Adrian ♔ But i can't help, falling in love with you

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La journée de travail lui semble plus longue que d'ordinaire, aujourd'hui. Principalement parce que la jeune femme a affaire à des groupes relativement inintéressants, qui ne posent pas de questions et qui ne s'intéressent à rien. Plutôt agaçant. Plutôt lassant. Pas d’interaction. Pas de questions. Alors la demoiselle regarde l'heure trop souvent, une fois n'est pas coutume, tout en plaisantant avec Emmerich lorsqu'elle le peut. Le temps s'écoule bien trop lentement malgré tout et la jeune femme a l'impression qu'elle ne s'en sortira jamais, alors même qu'elle attend impatiemment la fin de journée, justement, parce qu'elle a son sac pour la nuit qui l'attend, dans le vestiaire. Elle dort chez Adrian ce soir. Ce n'est pas la première fois, quoique ce ne soit pas une habitude non plus. Le quadragénaire ne travaille pas ce soir et il a proposé de venir le chercher pour passer la soirée ensemble, avant qu'il ne la ramène au musée le lendemain pour sa journée de boulot. Ça ne concourt pas à ce que la journée s'écoule plus vite. Parce que la demoiselle est impatiente de cette soirée, impatiente de le retrouver. Plus qu'elle ne pourrait le dire.

Enfin, l'heure de la sortie s'annonce et la jeune femme peut quitter son poste pour rejoindre les vestiaires du personnel.Elle ne s'y attarde pas, attrape son sac d'affaires, son sac à main et sort son téléphone de celui-ci pour envoyer un message à Adrian ou voir s'il en a envoyé un. C'est le cas et l'homme écrit qu'il est presque arrivé. Parfait. La demoiselle s'empresse donc de sortir de la pièce, traversant le musée en adressant un signe de la main à Emmerich, lui souhaitant une bonne soirée, faisant de même pour Félix, avant de sortir de la grande bâtisse, cherchant le pick-up du regard. Il s'est garé à deux pas et la jeune femme s'empresse de rejoindre le véhicule, pose ses affaires rapidement avant de grimper elle-même dans l’habitacle, s'empressant de se rapprocher de l'homme pour échanger un baiser. Elle esquisse un sourire pour ce dernier, son cœur battant la chamade dans un même temps et son regard se plongeant dans celui de l'homme.

«- Salut... Tu as passé une bonne journée ?» demande la jeune femme en venant se lover contre lui.

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Never give up

When the sadness leaves you broken in your bed, I will hold you in the depths of your despair. I wanna testify, scream in the holy light, you bring me back to life and it’s all in the name of love, in the name of love, in the name of love...

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Aujourd’hui, tu as profité pour aller courir avec Kratos et le faire dépenser au parc avant d’aller faire une épicerie. Tu as pris le temps d’aller t’entraîner ensuite au gym et prendre l’air dans ta journée de congé, jusqu’à ce soir. Vicky vient dormir chez toi et tu es allé vous louer des films et pour souper, les ingrédients pour faire des pâtes carbonara. Tu es impatient de la retrouver ta belle, même si vous n’avez pas mis de mots sur votre relation, au fond de toi, tu as des sentiments qui se sont développés pour elle, tu t’attaches et le cœur qui bat très vite à l’intérieur de toi est un signe que tu ne reconnais pas ou bien que tu ne te rend pas encore compte...

Ta voiture garée devant le musée, tu attends la belle brune. Ton café entre les mains et un thé vert pour Vicky, qui l’attend sagement entre les deux sièges avec quelques petites boules de beignet au sucre que tu as pris pour elle. Tu as ce petit sourire aux lèvres en regardant dehors, tu patientes et les minutes semblent interminables, tu as hâte de la voir, Vicky... De voir son magnifique sourire et ses beaux yeux verts, elle te manque, même si ça fait que, deux jours que vous, vous n'êtes pas vu. La portière s’ouvre alors en te faisant sursauter et tu détournes les yeux sur la jolie guide qui entre dans le Tacoma. Tout de suite, elle s’empresse de venir tout contre toi pour t’embrasser, te voler tes lèvres et tu poses ta main sur sa nuque pour cueillir ses lèvres que tu savoures. « - Salut... Tu as passé une bonne journée ? » Tu lui souris tendrement en la prenant dans tes bras, ta main qui caresse ses cheveux, son dos. - Salut... souffles-tu doucement. - Oui, plutôt tranquille avec Kratos au parc et une partie au gym pour ensuite aller faire l’épicerie. Toi ta journée ? lui demandes-tu en lui volant à nouveau ses lèvres pour l’embrasser affectueusement. - Tu m’as manqué, tu ris doucement par ton aveu avant de démarrer le pick-up. - Prête pour manger devant un film d’horreur ? J’ai acheté tout ce qu’il faut pour faire des pâtes carbonara et du gâteau au chocolat moelleux. Tu sais que Vicky n’aime pas les films d’horreur, mais en réalité tu n’as pas loué de film d’horreur, mais un action tout simplement et une comédie pour rire et un autre fantastique.

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La demoiselle ne se fait pas prier pour quitter le boulot et sortir sur le parking, chercher le tacoma d'Adrian, qu'elle commence à bien connaître. Elle ne tarde pas à l’apercevoir d'ailleurs comme l'homme se révèle être ponctuel, attendant de toute évidence que la brunette termine le boulot. Alors elle rejoint rapidement le véhicule et ouvre la portière côté passager afin de s’engouffrer à l'intérieur. La demoiselle le salut, venant contre lui pour voler ses lèvres. C'est naturel entre eux, spontané. Alors qu'ils ne sont pas en couple. Qu'ils ne l'ont pas dit tout du moins. Parce qu'ils agissent déjà comme tel ensemble, sans vraiment s'en rendre compte. Ils ont des habitudes qui n'appartiennent qu'à eux, des manières de se comporter uniquement avec l'autre, qui en dit long sur le lien qui les unit tout les deux, sur ce qu'ils partagent.

«- Et pourtant j'imagine qu'on aura pas mis un pied dedans que ton chien sera déjà tout foufou...» commente la demoiselle.

Parce que la brune connaît Kratos, à présent. Plus que par le biais de quelques aboiements à l'autre bout du fil. Elle a déjà vu la boule d'énergie qu'il est et sait d'avance qu'ils vont devoir lui offrir encore au moins deux promenades dans la soirée pour que l'animal puisse tant dégourdir ses pattes que faire ses besoins. Prendre un peu l'air. Kratos demande de l'attention et du temps, comme tout chien finalement. Et la demoiselle sait donc déjà que malgré la balade qu'il a eut avec son maître, il ne les laissera pas tranquille ce soir. D'autant plus qu'il adore les embêter. La jeune femme l'en accuse.

«- C'était un peu long... mais ça allait.» répond la brune avant de répondre au baiser qu'il lui offre. Un sourire étire ses lèvres. «Ah oui ?»

Il démarre le pick-up en évoquant le programme de la soirée et évoque un film d'horreur. La demoiselle lève un sourcil en tournant vers lui une moue interrogative. Un film d'horreur, ce n'est vraiment pas ce qu'elle préfère. A moins que le but ne soit de la voir passer toute la soirée la tête contre le torse de l'homme pour ne pas voir les images, la couette repliée sur elle et les mains sur ses oreilles pour ne pas entendre qui que ce soit gueuler comme ils le font si bien dans ce genre de film.

«- Les pâtes et le gâteau je dis oui !» assure la brune. «Mais le film d'horreur... t'es sûr ?»

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C’est vrai que Kratos demande beaucoup d’attention, c’est encore un chiot et il a besoin de se dépenser. Cependant, après sa balade du soir qui est avant le souper, il est plus calme et même s’il veut jouer et faire le fou. - Oui, il t’adore ce p’tit fou, ajoutes-tu en riant doucement. Kratos est comme l’enfant que tu n’as jamais eu, ton fils bien poilu. Il est celui qui comble ta vie lorsque tu es seul, tu l’adores. C’est une petite boule d’énergie qui a besoin d’affection et d’attention c’est vrai...

- Maintenant relaxe, tu peux boire ton thé tranquille prononces-tu en lui montrant la tasse de thé que tu lui as rapporté. Tu cueilles le baiser qu’elle te remet, tes lèvres chaudes embrassant les siennes. Tu souris en caressant sa joue de ton pouce avec cette affection que tu as pour elle. Si vous n’êtes pas un couple, alors ceux qui vous observe de près, ils n’hésiteront pas à dire le contraire. Ces petites attentions un envers l’autre, vos regard accrocheur et complice, tout fait en sorte que vous agissez comme un couple sans vous en rendre compte, cela vient si naturellement que vous n’avez pas pris le temps de placer un mot sur votre relation à tous les deux... Mais une chose qui est certaine est que tu apprécie beaucoup la compagnie de Vicky et depuis votre weekend à Berlin, c’est encore plus troublant cette chimie entre vous. -Oui, je te gâte ce soir, prononce tu en souriant. Tu démarres le pick-up et fait mine de rien sachant qu’elle t’observe maintenant avec un regard remplit de question, tu t’engages sur l’autoroute avant rire doucement à ses paroles. - Des pâtes, du gâteau, ça se mange avec un film d’horreur non ? tu pinces les lèvres en tournant sur une petite rue et la laisses mijoter un petit instant, puis au bout d’une minute, ta main se pose sur sa cuisse que tu caresses doucement en détournant les yeux un bref instant pour lui jeter un regard rieur, - J’aime bien l’expression sur ton visage... Tu ris en te moquant gentiment de ta douce.

Puis, pour couronner le tout à ses frayeurs, voilà que le ciel commence à s’assombrir et gronder. Quelques gouttes de pluie tombent dans la vitre de ton Tacoma, tes yeux observent les nuages noirs qui commencent à parsemer le ciel - j’ai loué un film d’action et un film fantastique. Prononces-tu finalement pour la rassurer en te garant chez toi une fois arriver dans le stationnement de ta cour. Tu aimes la taquiner, tu sais qu’elle aurait eu du mal avec un film d’horreur et probablement assez pour lui couper la faim. - Nous sommes arrivés, mademoiselle Shonen. Devant vous, voilà ta maison. Vous voilà enfin arriver à destination ! Tu es content que Vicky soit là ce soir, tu avais hâte de la voir et de passer la soirée avec elle tranquille, profiter de vous deux et d’un moment tranquille et amusant sans penser au reste du monde. -Après vous princesse, prononce tu en souriant et lui faisant signe de rentrer dans ta demeure lorsque vous êtes enfin sur le perron.

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@Victoria Shonen

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La jeune femme rit comme l'homme prétend que Kratos adore la demoiselle. Elle n'en est pas si sûre pour sa part, toute autre fille à sa place subirait le même traitement de la part du toutou. Ce n'est pas la brunette qui plaît tant à l'animal probablement mais le simple fait d'avoir une compagne de jeu supplémentaire, de même qu'une paire de mains pour recevoir des caresses. Il déborde surtout d'une énergie qu'il a besoin de dépenser sans cesse, quoiqu'il se calme quand vient le soir, mais cette énergie serait sans doute la même, peu importe le ou la visiteuse que recevrait Adrian. Elle n'en dit rien, pourtant, et se contente d'un sourire, en réceptionnant le thé que l'homme a prit le soin de lui acheter en venant.

«- Merci !»

Un baiser. Naturel, spontané. La caresse des doigts de l'homme sur sa joue. Un comportement équivoque, aux yeux de beaucoup. Mais sur lequel ils ne mettent pas de mots, comme s'ils avaient peu que qualifier ce qu'ils vivent pouvait tout détruire. Alors ils ne se posent pas de question, évitent le sérieux d'une discussion, se contentant de vivre le moment présent, de profiter de leurs moments à deux, comme cette soirée, où l'homme assure qu'il la gâte, en démarrant le pick-up. C'est un fait. Mais la brune, son gobelet de thé en main, ne semble pas très rassurée, comme l'homme a mentionné un film d'horreur au programme, qui n'est pas pour la ravir. Et il se moque un peu d'elle, aussi, la taquinant au passage si bien que Victoria le gratifie d'un petit air boudeur avant de tourner la tête.

«- Mais ça se mange aussi devant un péplum, monsieur !»

Parce que le sang qui gicle, les gladiateurs qui s'opposent, les empereurs que l'on tue au milieu du Colisée et les héros qui tombent d'une flèche dans le talon, ça ne lui fait pas peur. Pas plus que les soldats noyés sous une pluie de flèche, pour obéir aux lois de leur mère Patrie. La violence des batailles, ça ne lui fait pas peur. Mais les hurlements des films d'horreur, ça elle ne supporte pas. Pas plus qu'elle ne supporte les passages d'Hary Potter, du seigneur des anneaux ou du Hobbit, dans lesquels apparaissent de gigantesques araignées.

«- Ben tu le verra pas beaucoup si tu me fais regarder ça !» annonce la brune.

Mais il le sentira contre son buste, ce petit visage inquiet, perturbé par les scènes trop gores. Elle ne hurle pas non plus dès le premier moment flippant. Mais si le film va loin, la brune ne répond alors plus de rien. Mais il finit par la rassurer et sa belle lui tire la langue alors pour montrer son mécontentement avant de lui emboîter le pas pour pénétrer finalement dans la maison, où Kratos ne tarde pas à leur sauter dessus en remuant la queue et leur faisant des fêtes.

«- Ah bah, le petit monstre, comme je l'avais dit !»

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La belle brune ne semble pas rassurée par ton film d’horreur et surtout lorsque tu lui dis que c’est bien de manger devant ce genre de film. La belle qui tient son gobelet de thé, elle te dit que c’est aussi bon de manger devant un péplum. Tu la taquines, tu fais exprès parce que tu sais qu’elle déteste ce genre de films et puis le petit air boudeur qui s’affiche sur son doux visage est craquant. Petite princesse, t’adores les femmes avec du caractère, tu ne peux pas expliquer, mais ça te fait un effet que... tu n’expliques pas, tu aimes lorsqu’elles sont douces et délicates, mais tout à coup lorsqu’elle sorte les griffes, ça te fait frissonner. - P’tit chat effarouché... laisses-tu échapper doucement en la gratifiant d’un sourire taquin.

«- Ben tu le verra pas beaucoup si tu me fais regarder ça !» te répond-t-elle alors que tu lui dis aimer son expression. Tu la rassures finalement en arrivant chez vous que tu n’as pas loué de film d’horreur et elle te tire la langue mécontente, mais toi tu ris et l’invites à te suivre. Vous pénétrez dans la maison après que tu es pris les sacs sur le siège arrière. Déverrouillant la porte, vous entrez et ne tardez pas à entendre Kratos débouler les escaliers du deuxième étage pour vous rejoindre comme une furie. Il est tout heureux ton petit gars, sa queue qui va dans tout les sent, il saute sur vos jambes pour réclamer quelques caresses et tu poses ton sac pour le flatter en te penchant -coucou, mon grand ! Oh bien oui, tu es content de voir papa et Vicky hein ? Oui... Tu le grattouilles sur le ventre et tu ris alors qu’il essaie de manger ta barbe. - Calme-toi maintenant, tu vas déchirer les vêtements de Vicky, souffles-tu en essayant de le dégager parce qu’il saute sur ta douce avec ses griffes. - Il t’aime, j’existe presque plus lorsque tu es là. Tu ris doucement en lui offrant ta main après que vous avez enlevé vos chaussures, tu l’emmener avec toi dans le salon, puis avant qu’elle ne se dirige autre part, tu l’attrapes par la taille et tu te laisses tomber sur le long divan avec Vicky dans tes bras. -Qu’est-ce que j’pourrais bien faire pour te redonner le sourire, mademoiselle Shonen ? La belle se retrouve allongée par m’égare sur toi, sur ton torse et tu captures ses lèvres pour l’embrasser. Tes mains glissant sur ses fesses, tu les remontes vers ses hanches, sa taille jusqu’à ses côtes pour la caresser... Mais tu es joueur, tu ne t’arrêtes pas là, prêt à la faire rire de force, tu effleures tes doigts sur ses côtes avant de la chatouiller... Kratos, il vient s’asseoir près de vous et vous observes curieux par la situation.

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@Victoria Shonen

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Il se moque, face à l'air boudeur de sa belle, la comparant à un petit chat qui serait effarouché, contrarié. La perspective de voir un film d'horreur ne la ravie pas, tout simplement. Même si passer une soirée avec lui sera agréable, elle n'en doute pas, elle aurait préféré voir le film, que de passer la soirée le nez contre son buste à ne rien regarder parce que le film ne sera pas à son goût. La demoiselle se connaît et sait comme elle peut être bien sensible face aux scènes les plus angoissantes et sinistres du cinéma. Mais tout n'est qu'un mensonge de la part de l'homme pour taquiner sa belle et elle le découvre soudainement, comme ce dernier se vante de lui avoir menti, ayant au contraire loué un film fantastique et une comédie. Alors elle lui tire la langue, la brune, en le boudant plus encore, par jeux, avant de lui emboîter le pas pour rejoindre la maison.

Le chien de son hôte leur saute dessus immédiatement en jappant et remuant la queue joyeusement, s'attirant ainsi un comparaison avec un monstre de la part de la visiteuse, avant que le maître ne tente d'éloigner la bête des vêtements portés par la jeune femme, alors que l'animal a sorti les griffes tout en sautant sur les jambes de la belle, risquant ainsi de déchirer le pantalon qu'elle porte.

«- Mais non, il t'aime ce chien...» assure la demoiselle avant de poursuivre, taquine. «Il sait qu'elle main lui donne ses croquettes !»

Elle le taquine naturellement, en supposant que l'amour de Kratos pour son maître soit seulement intéressé, alors qu'elle n'en pense pas un mot en réalité, ne doutant pas de l'amour de l'animal pour son maître. Leur complicité semble évidente et quiconque les observe se doute bien qu'il y a un lien fort entre le chien et le barman. Elle ne croit pas un mot de l'homme alors, quand il suppose que son chien pourrait aimer la demoiselle plus qu'il ne l'aime lui.

Ils tombent ensemble dans le canapé alors que l'homme l'attire contre lui, passant sa main sur ses fesses puis ses hanches, avant de chatouiller la demoiselle, faisant naître le rire de cette dernière qui tente de se débattre en même temps, sous le regard de Kratos qui les observe faire, curieux. La brune tape des pieds, bouge les mains en essayant de déplacer les mains de l'homme pour le faire arrêter, sans y parvenir, alors que la voix de la demoiselle se fait presque suppliante au fur et à mesure.

«- Pitié pitiééééééééééé j'ai rien fait pour mériter ça !» assure-t-elle.

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« - Mais non, il t’aime ce chien... » Tu souris, tu sais bien que Kratos t’aime, mais lorsqu’il y a de la visite, ton chien est tout excité et en particulier avec Vicky. Tu n’es pas réellement jaloux, au contraire, cela te fait plaisir. « Il sait quelle main lui donne ses croquettes ! » Tu hausses les sourcils en l’observant - t’insinues que je suis le distributeur de croquette à Kratos ? Tu fais une petite moue en regardant ton chien, tu fais semblant d’être triste. Tu sais bien que ton chien t’aime et que Vicky te taquine. Tu es un papa pour Kratos, tu fais tout pour lui, tu sais bien que vous êtes fait un pour l’autre. On dit que le chien est le meilleur ami de l’homme et c’est vrai, tu es un maître très attentionné et tu crois que Kratos est reconnaissant.

L’instant d’après, tu attires ta douce dans le salon. L’air de rien, tu lui demandes ce que tu pourrais bien faire pour la faire sourire et tu as cette idée de te laisser tomber sur le divan avec elle. Tes mains agrippent sa taille et tu te laisses tomber avec ta belle dans tes bras en riant doucement. Allongée sur toi, tu l’embrasses et laisses tes mains glisser sur ses fesses. Tu les remontes dans son dos et sur ses côtes pour finalement la chatouiller. La belle se met à rire en se débattant, toi tu ris et continues son supplice et puis elle tape du pied et tente de dégager tes mains, rien à faire, tu es plus fort et la maintient contre toi.

« - Pitié pitiééééééééééé j’ai rien fait pour mériter ça ! » Tu pouffes de rire et vous tombez au sol, tous les deux sur le côté avant de te retrouver sur au-dessus d’elle, tes yeux cherchant les siens, tu captes son attention, - Puis toi, tu m’aimes pourquoi ?... Tu échappes ses paroles avec un souffle, tu t’en rends compte... Alors que tu réalises le sérieux de tes paroles, tu viens le camoufler avec d’autres - Pour ma cuisine ? Pour mes chatouilles ? Tu ris en passant ton pouce sur ses lèvres que tu caresses doucement. Tes yeux rieurs, tu te fais charmeur et tu te penches pour voler ses lèvres. Tu l’embrasses délicieusement... Ça t’échappe, t’as peut-être peur de sa réponse, peut-être que tu as peur de savoir qu’entre vous c’est que pour le sexe. Tes lèvres capturant les siennes, tu l’empêches de répondre, ta langue venant trouver la sienne pour l’effleurer avec tendresse, tu te mentirais à toi même si tu disais qu’il n’y avait pas plus qu’une attirance physique... Tu sais au fond de toi qu’il y a quelque chose de plus fort, mais vous n’avez pas encore posé le mot dessus. - On va faire le souper ? Prononces-tu doucement en pinçant les lèvres et l’observant dans les yeux. Tu te redresses à genoux, ta main qui se tend vers elle pour l’aider à se relever.

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«- Quoi, c'est pas ce que tu es ?» demande la belle innocente en gratifiant l'homme d'un large sourire.

Elle le taquine évidemment, tout en sachant fort bien qu'elle risque d'avoir à le lui payer au cours de la soirée. Et il ne se fait pas attendre pour les représailles, alors qu'il la fait tomber avec lui sur le canapé pour la chatouiller. Elle demande grâce, la jolie brune, pour qu'il cesse ses chatouilles comme elle a rapidement mal aux côtes. Il pouffe de rire et ils tombent du canapé, avant qu'il ne vienne la surplomber, croiser le regard de la demoiselle. Avant de poser une question à laquelle la jeune femme ne s'attendait pas, comme il demande pourquoi la belle l'aime. Aimer. Le mot est dit. L'aime-t-elle, Victoria ? Il la questionne, énumérant la cuisine et les chatouilles, avant de venir l'embrasser, l'empêchant ainsi de répondre.

Son cœur bat la chamade, alors qu'elle ne sait pas, la jolie brune. Elle ne sait pas exactement ce qu'elle ressent pour lui, ce qu'ils vivent, tout les deux. Ça semble pourtant si évident, quand on les regarde. Mais eux, ils ne comprennent pas, ne mettent pas de mots sur ce qui se passe. Pourtant, lui le fait. Il a posé les choses, sans leur laisser le temps de germer. Pas aujourd'hui. Pas ce soir. Pourtant la chose comment à cheminer dans leurs esprits. Tout devient plus clair peu à peu, plus limpide. Forcément.

L'homme propose de préparer le souper et elle acquiesce d'un mouvement de tête en se levant pour le suivre à la cuisine, où ils commencent à sortir tout ce dont ils ont besoin, la belle le laissant farfouiller dans ses placards, alors qu'elle n'ose pas encore toucher. Ce n'est pas chez elle après tout, il serait probablement mal vu qu'elle se mette à fouiner. Alors l'homme sort les ingrédients du réfrigérateur et la belle se contente de préparer deux verres alors qu'elle a soif. Il lui donne les glaçons, pour rafraîchir un peu la boisson et la jeune femme en met deux par verres, avant d'aviser l'homme qui lui tourne le dos. Un sourire s'éclaire sur le visage de la demoiselle, alors que l'homme l'a torturé quelques minutes plus tôt et elle glisse innocemment un glaçon dans le haut porté par l'homme, le regardant réagir au contact du froid, alors, en riant.

«- Magnifiques pas de danse !» assure la belle comme il gesticule.

La brunette s'empresse de ranger les glaçons dans le congélateur pour limiter les représailles, avant d'ouvrir le robinet d'eau pour laver ses mains. Une cuillère dans le lavabo trahi la belle et le liquide au contact de la surface gicle partout, avant qu'elle ne referme le robinet. Il y a de l'eau tout autour de l'évier et sur le t-shirt de la belle, qui attrape un torchon pour éponger le bazar qu'elle vient de faire. Avant de voir l'homme rire, d'elle, en fixant son pantalon. La jeune femme ne comprend pas, baisse le regard. Aperçoit cette trace suspecte que l'eau a provoqué. Vicky grogne, de l'hilarité de son partenaire et elle lui donne un coup de torchon, en adoptant un petit air renfrogné.

«- Interdit de se moquer !!!!» lance la demoiselle en boudant. «Sinon je ne t'aide pas !»

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Le mot sort tout seul, tu fais référence à ce qu’elle t’a dit pour toi et Kratos il y a un moment, mais tu réalises que dans votre situation, ces mots sont plus sérieux. Est-ce que Victoria t’aime ? Toi, est-ce que tu l’aimes ? Tes yeux clairs l’observent avant de venir l’embrasser pour l’empêcher de répondre... Tu chasses ce que vous ne comprenez pas encore, mais ces mots vous réveilleront peut-être peu à peu maintenant, lorsque vos esprits vagabonderont dans vos pensées une fois tranquilles. Ton cœur qui bat la chamade, tu ne sais pas si c’est à cause de votre petit moment de délire ou à cause de vous deux...

Tu te redresses sur tes genoux et lui tends la main en lui proposant de venir faire le souper avec toi. La belle acquiesce et vous vous retrouvez dans la cuisine pour préparer le tout. Tu sors les pâtes, les épices du placard pour ensuite te pencher vers le réfrigérateur et sortir ce dont tu as besoin pour faire tes pâtes carbonara. Vicky qui sort deux verres pour vous servir à boire, tu l’aides en lui donnant les glaçons pour rafraîchir vos verres, tu ne te doutes aucunement de la suite qui risque de te faire redresser les poils. Tournant le dos à la jeune femme, tu prends un couteau pour ouvrir le paquet de bacon quand tout à coup, tu ressens le froid tortueux d’un glaçon qui se glisse dans ton haut. -Ooooh.... Souffles-tu en cambrant le dos avant de gesticuler pour le faire sortir de là.

« - Magnifiques pas de danse ! » prononce-t-elle amusé par son coup diabolique. -Toi espèce de p’tit... diable ! Tu clignes des yeux en réussissant à le faire sortir de là, soulager, tu le regardes éclater sur la céramique. Dans ta tête, ton cerveau cri vengeance, mais la brune s’empresse de serrer les glaçons avant que tu te jettes sur le paquet et lui mette une poignée de glaçons dans son haut à elle. Tu pinces les lèvres -attend un peu, j’me vengerai. Ajoutes-tu avec un air sérieux, mais amusé, parce que tu cherches déjà comment tu vas faire. Toutefois, le robinet le fait à ta place lorsque Vicky décide de se laver les mains. Dans toute sa splendeur, Vicky se fait trahir par une cuillère que tu as laissé trainer dans le lavabo ce matin. L’eau gicle partout autour du lavabo et sur les vêtements de Vicky, la voilà trempée la belle, puis toi, tu pinces les lèvres en la regardant. Tu te retiens de rire, mais c’est plus fort que toi en voyant son expression sur son visage, elle est perturbée. Vicky attrape un torchon pour éponger ses vêtements, mais tu pouffes de rire en voyant cette trace suspecte qu’a provoquée l’eau sur son pantalon. -Oh, tu avais une petite envie ? Elle grogne la belle, te donne un coup de torchon en faisant la moue.

« – Interdit de se moquer !!!! » prononce-t-elle boudeuse alors que tu éclates de rire. Tu n’aides pas son cas, mais tu es pris d’un fou rire en te rapprochant d’elle - on peut manger du boudin ce soir si tu ve.... Malheureusement pour toi, tu n’as pas le temps de finir ta phrase, ton pied glisse sur une flaque d’eau sur la céramique qu’a provoqué le petit accident de Vicky et tu tombes maladroitement sur ta douce... Enfin... ta main qui s’agrippe sans penser à ton haut et le déchire dans un même temps alors que tu t’écrases au sol avec les lambeaux de son haut entre les mains. Tu clignes des yeux, secoues la tête pour reprendre tes esprits à cause de ta chute et sous le cri de surprise de ta compagne. Tu lèves les yeux sur elle, puis voyant le spectacle qui s’offre à tes yeux, tu ne peux que rire à cette ravissante vengeance finalement... La belle se retrouvant avec son haut déchirée pour te dévoiler son magnifique soutien-gorge qui met ses formes en valeur. - Très jolie... prononces-tu rieurs sans réalisé que tu viens de bousillé son vêtement... Toi qui empêchais kratos tout à l’heure, finalement, le maître est plus maladroit.

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@Victoria Shonen

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Ils s'aiment, tout les deux. Tout en étant trop aveugle pour le voir, trop aveugles pour le comprendre. Alors ils fuient la discussion, en un baiser, en une proposition de passer en cuisine, pour éviter d'avoir à parler de tout ça, pour éviter d'avoir à se poser trop de questions. La jeune femme lui emboîte le pas, en chassant les pensées qui l'assaillent et elle entre dans la cuisine où l'homme commence déjà à sortir tout ce dont ils ont besoin pour la préparation de ces pâtes carbonara et la jeune femme leur prépare deux verres. Comme il lui donne les glaçons, elle en glisse dans les verres, avant de considérer que l'homme qui lui tient compagnie dans cet espace de travail est un verre lui aussi, si bien qu'elle glisse un glaçon dans son haut, en riant un peu de sa farce, que l'homme pour sa part n'apprécie pas à sa juste valeur, traitant la demoiselle de petit diable en assurant qu'il se vengera comme elle range les glaçons. Pourtant, elle le trouvait presque gracieux, elle lui a peut-être trouvé une vocation et l'homme pourrait lui en être un peu plus reconnaissant.

«- Attend, grâce à moi tu peux aller candidater à l'opéra d'état d'Hambourg, pour devenir petit rat !» annonce la belle en riant.

Mais elle est rapidement punie par l'évier de l'homme et la cuillère qu'il a laissé traîner dans celui-ci ce matin. De l'eau se répand un peu partout et principalement sur les vêtements de la demoiselle, notamment au niveau de son pantalon si bien que l'homme rit, se moque, recevant un coup de torchon de la part de sa belle comme il a osé se moquer en demandant si elle a eut une soudaine envie un peu trop pressante. Elle lui tire la langue avec une moue boudeuse, en assurant que si c'est comme ça, elle ne l'aidera pas.

«- J'ai dis pas de moqueries !»

Il se moque encore en disant qu'ils peuvent manger du boudin, faisant référence à la tête que tire la demoiselle, mais un juste retour des choses fait qu'il glisse sur l'eau qui s'est répandue dans la cuisine tandis qu'il approche de la jeune femme. Il se retient au haut de cette dernière tandis qu'il tombe, entraînant la belle dans sa chute, en même temps qu'un crac sinistre annonce la fin du pauvre t-shirt. La demoiselle pousse un cri, sous l'effet de la surprise dans un même temps et l'homme, en constatant les dégâts, porte le regard sur les sous-vêtements de la jeune femme en se permettant un commentaire sur ces derniers, tout sourire, tout fier de lui. Elle explose de rire en même temps. Heureusement, elle ne tenait pas vraiment au vêtement en question, si bien qu'elle se redresse rapidement.

«- Je reviens, laisse moi cinq minutes !» demande la demoiselle avant de s'arrêter. «Ah non, si je met ma tenue prévue pour demain, j'ai rien pour aller bosser. Tu peux me prêter une chemise, un truc ? Même si ça risque de me faire une robe quoi...»

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Never give up

When the sadness leaves you broken in your bed, I will hold you in the depths of your despair. I wanna testify, scream in the holy light, you bring me back to life and it’s all in the name of love, in the name of love, in the name of love...

But i can't help, falling in love with you

Vous vous venger un sur le l’autre, le hasard décidant de vous jouer des mauvais tours à tout les deux en fin de compte. Si elle t’a mis un glaçon dans ton chandail pour te faire danser, alors la cuillère dans le levier lui a rendu la monnaie de sa pièce en l’arrosant. Le spectacle t’a fait naître un rire dans ta barbe, mais en voyant la tâche suspecte sur son pantalon, tu n’as pas pu t’empêcher de lui faire un commentaire en pouffant de rire, ça, même si tu mérites un coup de torchon avant de lui demander si elle a eu une petite envie pressante. Tu t’es rapproché de ta belle, mais le destin te joue un sale tour à toi aussi. Tes pieds glissent dans une flaque d’eau sur le sol et tu tombes en entraînant Vicky avec toi. Toutefois, tu t’es retenu par son haut pour te retenir... Un son de déchirement, des lambeaux de tissu dans ta main, tu as levé les yeux sur elle pour remarquer les dégâts. Devant tes yeux, la jeune femme se retrouve en soutien-gorge, la vue qui fait apparaître un large sourire sur ton visage, tu ne peux t’empêcher, tout fier, de la complimenter. La jeune femme explose de rire et se relève vivement du sol pour annoncer qu’elle revient, mais, elle s’arrête en comprenant quelque chose, « Ah non, si je mets ma tenue prévue pour demain, j’ai rien pour aller bosser. Tu peux me prêter une chemise, un truc ? Même si ça risque de me faire une robe quoi... » Tu te relèves à ton tour - oui, j’ai sans aucun doute quelque chose à te prêter. Tu l’invites à te suivre dans ta chambre à l’étage.

Lorsque tu t’approches de ton garde-robe, tu lui sors une chemise et un chandail pour lui tendre. - Tu vas sans doute flotter dedans, mais ça devrait faire l’affaire une des deux. Tu ris doucement en la détaillant du regard et la couvrant de tes yeux brasier, - je m’excuse pour ton haut, je t’en payerai un autre. Prononces-tu sincère. Tu lui mets les deux vêtements entre les mains et sourit de plus belle, -j’te laisse t’habiller, je vais aller commencer nos pâtes en bas, sur ces mots, tu lui voles un baiser d’un geste naturel et sourit doucement avant de disparaitre. En bas, tu fais bouillir l’eau et commences ta crème pour en faire une sauce. Ton bacon cuit et tu attends en sortant du vin comme apéro, après avoir bu ton autre verre. Tu n’entends pas ta belle brune apparaître dans la cuisine, légère et silencieuse comme un fantôme, tu ne te doutes pas de son approche. Tu siffles une chanson, concentrer à mettre le bacon dans un bol et retirer le gras. Tu t’attaques à ta sauce, déglaçant la poêle avec du vin blanc...

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@Victoria Shonen

La chemise

But i can't help, falling in love with you

Deux enfants qui s'amusent, voilà ce qu'ils pourraient semble être aux yeux de certains, alors qu'ils enchaînent les bêtises et les maladresses, l'un et l'autre. Si le glaçon dans le dos d'Adrian relève de la taquinerie, la traîtrise du robinet et de la flaque d'eau, entraînant le saccage du haut porté par la jolie guide sont pour leur part plus liées à un manque de bol qu'autre chose, en soit. Ou au fait qu'ils ne soient pas très dégourdis l'un et l'autre ce soir, trop occupés à se dévorer des yeux pour faire réellement attention à ce qu'ils font. Adrian ne se prive pas pour mater la belle brune qui rit, alors que celle-ci apparaît en sous-vêtement, du fait de son vêtement déchirés. Une vision qu'il ne gardera pas longtemps comme la brune pense déjà à aller enfiler autre chose avant de se stopper net. Parce qu'elle n'a prévu que ses vêtements pour le lendemain et rien en guise de vêtement de secours. Alors elle demande à l'homme de la dépanner. Il lui doit bien ça, après tout, comme il est responsable du fait qu'elle n'ait plus rien à se mettre sur le dos.

Gagnant l'étage et la chambre de l'homme, ce dernier lui donne rapidement une chemise et un chandail afin qu'elle puisse les essayer, en précisant qu’elle devrait nager dedans. Peu importe cela devrait parfaitement faire l'affaire alors que la demoiselle veut seulement quelque chose pour se couvrir, dans la mesure où ce sera toujours plus sécuritaire, si elle doit cuisiner. Pour l'allure qu'elle aura avec ça sur le dos, tant pis. La belle n'est pas à un défilé de mode et elle s'en contentera. Le laissant descendre non sans avoir répondu à son baiser, la jeune femme essaye le chandail, puis la chemise, avant d'opter pour celle-ci. Mais elle nage en effet dedans. Alors elle remonte les manche au-dessus des coudes, et farfouille dans l'armoire de l'homme pour trouver une ceinture, qu'elle vient ainsi placer sur sa taille. En vain, celle-ci est bien trop large. Alors la brune farfouille encore, jusqu'à trouver une ceinture toute simple, plus courte que les autres. Une d'Anastasia, que cette dernière a probablement oublié chez son frère, ce dont Victoria ne se doute pas. Enfilant l'objet autour de sa taille histoire de ressemble tout de même à quelque chose, elle redescend enfin à la cuisine où l'homme chantonne tout en préparant la sauce carbonara qui ira dans les pâtes. Un petit visage se pointe à ses côtés, l'air de rien, pour jeter un regard dans la poêle où le bacon est en train de cuire.

«- Et voilà que ça chantonne comme une ménagère...» taquine la demoiselle avant de se hisser sur la pointe des pieds pour déposer un baiser sur sa joue. «T'as épongé le sol ou on risque encore une catastrophe ?»

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Vous vous taquinez comme deux adolescents, vous faites vos petits fous sans vous soucier du reste. Alors que tu montes à l’étage avec Vicky pour lui donner un morceau de linge, tu souris en te dirigeant vers le garde-robe. Tu lui sors une chemise et un chandail, tu lui assures qu’elle va probablement flotter dedans. Tu es sorti de la chambre pour la laisser se changer et préparer votre souper avant que l’heure avance trop. Dans la cuisine, tu te mets la main à la pâte. Tu fais cuire le bacon, les pâtes, tu fais la sauce en sifflant un peu quand tu sens la présence de la jeune femme se rapprocher de toi. Son visage angélique qui se pointe le bout du nez pour faire la curieuse en te disant taquineuse :

« - Et voilà que ça chantonne comme une ménagère... » Tu hausses les sourcils en riant, - Une sexy ménagère, je rectifie... Ajoutes-tu en tournant ton visage vers la charmante petite brune aux yeux émeraude. Tu souris lorsqu’elle vient de te donner un baiser sur la joue, - Il n’y a plus de risque, j’ai tout nettoyé pendant que tu te changeais madame Shonen ! Tu lui tires légèrement la langue avant de faire ton regard malicieux. Ton bacon terminé de cuir, tu l’égouttes dans un Scott towel avant de le mettre dans la crème et faire ta sauce qui mijote encore. Tes pâtes qui sont prêtes, tu les égouttes dans la passoire avant de les mélanger dans la sauce carbonara. Lorsque, tu te retournes pour prendre des assiettes, tu as le loisir de pouvoir détailler la jeune femme dans ta chemise. La belle demoiselle en a fait une robe avec une ceinture que tu ne reconnais pas. - Mmh, tu es jolie dans cette chemise. Cette ceinture, tu as trouvé ça en haut dans la chambre ? Cela doit être à ta sœur, sans doute qu’elle l’a oublié avant hier. Tu viens lui voler ses lèvres avant de reculer et de sortir vos assiettes pour les garnir de pâtes aux arômes délicieuses. - Sent moi ça... prononces-tu en lui passant l’assiette sous le nez et l’invitant à te suivre, tu souris, l’observant dans les yeux en l’attirant par le ventre et la faim.

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@Victoria Shonen

La chemise

But i can't help, falling in love with you

Alors que l'homme fait valoir qu'il est une sexy ménagère, la demoiselle laisse échapper un rire. La taquinerie entre eux est drôle, spontanée, naturelle, pour le plus grand plaisir de la jeune femme. Elle imagine un instant Adrian portant une tenue de soubrette et immédiatement elle ne peut pas s'empêcher de rire, sans pouvoir s'arrêter. L'image est bien trop drôle. Pourtant elle finit par se calmer afin de passer aux choses sérieuses, s'inquiétant de savoir si l'eau a été épongée pour sécuriser la zone où s'ils risquent encore de se retrouver sur les fesses. Apparemment, ce dernier a fait le nécessaire pendant que la demoiselle se changeait et le fait qu'il lui tire la langue comme un enfant provoque un léger rire chez la jolie guide de musée qui ne tarde pas à en faire de même, avant de reprendre la parole.

«- On arrête de faire du boudin, monsieur Mayer !» commente la demoiselle

L'homme continu la préparation de sa sauce carbonara tandis que la demoiselle le regarde faire en sirotant son verre, un peu à l'écart pour ne pas le gêner alors qu'il semble concentrer. Un regard glisse sur elle comme l'homme se tourne pour prendre les assiettes qu'il souhaite remplir et il complimente la jeune femme, la trouvant jolie dans sa chemise, avant de demander si elle a trouvé la ceinture dans la chambre.

«- Dans l'armoire oui et je me suis permise de l'emprunter sans quoi je nageais un peu dans ta chemise.» se justifie la jeune femme.

Un baiser volé, qu'elle n'a presque pas vu venir, avant que l'homme n'attrape deux assiettes pour les remplir avant de les passer sous le nez de la jeune Victoria, tout fier de lui comme il lui demande de sentir le plat avant de l'inviter à passer dans la salle à manger. L'odeur est pour le moins alléchante et la jeune femme ne se fait pas prier pour lui emboîter le pas en ramenant leurs verres, s'installant finalement à table au moment où il vient poser une assiette devant elle, qui lui donne déjà l'eau à la bouche.

«- Voyons voir si tu réussis aussi bien les pâtes carbo que la pizza !» annonce la brune en se doutant déjà de la réponse alors qu'elle a déjà eut le privilège de voir l'homme cuisiner pour elle, lors de leur séjour à Berlin.

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Tes yeux se retournent vers ta compagne qui rigole en t’observant, tu as répliqué en arquant un sourcil parce que tu ne sais pas quelle image elle a en tête. « - On arrête de faire du boudin, monsieur Mayer ! » Tu lui tires la langue en l’observant de tes bleus glacial. Tu continues ta préparation de pâte avant que tout colle, même si tu t’aurais permis une petite vengeance sur la belle brune. Lorsque le tout est prêt, tu te retournes pour prendre les assiettes et en même temps, ton regard glisse sur Vicky, tu la complimentes parce que tu la trouves jolie et tu lui demandes où elle a trouvé cette ceinture. « - Dans l’armoire oui et je me suis permise de l’emprunter sans quoi je nageais un peu dans ta chemise. » Tu ne reconnais pas cette ceinture, cela doit être à Ana. - Oh, t’inquiètes en plus ça te va bien, tu souris, un petit clin d’œil au passage avant de venir lui voler un petit baiser rempli de douceur. Tu sers ensuite les plats de pâtes et tu lui passes sous le nez pour lui montrer l’odeur délicieuse, lui donner aussi l’eau à la bouche avant de te diriger vers la table. Vicky ramène vos verres avec elle et les dépose sur la table tandis qu’elle s’installe sur une des chaises. Tu déposes ensuite le plat devant elle, tout fier de toi. - J’espère bien qu’elles te plairont ! Sinon, j’ai un reste de lasagne.... Tu ris, mais au moins, tu as un plan B, même si c’est un peu bizarre d’offrir un restant... Mais tu n’as pas craché dedans. Tu t’assois près d’elle, tu prends ta coupe de vin pour en boire une gorgée et la reposes, - Bon appétit ! Prononces-tu avec ton éternel sourire et prenant ta fourchette pour rouler tes pâtes. Une première bouchée, tu meurs presque tellement que c’est bon. Le goût de la sauce, les pâtes, parmesan, bacon... Un pur délice. Tu tournes les yeux vers la belle près de toi, tes yeux bleus fixant la jeune femme pour voir sa réaction et tu arques un sourcil alors qu’elle ne dit rien.

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@Victoria Shonen

La chemise

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La jeune femme a prit ce qu’elle a trouvé, pour pouvoir porter la chemise prêtée par Adrian, comme si c’était une robe. Parce que sans cela, la demoiselle ne pourrait porter qu’un vêtement informe pour se couvrir après l’accident provoqué par l’homme quand il a glissé, déchirant la chemise de sa jeune visiteuse. Victoria aurait put lui demander la permission avant de se servir dans son armoire pour prendre cette ceinture, mais ça ne semble pas déranger son interlocuteur. La jeune femme esquisse un sourire, comme l’homme trouve que la tenue lui va bien et la complimente alors. Ça lui fait plaisir de l’entendre et ça lui fait plaisir de plaire à l’homme.

«- Merci, c’est gentil.»

La bonne odeur des pâtes envahie toute la cuisine et l’homme ne manque pas de narguer la jeune femme en lui passant une assiette juste sous le nez pour l’appâter. Elle ne manque pas de le suivre alors, en prenant leurs verres, pour rejoindre l’homme au salon et prendre place alors que ce dernier installe les assiettes sur la table. Elle prend place, la demoiselle et elle le remercie comme l’homme pose une assiette juste devant elle avant de dire qu’il espère que ça va lui plaire, proposant un restant de lasagnes si ce n’est pas le cas.

«- T’en fais pas ça m’a l’air très bon.» assure la demoiselle.

Et elle plonge la fourchette dans le plat comme l’homme en fait de même, portant une première bouchée à ses lèvres. Elle apprécie autant que lui et porte une seconde fourchette à ses lèvres sans remarquer, dans un premier temps, le regard interrogatif de l’homme posé sur elle. Et puis elle remarque finalement qu’il semble attendre un commentaire, réalisant alors qu’elle ne l’a pas encore rassuré sur la qualité de son plat.

«- C’est très bon !» assure la demoiselle. «Tu te défends vraiment bien en cuisine, c’est pas souvent pour un homme qui n’est pas cuistot...»

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» Lisett ♔ I can't help falling in love with you
» Lisett ♔ I can't help falling in love with you
» ADRIAN & ANA ☆ Need you bro
» Lisett's wedding ♔ Take my hand, take my whole life too, for I can't help falling in love with you
» Things are kinda falling apart and so I am ♦ ft Hilde

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Adrian ♔ But i can't help, falling in love with you