Trop tard pour dire je t'aime " Leonnie" Flashback

  

 « trop tard pour dire je t'aime (flashback)»  elias & leonnie dietrich

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La famille, il n’y a rien de plus sacré pour Leonnie. Elle est la dernière d’une famille de trois enfants, chouchoutée par ses aînés, elle a toujours été d’une complicité sans faille avec ses deux aînés et elle sera toujours là pour eux. Quoi qu’il arrive et même si elle demeure à des dizaines, à des centaines de kilomètres. Elle pourrait parcourir tout le pays et bien plus si il leur arriverait quelque chose. C’est certain. Les parents ont toujours étés très aimants avec eux et ont voulu leur inculquer les bonnes bases de solidarité. Et bien que Leonnie soit une enfant qui adore la compétition encore plus face à ses grands frères, elle aime les entendre râler quand l’un d’eux perd contre elle, souvent Elias crie à la triche ce qui fait souvent rire la dernière qui ne se gêne jamais pour le narguer en lui tirant la langue. Malgré leur âge, ils sont avancés dans la connerie c’est certain ! Et entre eux ce n’est qu’amusement, taquinerie. Tout le temps. Ca agace parfois la mère de famille qui aurait bien du mal à les contenir, des boules d’énergies des vraies piles électriques ! Comme souvent on est dimanche soir, et Leonnie rentre dans la demeure familiale, joviale et de bonne humeur. Elias ne débarque pas longtemps après elle, il est à son égal et embête sa sœur, c’est bien plus fort que lui, mais Vince est différent. Il sourit quand on force à le regarder mais sans le faire de lui-même. Il est pensif, doucement Leonnie pose sa tête tendrement sur son épaule, il ne râle pas, ne la repousse pas pour la taquiner. Comme d’habitude. Il est perdu dans ses pensées et rien que cela fait jaillir en elle un questionnement, une inquiétude qu’elle cherchera à effacer tout le long de la soirée. Sans y parvenir. « Maman, ça, c'est lorsqu'on dit des choses sales. Comme Fuck ou... Leo est une petite... » Assis autour de la table, ils commencent à manger tous ensemble et la voix de son aîné retentit, la jeune femme lève les yeux au ciel avant de sourire d’un brin ironique avant de compléter la phrase à sa manière, « merveille. Je suis ta petite merveille !! » Elle boude Leonnie, elle se renfrogne sur sa chaise davantage. Elle sait parfaitement que ce n’était pas ça qu’il voulait dire, il avait envie qu’elle fasse encore sa moue boudeuse. Il l’aime voir cette moue sur le visage de sa petite sœur chérie et faisait toujours tout pour l’entendre râler. Le dîner se passe relativement calme même si les piques de l’un et de l’autre continue de plus belle quand Leo se retrouve dans une des chambres de la maison. Les parents sont déjà couchés. Elias rentre dans la chambre voulant venir profité de ce moment pour la taquiner il s’assoit sur le lit à côté de sa sœur. Et commence à la chatouiller là où il sait qu’elle est réceptive, la jeune femme rigole tellement tentant de le repousser. Mais elle finit par se lever, préoccupée parce que Elias n’est pas venu le rejoindre. Alors elle passe une main réconfortante sur l’épaule de son frère qui allume la télé de la chambre pour mâter un DVD le temps que ça sœur ramène le cadet dans la chambre. « Vince qu’elle appelle, descendant trois par trois les marches de l’escalier. Sa voix résonne dans toute la maison, elle est inquiète ça s’entend. Vince finit la plaisanterie ! » Elle jette un coup d’œil rapidement par la fenêtre et y retrouve son bolide garé dehors. Il est encore là, elle en est certaine. Elle se retrouve à présent dans le garage, ayant fait quasiment toute les autres pièces de la maison. Et y découvre une chaise, une corde et son frère au sol, inerte. Elle hurle, sa voix résonne dans toute la maison. « Vince… » Qu’elle répète à nouveau alors qu’elle se jette sur ce corps sans vie, elle ne veut pas l’entendre, elle le touche, le bouscule un peu. Et quand elle voit que ses yeux ne s’ouvrent pas, qu’il ne répond pas, elle le bouscule plus ardemment, poussée par cette adrénaline. Elle a les larmes aux yeux Leonnie.

  

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Elle ne comprenait pas ce qui se passait Leonnie. Qu’est-ce qu’elle avait fais pour mériter ça ?! Qu’est-ce qu’elle lui avait fait au bon dieu pour qu’il vienne lui enlever d’une sorte aussi violente son frère. Trouvait-il que les Dietrich ne méritaient pas d’être heureux ? Car elle le savait aujourd’hui, cette plaie béante ne cicatrisera jamais vraiment. Pas dans sa totalité. Vince ne s’effacera jamais de son esprit. Son regard se posait sur ce corps inerte, sans réfléchir un seul instant, elle avait plongé sur lui, de toute son âme, de tout son entier pour le réveiller. Pour lui dire qu’elle était là, elle. Qu’elle était prête à l’écouter pendant des heures. Qu’elle était prête à lui essuyer chacune de ses larmes qui couleraient de ce visage. Qu’elle était prête à sacrifier tout le monde ou presque pour le sauver lui, de se battre contre la terre entière si il le lui demandait. Mais elle le bouscule, de toutes ses forces. Elle lui parle comme si il pourrait l’entendre. Elle l’appelle par son prénom comme si il lui répondrait à cette supplication. Ses larmes coulent de ses yeux sans qu’elle ne maîtrise rien. Elle avait hurlé si fort, si longtemps que plus aucun son ne sortait de sa bouche parce qu’elle réalisait que c’était trop tard. Ses longues secondes qui s’abat lui semble être une éternité alors que Leonnie ne le lâche pas, elle ne l’abandonnerait pas. Pas elle, alors elle le secoue encore et toujours comme si il finirait par le sentir et se réveiller. Mais la réalité est bien différente et quand l’aîné de la famille, Elias surgit dans le garage, il plonge lui aussi sur eux. Il retient la petite dernière, la prend dans ses bras en la ramenant vers lui tout en s’éloignant un peu de Vince. « Leo... Leo... » Elle hurle, elle cherche à le repousser, elle le rejette. Elle pleure, elle qui ne montre jamais ses sentiments s’effondre littéralement, sans appel. Son corps ne tient plus, et Leo vacille retenue par Elias, qui pose tendrement sa main sur le haut de la tête de sa petite sœur. Il aimerait lui épargner toute cette souffrance, mais Leonnie est trop curieuse, elle aurait fini par le retrouver. Par le voir gisant sur le sol. Inerte. Elle serre les poings, elle aimerait tellement être plus forte. Leonnie récupérait par sa mère qui tente de la calmer Elias s’approche alors de son petit frère « merde Vince...pourquoi... » Il murmure, il vient de vérifier son pouls mais il semble résigné, et même si au plus profond d’elle Leonnie connaît la sentence, elle ne veut pas réaliser alors qu’elle ne le reverra plus jamais. Qu’elle ne lui adressera plus aucun sourire. Qu’il ne viendra plus lui piquer son croissant du matin. « J’aurai dû le sentir… » Entre deux spasmes de sanglots elle murmure. Elle se rejette la faute sur elle, sur le reste de la famille. Parce qu’elle ne comprend pas Leonnie. Il avait tout pour être heureux, ou presque. Mais pour elle, rien ne vaut de mourir de la sorte ! Elle est peut-être trop naïve Leonnie, ce n’est qu’une gamine qui a encore tout à apprendre. Tout à vivre, âgée de vingt-quatre ans, seulement. Elle ne sait rien de la vie, de toutes les misères que la vie lui réservera ! « Elias…  » Elle murmure, elle se calme mais les larmes coulent en continue sans même qu’elle ne s’en rende compte. A peine essuyée d’un revers de main que d’autres les remplacent sur ce visage habituellement souriant et angélique. Aujourd’hui, plus que jamais, elle souffre Leonnie. Silencieusement. Son cœur se referme et elle s’avance affrontant ce corps allongé sur le sol comme si elle cherchait à se faire mal. Elle savait que les secours n’allaient pas tarder, Elias venait de les appeler. Leur père restait distant, en retrait, il ne réalisait probablement pas. Leur mère tentait de la retenir, elle voulait épargner ça à la plus jeune. Mais Leo la mort elle la côtoie tous les jours. Mais de voir que c’est son frère c’est étrange. Et son corps se crispe, elle se pose des centaines de questions. « J’ai besoin de ça… » Elle souffle alors qu’Elias tente de l’éloigner. Il la connaît, il sait qu’elle garde tout pour elle. Qu’elle ne se plaint jamais et que même quand tout s’écroule sous ses pieds elle joue la forte. Parce qu’elle n’a jamais appris à se plaindre Leonnie. Parce qu’une Dietrich ça affronte le calme comme les tempêtes !

« trop tard pour dire je t'aime (flashback)» elias & leonnie dietrich

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« Pourquoi ? » a murmuré ta sœur dans l’ambulance alors que vous arriviez à l’hôpital. Tu ne sais pas, tu ne pourrais expliquer pourquoi votre frère l’a fait. Une personne malheureuse et suicidaire est toujours imprévisible et une personne prête à mourir le fera ou s’arrangera toujours pour le faire... Même si on l’arrête, c’est difficile de savoir s’il va recommencer se tentative. Votre frère n’était pas heureux et puis même si vous avez su, auriez-vous pu vraiment lui faire changer d’avis sur sa vision de voir sa vie ?... Il voulait disparaître de ce monde sans doute trop cruel pour lui et vous ne saviez peut-être pas tout de son vécu. Tu poses une main sur une épaule de ta sœur, calmement, tu lui réponds. - je ne sais pas Leonnie... murmures-tu en soupirant légèrement. Cela est autant difficile pour elle que pour toi, tu souffres en ce moment.

L’ambulance s’arrête et les portes s’ouvrent. Vous devez descendre le corps de Vince et l’emmener avec vous dans l’hôpital. Leonnie débarque à son tour tandis que les trois hommes vont faire leur devoir, tu la laisses seule un petit moment. Lorsque tu arrives, tu as quelques documents à remplir, tu parles avec un agent de police aussi et tout ça avant de revenir auprès de ta sœur qui est restée au frais à l’extérieur. Tu viens tout près d’elle, l’observes attentivement et lui prends la main, peut-elle voir que tu es chamboulée elle aussi ? Tu as peur qu’elle ait une crise d’anxiété ou tu ne sais pas trop quoi, alors tu restes alerte. - Tu veux prendre un café ? On peut parler un peu si tu veux... seulement si tu t’en sens capable. Tu veux être là pour elle, être réconfortant. Elle a beau vouloir se renfermer, c’est ta petite sœur et tu t’inquiètes pour son état d’âme... Tu n’as pas envie que son état de choc s’aggrave. Tu as beau être un grand taquin et comique, sauf que lorsque tu te dois d’être sérieux, tu es sérieux.

  

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La vie est parfois faite d’injustice et Leonnie avait cette vulgaire impression au fond d’elle-même, qui la dérangeait bien davantage. Elle avait toujours été très proche de ses deux frères, à tel point qu’il n’y avait pas un jour, pas une semaine où elle n’allait pas leur rendre visite, ou les appeler. Elle les aimait, et l’un comme l’autre lui rendait la pareille. On ne pouvait pas dire qu’elle puisse être plus proche de l’un ou de l’autre car Elias lui apportait ce grain de folie, cette taquinerie qui avait parfois le don de l’agacer. Auprès de lui, elle ne cessait de rigoler, de se chamailler souvent pour rien. Il la poussait à bout, souvent. Avec Vince, qui était plutôt solitaire, plus réservé, le cadet de la famille ne rentrait dans aucune case il ne voulait même pas en entendre parler. Préférant vivre au jour le jour, mais à contrario c’était sans doute celui qui se faisait le plus de mal des trois, dû au travail intensif de leur père, qu’aucun ne voyait vraiment. Enfin la petite Leonnie avait une approche différente avec Benedikt le père de famille, il était moins froid, moins distant avec elle qu’avec ses deux frères. Moins dur, la traitant comme une princesse. Plus présent sans aucun doute. Elle avait été la prunelle de ses yeux depuis sa naissance et avait changé quand elle était née, c’est certain. La famille était paisible, du moins c’est ce que Leo pensait. Ils n’avaient pas de souci d’argent, tous avaient un travail, les trois enfants sont volontaires, avec une bonne éducation, assez pour ne jamais se soucier d’un mal être qui se nourrit de l’intérieur de soi. Est-ce que Leonnie cherchera à se déculpabiliser de cette mort violente qui s’abat sur la famille Dietrich ? Peut-on après cela arriver à se relever ? Elle en doute, car la violence de ce geste ne laisse que des questions sans aucune réponse. Aucune alternative. Elle appelle Leonnie. Elle appelle son frère et devant le silence, elle crie plus fort. Quelques secondes plus tard il revient alors dans le garage tandis que leurs parents sont partis s’allonger sur le divan du salon le temps qu’on emporte le corps sans vie de Vince Dietrich. « Tu m’as appelé ? » Elle était immobile, devant ce corps, elle serre les points, n’affrontant jamais directement le regard de son frère, trop dur, trop difficile d’affronter cette vérité qui lui fait échos, comme une étreinte qui se resserre doucement sur elle. Elle a l’impression qui lui manque de l’oxygène pour respirer, qui lui manque un bout d’elle. Mais quand bien même elle trouve la solution à ce lourd poids sur ses épaules, pourrait-elle trouver cette paix intérieure à laquelle la famille avait toujours été confrontée depuis la nuit des temps ? Une famille riche, sans histoire. Avocat réputé de Hambourg, mannequin pour d’autres ou encore chef d’entreprise. Leonnie et Elias étaient les premiers à sortir de cette routine. Leonnie restait sagement appuyée contre ce mur dont elle s’aidait pour s’y tenir, le temps que son frère aide ses collègues à faire sortir Vince. Chaque geste minutieux Leonnie les observait. Empreint d’une nostalgie, de milliers de questions. C’était comme si on lui retirait un poignard aiguisé qu’on venait lui avoir planté dans chaque partie de son corps, elle n’en réalisait même pas le mal que ça pourrait lui faire, Leonnie se laissait vivre. Elle ne captait pas tout ce que son métier lui avait appris à capter face à ce genre de situation car habituellement cela ne touchait jamais des gens proches d’elle. Elle semblait être spectatrice et non actrice et ça la perturbait davantage. Elle les suit machinalement jusqu’à l’extérieur du garage, le regard perdu, embrumé par cette tristesse qui ne la quitte plus depuis ses nombreuses minutes, ne cherchant aucun réconfort. Elle avait besoin d’avoir mal pour tenir debout. Aussi, quand elle reste immobile devant le camion d’ambulance où son frère rentre à l’intérieur par habitude, il relève ses yeux une dernière fois vers elle pour lui demander si elle voulait les suivre. « Je.. Je dois ramener Vince à l’hôpital Leo, tu veux venir avec moi ? » Les yeux de Leonnie fixent un instant le corps de Vince et elle ne tarde pas avec ses deux mains à grimper silencieusement à l’arrière du véhicule, auprès de son frère. Se tient face à elle, sur ce lit le corps inerte du cadet de la famille et Leonnie n’ose à peine effleurer le visage pâle de son grand frère sur ce brancard. Les minutes défilent, elles sont longues, pesantes, elle a le cœur en vrac qui hurle, mais si on l’observe, extérieurement aucun signe ne transparaît. Comme si rien de cela n’existait. Comme si elle était vide. Comme si ses conséquences n’existaient pas. Alors qu’elle le sait au plus profond d’elle, ce sera difficile l’avenir, désormais. Il faudra affronter, ou se plonger dans un travail pour oublier. « Pourquoi ? » Elle murmure alors que l’ambulance arrive sur les lieux, et que l’hôpital et ses lumières scintillantes parviennent jusqu’aux yeux de Leonnie quand la porte arrière s’ouvre. Son frère se lève, et Vince est descendu par trois hommes tenant le brancard, alors que Leonnie est la dernière à descendre du camion, elle referme la porte derrière elle, elle n’a pas le temps de se retourner qu’elle voit déjà le brancard à plusieurs mètres d’elle, s’éloigner. Une toute dernière fois.

« trop tard pour dire je t'aime (flashback)» elias & leonnie dietrich

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« Pourquoi ? » a murmuré ta sœur dans l’ambulance alors que vous arriviez à l’hôpital. Tu ne sais pas, tu ne pourrais expliquer pourquoi votre frère l’a fait. Une personne malheureuse et suicidaire est toujours imprévisible et une personne prête à mourir le fera ou s’arrangera toujours pour le faire... Même si on l’arrête, c’est difficile de savoir s’il va recommencer se tentative. Votre frère n’était pas heureux et puis même si vous avez su, auriez-vous pu vraiment lui faire changer d’avis sur sa vision de voir sa vie ?... Il voulait disparaître de ce monde sans doute trop cruel pour lui et vous ne saviez peut-être pas tout de son vécu. Tu poses une main sur une épaule de ta sœur, calmement, tu lui réponds. - je ne sais pas Leonnie... murmures-tu en soupirant légèrement. Cela est autant difficile pour elle que pour toi, tu souffres en ce moment.

L’ambulance s’arrête et les portes s’ouvrent. Vous devez descendre le corps de Vince et l’emmener avec vous dans l’hôpital. Leonnie débarque à son tour tandis que les trois hommes vont faire leur devoir, tu la laisses seule un petit moment. Lorsque tu arrives, tu as quelques documents à remplir, tu parles avec un agent de police aussi et tout ça avant de revenir auprès de ta sœur qui est restée au frais à l’extérieur. Tu viens tout près d’elle, l’observes attentivement et lui prends la main, peut-elle voir que tu es chamboulée elle aussi ? Tu as peur qu’elle ait une crise d’anxiété ou tu ne sais pas trop quoi, alors tu restes alerte. - Tu veux prendre un café ? On peut parler un peu si tu veux... seulement si tu t’en sens capable. Tu veux être là pour elle, être réconfortant. Elle a beau vouloir se renfermer, c’est ta petite sœur et tu t’inquiètes pour son état d’âme... Tu n’as pas envie que son état de choc s’aggrave. Tu as beau être un grand taquin et comique, sauf que lorsque tu te dois d’être sérieux, tu es sérieux.