'avais eu le plus de mal à m'habituer, devoir faire les choses comme ça, moi même. Dans l'écurie j'avais des petites mains sous mes ordres mais là je n'avais pas autant de personnel et c'était normal. Bien sur je commandais à un traiteur mais quand c'était des trucs à dix personnes pas plus donc là on faisait à la main. Ju' me taquinait mais venant de lui ça ne me touchait pas car j'y étais habituée. Et le plus souvent je lui répondais sur le même ton. "T'inquiète, tes organes vont souffrir tous en même temps." Quand j'avais décidé de me fracasser je n'y allais pas de main morte. J'aimais faire les choses biens et donc autant le foie que l'estomac allait appeler à la pitié à la fin de la soirée. D'ailleurs je pensais à un truc. "Vu l'état lamentable dans lequel on sera, tu restes à l'appart ce soir, hors de question de rentrer le canap fait lit." Par contre je ne sais pas si on aurait encore des neurones en fonction pour trouver comment déplier tout le bordel. On verrait ça plus tard.

On peut pas dire que je connaissais mon cousin par cœur car nos vies avaient fait qu'on ne s'étaient pas vus autant qu'on aurait aimé mais par contre toute la famille savait pour son régime alimentaire très drastique. J'étais la seule à supporter ça sans soucis car en étant pilote mon régime était aussi très strict et sans compter le fait que j'étais sortie des années avec un vegan. "Excuse moi mais là y'a pas si longtemps tu aurais été outré par tant de nourriture non équilibrée et l'alcool t'aurais dis oui mais pas plus qu'un verre." Alors que moi et l'alcool c'était une grande histoire d'amour, boire ne m'avait jamais dérangé même quand j'étais encore en compétition. "Ah parce que l'usine produit encore d'autres Julius? t'as du bol, moi après ma production ils ont détruit l'usine, c'était un fail trop important économiquement."

La famille pouvait être une belle chose, les liens du sang c'était quelque chose de très particulier. Mais dans certains car la famille pouvait être la plus grande source d'énervement. La mère de Ju' donc ma tante était quelqu'un de très gentil mais racontait tout ce qui arrivait à son fils. Je pensais que tout n'avait pas à être dit à la famille et de mon côté j'avais de la chance car ma mère ne s'inquiétant que pour mon frère, j'étais assez tranquille. "Elle a appelé ma mère, ça suffit...et ma mère m'en a parlé alors que je lui avais rien demandé. Pas que ta vie m’intéresse pas mais si on veut se parler on le fait sans l'aide des parents. Surtout à nos âges." Ah les peines du cœur, je savais que trop bien ce qu'il ressentait et si moi j'avais décidé de ne plus rien ressentir je ne sais pas ce qu'il en était pour lui. Je ne dis rien car je savais que parfois on avait pas du tout envie de parler de ça et surtout quelqu'un comme Julius.

Je pris la bouteille de vodka et servit deux verres. Pour l'accompagnement je le laissais mettre ce qu'il voulait, mais y'avait plusieurs types de jus de fruit et de la RedBull s'il voulait se détruire bien comme il faut. "Ouais idem je reviendrais pas sur un circuit alors rien à foutre de la ligne ou de la santé." Pour la peine je rajoutais de la vodka dans mon verre et je pris une chips pour manger. Je rajoutais du jus de pomme et c'était bon. Je sentis mon verre et woooow ça sentait tellement la vodka, la pomme avait disparu, à la fin de la soirée je parlais russe. "Je suis loin du 100% on m'a retiré ma licence pro car je n'ai échoué à la visite médicale, pas assez de capacité respiratoire pour les compétitions internationales, j'ai mal à la cicatrice, j'arrive pas à la toucher et alors hors de question que quelqu'un la touche et pour couronner le tout...j'ai rompu avec mon copain. T'aurais pas une corde à dispo?" Je bus mon verre cul sec en grimaçant. Oh putain ça brûlait sa mère dans la gorge. "Franchement l'amour c'est naze.... le cul c'est mieux "
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Re: Quand tout va mal, il reste la famille - Julius
Mar 26 Mai 2020 - 18:39

Quand tout va mal, il reste la famille

ft Kirsten Köhler| Julius Jaeger

Julius ne connaissait pas le côté hôte de sa cousine elle n’était pas du genre à organisé souvent des réceptions chez elle, mais visiblement son nouveau boulot lui avait apprit à géré ce genre de chose ce qui était quand même une plus value.
« Ce nouveau boulot va bientôt te faire devenir une femme a mariée fait attention »
Il la taquinait sachant bien que la jeune femme n’était pas réellement dans ce cet état d’esprit pour sa vie sentimentale. En tout cas pour se soir la jeune n’avait pas le projet d’être sérieuse elle avait prévue de faire souffrir les organes de son cousin en même temps le mettant ainsi a l’épreuve. Le brun aurait normalement refusé une telle soirée, il prenait grand soins de sa santé et de son corps alors il évitait ce genre de mal bouffe mais là il n’était pas au top moralement alors il allait donc se mettre mal pour oublié quelque heures.
« Je ne m’inquiète pas je pressentais bien que j’allais mal finir en venant te voir »
La jeune femme était dans un état semblable au siens, un changement tout aussi douloureux, un accident l’ayant elle aussi privé de son boulot de rêve. Mais ils étaient quand même des adultes responsable Julius ne retournerait pas à son appartement se soir il ne prenait jamais de risque inutile cela ne faisait pas partit de son caractère, un fait qui avait sans doute rassuré sa mère jusqu’à ce qu’il décide de partir à l’armée, un risque utile selon lui, protégé d’autre gens étant dans son esprit un très bon choix de vie.
« Je ne comptait pas repartir de toute façon tu aurais du me supporter et je crois que bourré je peux être chiant, je ne maîtrise pas totalement cet état de fait »
Parce qu’il ne l’avait pas été souvent, et qu’il n’était du coup pas tellement routinier de la chose et puis il était différent de boire un coup en transit en rentrant d’opex que de se bourré la tronche en pleine dépression dans le canapé de sa cousine, les frontières et limite n’était pas les même et se soir sa seule limite serait son corps qui lui dirait bien stop à un moment donné.

La brunette en acceptant sans bronché le menu qu’elle avait concocté c’était clair que cela ne ressemblait pas trop à ce qu’il avait l’habitude de manger en temps normal quand les deux se voyait lors des repas de famille, il faisait attention à ne pas prendre trop de gras, car même si il ne partait plus il restait formateur et ne voulait pas devenir un petit gros dont on pouvait douté de l’efficacité, son physique avait été travaillé durant de longue année pour être musclé sans trop l’être, et il ne voulait pas perdre ça en perdant son droit d’être le terrain. Ne pas pouvoir s’entretenir pendant des mois suite aux diverses opération a son retour blessé avait été une véritable torture pour lui mais se soir cela serait une exception à sa règle du jamais au grand jamais il en avait besoin.
« Je le suis toujours mais aujourd’hui j’ai envie de faire n’importe quoi alors bon j’ai pas cent six moyen et celui là est sans doute le moins dangereux ou grave de tous »
Parce que même en étant au plus bas il gardait une conscience aiguë des danger, une déformation professionnel sans aucun doute.
« Ils tentent de faire des Julius par balle pour évité d’avoir des soldats en kit, paraît qu’il manque de ça dans les zones de guerre alors bon je suis un bon samaritain j’ai laisser le droit de le faire »
Bon techniquement sa sœur avait été fabriqué dans la même usine mais avec un fournisseur différent qui ne pouvait plus fournir de Julius 2.0 mais bon il pouvait quand même tenter de rire de sa situation qui n’était pas super agréable t qui ne le faisait dans le fond pas réellement rigolé beaucoup.

Le métisse avec grandit avec une mère très protectrice et très envahissante, il ne l’avait jamais blâmé comprenant ce besoin de protection envers lui après la mort de son père et son engagement dans l’armée. Il faisait avec, composant avec ses questionnement mais il ne se ferait sans doute jamais a cette tendance qu’elle avait à ensuite tout raconté ce qui lui confiait à tout le monde. Non pas qu’il n’aime pas le reste de sa famille mais pour lui tout ne monde n’avait pas besoin de savoir certaine chose et son histoire sentimentale ne regardait que lui, le brun allait encore devoir remettre les pendules à l’heure.
« Elle sait pourtant que je déteste qu’elle fasse ça, comme si ma vie sentimentale intéressait quelqu’un d’autre qu’elle et son besoin de tout savoir. Je suis pas très bavard sur le sujet en parler n’arrangera rien a mon avis puis bon c’est entre cette fille et moi et j’ai jamais été adepte du fait de mettre plein de personne dans une relation qui ne tient déjà pas bien la route »
Son histoire avec Amalia n’était pas simple et avoir les conseils de tout un chacun ne l’aiderait pas a y voir réellement plus clair, il ne savait plus quoi faire, où aller dans cette histoire qui ne semblait pas avoir un avenir tranquille devant elle.

Aucun des deux ne pourraient retourné à sa vie de rêve alors ils allaient un peu lâcher du leste dans leur vie normalement très cadré alors il la laissa lui servir directement de l’alcool fort, autant attaqué correctement dès le début.
« Je continue à faire attention seulement parce que je veux continué à faire peur a mes petites recrues, avoir un physique baraqué aide pas mal quand on veut impressionner »
Et puis même si il était déprimé de ne plus pouvoir bosser réellement là où il le voulait il n’était pas devenu suicidaire pour autant et ne voulait pas se tirer une balle dans le pied en se bousillant lui-même sa santé. La brune se confia un peu en parlant de sa vie et de ce qu’il avait loupé jusqu’à maintenant, visiblement sa vie allait de paire avec la sienne, ils pourraient être à l’affiche d’un film les cousins maudit ou un truc du genre.
« C’est la merde, mais désolé la corde je la garde si jamais une nouvelle douille me tombe dessus à nouveau je crois qu’on se tire la bourre à celui qui a la vie la plus pourrie et la plus merdique on devrait faire un vote pour définir celui qui gagne »
Il bu lui aussi son verre secouant la tête en avalant c’était fort et son palais criait un peu au secours mais cela allait.
« Le cul n’apporte rien de bon non plus »
Non rien était bien quand on se liait a quelqu’un d’une manière ou d’une autre, après tout eux avait commencer par du cul, du cul interdit en plus, le summum de l’excitant et cela avait fini en drame, lui allait reprendre son habitude de non contact autre qu’amical avec la gente féminine et cela irait bien mieux. Il choppa de la charcuterie et resservit une tourner de verre il sentait qu’il allaient rapidement payer le prix de cette soirée.
« A la santé de nos âmes esseulées »
 
   
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Re: Quand tout va mal, il reste la famille - Julius
Lun 1 Juin 2020 - 17:08
Je pouvais tout encaisser comme remarques et ou attaques gentilles mais pas du tout celle qui me disait que je pouvais devenir une femme bonne à marier. Je le foudroyais du regard. S'il n'avait pas été mon cousin je lui aurais lancé dessus le couteau que j'avais dans la main pour finir de préparer. Mais c'était mon cousin et un militaire donc double raisons pour ne faire un geste débile. Tu connais la série why women kill? le jour où je me marie je pense que je pourrais jouer dedans... J'avais adoré cette série car ça montrait bien à quel point les hommes étaient des boulets. J'étais mariée à ma carrière, à aller le plus haut possible et ça me demander tout mon temps. Ah il se rattrapait en me disant qu'il savait qu'il allait prendre sa race en venant. Quand je voulais me détruire je n'y allais jamais doucement. Je m'arrêtais juste avant de finir à l'hopital c'était une bonne technique. Par contre avec Ju je risquais de finir vraiment mal car sa résistance à lui était supérieure à la mienne du moins je l'espérais sinon je le chambrerais jusqu'à la fin de sa vie que sa cousine tient mieux l'alcool que lui.

J'étais soulagé qu'il n'ai pas dans l'intention de rentrer chez lui. Au moins je n'aurais pas besoin de lui piquer ses clés ou de me lancer dans une négociation pour qu'il ne prenne pas la voiture là niquel pour se prendre une murge digne de notre belle jeunesse. A l'époque on s'en remettait vite maintenant pooow à mon avis on allait avoir l'air de cadavres pendant quelques jours. "Euh spoiler alert mon cousin adoré y'a pas que quand t'a bu que t'es chiant, désolée vraiment de te l'apprendre" Si y'a bien quelqu'un que j'aimais taquiner par dessus tout c'était Julius. On avait toujours été les deux vilains petits canards de nos familles donc ça nous avait rapproché.

Pas dangereux il avait raison car à part ramper pour atteindre les toilettes ou tomber du canapé ou du lit quand on dormirait on ne risquait pas grand chose. C'était d'ailleurs là tout l'intérêt de se laisser aller dans un contexte sécurisé. "Tu sais quoi? j'ai même planqué mes clés de voiture car je sais que je serais trop bourrée pour me rappeler le code." Et que j'étais capable de partir dans une idée à la con d'aller chercher un mcdo à minuit parce que je voulais un 280 là de suite. "J'espère au moins que t'es payé pour chaque réplique." J'étais pas bourrée donc mon cerveau pensait toujours argent, comment faire de l'argent? comment faire encore plus d'argent? C'était plus devenu un jeu qu'autre chose.

Bon les derniers petits détails étaient mis, nous n'avions plus qu'à passer un bon moment en famille. Je mettais tout sur un plateau que je fourrais dans les bras de Julius. Ah ben il ne ferait pas que profiter. "Tu sais ma mère fait pareil avec moi, du coup je lui balance des fausses informations. Mais je suis d'accord parler de relations n'aident pas trop en fait, on a reçoit pleins d'avis et on en sait encore moins après." Même si nous étions les deux à être sortis des pas familiaux, on semblait être un sujet génial de discussion pour nos mères.

La soirée était lancé, premier verre, bu assez rapidement par nous deux. Le deuxième se remplit rapidement. "Pffff tu pourrais être sympa et passer la corde quoi...pis toi t'as des armes utilise ça plutôt que la corde. J'ai tenté la voiture c'est pas garanti à 100% et puis pauvre voiture." Ouais bon en fait j'avais pas fait exprès, la faute à pas de bol. J'étais pas suicidaire donc j'allais me battre , dans quel but? là bonne question. "Ouh là non là pas d'accord, du cul pour du cul y'a pas mieux, la merde c'est quand les sentiments arrivent sinon c'est juste que des bons moments." Franchement non là je ne pouvais pas être d'accord avec lui. Mon cousin devenait fou en fait non? plus de sentiments ça oui je comprenais, mais plus de sexe? il voulait devenir moine? un moine soldat , la nouvelle génération de templiers. Ah par contre j'étais rassurée, il n'allait pas devenir végétarien. Je trinquais avec lui et descendais mon deuxième verre. Et comme on dit déjà? jamais deux sans trois? donc je me resservis un verre et je piquais à mon tour de la charcuterie. "J'aimerais quand même savoir ce qu'on a fait à nos anges gardiens pour qu'ils fassent un si mauvais taf avec nous, si je rencontre le mien, j'aurais deux ou trois trucs à lui dire à ce bâtard. Surtout quand tu vois que mon petit frère vit une vie de rêve, métier qu'il aime, fiancé."
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Re: Quand tout va mal, il reste la famille - Julius
Mer 10 Juin 2020 - 21:58

Quand tout va mal, il reste la famille

ft Kirsten Köhler| Julius Jaeger

«Il savait que Kir était encore plus fermé que lui a l’idée de se mariée un jour alors c’était un sujet très facile ou taper pour l’énervé un peu, et cela n’avait pas loupé elle avait rapidement réagit et répondu mais il ne connaissait pas du tout la série dont elle parlait, il n’était pas au point niveau série il allait devoir faire un gros travail à ce niveau là. Mais il ne passait pas beaucoup de temps devant sa télé alors cela lui prendrait sans doute bien trop de temps de tout rattraper.
« Je ne connais pas et si tu attend que je connaisse tu ne sera sans doute plus en état de jouer un quelconque rôle dans cette série »
Clairement si on ne le forçait pas à se poser devant la télé il ne le faisait pas il préférait sortir, faire du sport, tout un tas de chose beaucoup plus intéressant à son regard a lui. En tout cas se soir elle n’allait sans doute pas le faire regarder quoi que se soit parce qu’il n’allait pas être en état de comprendre ou de se souvenir de quoi que se soit vu dans une télé ou entendue. Il tenait l’alcool mais a un moment donné son cerveau ne fonctionnait plus réellement, comme beaucoup de monde il ne lui restait plus que le mode connerie après un trop grand nombre de verre avalé.

La brune n’avait pas tardé à lui rendre la monnaie de sa pièce sur sa taquinerie en lui disant qu’il était chiant même sans boire ce qui n’était pas le cas, il n’était pas du tout chiant lui il était une crème très clairement il ne faisait jamais chier personne.
« Tu n’est qu’une peste cousine je suis un ange moi, je suis gentil comme tout alors si moi je suis chiant je ne sais pas ce que tu ai toi »
Il lui tira alors la langue faisant preuve d’une grande maturité, il avait presque la quarantaine et il agissait comme un enfant de quatre ans montrant donc sa supériorité a sa façon.
« Pis si tu continue à m’embêtez je tape du pied ok ? »
Cela irait bien avec son tirage de langue tiens cela serait dans le bon thème.

Drôle quand on savait qu’ils parlaient quand même de se prendre une murge du tonnerre qui les empêcherait de bouger de l’appartement, lui avait prévu le coup en avance prenant de quoi dormir avec lui sachant qu’il n’allait pas prendre le risque de rentré avec de l’alcool dans le sang et Kir avait carrément planqué ses clefs, ils étaient à la fois des cas désespérer d’avoir prévue une telle soirée et à la fois des personnes très responsable vu qu’ils ne comptaient pas prendre de risque inutile. La crise de foie et d’estomac c’était bien assez.
« C’est drôle on est à la fois très responsable dans notre façon de réfléchir et à la fois très irresponsable d’avoir planifié une telle soirée c’est terrible »
C’était l’entre deux parfait qu’ils avaient trouvé et qui leur permettrait de passer un bon moment sans se prendre la tête sur ce qu’il pourrait arrivé plus tard.
« Non je ne me fais pas payer, j’ai assez d’argent comme ça pour ne pas en vouloir plus »
Lui tant qu’il vivait confortablement il n’avait pas besoin d’avoir de l’argent à outrance il n’en voyait pas tellement l’utilité, surtout qu’il avait largement de quoi mettre de côté prévoyant une belle fin de vie c’était tout ce qu’il demandait.

Quand sa cousine avait parler de sa situation et demander si sa mère en avait rajouté ou si il était si mal que ça et cela l’avait un peu énervé de savoir que sa mère n’avait toujours pas imprimé que sa vie privée ne regardait que lui, il lui répondait à elle parce que sinon elle le lâchait pas, mais ce n’était pas pour qu’elle prévienne toute la famille il lui en avait déjà parler. C’était sans doute un truc de mère mais cela pouvait être pénible.
« Ma mère ne supporterait pas de savoir que je lui ai a un moment donné mentit sur un point ou un autre mais encore qu’elle le sache ne me dérange pas, mais qu’elle le répète à tout le monde comme si cela était d’une importance capitale et que la planète nécessitait d’être sauvé c’est agaçant. »
Surtout que clairement avoir soixante dix sons de cloche différent en fonction de l’âge, de l’expérience et de la vision de la vie de chacun cela n’aidait que très rarement à y voir plus clair, il était déjà assez dans le flou lui-même sans avoir besoin des jugements des autres et de leur point de vue.
« Et encore elle ne sait pas tout, j’allais pas confier à ma mère que je me tapais une soldat sous mes ordres contre les parois de ma tente avant de me faire tirer dessus j’aurais été bon pour un sermon dont je me passe bien »
Sa mère ayant beau être ouverte à beaucoup de chose le sexe comme ça, un peu en libre service c’était pas tellement dans ses codes.

Les verres commencent à être rempli et vidé et cela recommence alors qu’elle lui demande un bout de corde pour se pendre mais il préfère garder la sienne il ne sait pas encore si il en aura besoin ou non autant être prévoyant, il y avait certain moment où il fallait pensé à soit d’abord.
« Les armes j’ai déjà goûté je sais que c’est trop douloureux et pas assez rapide, je préfère la corde si je fais ça bien je sens rien et c’est direct, pas envie de me faire charcuté une nouvelle fois parce que j’ai loupé la cible »
Ju avait bien assez dégusté comme ça quand il avait été criblé de balle il n’était pas assez fou pour retenter l’expérience même si dans le fond il était près a prendre le risque vu qu’il voulait retourner au front. Le militaire était par contre capable de faire une croix sur le sexe parce que cela lui avait apporter trop de problème pour lui tout était après tout partit d’une histoire purement physique et sexuelle, les sentiments n’avaient pas eut besoin d’être évoqué pour que tout part en compte, il ne c’était même pas rendu compte de ses sentiments avant de se voir prendre toute ses balles pour la sauver, le sexe l’avait emmener là dedans et il voulait se tenir loin de tout ça.
« T’a qu’à coucher pour nous deux moi je prend mes vacances »
Petite vacances de sexe cela allait lui permettre de remettre de l’ordre dans ses idées et de retrouvé sa clarté d’esprit perdu depuis un moment. En tout cas ils étaient une sacré paire de cousin cousine pas tellement gâté par la vie, les deux avaient choisit des voie un peu à risque et c’était retrouvé blessé, comme si le karma était en accord avec leur famille qui dédaignait un peu leur choix non pas parce que leur boulot n’était pas prestigieux mais à cause du danger que celui-ci représentait.
« Faut croire que nos mères les ont payé pour nous forcé à arrêté ce qu’elles considérait comme trop à risque regard nous maintenant plus aucun risque de blessure ou d’accident on a des bonnes vie de papi et de mamie »
Ce qui ne leur correspondait pas du tout et expliquait la soirée alcoolisé.

   
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Re: Quand tout va mal, il reste la famille - Julius
Mer 17 Juin 2020 - 13:42
J'oubliais que mon cousin n'était pas un accro aux séries comme je l'étais. En fait je me souviens même pas de l'avoir vu se poser devant la télé pour regarder un truc et même quand on était petits. A part quand j'allais sur circuit, enfant j'étais un accro des dessins animés mais Ju avait toujours été plus actif que moi. Mais euhhh ca voulait dire quoi la fin de sa phrase que j'étais vieille???? Décidément il ne voulait pas sortir vivant de cette soirée. Je préférais ne pas relever j'étais encore jeune non mais oh pour qui il se prenait là? Surtout qu'il était plus vieux que moi l'enfoiré...Bon du coup sans regarder la tv il ne pouvait pas comprendre ma référence mais le titre que je lui avais donné devait en gros lui faire comprendre le sujet.

"Ce que je suis moi? la fille de Lucifer en personne mon cher." Je ne sais pas du tout comment faisait Julius pour être aimable avec tout le monde. En plus d'être gentil, il était patient..en fait vous prenez Ju, vous imaginez son contraire et vous m'avez. Il avait dû prendre toute la part de gentillesse allouée pour notre famille du coup j'avais pris ce qui restait, à savoir les défauts. Et le stock s'était refait pour la naissance de mon frère. En fait si Lucifer ressemblait à celui de la série je voulais bien être sa femme et exceptionnellement être mariée mais si c'était pas lui, être sa fille me convenait. Entre le tirage de langue et sa menace de taper du pied, j'éclatais de rire. "Ok ok j'arrête." La scène était à mourir de rire de voir cet homme avec une telle carrure agir en enfant capricieux. Limite il me volait mes répliques. Enfin je nous connaissais, la trêve allait surement être de très courte durée.

Comment on pouvait penser avoir assez d'argent? Limite là j'étais choquée et je m'étais arrêtée de boire mon verre. Ce qui prouve à quel point j'étais sciée. On avait jamais assez d'argent ou de pouvoir ou d'influence. Par contre oui on était un peu paradoxals dans nos comportements. D'un côté balek de la santé et d'un autre on allait quand même éviter de prendre le volant et de nous faire très mal. Pour ma part j'aimais vraiment pas les hôpitaux et je ne voulais pas y retourner même si le personnel était le plus sexy de la planète. "On a jamais dit qu'on était normaux donc...là au moins on peut se défouler en tout sécurité." Mon dieu c'était nul d'être adulte et mature. Des fois je regrettais l’insouciance de certaines années.

"Nos mères parlent beaucoup toutes les deux et faut quand même reconnaître qu'on est pas trop une progéniture facile à gérer donc parfois elle doit avoir besoin de se confier. Mais tu sais le problème vient surtout de la mienne qui me le répète.." Je ne pouvais pas trop en vouloir à nos mamans. On faisait tous les deux un métier qui avait mis nos vies en danger surtout plus Julius que moi en fait. Je pouvais vraiment comprendre que ma tante ai besoin d'en parler et c'était bien de le faire à quelqu'un qui vivait la même chose que soi. Entre mon frère et moi, ma mère avait dû passer plusieurs nuits blanches. Mais alors je ne m'attendais paaaaas du tout à la suite de sa phrase et là j'avalais de travers et fut prise d'une toux un peu longue. "Putain mais préviens avant de me balancer des trucs comme ça." Ah ouais là je comprends qu'il n'ai rien dit à sa mère, je voyais déjà l'air outré de ma tante.

Je perdais peu à peu le compte des verres qu'on buvait, j'avais l'impression d'en être encore qu'au premier car il était tout le temps plein. Ou alors il se remplissait tout seul comme un grand quand je le vidais, hum concept intéressant. "Bon pas arme...moi j'ai testé plusieurs fois la voiture contre quelque chose, ça fait mal aussi et c'est pas super efficace. Corde tu veux pas partager...me reste médoc et alcool, là ça a montré son efficacité." Super gaie la conversation non? Ouais je trouve aussi. Mais aucuns de nous n'était sérieux, enfin j'espérais. Je dis pas que j'y avais jamais pensé mais pas plus qu'une fraction de seconde. Pour Ju, je ne savais pas et je ne voulais pas savoir.

"Ok je reprends donc la lourde tâche de coucher pour nous deux, cousin, je serais à la hauteur de notre réputation je te promets." J'annonce officiellement que l'alcool a chopé mon neurone et est en train de prendre l'apéro avec. Nous n'avions jamais été sages sur ce plan là et je pense qu'on le serait jamais mais Julius avait fait l'erreur fatale de mêler des sentiments au sexe. Je l'avais fais aussi et j'en souffrais encore. J'espérais ne plus m'y faire prendre mais ça semblait mal embarqué. Ju avait raison ça devait être un coup de nos mères ça. Je les soupçonnais de s'être associés pour ruiner nos vies d'une manière ou d'une autre...bon c'était le rôle normal d'une mère non de ruiner la vie de son enfant? Et encore moi j'avais mon père pour me soutenir. "Mouais si la mienne croit que je vais lui donner des petits enfants, me marier, vivre une vie bien rangée elle se goure, elle a mon frère pour avoir l'enfant parfait qu'elle s'en contente." Déjà à mon âge les gosses c'était foutu. Et j'avais repris un entrainement assez violent pour pouvoir retrouver ma licence donc au pire elle aura eu une pause mais je n'allais pas abandonner la vitesse. "Tu crois qu'en fait se sont elles qui ont raison et nous on se trompe? j'veux dire quasi tout le monde dans la famille est casé , vie de famille etc y'a que nous d'encore célibataires à tout mettre dans nos métiers."
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Re: Quand tout va mal, il reste la famille - Julius
Dim 21 Juin 2020 - 15:49

Quand tout va mal, il reste la famille

ft Kirsten Köhler| Julius Jaeger

La fille de Lucifer rien que ça, quoi que, fatalement ça collait bien a Kirsten, elle était assez du genre à être la fille du diable, cassante, peu sensible, elle avait une vision de la vie qui n’était pas très douce beaucoup de personne avait déjà dû la mettre dans la catégorie de Satan. Cela n’était du coup pas très surprenant pour lui que de l’entendre prononcé une pareille phrase.
« C’est pas nouveau ça, tu a toujours été plus proche de Lucifer que de Michel Ange »
Clairement même enfant elle n’était pas douce, toujours prête à gagné, qui à donner des coups à ses cousins cousine, cela faisait hurler certain membre de la famille, les plus vieux, pour qui une fille ne devait pas avoir ce genre de comportement. En parlant d’enfance le presque quarantenaire venait d’y retomber fortement, il avait menacé sa cousine de taper du pied si elle continuait à le chercher et à l’embêter c’était d’une maturité sans pareil et cela collait fortement à sa carrure musclé comme tout. Et elle ne l’avait pas tellement prit au sérieux, si elle avait accepté d’arrêté, elle l’avait fait en se moquant de lui ce qui l’avait fait rire lui aussi après tout il n’était en rien sérieux dans sa démarche parce qu’il allait sans doute de lui-même relancé la guerre de pique dans peu de temps c’était leur façon d’interagir.

C’était risible surtout quand on savait le programme de la soirée, agir comme des enfants quand on prévoyait de se bourré la gueule et qu’en plus on agissait en personne mature en prévoyant de ne pas prendre la voiture c’était des antipodes mais cela était un peu égal pour le coup.
« Anormal ? J’aime pas ce mot, je suis normal à ma façon. Mais au moins on prend pas de gros risque on est raisonnable je crois, même si boire et manger comme ça ne l’est pas. Je crois on est juste bizarre au final, ça doit être ça notre mot bizarre »
Et avec de l’alcool dans le sang ils allaient sans doute le devenir de plus en plus au fil de la soirée. Aucun des deux ne faisaient attention au nombre de verre, on remplissait dès que c’était vide et ainsi de suite cela finirait bien par se ressentir de toute façon.

Sa mère il pourrait en parler pendant des heures mais cela ne serait-il pas faire ce qu’il était entrain de lui reprocher, trop parler de lui en parlant d’elle. Même si bien sur il comprenait qu’avec son passif et la peur ressentit en le voyant revenir gravement blessé elle avait le besoin de le protéger de tout et de tout savoir. C’était compréhensible mais pas moins pénible pour autant. Il était aussi vrai que sa tante pourrait être une confidente plus discrète et qu’elle pourrait garder pour elle les confidence de la mère de Julius, mais visiblement les deux femmes c’étaient trouvé pour ne pas connaître ensemble la notion de vie privée.
« Non mais je comprend ses peurs, et le besoin de les partagé mais pas a tout le monde quoi, je vais aller leur expliqué ça a toute les deux. Surtout que maintenant je ne risque plus rien ma carrière sur le terrain est foutue elle peut donc se calmer, on va devenir de sage petit enfant »
Clairement cela n’était pas eux du tout, ils étaient fait pour le danger et l’adrénaline et vivre ce genre de vie était plus difficile que de vivre une vie à risque pour des profils comme les leurs, mais dans la famille le fait de les voir se ranger dans quelque chose de moins dangereux était un soulagement que peu de membres réussissait à caché derrière des air désolé convenable. Sa révélation avait fait de l’effet et il éclata de rire, comme si il allait lancé une alerte propos détonnant avant de parler cela retirait tout effet à ce genre de parole.
« C’est gâché le plaisir que de te prévenir avant, ta tête valait son pesant d’or pour le coup, tu me prend trop pour un gentil gars tout prude j’aurais pas été choqué que tu me dise un truc comme ça »
Sans doute parce qu’elle était bien plus libéré que lui, un peu comme Amalia d’ailleurs depuis qu’elle était célibataire, son contraire donc même si il avait quand même ses petits secret comme il venait de le lui révélé.

L’idée de parler de commencer se suicidé était tombé sans qu’il ne comprenne comment et il argumentait c’était sans doute le pire pour savoir quel technique était la meilleure, pour Kir les armes aurait été une bonne possibilité mais lui avait tenter et n’était pas d’accord on pouvait se louper avec une arme et c’était douloureux après, Kir elle avait testé la voiture et c’était aussi peu sur que la première solution. Finalement la corde avait été écarté car il en fallait une pour chacun et le cocktail médoc, alcool semblait la meilleure solution, clairement il ne pouvait pas dire à sa cousine qu’il avait réellement pensé faire ce genre de chose quand il avait apprit qu’il ne pourrait pas retourné sur le champs de bataille, il n’en avait jamais parler à personne même pas à sa psy qui n’en avait rien vu.
« C’est sans doute le plus efficace même si ça foire aussi parfois, je crois qu’aucune méthode n’est à cent pour cent validé de toute façon »
C’était toujours quitte ou double réussir ou se raté rien n’était certain et c’était sans doute pour ça qu’il n’avait jamais franchit le pas, il n’aurait pas pu voir la tristesse de sa mère si il c’était loupé, il ne l’aurait pas supporter.

Le militaire avait refilé sa part de sexe à sa cousine, pour le moment il ne voulait plus entendre parler de relation avec une femme, même d’ordre physique, il avait donné il avait souffert il voulait s’éloigné de tout ça et la brunette accordait bien plus d’importance à la chair que lui alors autant qu’elle en profite.
« Je savais que tu ne demanderait pas ton reste avant d’accepté ça, tu est une cochonne sur jambe »
Lui pensait que sa mère lui avait jeter un mauvais sort pour le ramener sur ce qui semblait être pour elle le bon chemin, elle avait tenté de le caché devant la détresse de son fils mais elle avait été terriblement heureuse d’entendre qu’il ne repartirait pas, un crève cœur pour Julius que de ne pas se sentir soutenue réellement dans l’un des pire moment de sa vie jusqu’alors. C’était donc logique pour lui, si on croyait bien sur à ce genre de chose un peu mystique, mais lui était prêt à croire à tout pour trouvé une explication à ce mauvais karma qui le privait de sa plus grande source de joie.
« La mienne continue à y croire alors que je suis seul à presque quarante ans alors tu n’est pas sortit de l’auberge ma grosse surtout que tu est une femme on attend de toi que tu enfante ! Sinon quel drame de vie »
Et il secoue la tête, il ne comprend pas cette pression sociale, devoir se marié, acheter une maison et avoir des enfants, même si lui en voulait il ne se mettait pas la pression si cela était prévu pour lui cela arriverait un jour.

« Je ne crois pas, il n’y a pas de réussite spécifique, pour nos mères leur grand bonheur c’est d’avoir eut des enfants, pour nous c’était notre boulot. On est tous différent et la société bourrine trop pour qu’on soit tous pareil mais je sais que je ne me serais pas épanouie dans une vie de bureau avec femme et enfant et vivre sans vivre c’est manqué de respect à ceux qui ne peuvent plus le faire »
Jamais il n’avait regretter ce choix qui l’avait éloigné des autres, mais rapprocher de personne qui avait prit une place importante pour lui, jamais parce qu’il était heureux là-bas et que cela était le seul but de l’être humain, vivre.

   
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Re: Quand tout va mal, il reste la famille - Julius
Jeu 9 Juil 2020 - 18:46
Certaines personnes auraient pu mal le prendre qu'on leur dise qu'elles ressemblent plus au diable qu'à une oeuvre d'art mais pas moi. J'étais le démon de la famille et ça depuis mes premiers cris je crois. J'aimais ce statut, je le revendiquais. Donc ce que répondit Julius n'allait pas me choquer, j'en étais même fière. A nous deux nous étions les vilains petits canards et pour le moment la transformation en cygnes n'était pas encore arrivée. Et y'avait aussi le fait que venant de lui j'acceptais certaines choses, que je n'acceptais pas d'autres membres de la famille. Même si on ne vivait pas la même vie, on se comprenait et si on ne comprenait pas, on posait des questions. Son engagement restait pour moi un mystère car je n'avais aucunes attaches réelles pour un pays alors aller défendre ses intérêts je m'en foutais et je me foutais encore plus d'aller protéger des populations civiles dans des pays en guerre, mais je respectais son choix de vie.

Les verres s’enchaînaient, les trucs junk food aussi. J'avais faim et soif donc ça tombait super bien que j'ai prévu pour un régiment. Le vrai risque c'était de me laisser un couteau dans les mains pour découper à manger alors que mon taux d'alcoolémie commençait à monter. J'avais un soucis j'étais assez maladroite et bien sûr ça empirait avec l'alcool mais ce qui me sauvait c'était mes réflexes. Pour simplifier je coupais souvent sans trop faire attention à mes doigts mais je le réalisais assez vite pour enlever la main. A ce jour je m'étais réellement coupé qu'une seule fois mais par contre j'avais tombé les plats un nombre incalculable de fois. "J'aime notre bizarrerie, au moins on peut se foutre une race digne de very bad trip voir pire, sans soucis." Alala ce film quel délire. Pas besoin de faire un enterrement de vie de garçon pour être dans cet état à Vegas. Je l'avais déjà été et ca avait été un grand moment de n'importe quoi. Je ne répondis sur le sujet tata, à lui de gérer sa mère même si je comprenais vraiment que ça le soule qu'elle raconte tout à ma mère. Mais je me doutais bien que ma mère devait tout raconter à ma tante. Même si je connaissais ma mère, elle parlerait de mon frère et pas beaucoup de moi. Eh ouais quand on a deux enfants y'avait toujours un préféré et bien souvent c'était le plus jeune. Il faut dire que je pouvais comprendre mes parents, je n'avais pas été une enfant facile alors que lui c'était le gosse de rêve par rapport à moi. Fayot ce mec.

Je manquais de recracher mon verre, ce qui était bien sûr totalement inadmissible on est bien d'accord. Franchement je ne m'étais pas du tout attendu à ce que Ju me balance un truc comme ça, comme j'aurais pu le faire moi. "Non mais je me doute bien que t'es pas moine cousin mais là une subordonnée? par contre je dis bravo pour la tente, c'est inspirant ce type de lieu." Et je vous dis pas les motorhomes de F1 avec leurs pièces si petite et des dizaines de personnes qui peuvent vous entendre pifouuu là c'est très très excitant. Donc voilà le lieu je disais bien ouej cousin, mais la hiérarchie, il me semblait qu'il était du genre hyper respectueux des règles. Elle devait lui avoir fait tourner la tête ou autre chose pour qu'il fasse ça. Je soupçonnais que c'était à cause de cette fille qu'il était là à boire comme un puits sans fond. J'aurais pû lui poser la question mais s'il ne voulait pas en parler c'était son droit. Et s'il voulait en parler, c'était son droit aussi, avec lui j'étais rarement contrariante, il agissait comme il le voulait.

Y'avait un truc cool avec les gens de la famille, c'était qu'on pouvait parler suicide, comme ça à la cool entre deux verres sans prendre ça réellement au sérieux. Oui j'y avais songé plus d'une fois, mais je pense que mon côté emmerdeur avait pris le dessus. Ce n'était pas du tout de la force de caractère mais plutôt juste une envie de prouver que je serais plus forte que les problèmes dans ma vie. "Mouais y'a jamais rien du sûr dans cette vie, même le suicide c'est la merde, on peut même pas être sûr de se zigouiller alala." Je venais de terminer ma phrase et donc je suivis par termine mon verre, allez zou un de plus. Eins, zvei, drei, vier, enfin je crois five, six, oh putain je commençais à m’emmêler les pinceaux entre allemand et anglais c'était pas bon signe.

"Moi? ah non juste que j'ai une capacité de résistance face à un beau corps, qui est quasi nulle. Faut bien que j'ai quelques défauts quand même. Et puis mince c'est bon le sexe, pas autant que l'adrénaline du danger mais à défaut de rouler à 300, je m'envoie des gens, on compense comme on peut." Et je pouvais passer une longue période sans rien faire, du moment que j'en avais pas envie. En prenant de l'âge je commençais un peu à changer, et ça me terrirait mais un truc de dingue, genre imaginez que je serais capable d'avoir la même personne dans mon lit deux nuits de suite...non mais le choc.

J'étais d'accord avec lui, la vie rangée ce n'était pas pour nous. Partir le matin tôt, dire au revoir à ton conjoint, emmener les enfants à l'école, travailler, aller chercher les enfants à l'école, s'en occuper, s'occuper de la maison et parfois avoir une soirée à deux. Non vraiment ça ne me faisait pas du tout rêver, j'aimais ma vie de défis professionnels, de voyages au bout du monde, de risque sur les pistes etc. "On est ok, la vie de famille c'est pas pour nous mais des fois tu te dis pas qu'avoir quelqu'un dans sa vie ça doit être quand même plutôt bien? Mes parents ont l'air heureux ensemble même après tout ce temps. J'crois pas trop au grand amour, mais si au moins je pouvais avoir le petit se serait cool." J'étais pas bête je savais bien qu'être à deux c'était compliqué mais à force être fort tout seul c'était épuisant.
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Re: Quand tout va mal, il reste la famille - Julius
Ven 17 Juil 2020 - 23:35

Quand tout va mal, il reste la famille

ft Kirsten Köhler| Julius Jaeger

 Julius n’allait plus être capable de bouger autre chose que ses bras pour se resservir, il n’était pas un grand habitué de ce genre de soirée son corps ne savait pas très bien traité l’apport à la fois d’alcool et de mauvais bouffe comme il était entrain de le faire. Même les plus folles soirées militaire n’était pas autant dans la débauche, Amalia avait réellement réussit à brisé un truc en lui sans le savoir, s’en se rendre compte que de l’impact qu’elle pouvait avoir sur lui. Il était là pour l’oublié le temps d’une soirée et pourtant son esprit alcoolisé ne faisait que l’imaginé si elle le voyait dans un tel état c’était pitoyable à souhait et il n’était pas d’accord avec le cheminement de son esprit, il était clair qu’il en était là a cause d’elle parce qu’elle avait été voir ailleurs trouvant ça plus simple que de régler ses soucis avec lui. Enfin le militaire secoua la tête pour revenir à l’instant présent et se concentrer sur la conversation qu’il avait avec sa cousine sur leur bizarrerie, le duo était entrain de se mettre à la tête à l’envers comme des adolescents alors qu’ils avaient prit toute les précautions d’usage pour finir la soirée en vie comme pouvait le faire les adultes censé, un drôle de mélange qui les rendaient sans doute un peu bizarre. Cela pourrait faire parler la famille qui les mettait déjà tout les deux un peu a part à cause de leur choix de carrière qui faisait peu.
« T’est bizarre d’aimé d’être bizarre, on est pas censé aimé être bizarre, le bizarre ça fait peur. Very bad quoi ? encore un truc à la télé ? »
L’esprit du métisse divaguait et il devenait philosophe cela allait devenir compliqué pour Kirsten de comprendre la suite de ses paroles si il partait réellement loin dans ses réflexions mais bon elle n’était plus compréhensive avec ses références télé ou cinéma qu’il ne connaissait pas, on ne regardait pas la télé au front bon sang.

Finalement il avait donné plus d’information à sa cousine qu’il n’en avait donné à sa mère, parlant de cette femme qui lui avait fait tourné la tête, il avait dû taire des choses à sa mère pour ne pas la choquée, parce qu’il y avait des choses dans la vie d’un homme dont on ne voulait pas voir sa maman au courant. Il ne voulait pas qu’elle soit mal à l’aise même si elle savait sans doute que son fils n’était plus un petit saint depuis longtemps elle ne voulait sans doute pas avoir les détails comme il venait d’en donner à la jeune brune qu’il savait peu chaste. Il n’allait pas la choqué avec ses détails sur les coucheries qu’il avait pu avoir avec sa subordonnée sur la base.
« Elle était trop sexy pour moi j’ai rien pu faire là, normalement je remballe, là je lui ai sauté dessus. La tente, le hangar, les dunes tout à été bon pour se tripoté on peut pas dire que dans un camp militaire l’intimité soit de mise il faut être un peu imaginatif pour trouvé des endroits et ne pas se faire grillé »
Même si techniquement cela n’avait plus été que des attouchements rapide après leur coucherie dans la tente, il avait eut trop peur et avait tenté de lutter contre cette attirance que la brunette lui faisait ressentir craquant parfois le temps d’une caresse avant de se reprendre et de s’enfuir à nouveau. Cela avait durer ainsi jusqu’à sa blessure qui les avaient éloignés depuis plusieurs millier de kilomètre.

« J’ai pas résisté non plus à son retour à Hambourg j’aurais dû ça m’aurais évité de me faire trahir et trompé »
Bon sang qu’est ce qu’il avait la haine, mais contre lui en priorité pour avoir été assez faible pour y croire. Sa dépression aurait pu faire son retour, clairement il avait dû lutter pour ne pas sombrer une nouvelle fois, les envies suicidaires sur lesquels ils rigolaient là il les avaient réellement eut et il avait déjà longuement réfléchit à la question se rendant compte que tout comportait trop de risque de se louper et de devoir faire face ensuite à ce geste qui serait mal prit pour sur par ses proches.
« Rien n’est cool dans la vie on ne sait même pas mourir quand et comme on veut, on est juste de gros pion balancé d’un bout à l’autre pour servir on ne sait pas trop qui, une sorte de jeu géant avec un maître du jeu sadique et complètement malade vu ce qu’il est capable d’imaginé »
Car entre les guerre, les maladies, les violeurs, les pédophiles et ainsi de suite il y avait beaucoup de truc clochant dans ce monde et qui le faisait douté de la bonne santé mentale de la personne ayant créer ce monde de malade.

Pour s’éloigné de tout problème il avait filé sa dose de sexe à Kirsten elle était bien plus a l’aise avec tout ça que lui, elle ne se prenait pas autant la tête en tout cas et elle saurait sans doute en profité. Pour lui c’était un nid à ennui et il préférait se tenir loin de tout corps féminin pour les années à venir cela lui éviterait de voir son cœur être blessé à nouveau.
« Quasi nulle ? Totalement nulle tu veux dire tu fonce dès que tu vois un cul qui te plaît qu’importe le service proposé devant tu est une vraie cochonne. Comparer le sexe à une course tu est bien la seule à être capable de faire ça, je dois dire qu’avec Amalia c’était plus combat de boxe que course poursuite on a cassé pas mal de meuble déjà raaah tu vois on parle cul je pense à elle »
Son cerveau ne savait pas débranché, surtout sur ce sujet là elle avait été sa partenaire la plus longue et la plus marquante il devait bien l’avoué jusqu’alors il était resté dans le traditionnel, toujours eut un petit côté dominant mais jamais trop utilisé pour le peu qu’il avait eut de partenaire il n’avait pas prit le temps de chercher à se dévoilé.

Julius ne se voyait pas vivre une belle et heureuse vie de couple, il y avait cru mais là il était dans une mauvaise passe et ne pouvait pas reconnaître que cela pouvait être mieux que la solitude dans laquelle il vivait. Elle lui aurait demandé après avoir retrouvé Amalia, avant toute les disputes il aurait sans doute eut un discours différent mais là il était réfractaire complet à l’idée.
« Je suis pas dans les meilleures disposition pour avoir envie d’une vie de couple, de quelqu’un à mes côtés je sais pas si c’est fait pour moi. Ça fait souffrir les gens, on a beau leur faire confiance, y croire alors que cela finit toujours par foirer à un moment donné. On a mal, tous seul on a pas ce genre de problème »
Jusqu’à là en plus il ne pouvait pas dire que la solitude avait été un problème pour lui, il avait toujours été bien tout seul, il était assez solitaire, renfermé et peu bavard il n’avait pas besoin de quelqu’un toujours à ses côtés pour aller bien même si il avait apprécié avoir Amalia, il n’était sans doute pas fait pour la vie de couple, juste pour sa brune qui lui avait piétiné le cœur.


   
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Re: Quand tout va mal, il reste la famille - Julius
Mer 29 Juil 2020 - 19:53
Punaise mais c'était pas possible, il ne regardait jamais la télé? Il n'était plus en déploiement maintenant. Il foutait quoi le soir sans télé? Ou le week end quand il pleuvait dehors? Bah le connaissant il devait faire du sport mais bon. "Very bad trip c'est un film mon cher cousin, tu sais aller au cinéma, se poser parfois sur le canap sans rien faire à regarder la tv." Je pense que là je parlais à un mur. Ju' n'était pas le genre à passer le week end en mode carpette sur le canapé. Il manquait de bons moments. Bref pas la peine d'insister c'était pas très important. C'était un truc de fou quand même, il semblait être plus attaqué par l'alcool que moi. Pourtant vous avez vu l'armoire à glace? question physique j'en imposais pas autant. Par contre en terme d'entrainement là...je pense que j'avais pas mal d'avance sur lui. Et ça de très jeune.

Que Julius me parle d'une femme dans sa vie signifiait qu'elle était importante pour lui, ou plutôt avait été importante. Je crois que c'était une des premières fois que ça arrivait. Je l'écoutais m'en parler et même si je savais qu'il était mal à cause d'elle je pouvais voir la petite étincelle dans ses yeux. Il avait toujours des sentiments pour elle c'était visible. "Trop sexy pour toi? tu es conscients que t'es un beau mec?" J'hallucinais d'entendre ça, mon cousin était un bel homme et je connaissais beaucoup de femmes qui seraient au taquet pour avoir un moment avec lui. Alors pour qu'une femme le mette dans cet état ça devait être une bombe. Je le regardais en souriant et en sifflant marquant mon appréciation pour tous les lieux qu'ils avaient fait. " Tu es sûr qu'elle t'a trompé? genre tu l'as vu avec un autre gars?" Je le connaissais, parfois il pouvait s'enflammer très rapidement et là pour le faire changer d'avis c'était quasiment impossible. Et là avec les sentiments j'osais pas imaginer la réaction beaucoup plus soudaine. Je finissais un nouveau verre tout en mangeant des chips. Il allait falloir que je trouve plus consistant pour éponger l'alcool. Je me fis un rapide sandwich avec saucisson, beurre etc.

"Eh ben t'es du genre optimiste toi..." Je n'avais pas une haute opinion de la vie ok mais pas comme lui. " Ok tu ne peux plus partir en mission mais tu es vivant c'est important et on le sait aussi bien toi que moi et la vie on l'emmerde non? On a toujours fait ça, toujours suivis ce qu'on voulait nous et pas comme les autres ou la vie nous dictait de faire." Il souffrait de sa relation avec cette femme, comme j'avais pu souffrir de ma rupture. Je savais par quoi il passait mais je refusais qu'une autre personne représente mon bonheur ou mon malheur. Je me rendais compte avec lui de l'image que je pouvais renvoyer, oui j'aimais le sexe mais je n'étais pas cochonne pour autant, je ne couchais pas avec n'importe qui. Mais si un personne me plaisait et que je lui plaisais je me posais pas de questions je fonçais. "Alors les fesses sont pas ma partie préférée du corps femme ou homme" Je lui souris amusé et fière de moi. Adrénaline de la vitesse ou du sexe, les deux se ressemblaient en fait. Un rush hyper intense prenant tout le corps sur un temps très limité. " Je suis unique héhé et toi mon pote t'es amoureux...je suis désolée de te l'apprendre cette Amalia t'as eu."

Je trouvais ça space qu'on arrive à parler sérieusement après tout l'alcool qu'on était en train de s'envoyer. Et moi en plus je mangeais. Mon sandwich était une tuerie. " Seul on a pas de problèmes je suis d'ac avec toi mais par contre certains moments à deux sont d'une intensité de fou." C'était ces moments là qui me manquaient et bien sur pas les mauvais comme pouvait le vivre actuellement Julius. " Et surtout plus on reste seul moins on arrive à être à deux. J'ai laissé partir un mec génial pour rien...je m'en suis voulue longtemps. Ton Amalia à part si vraiment tu l'as vu au lit avec un autre homme, tu devrais peut être vous expliquer. Si moi je prends la partie sexe, toi je te laisse la partie sentiments à gérer "

Là je le prenais un peu à son propre jeu mais...et pourquoi pas le faire? Le voir se morfondre sur une femme pour laquelle il avait toujours des sentiments c'était un spectacle pas super à voir. Elle lui manquait donc qu'il fonce, moi personne me manquait. "En fait cousin...on est pas bizarres, là on est limite pitoyables."
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gare à la crise de la quarantaine
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Re: Quand tout va mal, il reste la famille - Julius
Mar 25 Aoû 2020 - 17:42

Quand tout va mal, il reste la famille

ft Kirsten Köhler| Julius Jaeger

 
«  Regardé la télé c’est ennuyeux à mourir je me passe bien de ce genre d’activité »
Il n’était clairement pas fait pour la télé et les soirées canapé sans rien faire il préférait l’action et avait besoin de garder son esprit et son corps occupé pour ne pas se sentir inutile. Enfin il n’allait pas débattre mille ans pour ça il ne connaissait pas beaucoup de film et ne s’en sentait pas dérangé, il préférait pensé à autre chose de toute façon il était là pour se bourré la tronche et pouvoir oublié la brunette qui habitait un peu trop son esprit encore, alors que l’alcool commençait déjà à faire effet sur sa personne. Il avait été trop sage des années durant ne buvant jamais beaucoup, cela n’allait pas de paire avec une vie de militaire parfait, boire même pendant ses permission n’étant pas bon pour le corps peu habitué et ce soir il en payerait sans doute le prix.

Parler d’Amalia n’était pas facile pour lui, elle l’avait charmé sans qu’il ne comprenne pourquoi, cela avait été un choc pour lui de ce rendre compte qu’il était totalement sous son charme alors qu’il avait toujours réussit à ne pas se faire harponner par les femmes qui avait chercher à l’avoir mais Amalia elle avait réussit, bien trop désirable pour que son corps ne puisse lutter, et son esprit avait fini par cédé lui aussi.
«  Bien sur que je le sais ! J’ai travaillé pour avoir ce corps là, et beaucoup de femme on tenté leur chance mais j’ai toujours su résisté, là c’était au dessus de mes forces »
Ce qui faisait de la militaire une exception et la plaçait sur un piédestal duquel elle venait de tomber durement.
«  Je l’ai pas vu non mais  elle me l’a dit, parce qu’on c’était disputé elle est partie se faire un match de MMA et se taper une connaissance, elle l’a assumée parce que pour elle c’est totalement normal »
Sans doute parce que pour Amalia ils n’étaient pas ensemble et donc elle ne lui devait rien du tout, mais cela n’était pas aussi simple pour Julius, son cœur parlait pour lui et là son cœur avait mal de savoir qu’elle avait pu à cause d’une dispute aller se faire un homme sans qu’elle ne prenne cela au sérieux.

Le brun n’avait plus tellement une belle image de lui-même depuis qu’il n’était plus capable d’aller sur le terrain, il se sentait demi homme et c’était difficile pour lui d’accepté son handicap même si c’était parfois incompréhensible pour certain parce qu’il était encore entier et que pour tout le monde cela suffisait a ce qu’il aille bien.
«  Je suis optimiste de base mais là »
Clairement il était militaire il était optimiste c’était une partie de son boulot que de croire en la beauté de la vie, et de croire en lui aussi mais plus maintenant.
«  Etre vivant c’est pas suffisant si c’est pour vivre une vie qui ne me donne aucune satisfaction »
Pour lui cela marchait comme ça, vivre pour vivre n’était pos suffisant pour lui et il emmerdait quiconque n’était pas d’accord avec lui, il avait le droit à sa liberté de pensé et de voir la vie, il avait espérer que cela irait mieux une fois que sa relation avec Amalia c’était un peu calmé mais tout était repartie en vrille et au fond de son trou il n’arrivait plus à accepté cette vie.

Il préférait parler d’autre chose pour ne pas déprimé, et retourné dans cette spirale difficile qu’était la dépression et qui l’avait déjà eut une fois juste après son accident, en dehors de sa mère personne n’avait sans doute conscience de son état psychique difficile et fragile parce qu’il faisait son possible pour le camoufler.
«  Des fesses ok, c’est facile à voir ça en plus »
Sa cousine arrivait a différencier sexe et sentiment et il ne comprenait pas trop comment elle faisait car clairement lui c’était fait avoir et il s’en rendait bien compte.
«  C’est bien là le problème ouai, je le suis et elle est totalement je m’en foutisme vis-à-vis de ça »
Lui ne voyait pas l’utilité de passer des moments avec des gens si ce n’était que pour le corps de la personne, il ne mangeait pas de ce pain là tout simplement, si les gens voulaient le faire tant mieux pour eux mais il ne servait à rien d’essayer de l’entraîner là dedans, ou de tenter de le convaincre que c’était mieux ainsi. Pour lui le mieux c’était de ne pas avoir de contact plus que professionnel ou amical avec une femme, parce que cela lui avait réussit sur le terrain et que cela pourrait lui suffire ici aussi.
«  Je n’ai pas besoin de ce genre de moment là je m’en passe très bien »
Chacun ses besoin et ses envies.
«  Tu t’en ai voulu parce que tu était en tord en le laissant partir. Elle a été voir ailleurs elle l’a dit assumé et tant pis pour elle, je ne me sentirais pas coupable du fait de ne pas accepté que la meuf que j’aime aille se faire sauté ailleurs parce que je ne suis pas son toutou et que je n’abdique pas devant ses crises de colères. Je suis pas un pantin, elle a l’habitude de dominé et d’avoir ce qu’elle veut des hommes mais moi je n’ai pas pour habitude de me faire dirigé c’est sans doute mieux ainsi »
Il était borné et têtu et pas capable pour le moment de voir les choses autrement, cela viendrait peut-être en lui laissant le temps, mais pas tout de suite. Pour compensé un peu sa prise d’alcool il shoppa du saucisson et des chips pour remplir un peu son estomac de consistant même si cela n’était sans doute pas le plus sains du monde.

«  Pitoyable ouai ! C’est tout a fait ça on est un duo pitoyable faute à ce stupide karma qui a décidé qu’on méritait de souffrir visiblement »
Aller comprendre pourquoi, lui ne savait pas mais la vérité était là et il fallait l’accepté.
 
 

   
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Quand tout va mal, il reste la famille - Julius
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