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 whatever it takes ((Liam O'Connor))

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whatever it takes ((Liam O'Connor))
Dim 17 Avr - 12:28
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ft. @Liam O’Connor

outfit - Finalement, les semaines passent et se ressemblent à l'exception de certaines. Dernièrement, tu passes beaucoup de temps sur ton téléphone, même la journée. Parce qu'il y a une relation étrange avec ton patient irlandais - le seul d'ailleurs. Le professionnel n'a pas tenu plus loin que le premier rendez-vous, s tu avais déjà du mal avec les femmes qui se retrouvaient seules avec leurs enfants. Tu es plus que touchée par l'histoire de Kiera et Liam. Et puis finalement, il a ce quelque chose d'attachant, de charmant... Il hante un peu tes pensées, l'homme à la chevelure de feu. Tu t'inquiètes sans même y penser, tu te demandes parfois si ils ont besoin de quelque chose. Et à la surprise générale, tu t'es même déjà retrouvée a lui proposer de garder sa fille en cas de besoin. Quand la journée se termine, il vous arrive même de partager quelques appels - vocaux ou même en visios. Tu ne t'en rends pas compte, Elizabeth, mais pour la première fois depuis la naissance de Tomás, tu accordes ta confiance à un autre homme que ton paternel. Et tout va être chamboulé dans peu de temps, aujourd'hui même. Lundi matin, alors que tu viens d'arriver chez la nounou afin d'y déposer ton précieux fils, un premier appel manqué. Tu ne réponds pas, ta priorité étant de mettre la chair de ta chair en sécurité avant de te plonger corps et âme dans ton travail. L'esprit serein. Mais c'est que la personne insiste, encore et encore, alors une fois dans le jardin de la jeune femme - tu portes ton mobile à ton oreille. « Dad, I'm dropping Tommy off, what's wrong !? » L'annonce qu'il te fais, elle glace le carmin qui court dans tes veines. Là, en cellule de dégrisement, fraîchement arrivé : Liam. Cela explique pourquoi le trentenaire ne te réponds pas depuis la veille au soir sans doute. « Okay, I'll be there as soon as I can ! Keep Kiera in my office please ! » Un baiser déposé sur le crâne de ta progéniture et tu files en faisant claquer les talons de tes bottines sur l'asphalte. T'es pas très regardante sur les limitations de vitesse - au besoin, ton badge sera ton alibi. Une fois arrivée au poste, tu dévales les escaliers pour rejoindre ledit bureau où ton père t'attend sagement avec la petite rouquine - prise d'un chagrin monstre.

« Oh Kiera, sweetheart, it's okay. » Tu la récupère contre toi, tout en la berçant un peu - effaçant de la pulpe de ton pouce les sillons humides de ses joues poupines. Elizabeth, her father has a psychiatric history. Tu secoues la tête. Impossible, tu as son dossier, et il n'a jamais été question d'antécédents. Tu lis alors le rapport d'arrestation, dans les grande lignes seulement - tout en continuant de dorloter la petite irlandaise. Mais c'est écrit là, noir sur blanc, bipolarité. Honey, you know the rest... Tu fronces les sourcils. « No. You don't know the rest, Dad. I'll take care of it. Tell your men not to get in my way. » Après avoir rassuré la benjamine, tu la confit à ton paternel avant de disparaître. Descendant les escaliers jusqu'aux cellules - t'es rapidement arrêtée par l'homme en charge de la sécurité et du passage ici. Lizzy, you know you don't belong here ! Tu le fixes en ayant aperçu la tignasse rousse de Liam. « You heard Captain O'Brien, I believe ? » Tu badges avant de pousser l'imposante porte en grognant. « Open Mr O'Connor's cell. » No ! Tu pivote à moitié. « Listen to me, Hans, you are going to open that cell without question. This man is my patient. If you don't do it, I'll get the captain to do it. » Oh, la terreur se lit dans ses yeux, et aussitôt tu pénètres dans la pièce en t'approchant de l'irlandais. « Liam ! It's alright, Kiera's fine don't worry she's with my f... Captain. » Tu récupères les clés des menottes pour l'en défaire avec tendresse - grimaçant en voyant les marques que celles-ci ont laissées. « Come on, we'll have a better chat somewhere else. » Tu passes devant l'agent, ta main dans la sienne d'un naturel déconcertant, alors que l'agent te fusille du regard. Tu guides le rouquin à travers les couloirs, les étages. Une fois devant ton bureau, tu le laisses entrer le premier avant de refermer derrière toi. Lizzy ! What are you... « Dad, please... I'm not asking you as my captain, but as your daughter. Let me handle it. » Il soupire, te rend la petite qui s'est endormie avant de déposer un baiser sur ton front - signe de bénédiction, de protection. Alright, just this once. Risette tendre en le laissant repartir, une fois seuls tu déposes sa précieuse enfant dans les bras de son père. « I have not read the report. Liam, I can hear everything, I promised you we would never take your daughter away from you. »
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Re: whatever it takes ((Liam O'Connor))
Dim 17 Avr - 19:07
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outfit -Plusieurs semaines se sont écoulées depuis votre première séance. Le feeling est très bien passé entre vous deux, ainsi qu’avec ta fille, Kiera. Numéros de téléphone échangés, vous avez pu vous envoyer quelques messages, avant de passer aux appels. Ils vous arrivez même de faire des visios. Cela n’avait plus rien à voir avec le simple lien psy-patient, tu le savais. Mais même si ça te démange de l’inviter pour boire un verre, tu t’abstiens de le faire, ne souhaitent pas franchir la limite. Pourtant, tu veux la revoir. Mais ne t'inquiètes pas, ô oui tu vas la revoir ta précieuse doctoresse. Peut-être pas dans les meilleures conditions, mais c’est certains, vos chemins vont à nouveau se croiser. En ce lundi matin, il est assez tôt et dès le réveil, tu sens que cette irritabilité que tu as depuis quelques jours, ne t’a pas quitté. Prenant ta fille sous le bras, tu te décide tout de même à sortir. Cette nuit encore, elle a beaucoup pleurée et ce malgré le t-shirt que tu lui as laissé dans son lit. De quoi te rendre fou. Tu lui as même crié dessus, lui répétant inlassablement de se taire, en vain, cela ne faisait qu’amplifier les pleurs. Donc pour le bien de tous, tu as décidé d’aller faire un tour dans un parc, profiter des rayons du soleil de leur douce chaleur. Tout se passait pourtant bien, malgré ton agacement et ta soudaine hyperactivité. Kiera est assise dans l’herbe, jouant avec son doudou, insouciante. Toi, posé sur la banc en face d’elle, jamais bien loin, une cigarette coincée entre tes lèvres. Nervosité accrue, tu ne lâches pas ta fille du regard. Un couple de personnes âgées se promène et passe devant vous. La femme s'arrête près de la rouquine, toute souriante. ”What à beautiful little girl !” Et avant qu’elle nentente quoi que ce soit, tu fais résonner ta voix. ”Don’t touch her...” Ton sec, tu refuse qu'on la touche pu l’approche. D’un bond, tu quittes le banc sur lequel tu étais posé et te rapproche des sexagénaires. ”It’s okay my boy.” Intervient me vieil homme pour te rassurer et se mettre entre toi et sa promise. Tu te penches pour récupérer Kiera et la prendre vigoureusement dans tes bras. Et alors que le couple souhaite répéteur route, la situation dégénère. Tu t’emporte contre eux, persuadé qu'ils voulaient faire diversion pour embarquer ta fille loin de toi. Et pendant que tu déverses ton agressivité sur le couple,  d'autres personnes se promenant dans le parc sont témoin de la scène et font appel à la police. Ta fille, qui ressent toute la tension du moment, se met à pleurer à chaudes larmes. La police intervient rapidement et cela te met hors de toi lorsque tu vois deux hommes se rapprocher de toi pour demander des comptes. ”Don't come any closer!” Avertissement sifflé, tu es tel un lion en cage. Un des officiers tente quand même une approche, la main trndue vers toi en signe d’apaisement. ”Calm down sir, it’s okay...” Avertissement non pris en compte, il est beaucoup trop pres, tu te sens en danger, les pleurs de ta fille redouble d’intensité. Sans prévenir, tu portes un coup au visage du policier, faisant intervenir son coéquipier, celui-ci attrapant ta fille d'un geste rapide, tandis que l’autre te plaque au sol sans ménagement.

Te voilà enfermé dans une cellule, loin de Kiera. Ta nervosité est toujours présente et bientôt tu fais face à la doctoresse. Tu relèves ton regard ceruléen vers elle, mèches flamboyantes sur le devant de ton faciès. Trace de lutte ici et là sur tes pommettes, tu as été difficile à maîtriser. Tes yeux se font fuyants alors qu'elle pénètre dans la cellule pour retirer tes menottes. Légère grimace, mais soulagement lorsque le lien se detache de tes poignets. Tu les masse doucement, puis relève ton regard sur la belle rouquine. D’abord hésitant, tu finis par la suivre. Vous vous retrouvez finalement seuls, ta fille t’aie rendue. L’impression d’avoir passé l’éternité loin d'elle. Tu la serre fort contre toi, une main posée sur sa nuque. La voix d’Élisabeth te fait relever tes iris. Elle n’avait pas lu le rapport, mais maintenant, tu n’avais plus le choix. Tu ne peux plus lui cacher tes antécédents. Difficilement, tu avales ta salive et plonges ton regard dans le sien. ”I know I should have told you earlier... but I didn't want to risk losing custody of Kiera...” Baiser déposé sur le front de la benjamine. ”I am bipolar. I was diagnosed as a teenager. I have several medications to take. But every time I take it, I feel like I'm not myself, you know.” Tu parles beaucoup, tu te confies sur ton ressenti. ”I thought that if I stopped them, the seizures would leave me alone. Instead, they came back as before.” L’inquiétude se lit sur les traits de ton visage. ”Is my daughter at risk of being like me?” Une question qui te trotte dans la tête et qui te fait peur. Tu regardes longuement la jeune femme, les yeux brillants. ”I have already wanted to finish.... several times. When I was younger, and recently... I feel like a burden.” Cette situation t’étouffe, ta maladie t’épuise. Tu espères seulement que la doctoresse saura te comprendre...
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Re: whatever it takes ((Liam O'Connor))
Lun 18 Avr - 2:20
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outfit & home - Tu ne le montre pas, mais tu pourrais t'écrouler sous l'inquiétude qui pèse sur tes épaules. Pourtant, pour eux, pour le père célibataire qu'il est, et pour cette enfant rejetée dès sa naissance, tu ne baisses pas les bras. T'as promis de ne jamais le laisser tomber, de tout faire pour que la garde de sa précieuse enfant ne lui soit jamais retirée. Et voir le soulagement lorsque tu déposes Kiera dans les bras de l'homme à la chevelure flamboyante, tu souris. Bien que la situation soit dur, qu'elle soit un véritable challenge des deux côtés, un sourire équivaut à tout le courage possible en ce bas monde. Finalement, le professionnel est définitivement rangé au placard : c'est avec ton âme que tu risques de réagir. Toi aussi, t'es un parent célibataire, tu comprends ce qu'il traverse. Toi aussi, tu as eu peur de perdre l'amour de ta vie. Toi aussi, tu as passé tes nuits a douter, a hurler ton désarroi dans un mutisme assourdissant. Tu ne baisseras pas les bras. Alors, tu lui demande sans détour de te parler - sans retenue, sans secret - t'en a entendu des vertes et de pas mûres. T'as entendu le pire et le meilleur. Et lorsque son regard se plante dans le tiens, tu manques presque de louper un battement de coeur. Peut-être que ton palpitant c'est réellement arrêté l'espace d'une seconde. Il s'excuserait presque d'avoir omit une information d'une telle importance. « Don't apologize Liam, please. » Que tu lui murmures pour le rassurer, souriant au baiser déposé sur le visage de sa progéniture. La bipolarité est nommée, avouée, diagnostiqué durant l'adolescence cela ne te surprends pas - c'est le cas pour beaucoup de personnes. Médication mise en place, mais la suite te laisse septique, il confesse ne pas se sentir lui-même lorsque la prise est régulière et respectée à la perfection. Tu fronces les sourcils, hochant la tête. Tu ne veux pas le freiner dans son élan, écoutant avec plus d'attention qu'à l'accoutumée. Les crises étaient devenues passagères, avant de reprendre ce rythme cyclique et infernal. Très vite son comportement change, la nervosité laisse place à l'inquiétude que tout parent ressent à chaque seconde écoulée. Craignant que la génétique joue des tours à sa princesse, tu le fixe longuement, la bouche entrouverte, les mots te manquant face à sa détresse. « Liam... » Mais voir les perles salines inonder son regard océanique te fend le coeur. Il a le coeur lourd, et il n'hésite pas une fois pour te le confier. T'es émue toi aussi, pourtant tu tiens captives ces émotions qui se mélangent et s'embrouillent dans ta psyché. Tu t'approche - glissant une main rassurante sur son biceps, douce caresse posée sur le tissus que tu jurerais de trop. « You're not a burden in any way. »

Cet échange de regards est différent encore. Tu ne cherches pas sa confiance, tu ne cherches pas a ce qu'il comprenne tes mots. Mais tu veux qu'il trouve la paix, celle que tu t'efforces de maintenir pour vous tous ici. « I will answer all your questions, as best I can. But not here, okay ? » Tu récupères ta veste en cuir, ainsi que ta mallette, ton ordinateur portable avant de lui faire signe de te suivre. A nouveau, vous traversez plusieurs couloirs, premier passage afin de récupérer les effets personnels de l'irlandais, puis second afin que tu exposes ton idée à ton paternel qui y montre quelques remontrances. There is no way you are putting my grandson in danger ! Qu'il a sorti en dernier recours pour te faire changer de façon de faire. Il te connait pourtant. « Seriously ? Why don't you check out my appointment records for Kiera. The only thing I'm putting at risk is my own reputation. And you know what else ? That's the least of my worries. » Le silence refait surface, et le sourire du paternel laisse deviné la fierté qui s'y cache. Il est fier de voir qu'aujourd'hui, tu ne te laisses plus réellement marcher sur les pieds. Après t'être faite entendre, tu as obtenue deux jours de travail depuis chez toi, et une fois tout les trois installés dans la voiture tu lances innocemment. « We're going to pick up some stuff for you and Kiera. You'll stay at my place for now. That way, we can take care of both you and Kiera. » Et la route se fait paisiblement, laissant l'inquiétude, le stresse, tout s'échappe sous le vent qui frappe de plein fouet le véhicule. Il vous faut en tout une bonne heure, durant laquelle la petite irlandaise ne se réveille pas d'un pouce. Une fois ta voiture déposée devant le garage, tu ne récupères tes affaires, et même Kiera. A l'intérieur, tu lui montre l'escalier à votre gauche pour installer les affaires. « Please, make yourself at home. » Tu indiques la grande chambre comme la tienne, celle juste à sa droite est celle de Tomás. Le père de famille en choisi une avant de s'installer - quand toi tu déposes Kiera dans la chambre de ton fils. Une fois le babyphone allumé, tu rejoins l'étage inférieur pour te rendre dans la cuisine et vous servir deux tasses de café fumantes. « Don't be embarrassed, I've never judged you, and I don't intend to. » Tu t'installes sur le canapé, soupirant d'aise après avoir avalé une gorgée de caféine. « Bipolarity is not hereditary. It has a higher percentage of chance, but nothing to be alarmed about. » Tu souris doucement, avant pose ta main sur la sienne - un soutien silencieux. « We will also change the dosage of your medication. The aim is not that you don't recognise yourself, but that you can manage the different periods with a helping hand. Identify them, understand them, and get through them more serenely. » Clin d'oeil malicieux que tu lui offres. « I promised to do everything to help you. »
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Re: whatever it takes ((Liam O'Connor))
Lun 18 Avr - 16:30
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outfit -Une fois de plus, la belle trentenaire ne porte aucun jugement sur ta personne, et encore moins sur ton côté bipolaire. Cette maladie peut s’avérer difficile à vivre, aussi bien pour toi que pour ton entourage. Tes parents avaient beaucoup de mal avec tes changements d’humeur. Souvent, tu te prenais la tête avec eux, ou bien tu partais de la maison. Tout ça pour dire que tu sais très bien ce que peut ressentir ta fille quand tu es en crise. Même si elle est encore toute petite, les enfants sont de véritables éponges émotionnelles. Ça ne doit pas être simple pour elle, et de savoir ce que tu lui fait subir te fait culpabiliser. Rouquine récupère ses affaires, te promettant de répondre à tes éventuelles questions en temps et en heure. Tu la suis sans un mot, attendant qu'elle ressorte du bureau de son père. Ce dernier ne semble pas en accord avec sa fille et tu ne peux que le comprendre. Tu sais à quel point tu peux avoir un comportement dangereux, imprévisible. Même sous médicaments, les crises ne disparaissent pas totalement, elles sont juste plus espacées. Toutefois, elle ne se laisse pas marcher sur les pieds de ce que tu peux entendre. Vous vous installez ensuite en voiture, t’attendant à ce qu'elle te raccompagne chez vous. Mais au lieu de ça, elle t’informe sans te demander ton avis, qu'étudiant vas crécher chez elle avec ta fille. Ainsi, elle pourra s’occuper de vous deux. Tu relèves subitement le regard vers elle, clipsant ta ceinture. ”Uh... wait... what ? There is no need.” Mais elles est bien décidée et après quelques kilomètres, te voilà arriver chez toi. Il n’y a plus qu'à récupérer quelques affaires pour ta fille et toi. ”Look... Really, I assure you that there is no need for-” Le regard en dit long sur sa façon de penser, tu n’as pas le choix. ”Okay.” Dis-tu en sortant de la voiture pour aller chercher de quoi pouvoir vous changer pour les prochains jours, sans oublier les petites pilules que tu dois prendre.

Une fois le tout récupéré, tu retournes dans la voiture, te laissant conduire jusque chez ta psychologue. La porte ouverte, tu entre dans sa demeure, tes iris faiset le tour du propriétaire. Tu grimpes les marches de l’escaliers, elle te présente les différentes chambres, puis tu en choisis une, déposant ton sac d’affaires sur le matelas. Kiera dans son lit, tu rejoints la belle rousse dans la cuisine, alors qu'elle te sert une tasse de café. Tu la remercie d’un sourire et viens t’installer à ses côtés. ”Are you sure? A shrink told my parents that it could be hereditary and that there were cases of bipolarity in my family.” Sans doute un mensonge ou une coïncidence. Mais si Élisabeth dit qu'il n’y a aucun risque pour ta fille, alors tu la crois. Une main se pose sur la tienne. Second contact en peu de temps. Tu la regarde et lui souris avec douceur. Elle va tout faire pour t’aider, à commencer par changer le dosage de tes médicaments. Mais sa voix se fait lointaine, tu as du mal à te concentrer sur ce qu'elle dit. Votre relation n’a plus rien à voir avec votre première rencontre. Tout ces messages, ces appels, tout ces regards échangés... Il faudrait être aveugle pour ne pas voir l’attraction qu'il y a entre vous deux. Depuis ta première visite, tu l’a trouvé à ton goût,  puis le feeling est bien passé, et le temps a fait le reste. Comme deux âmes sœurs vous vous complétez. Le silence s'est installé, la tension monte doucement. Myocarde s’affole, tes yeux glissent lentement jusqu'à ses lèvres. Visages se rapprochent, les lèvres sont proches. Des pleurs résonnent, éclatant la bulle qui venait de se former autour de vous. Tu te redresses rapidement et te racles la gorge. ”I’ll be back..” Tu montes à l'étage, fuyant cette atmosphère étouffante mais ô combien plaisante. Tu rentre dans la chambre et prends ta fille dans les bras pour la rassurer. ”It’s okay Kiera, i’m here with you. We're at Dr. O'Brien's, you know? The nice lady.” La petite met du temps à se calmer, se frotte les yeux, complètement fatiguée par cette matinée mouvementée. Tu la remet alors au lit et quitte la chambre avant de revenir auprès de la trentenaire, récupérant la tasse encore fumante. Léger malaise, mais tu trouves un sujet de conversation pour détourner l’attention sur cette tentative de baiser. ”When we first met... your name was also on the list. Did you also have a difficult experience with the father of Tomàs ?” Peut-être que cela ne retire regarde pas, sans doute même, mais vue votre relation actuelle, autant apprendre à se connaître, non ?
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Re: whatever it takes ((Liam O'Connor))
Lun 18 Avr - 18:18
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outfit & home - Tu ne lui a pas forcément laissé le choix, mais tu es sûre qu'ils seront plus tranquilles ici. La solitude joue énormément dans le processus de guérison, quelque soit le choc passé. Les enfants sont de véritables tornades, mais ils ne font pas tout, tout ne peut se faire seulement avec de la patience - et quelques rendez-vous ici et là. Le tour du propriétaire est au moins fait pour l'étage, le bas étant principalement une large pièce a vivre. Il n'y a que ton bureau qui est coupé par deux portes que tu laissent rarement fermées au fond. Et comme promis, tu réponds à ses questions, à ses inquiétudes, tu lui assures aussi un tout nouveau traitement. Plus adapté à sa vie, a ses épisodes face à la bipolarité. Avec les derniers avancés sur la maladie, tu veux surtout lui apprendre a passer les cycles plus sereinement. Avec moins d'appréhensions, et tu feras tout pour l'épauler. Fini la simple psychologue, tu t'immisces dans sa vie - tu aurais reculé si il t'en empêchait réellement. « The chances of bipolarity are higher, yes, if the gene is active. Without, it's a one or two percent chance. With, the margin is a ten percent chance. » Tu es confiante, t'allais continuer mais... Un cocon se forme autour de vous, tu te sens comme happée par le bleu de ses yeux, par sa simple présence. Tu ne le vois plus réellement comme un patient, comme si vous vous connaissiez depuis des années. Alors que cela fait quoi, quelques semaines ? Quelques mois ? Tu ne saurais même pas dire, le temps défile a une vitesse différente en sa compagnie. Tu es l'eau calme, quand il semble être la tempête qui la déchaine. Le silence règne entre vous, et les regard n'ont plus rien d'innocents. On dirait là deux adolescents en train de batifoler. T'as le souffle coeur, la poitrine oppressée, le palpitant qui bat un tempo enivrant. Ses traits se rapprochent, tu sens son souffle balayer quelques frissons sur ta chair. Tu ne recules pas pourtant, comme si tu attendais ce moment depuis ton premier souffle. Mais le moment n'arrive pas, le babyphone grésille sous les pleurs soudain de Kiera à l'étage. Sursaut, tu détournes ton faciès - les joues empourprées jusqu'aux oreilles. Hochement de tête à ses mots, tu relâches l'air que tu as gardée captive dans ta poitrine. Cachant ton visage dans tes mains tu ne cesses de te dire que tu sembles idiote ainsi. Que ce doit être la pression de la journée seulement, t'as perdu toute confiance en tout au fil des années aux côtés du père de Tomás - aux côtés de ta mère. Tu baisses alors le son de l'appareil pour leur laisser une certaine intimité, te débarrassant de tes bottines pour replier tes jambes contre ton torse, ta dorsale appuyée sur le dossier et ta tasse entre les mains. Lorsque l'irlandais te rejoint, tu souris lentement en portant la céramique à tes lippes pour avaler une gorgée de caféine.

Mais tu reposes ton bras convenablement lentement - très lentement - en entendant la question sur ton nom dans la liste des dossiers des affaires familiales. Tu fuis son regard, pourtant lorsqu'il le capte, tu souris maladroitement. « We are not really... A patient and a health professional... So... » Tu soupires, te penchant pour reposer ta boisson avant de te tourner vers lui - ce qui a pour effet de t'approcher un peu de lui aussi. Impossible pour toi de le regarder longuement pour avouer cela. « His name was Brady. He had a problem with alcohol, his moods were a constant rollercoaster. » Tu joues nerveusement avec ses doigts, non pas les tiens non. T'as ce quelque chose, t'es tactile, et puis pour ne pas faire ressortir tes tocs, tu as besoin d'occuper ton esprit en plus de la parole. « I was subjected to domestic violence. I hid all this from my father, until one day, I was six or seven months pregnant, he picked me up here in my office in a pitiful state. » Tu souris tristement, haussant une épaule. Tu t'en détache le plus possible, parce qu'il n'y a pas que cet homme qui a contribué à ton malheur. Oh la vie en Irlande n'était pas toute rose elle non plus. Mais tu te maintiens, t'as passé le plus dur - et t'espères ne plus jamais revivre tout cela. Quand tu relèves tes iris cérulés pour les poser sur le faciès du rouquin, tu pinces tes lippes - hésitante - avant de te lancer. « My job is a vocation. Before Brady, there was my... Mother... » Tu ne continues pas ta phrase, parce que t'es à nouveau prise dans les fils de soie d'une toile agréable. Et pour en revenir à ce moment tordant d'émotion, tu hésites une seconde, puis deux, peut-être même trois avant de t'approcher plus vivement de l'irlandais. Tes lèvres s'arrêtant à quelques millimètres à peine des siennes. Une fraction de seconde de flottement avant que tu ne sente enfin ce doux contact de la pulpe de ses lippes contre les tiennes. Un baiser d'une tendresse infinie, comme si le contact était attendu depuis des siècles et des siècles. Comme si il était le premier de ta vie, le premier a te faire ressentir ce genre de choses, cette euphorie apaisante. Le temps semble s'arrêter, et c'est malheureusement ton souffle qui te rappelle à l'ordre, tu recules à peine, collant ton front au sien - mordillant ta lèvre inférieure en souriant docilement. « I don't know if I should be sorry... » Que tu murmures en riant discrètement, ne voulant pourtant pas t'écarter, de peur que tout cela se termine en un claquement de doigts, que le moment, que la paix, que ce sentiment de bien être te soit retiré cruellement. Tu te sens enfin vivante - depuis un long moment.
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Lun 18 Avr - 21:00
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outfit -Alors que tu bois une gorgée de café, la belle trentenaire t’offre le récit sur sa vie passée. Tu délaisses finalement la tasse sur la table basse, tandis qu’un nouveau contact se fait. Les doigts fins de la jeune femme triturent les tiens avec nervosité. A plusieurs reprises tu as remarqué son côté tactile, si au début ça te surprenait, dorénavant ça ne te dérange plus. Tu la laisse faire, écoutant ce qu'elle a à te dire. Sourcils se froncent progressivement, tu ne comprends pas comment on peut faire du mal à autrui. Encore moins à une femme. ”It must have been horrible, sorry to bring back bad memories...” Tu t'en veux de refaire surgir de tels atrocités, mais tu n’as pas le temps de culpabiliser. Vous êtes proches l’un de l’autre et cette fois-ci c'est elle qui fait le premier pas. Vos lèvres entre en contact et tu ressens comme un soulagement. Tout deux, vous attendiez ce moment depuis longtemps. Cet échange dure un moment avant de devoir être interrompu par manque de souffle. Front contre front, le souffle court et le palpitant qui s’emballe, tu ne laisse pas le temps a la royquine de finir sa phrase que tu plonges tes lippes contre les siennes, pour un nouveau baiser.
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Lun 18 Avr - 22:50
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outfit & home - « There were far worse things... » Des mots que tu ne prononces pas, mais auxquels tu penses à haute voix, tu les gardent pour toi. Parce que le corps a bien plus de choses a dire que l'âme, et la frustration a eu tout le temps de grandir depuis que vous vous tournez autour. Entre vous, c'était l'évidence, mais vous deviez laisser du temps au temps.
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Re: whatever it takes ((Liam O'Connor))
Mar 19 Avr - 11:13
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Re: whatever it takes ((Liam O'Connor))
Mar 19 Avr - 12:48
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ft. @Liam O’Connor

outfit & home -
Une fois ta nudité dissimulée, tu ouvres la porte pour rejoindre la chambre où se trouve la plus jeune qui s'amuse alors avec les peluches qui l'entourent dans le lit à barreaux. Tu te penches en appuyant tes coudes sur le rebord. « Hey sweety ! » La petite rousse t'offre un large sourire en tendant les bras vers toi. Tu la récupère - flattant sa joue rebondie avec un baiser - avant de parcourir le couloir jusqu'à ta chambre. Tu lances un regard pour t'assurer de ne pas heurter la sensibilité de la plus jeune avant d'entrer dans la chambre. « Look who still hasn't disappeared ! Your daddy will always keep his promise, my dear. Hey, he's even wearing clothes, it's crazy ! » Que tu lances avec beaucoup de malice - dans ta voix ou ton regard. Tu grimpes à nouveau sur le lit, t'allongeant en laissant la petite assise sur tes cuisses. Celle-ci se laisse retombée contre le torse de son père dans un rire cristallin des plus merveilleux. T'aimes leur complicité, tu te tournes légèrement vers les deux têtes rousses, le regard un peu perdu entre eux. « My mother disappeared before I was born. She abandoned my father without giving him any news. She made me believe that he was a devious, violent man... » Tu fronces un peu ton nez, secouant ton faciès. « She never really loved me, or supported me. Or even believed me. Even when I tried to talk to her about what my stepfather was doing to me. » Tu pinces alors le bout du nez de la petite irlandaise en lui tirant la langue. « But there is always someone who really loves us, you'll see Kiera, your dad will always do anything and everything for you. » La benjamine rit, avant de venir enfouir sa petite bouille angélique entre ta poitrine, réclamant une étreinte soudaine - que tu ne lui refuse aucunement.
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Re: whatever it takes ((Liam O'Connor))
Mer 20 Avr - 11:28
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outfit - Silhouette féminine vient se poser tout contre toi, une oreille contre ton torse au niveau du palpitant. Corps entremêlés dans les draps, léger frisson lorsque tu sens son index redessiner les contours de ton tatouage. Tes iris suivent son geste avant de se relever vers son visage de porcelaine. « Oh yeah ? » De là, Lizzy t'explique la signification de l'aigle et tu esquisses un fin sourire, ravi d'en apprendre davantage. « I see... » Bulle de douceur se forme autour de vous, regards observateurs, chaque détails est soigneusement mémorisé. D'une main, tu ne résistes pas à caresser ses mèches rousses, remontant lentement et tendrement jusqu'à ses pommettes que tu touches avec une infinie délicatesse, de peur que cette jolie poupée de porcelaine ne se brise. Yeux d'un azur limpide semblable au ciel bleu de l'été, sourire délicat, rassurant. Visages se rapprochent, lèvres fondent l'une sur l'autre dans un baiser bref et tendre. Kiera se fait entendre et la doctoresse se lève pour aller la chercher, enfilant ton t-shirt sur le chemin. Lippes se pincent en la voyant déambuler ainsi, puis tu en profites pour te rhabiller un minimum avant que les deux demoiselles ne reviennent dans la chambre. Tu ris avec douceur en les voyant arriver. Sous-vêtement et chemise remis en place, le drap recouvrant une partie de tes jambes pour ne pas attraper froid. Les deux rouquines grimpent sur le lit et prennent place à tes côtés, ta fille se laissant aller contre ton torse. « Oh non, baby attack ! » Rire enjoué de ta petite qui se prend au jeu, tandis que tu te laisses tomber sur le matelas, submergé par ses innombrables attaques. La voix de Lizzy te fait relever le regard dans sa direction, corps se redresse, elle a toute ton attention. « She's terrible woman... Some women don't seem to have a maternal streak. » Dis-tu alors qu'elle se dévoile à toi. Elle non plus n' a pas eut une très bonne relation avec sa propre mère. Triste vérité. Mais oui, tu feras tout ce qui est en ton pouvoir pour subvenir aux besoins de ta fille, tu l'aimeras quoi qu'il arrive, quoi qu'elle fasse. C'est ta fille, la chaire de ta chaire. Agréable surprise que de voir la petite Kiera se lover contre la belle trentenaire. « She seems to like you a lot. » Ta fille y voit un semblant de mère qu'elle n'a jamais eut. Cela lui fait du bien d'avoir un contact féminin.

Fillette est aux anges et ne souhaite pas se décrocher de la doctoresse, profitant de cette étreinte qu'elle n'a jamais eut jusqu'à présent. Le manque est comblé. Finalement, le câlin prend fin et la petite demoiselle se sent pousser des ailes et tente même de se mettre debout. Chose qu'elle arrive très bien à faire, seul souci, la mécanique de ses jambes reste encore un mystère. Toutefois, elle tente de revenir vers toi, chutant et se rattrapant à ta cuisse. Léger rire devant sa maladresse, tes mains attrapent les siennes pour l'aider à se relever. Grand sourire sur son visage poupon, fière de faire quelques pas à l'aide de son papa. « Look a t you ! What a big girl ! » Cri de joie pour la petite poupée qui semble renaître après tout ces mois de cris et de pleurs. Tu te rallonges dans le lit et soulève la mini rouquine au-dessus de toi. «  Oh god, when did you become so heavy ? » Grimace tord ton visage, ce qui a le don de faire rire ta fille. Tu t'amuses à la soulever telle une haltère quelques instants, puis la repose sur le moelleux du matelas, Kiera se laissant tomber à la renverse en rigolant. Petit bout de femme se redresse à quatre pattes et crapahute jusqu'à la trentenaire où elle vient se prélasser, tel un chaton, contre sa poitrine. « She definitely loves you. You're going to steal my thunder... I should have been born with breasts, I would have kept the advantage. » Regard pétillant et plein de malice lancé en direction de Lizzy. Douce sensation de bien-être, tu ramènes ton corps près du sien en venant placer ta tête contre sa cuisse. Main se pose sur sa cuisse droite, pulpe de tes doigts savoure encore la douceur de sa peau sur laquelle repose un tatouage aux traits fins et féminins. « Do you have an adoration for the moon, a particular meaning ? » Kiera, une oreille de son doudou dans la bouche, lutte pour ne pas s'endormir, se frotte les yeux. Tu poses une main contre son échine, la caressant avec douceur pour l'aider à rejoindre le pays des rêves, ce qui semble très efficace puisque ses paupières s'abaissent aussitôt. « I could do with a nap, it's comfortable here... » Dis-tu en malaxant sa chaire. Ta main se fait coquine, remontant lentement jusqu'entre ses jambes pour ensuite revenir à sa place initiale. Ton sourire s'efface progressivement, la réalité te rattrape. Tête toujours posée contre sa cuisse, ta main se fait caresse, tes iris posées sur son tatouage. « I apologise in advance, in the next few days I may not be in the best of moods. » Car après chaque épisode maniaque, s'en suit bien souvent par un épisode de dépression. Et plus le précédent épisode a été intense, plus la dépression sera profonde. Tu déposes un baiser contre sa cuisse, laissant tes paupières se fermer, juste pour profiter de cette instant de tendresse.
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Re: whatever it takes ((Liam O'Connor))
Mer 20 Avr - 18:36
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outfit & home - Clairement, tu comprends parfaitement l'incompréhension de l'irlandais quand tu as toi-même connu une mère absente. Physiquement présente, mais mentalement absente du bien être de son enfant. En devant maman à ton tour, tu n'y comprenais rien, comment ne pas aimer un petit être de candeur comme eux ? Ils ne demandent rien, les enfants partout sur terre, à toutes époques, naissent seulement de l'égoïsme parentale. T'en a lu et relu des articles, pour finalement avoir un jugement clair : vos vies commencent par la décision d'autrui. Que cela soit ton fils adoré dans tes bras, ou cette petite que tu n'as pas portée sous ton coeur, tu en ressens l'amour, l'émotion qu'ils partagent sans prononcer un seul mot. Le genre de ressentit qui vous empoigne le coeur sans retenue, qui fait valser au loin toutes les horreurs de la vie pour un moment de quiétude ultime. Tu souris, la gardant contre ta poitrine en tapotant sa petite dorsale pour la rassurer et l'accueillir au mieux. Tu relève tes iris océaniques sur le trentenaire qui reconnait là que la prunelle de sa vie t'apprécies plus qu'il ne l'imaginait. « I am flattered by this. » Faciès abaissé, tu déposes un petit baiser sur la chevelure flamboyante de jeunesse. Mais le repos est de courte durée quand la jeunette se redresse soudainement sur ses pieds - peu assurée par l'équilibre en cours d'apprentissage. Tu ne la touche pas, gardant tes mains aux aguets en cas de chute soudaine. Elle arrive, mais la rouquine s'attrape à son paternel comme à une bouée de sauvetage. T'es émerveillée de voir pareil moment, tu les a vécue seule en compagnie de Tomás, ton père comme seule figure paternelle. Rien qu'à l'expression de Liam, tu sens l'essence du sens qu'à donné Kiera a sa vie, l'espoir qu'elle y représente. Poupée de porcelaine servant tantôt d'avenir, tantôt d'instrument de musculation dans un rire enfantin et émerveillé. Tu pouffes de rire en voyant la scène. « They grow up far too fast when the canteen is to their liking. » Haussement de sourcils subjectif, tu regarde la chute contrôlée de la plus jeune qui semble vivre sa meilleure vie entre vous deux. Mais elle se ravise vite, revenant prendre sa place tout contre ta poitrine - comme si celle-ci était plus moelleuse qu'un oreiller coûteux. Tu l'entoure d'un bras sécuritaire par réflexe, relevant ton regard sur Liam qui te jalouserait presque. Pas seulement pour l'attention que te porte son enfant, mais aussi la poitrine avec laquelle lui-même a joué quelques instants plus tôt. Sourire taquin étirant tes lippes. « You've played with it before, don't be a drama queen. » Clin d'oeil malingre, tu le laisses s'installer sur ta cuisse, quand sa main vient doucement apposer un contact réconfortant sur celle portant l'encre artistique. Tu penches la tête a sa question, secouant ton faciès. « She was my only comfort when I was younger. When my stepfather wasn't bullying me. » Tu reposes ton regard sur la petite rousse qui lutte pour s'endormir à nouveau. « It is a cyclical appeasement. Always present, always the same. »

Le père de famille n'hésite pas a venir aider sa fille d'une douce caresse pour rejoindre les bras de Morphée. Risette docile, ta main se perd dans sa chevelure de feu pour l'y accompagner aussi - enfin, il n'y a pas que celle de la plus jeune, mais aussi dans la tignasse de l'irlandais encore confortablement installé sur ton cuissot. D'ailleurs, il te qualifie de parfaite place pour une petite sieste, malaxant la peau sous sa menotte taquine. Frissons te parcours lorsque sa paluche remonte malicieusement entre tes jambes - mais petite frappe gentillette l'en empêche. « You can only play with this if there is no innocent soul in the room ! » Et l'irlandaise paisiblement endormie dans tes bras est la preuve que la sagesse est de mise. Mais ce sourire que tu aimes plus que de raison s'efface soudainement, le rouquemoute retrouve son sérieux, hypnotisé par l'encre noire sur ta chair opaline. Des excuses prononcées, tu passes ta main libre dans ses mèches braisées, ton pouces flattant sa pommette avant de murmurer d'une voix aussi douce que ta gestuelle. « It's okay, Liam. Never apologize. I'm here to help you too, don't worry. » Tu le laisses se reposer un peu, lui servant de repose tête tout en les observant tout deux. T'as l'impression de te voir à leur place quelques années auparavant, seule face au reste du monde avec ton fils dans les bras. De longues minutes ainsi a te perdre dans tes propres pensées avant de redresser lentement ton buste. D'une main tu accompagnes la tête de l'irlandais pour la reposer sur le moelleux du matelas - venant blottir sa fille tout contre lui. « Get some rest, I'm going to take a shower. » Que tu lui murmure en arrangeant sa chevelure, venant presser tes lippes contre les siennes dans une tendresse naturelle.
outfit - Détour par ton dressing fait, tu laisse la porte de la salle de bain sans verrou par habitude, te glissant sous l'eau chaude de la douche en soupirant. T'essaies de chasser les idées qui traversent ton esprit, les souvenirs qui te hantent contre ton gré. Une vingtaines de minutes plus tard, à peine un pied en dehors de la cabine, ton téléphone se met a sonner - la nounou de ton fils. « What's going on ? » Rien de trop grave, mais une poussée de fièvre soudaine, tu tentes de ne pas paniquer de ton côté en assurant venir le récupérer sur le champ. De retour dans la chambre, père et fille semblent passer la meilleure sieste de leur vie, alors après un petit mot manuscrit déposé sur la table de nuit, tu t'éclipse sans un bruit. Il te faut bien trois quart d'heure pour faire l'aller-retour, une fois le pas de la porte à nouveau passé avec le petit rouquin dans les bras, tu l'embrasses en commençant a nouer l'écharpe de portage autour de ton buste - la petit attendant doudou en main sur le canapé. « Tomorrow if the fever doesn't go down we'll go and see the doctor, OK ? » Il hoche la tête, tu le récupère pour le placer contre ta hanche et l'assurer afin de pouvoir te mouvoir sans trop te soucier de lui. Sa tête repose contre ta poitrine, et très vite lui aussi se laisse bercer par tes mouvements pour rejoindre Morphée et ses rêves apaisés. Tu lances dans la marmite de ton robot le repas du soir avant de te faufiler dans ton bureau armée de ton ordinateur. Les portes grandes ouvertes, tu pianotes afin de mettre à jour le dossier des O'Connor, mais aussi voir les mails que tu as reçu pour d'autres affaires. Mais en allant chercher des dossiers papiers plus loin, tu cognes dans le repose pied du fauteuil - dévoilant la tâche carmin encore imprégnée dans le parquet. Tu la fixe sans vraiment le vouloir, t'aimerais la fuir mais c'est plus fort que toi - comme si tu pouvais encore sentir les douleurs dans tout ton être. Comme si ce jour c'était passé la veille. Tu sursautes en entendant la voix de Liam dans ton dos. Le souffle rapide, tu pivotes en reculant par réflexe. «I'm sorry, did I wake you up ? I just... I was gonna pull some old files but... I mean... » Tu fuis son regard - le sol parlant pour toi. Tu remets le repose pied en place avant de sourire tendrement en déposant les papiers sur ton bureau. « If you're hungry, there's plenty to nibble on. Make yourself at home, really. »
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Re: whatever it takes ((Liam O'Connor))
Jeu 21 Avr - 10:30
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outfit - Paroles rassurantes, la douce doctoresse est là pour t'aider aussi. Elle t'aidera à appréhender tes crises, nul doute qu'elle sera toujours là pour t'épauler quand tu en ressentiras le besoin. Doucement, tu te laisses aller, paupières se font lourdes sans que tu ne puisses les retenir. Le sommeil t'attrape sans crier gare et te voilà partis dans les bras de Morphée, tout comme ta fille. Chaleur humaine, ton visage blottit contre la cuisse de la belle rousse. Le temps défile et tu ne bouges pas d'un pouce lorsque Lizzy se meut dans le lit. Kiera rejoint tes bras et instinctivement, l'étreinte se resserre autour de son petit corps. Paroles murmurées au creux de ton oreille, puis vous vous retrouvez seuls dans la chambre. Un repos bien mérité après tant d'émotion. Plus tard, il y a du mouvements sous tes paupières. Lentement, elles se soulèvent. Émerger d'une sieste n'est pas toujours simple, combien de temps tu es resté endormi ? Aucune idée. Sourcils et nez se froncent le temps de la mise au point, puis tu remarques l'absence de la trentenaire. Regard balaye la pièce, personne, juste une petite note déposée sur la table de nuit, que tu t'empresses de lire. Elle s'est absentée pour aller chercher son fils. Un coup d’œil vers ta progéniture qui dort toujours, tu décides à ton tour, d'aller prendre une douche. Cela te fera le plus grand bien et t'aidera à te réveiller. De retour dans la chambre que tu as choisi plus tôt, tu récupères des affaires dans ton sac, puis cherches rapidement la salle de bain. Outfit Après plusieurs minutes passées sous la douche, tes affaires enfilées, tu quittes la pièce, jurant avoir entendu la porte d'entrée lorsque tu étais encore sous le jet d'eau chaude. « Hey, how long have you been home ? » Dis-tu en arrivant sur le pas de la porte de son bureau. La réaction ne se fait pas attendre, Lizzy sursaute. Petite grimace sur ton faciès, tu ne t'attendais pas à lui faire peur. « Oh, sorry, I didn't mean to scare you, I should have knocked on the door first. And no, I've been awake for a while.» Un peu penaud, tu fais un pas dans son bureau, tout de même intrigué par son regard fuyant. « Is everything okay ? » Quelques pas sont encore nécessaire pour que tu combles la distance entre vous. Arrivé à sa hauteur, tu poses une main réconfortante sur son épaule, tandis qu'elle te propose de grignoter si l'envie s'en fait ressentir. « It's OK, we'll wait for the evening meal. »

Te plaçant dans son dos, tes mains rejoignent ses épaules. Doux massage que tu lui offre là pour la détendre, ainsi qu'un petit baiser sur le dessus de sa tête rousse. « Are you obliged to work? » Que tu lui demande finalement. Cela fait plusieurs semaines que vous vous tournez autour, et tu as l'impression que tu ne peux plus te passer d'elle. « You should rest, you look tense. » Pulpe de tes doigts ressent les tensions qui se trouvent juste en-dessous, la psychologue est bourrée de nœuds. « I can help you relax if you want. » Ton malicieux, tes mains passent devant et se perdent avec plaisir dans le galbe de sa poitrine. « I have looked carefully, there is no innocent soul here. » Tu viens ensuite t'asseoir sur son bureau, juste à côté d'elle. Visage penché sur le côté, tu veux capter son regard. « Are you sure you're okay ? » Tu le sens, lorsque quelque chose ne va pas, mais tu ne veux pas te montrer trop insistant, de peur de la braquer. Alors, tu te contentes de sourire avec tendresse, descendant du meuble sur lequel tu avais prit place. « If you want, I can take care of the dinner preparation. I don't want to brag, but I'm pretty good at cooking. » Sourire fier sur la trogne. « A way for me to thank you for your hospitality. Anyway, you don't have a choice. » Malheureusement pour toi, la belle jeune femme t'a devancée et a déjà lancée la préparation du repas grâce à un robot. « Oh no... Really ? » Ton visage se décompose, toi qui voulait faire plaisir, c'est raté. « That's okay, next time. » Tu la rassure d'un sourire, puis c'est les babillements de ta fille qui capte toute ton attention. Ne voulant pas qu'elle panique en ne te découvrant pas dans la chambre, tu files la rejoindre avant d'aller t'installer dans le salon. Tu prends place par terre pour jouer avec elle, la petite tenant toujours son doudou dans les mains. Comme tout à l'heure, Kiera se hisse sur ses petites gambettes en se tenant au canapé. L'équilibre n'est pas parfait, mais cela lui permet de s'entraîner. Toute fière, elle tourne sa tête vers toi, toute souriante. « You are really strong ! » Pincement gentillet sur ses cuissots qui la font rire. Fillette piétine maladroitement, s'exerçant à faire le mouvement. « You come ? » Bras se tendent dans sa direction, tu l'incites à venir te voir. Elle te regarde longuement, mais ne semble pas encore décidé à faire ses premiers pas. « Okay I see, so that's Dad coming. » Tu te penches rapidement vers la rouquine et l'attrapes dans tes bras, la ramenant contre ton torse pour faire semblant de la manger. Éclats de rire assurés. Rires partagés, tu enfouis ton visage dans le creux de son cou pour la chatouiller alors qu'elle se tortille comme un asticot. « Yummy! » Tu relâches ton emprise sur elle et la benjamine en profite pour s'enfuir à quatre pattes, très amusée par le jeu. « Oh no, you're too fast for me... Daddy's tired, Daddy's going to take a break. » Tu t'allonges de tout ton long sur le sol et attends de voir sa réaction. Celle-ci ne se fait pas attendre, Kiera revient à la charge en se plaçant à côté de ton visage. Bouche grande ouverte, elle te mange gentiment la joue. « Yek, no, baby slime! It's disgusting! I'll have to take another shower. » Nouveaux éclats de rire, tu t'essuies la joue d'un revers de main. Kiera, elle, s'amuse à t'attaquer pour se venger. « Somebody help me... Oh please, stop drooling on me. » Dis-tu en pouffant.
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Re: whatever it takes ((Liam O'Connor))
Ven 22 Avr - 2:26
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outfit & home - « No, it's not your fault. » Tu cherches quand même a le rassurer, tu n'as pas peur de lui, t'as juste peur des fantômes qui hantent ton quotidien. Ils dansent tous dans ton esprit, et parfois ils se personnifient dans des troubles auditifs, des actions faites sans prévenir, des tocs que tu mets en application par pure moyen d'autoprotection. T'es fuyante quand tu butes sur tes soucis. La vie de psychologue, c'est parfois mettre ses propres maux de côtés pour panser ceux des autres - sauf que toi, c'est tout ce que tu sais faire. La main sur ton épaule diffuse naturellement une agréable chaleur, et tu souris doucement à cela, déposant ta joue afin d'y trouver un contact serein. Il se glisse dans ton dos, l'irlandais, et effectue même un petit massage sur les noeuds par milliers qui tissent leurs toiles sous ta carné. Doux baiser dans ta tignasse rouquemoute, tu remets en place les affaires sur ton bureau, dans une maniaquerie maladive. T'essaies de te contrôler, mais c'est comme si naturellement tu calculais l'endroit exact, au millimètre près, la place parfaite de chaque objet. T'as l'air tendue qu'il t'avoue, demandant même si tu es réellement dans l'obligation de poursuivre ton travail - même à distance. « It's permanent, it's part of the job. » Tu grimaces lorsqu'il force sur les tensions, il faut dire que tu as peu de temps pour te détendre, et quand tu y arrives, ce sont tes traumatismes passés qui te déstabilisent. Il assure, d'une façon des plus malicieuse, pouvoir t'aider afin d'y parvenir réellement, et la seconde suivante, tu les sens ses mains baladeuses se glissant sur les tissus pour venir redessiner le galbe de ta poitrine. Tu pouffes de rire, haussant les sourcils. Il est certain de ne pas avoir vu d'innocents traîner dans les parages, seulement Tomás lourdement endormi sur le canapé. « You're a rascal my dear ! » Mais il te libère, parce que t'es plantée là comme un piquet, t'affairant encore et encore a tout remettre machinalement en ordre. Il pose son fessier sur ton bureau, penchant son faciès afin de capter ton regard fuyard. « I think so... » Tu relève timidement le regard, pinçant tes lippes maladroitement. « It'll pass ! » Tu lui souris avec la même tendresse qu'il t'offre, le regardant se reprendre pour te proposer de préparer le repas. Seul souci, maintenant qu'il ne te fixe plus, c'est qu'il n'aperçoit pas la grimace qui étire tes traits. « Liam no, you don't have to thank me or anything. And so... » Il se rend compte au même moment, et tu grimaces un peu plus en rentrant ton faciès dans le creux de tes épaules. « Sooorry... I'm used to it with my busy schedule ! » Mais rien de grave, il se propose pour la prochaine fois - qui arrivera donc demain, suivant si son humeur se range du bon côté tu te doutes. Tu lui souhaite aussi. Mais le moment à presque deux se termine lorsque Kiera se fait entendre dans le babyphone.

Tu termines ta maniaquerie, pianote quelques mots sur ton ordinateur avant d'entendre père et fille s'installer dans le salon afin de jouer ensemble. Installée sur la chaise ergonomique de ton bureau, tu pivotes afin de les regarder faire. L'irlandaise tient plutôt bien sur ses petite gambettes, l'équilibre reste a peaufiner, mais elle est en bonne voie de faire ses premiers pas. T'aime les entendre rire ensemble, les voir s'épanouir depuis quelques semaines déjà, ils n'ont déjà plus rien des deux patients que tu rencontré pour la première fois. Tu remarques aussi que le père a du mal pour résister aux regard bleuté de son enfant. C'est naturel, tu étais certainement pareil si ce n'est pire avec ton fils. D'ailleurs, le tiens est imperturbable - il faut dire que tu l'as habitué depuis toujours a vivre, dormir, faire sa petite vie malgré le bruit, malgré les mouvements, malgré tout. Tu n'as plus vraiment l'envie de continuer a travailler dans l'immédiat, et de toute façon, tes insomnies te permettront de rattraper ton retard. Alors que la petite fille trouve sa revanche en dévorant - et bavant - son père tel un lionceau apprenant a chasser, tu te relèves, pour venir t'agenouiller à côté du paternel. « You don't eat your daddy. But you do have to shower him with kisses ! » Et elle ne se fait pas prier la rouquine ! Elle embrasse ici et là le visage de l'irlandais, tu ris malicieusement, avant de te pencher pour lui voler un doux baiser. Kiera vous regarde alors avec de gros yeux ronds, et tu hausses les sourcils à sa surprise. « Cant I do it sweety ? » Sa petite main vient agripper ta manche, et elle te tire. Tu pensais être repoussée mais il n'en est rien, elle t'attire vers Liam afin que tu puisses recommencer. Tu ne te fais pas prier, venant embrasser avec une passion différente et bien plus chaste l'homme encore à terre. Tu romps le contact, te redressant en adressant un clin d'oeil au père de famille - sur le point d'ajouter un petit commentaire. Coupée dans ton élan lorsqu'une toux graveleuse retentit, du petit corps d'homme du rouquin que tu as enfanté, suivi de pleures rauques. T'es aux aguets, tu te relèves soudainement en t'approchant du canapé. « It's okay honey, I'm here... » Tu le soulève précautionneusement, le gardant tout contre toi en attendant que cette vilaine toux s'apaise. Mais il pleure le plus jeune, s'agrippe à toi en cachant son visage dans ton cou. I have a boo-boo Momma... Tu le berce lentement. « I know that Tomás. Do you want grandpa's magic candy ? » Il hoche la tête, et te dirigeant dans la cuisine afin d'aller attraper un pot en verre pour en sortir une pastille irrégulière. Il la place dans sa bouche, avant de remarquer la présence de Liam et Kiera. Momma ? « They will stay with us. » Liam is going to be my daddy ? Because I want Kiera to be my little sister ! Oui, il n'a toujours pas de filtre ce petit, malgré les semaines qui passent. Tu rougis légèrement en essuyant son visage marqué de larmes. Une fois posé par terre, il s'enfuit pour s'isoler dans ton bureau et y trouver un certain calme alors que tu fixes Liam en pinçant tes lèvres. « I'm sorry. He has even fewer filters when he is sick... » Kiera approche sur ses quatre pattes en te pointant du doigt le bocal où tu t'es servie plus tôt. Tu l'attrapes dans tes bras. « You're not sick, young lady. » Taquinerie dans ton regard, tu lui donnes tout de même une pastille plus petite encore afin qu'elle ne s'étrangle pas avec. Tu tournes ton visage vers Liam en souriant. « My father makes them himself. A recipe he got from his grandmother ! Don't worry ! »
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Re: whatever it takes ((Liam O'Connor))
Sam 23 Avr - 2:16
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outfit - Jolie doctoresse vient à ta rescousse, ta carcasse traînant toujours sur le sol. Après une piètre tentative de cannibalisme, ta fille suit les conseils avisés de la trentenaire et décide de recouvrir ton visage d’une pluie de baisers. Cela a le don de te faire rire, s’en suit e suite d’un tout autre baiser donné par la plus grande. Échange de regard, Kiera vousninvite à recommencer. Vous voir tous les deux agir de la sorte ne semble pas lui déplaire, vous vous embrassez à nouveau. Mais le moment est de courte durée, puisque les pleurs du petit Tomàs se font entendre. Jolie maman rejoint son fils malade, alors que tu te redresses. Bras récupèrent ta petite, Lizzy réapparaît avec, elle aussi, son enfant dans les bras. Signe de la main en guise de salutation. ”Hey budy.” Sans filtre, il demande si tu comore être son nouveau papa, rêvant d’avoir Kiera comme petite sœur. Sourire pincé, billes se posent sur la belle rousse, gênée par les dires de sa progéniture. ”It’s okay, it’s okay. But, maybe we don’t know.” Tu ne le prends pas mal, hien ai contraire, c’est même plutôt mignon et encourageant de savoir que le garçonnet leur relation. Bien des enfants se voient être jaloux lorsque leurs parents décident de se remettre en couple. Petite demoiselle réclame une pastille, volonté acceptée, Lizzy se veut rassurante sur l’origine de ces médicaments fait maison. Aucun problème là-dessus, tu lui fait totalement confiance.

L’heure du repas arrive rapidement et si le plafond est déjà prêt grâce au robot, tu aides au moins à mettre la table. L’ambiance est au beau fixe, sourires et rires sont de la partie. Conversations multiples telle une vraie famille, vous passez un agréable moment tous ensemble. Repas terminé, table débarrassée et nettoyée, les petits rejoignent leurs lits pour une bonne nuit de sommeil bien méritée. Dr votre côté, soirée cocooning en perspective, tu profites pleinement de cette soirée pour te rapprocher encore un peu de ta psychologue. Petit nuage et bulle de bonheur, rien ne semble pouvoir ébranler ce bonheur. Puis à votre tour, vous rejoignez votre lit. Corps se glisse sous les draps, les bras de Morphée s'ouvre à toi. Lendemain matin, réveillé aux aurores, tu es le premier à quitter le lit. Toute la maison est encore endormie. D’humeur plus que joviale, tu quittes le domicile pour te rendre dans une boulangerie du quartier afin d’acheter le petit déjeuner pour tout le monde. Ares quelques minutes, tu rentres les bras chargés. Grosse dépense effectuée, tu as acheté plus que de raison. Il y a de quoi faire le petit déjeuner de toute la semaine. État euphorique, un côté de ta bipolarité que tu apprécies car tu te sens tout simplement heureux de vivre, même si tes actions se font parfois, très souvent, dans l’excès. Petite famille se réveille, tandis que tu prépares du café. Grand sourire sur ton faciès, baiser déposé sur la joue de la trentenaire, caresse sur le dessus du crâne de Tomàs, puis tu récupères ta fille dans tes bras. ”Breakfast is served !” Véritable pile électrique, tu as l’impression que tu pourrais tout faire aujourd'hui. Et cet état dur yout au long de la journée, difficile de te faire tenir en place. En revanche, c’est ta petite qui est ravie de te voir aussi heureux.

Toutefois, toutes les bonnes choses ont une fin. Le lendemain, cela n’a rien à voir. Dix heure et demi tu matin, carcasse toujours allongée dans le lit. Chambre plongée dans l’obscurité, tu n’as pas bougé. Tu entends du mouvement non loin, mais ne réagi pas. Lizzy vient te voir, sans doutepour voir si tout va bien. Sa voix est douce, mais tu n’as ni la force, ni l’envie de répondre et encore moins la volonté de bouger. ”Go away...” Que tu finis par lui dire. ”Please... need some rest.” Revers de la médaille douloureux, voilà les mauvais côtés de ta bipolarité. ”I said get out..” Tu t’enfonces dans la couverture, cachant ton visage dans le creux de l’oreiller. Le temps défile mais tu ne bouges pas d’un pouce, véritable loque. Kiera pleure, tu l’entends de l’autre côté de la porte, mais ce n’est pas pour autant que tu lèves le petit doigt. ”I’m so tired...” Paupières peine à s’ouvrir, la journée doit être affreusement longue pour ta fille qui te réclame, tu as du mal à supporter ses pleurs lorsque la dépression s'installe. Lorsque tu es ainsi, ton temps passe au lit est décuplé. Tu peux aisément rester plusieurs jours d'affilié, couché, sans faire rien d'autre que dormir. Heureusement, la doctoresse est là, Kiera ne sera pas toute seule. Tu n'as toujours pas repris ton traitement, hier tu te sentais tellement bien, que tu n'as pas pris la peine de prendre tes cachets. "I' m an horrible father.." Grimace tord les traits de ta gueule d'ange, tu pourrais presque pleurer tant tu te sens mal et coupable d'être dans cette état. La dépression s'installe, il est grand temps de faire quelque chose.
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Re: whatever it takes ((Liam O'Connor))
Sam 23 Avr - 23:21
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outfit & home - le reste de la soirée se passe dans une atmosphère des plus conviviale, l'image même d'une petite famille recomposée. Vous profitez même d'une soirée à deux, alors que les enfants épuisés par tant de remue ménage tombent comme des mouches dans l'étreinte de Morphée. Vous vivez là sur un petit nuage, et il y a longtemps que tu n'as point passé pareil moment, mais ton premier souci s'impose au moment de dormir, si l'irlandais ne tarde pas, toi tu as tourné et retourné un millier de fois. T'as même sorti ta tablette pour pianoter dessus quelques rapports ici et là, ce n'est que tard - ou tôt dépendant de quelle côté penche la balance - que tu as sombré. Si bien qu'aux aurores, tu n'as même pas fait cas du réveil du rouquin, continuant ta nuit comme si tout était parfaitement normal. Mais comme toujours, ta nuit est courte, et ce sont les plaintes matinales de Kiera qui te tirent la première de tes draps. Tu te traînes jusqu'à la chambre des plus jeunes, attrapant Kiera d'un bras avant de remarquer que Tomás attendez là sagement. Second glissé sous ses fesses pour le soulever, et tu descend là les bras chargés. Pour être accueillis par l'odeur agréable de caféine, et une véritable festin. T'es agréablement surprise, et tu reconnais là les débordements d'émotions de l'hyperactivité. Tomás ne s'en plaint pas, il adore ce genre d'attention, et tu peux même en profiter pour te plonger dans ton travail tant les enfants sont absorbés par l'énergie du trentenaire. Oui mais voilà, après une nouvelle nuit courte, réveillée par les plaintes encore presque silencieuses des enfants, tu t'es levée la première cette fois. Et tu t'es occupée d'eux, du petit déjeuné, du fait de les apprêter, et puis tu les a laissé jouer dans leur chambre - la porte ouverte - pour te rendre auprès du roux encore enfouis sous les couches de couvertures. « Liam, are you okay ? » Oh, tu t'y attendais, de ne pas être accueillie de façon courtoise. Il assure avoir besoin de repos, et alors que tu t'assois sur le moelleux du matelas, il se tourne vivement en te demandant cette fois plus violemment de partir. « You don't really need some rest, Liam... » Mais l'énervement et le haussement de ton du père de famille a attisé son enfant. Kiera tambourine à la porte en pleurant. Il fatigue le trentenaire, il peine a se mouvoir même ici dans ce lit. Tu te redresses pour aller récupérer la petite fille en séchant ses larmes d'un revers de pouce sur ses joues poupines. Mais quand Liam assure être un mauvais père, tu fronces les sourcils en t'agenouillant face à lui. « Don't say that. » Kiera se cache contre toi, observant son paternel du coin de l'oeil avec beaucoup d'inquiétude.

« We don't have to be perfect. Nobody does, we just do the best we can Liam. » Tu te penches pour déposer un baiser sur son front - telle une bénédiction - avant de sortir pour remettre Kiera dans la chambre voisine. « You stay with Tomás, I'll look after your dad. » Le plus jeune tapote même l'épaule de la rouquine pour attirer son attention sur les jeux qu'ils partagent depuis une demi heure déjà. Tu laisses la porte entrouverte pour eux avant de retourner dans la chambre, fermant celle-ci cette fois. Tu t'accroupie devant le rouquin en penchant la tête. « If you think you can get rid of me that easily... » Tu souris doucement, venant déposer un baiser sur son front. « Come on, I'll take care of you. » Et tu le tire, même si il râle l'irlandais ! Tu redresses d'abord son buste en empoignant ses poignets. Une fois assis, tu grimpes, appuyée sur tes genoux, sur le lit. « I've got your treatment, and this one should be perfect for you, you'll just feel... You. » Baiser volé sur ses lèvres, lui faisant bien comprendre que s'il veut plus, il devra te suivre - et ce jusqu'au bout du monde. Tu lui laisse le temps de chasser dans un presque geste désespéré la fausse fatigue physique, la lourdeur des émotions sur ses épaules. Une fois le trentenaire debout, tu l'entraînes dans les escaliers pour rejoindre ton bureau. Là, si celui-ci trône le sachet de la pharmacie, duquel tu sors deux flacons. « That's all you have to take. This one in the morning, this one in the evening. » Que tu annonces en les plaçant dans ses mains. « In the meantime, we will just have to learn to manage the crisis when it arises. » Tu te glisse entre ses bras, posant ta joue contre son torse. T'as confiance, il n'est pas le premier patient bipolaire que tu rencontres, et t'as vérifié toutes les possibilités, t'as étudié son cas, t'as sacrifié parfois quelques heures de sommeil pour cela. « The aim is not to make you insensitive by stuffing you with pills. » Tu relèves ton faciès, menton appuyé contre sa chair - petite risette tendre étirant tes commissures. « But that you know how to identify your emotions, your phases. Independence, even in illness, also requires self-confidence. » Tu arranges là quelques mèches rebelles, tu sais que les prochains jours vont être interminables, intenables pour certains. Mais t'es prête, t'es prête à tout. Pas seulement pour que le trentenaire vive sereinement, mais aussi pour ses enfants qui attendent tant, et peut-être égoïstement... Pour que vous puissiez reprendre cette idylle à laquelle tu as pris goût. Parce que tu veux essayer, voir où cela vous mène, voir de quoi tout les quatre être capables ensemble - et non séparément.
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Dim 24 Avr - 2:29
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outfit - Trentenaire vient se positionner devant toi, ta fille dans les bras. Iris azurs se relèvent péniblement  ers les deux demoiselles, tu ne dit rien. La petite est confié au garçonnet, les deux enfants filent s’occuper avec les jouets dans la pièce d’à côté. Porte se referme et tu t’emmitouffle dans la couverture comme pour te protéger du monde extérieur. Ce que tu peux détester cette phase. La dépression. T’as l’impression d’être un moins que rien, que rien ne va. Tout ce que tu aimes à un goût fade, bref la vie n’est plus rose. Baiser déposé sur le front, elle ne compte pas abandonner aussi facile la rouquine. Ce n’est pas un rouquemoute dépressif qui va lui faire peur. La fraîcheur de la chambre te herisse le poil et tu râles, sourcils froncés, tu tentes de résister lorsque tu sens la belle te tirer pour te redresser. ”Please Lizzy... let me.” Non, t’as envie de rien, ni de rien faire. Juste rester coucher dans le noir à attendre que ça passe. Elle grimpe sur le lit et te vole un baiser. Aucune réaction. Et tu dois te lever pour la suivre. Tu rechignes, mais elle ne te lâche pas. ”Please...” Pas de pitié, tu dois sortir de ta cachette. C’est donc à contre cœur que tu sors de ton cocon, la suivant péniblement jusqu'à son bureau. Traitement ajusté et déposé dans tes mains. Tu observes les flacons de pilules d’un œil fatigué,  tandis que Lizzy se glisse dans tes bras. Douceur de ses gestes gont chavirer ton coeur meurtri.

Simple hochement de tête de ta part, remerciements silencieux, bref baiser déposé contre son front, sans saveur, puis tu descends en cuisine afin de prendre ton premier cachet. Kiera remarque ta présence et crapahute jusqu'à toi. Ignorance totale, tu retournes dans ta tanière. Et tu l’entends chouiner juste derrière toi, mais tu ne retournes pas, préférant te cacher sous la couverture. Petite princesse te suit malgré tout et se hisse devant toi en s’accrochant à la couette. ”Go play with Tomàs.. i need to sleep.”Tout comme la doctoresse, elle ne lâche pas l’affaire et babille dans ta direction, elle tente de grimper. Tu soupires, désespéré et tu redresse un peu pour la mettre sur le lit, te rallongeant aussi sec. Fillette se faufile dans tes bras, cherchant ton contact et ta chaleur. Tes yeux se font lourds et tu sombres rapidement. Les jours suivant se ressemblent, tu ne quittes le lit que pour aller aux toilettes ou prendre une douche. Ton appétit est faible, tu ne manges pratiquement rien. Bien évidemment, tu fais attention à bien prendre tes médicaments, ces derniers mettant un peu de temps à bien se mettre en place et à faire leur effet. Milieu de semaine, une amélioration. Une renaissance. Sentiment de bien-être prend peu à peu possession de toi. Tu quittes la chambre pour aller faire ta toilette, puis rejoint le reste de la petite famille au lieu de retourner te coucher. Baiser déposé sur les petites têtes rousses avant de rejoindre les bras de la trentenaire. Lèvres se,posent contre les siennes dans un baiser tendre, puis tu fourres ton faciès dans le creux de son cou. ”Good to see you..” Tu la serres contre ton corps pour lui montrer que étais bel et bien de retour. ”I’m so so sorry..It must not have been easy the last few days.” Tu t’attends déjà à ce qu'elle te dise que tu n’as pas besoin de t’excuser, mais tu en ressens tout de même le besoin. Tu sais très bien que tu n’es pas une personne facile à vivre dans ce genre de situation. Beaucoup auraient abandonnés. Tu te retournes ensuite vers ta progéniture qui te dévore du regard, impatiente que tu la prenne dans tes bras. Chose que tu fais. Ses petits bras s’enroulent autour de ton cou, gros câlin bien mérité. ”Yeah i know sweetheart.. missed you too.” Pilule avalée. Tu es ravi de voir que tu ne ressemble pas à un légume avec ces cachets. ”What I missed ?” Demandes-tu un peu penaud. Tu vas pouvoir mieux vivre à présent, les crises seront plus espacées et te laisseront avoir une vie plus simple. Ton attention se reporte ensuite sur ta petite, que tu soulèves à plusieurs reprises sans ses bras. Bonheur sur son visage ponpon, elle rit aux éclats en voyant que tu es de retour. Il est certain que tu lui a beaucoup manqué durant ces jours. Les journées devaient être affreusement longues pour eux, tandis que toi, tu dormais à poings fermés. Tu la poses ensuite et te rapproche de la belle rouquine, te glissant dans ses bras. Tu la prends à part, ne souhaitantpas’que’les enfants entendent ce que tu t’apprête à lui dire. ”Thanks for everything, I know you were keeping an eye on me the whole time. You know, I'm always afraid of what I might do when I'm in this state. I have to admit I've had some dark thoughts the last few days. I know I could have done something, in the past I have tried ” Tu n’as pas peur de lui avouer ce genre de chose, elle est là pour t’aider et cela te rassure.
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Re: whatever it takes ((Liam O'Connor))
Lun 25 Avr - 23:11
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outfit & home - Les jours qui ont suivis étaient difficiles. plus pour le rouquin que pour toi il faut dire. bien que tu ais accumulé énormément de fatigue, tu ne t'en plains pas - jamais. tu as veillé au bien être des deux jeunes gens, mais aussi celui de Liam qui ne quittait que très rarement ta chambre. plongé à longueur de journée dans l'obscurité et la tranquillité tant recherchée. de ton côté, et bien tes journées commençait tôt, au réveil de l'une ou de l'autre, petit déjeuné, ménage, courses, travail, déjeuné, sieste des jeunots, travail, dîner, toilettes de tous, couchés, et le retour du travail pour toi à nouveau. t'as privilégié la nuit pour rattraper ton retard. il faut dire que l'irlandais n'est pas ton seul patient, bien que le seul a être aussi proche de toi. en réalité, ces quelques jours supplémentaires, tu n'as pas pu dormir convenablement dans les bras de Morphée qui lui ne t'offrait que la possibilité de faire : une sieste. le milieu de semaine pointe rapidement le bout de son nez, et si ton teint de porcelaine ne laisse rien paraître, il y a ce quelque chose dans tes prunelles qui prouvent que seuls les nerfs te font tenir. enfin, tu es habituée, c'est le cas depuis quelques années déjà. mais ce matin, tu es sur le point d'avoir une surprise des plus agréable. après une douche rapide, t'as enfilé un de ces collants à effet chaussette, une jupe tartan noire et blanche, ainsi qu'un gros pull rouge. t'as froid, et la fatigue n'aide pas réellement à ce que tu te sentes mieux. Tomás est le premier réveillé, tu le reposes au sol avant de sortir Kiera à son tour pour descendre tous les trois en faisant le moins de bruit possible. tu installes les enfants sur la table basse pour leur laisser le loisir de se dégourdir les pattes tout en mangeant leur petit déjeuné. pendant que toi, tu t'actives déjà en cuisine tout en avalant sur le pouce une tasse de caféine corsée. à la recherche de possibles repas pour le midi et le soir. t'es interrompue dans tes pensées lorsque tu entends tantôt Kiera hurler après son père, et Tomás qui lui hurle son nom. A peine le temps de te tourner que l'homme à la chevelure de feu se glisse dans tes bras pour venir te dérober un baiser d'une infinie tendresse. « Good to see you too ! » mais il s'excuse bien vite le trentenaire, assurant que les derniers jours n'ont pas du être de tout repos. faciès secoué, tu souris doucement en passant ton pouce sur l'arrondit de sa pommette. « It's okay Liam, don't apologize. » baiser volatile avant que le père de famille ne retourne à la rencontre de sa fille. Tomás trop occupé par son assiette pour venir les embêter - il ne rigole jamais avec la nourriture celui-là !

Lorsqu'il demande ce qu'il a bien pu louper, t'étais sur le point de répondre quand ton fils s'en charge à ta place. Momma broke some dishes because she wasn't concentrating ! And then we also did some painting with Kiera ! Oh, we also went shopping and Momma, she bought us cuddly toys ! tu souris doucement en regardant maladroitement les trois rouquins, plaidant coupable dans ton regard. tu retournes à la préparation du repas de midi en amont, alors que Liam joue avec la plus jeune dans des retrouvailles dignes de ce nom. Mais t'es interrompue à nouveau par l'irlandais qui réclame à son tour ton attention, te faisant pivoter pour t'attirer dans ses bras - et à l'abri de petite oreilles malignes. il te remercie alors pour tout ce que tu as fais ces derniers jours, la dose de travaille ayant été phénoménale, tu secoues la tête. tu n'attendais rien suite à cela, tu t'es naturellement proposée pour lui venir en aide afin que la garde de Kiera ne lui soit pas retirée. puis, il te confie avoir peur en permanence dans ces sombres périodes, car par le passé il a déjà essayer d'atteindre à sa vie. tu glisses alors tes mains de part et d'autres de son visage, venant rejoindre ses lippes dans un baiser lourd de sens le temps de quelques secondes, avant de reposer ton front sur le sommet de son torse. « I know, and you won't get too many ideas like that in the future, we'll work on it. » Tomás interrompt alors votre moment en tirant un peu sur ta jupe. tu te recule pour poser ton regard d'acier sur son visage poupon. Grandpa calls on your phone ! tu fais alors claquer tes talons jusqu'à la table côté salle à manger pour attraper ton téléphone et décrocher. rejoignant ton bureau pour pianoter sur ton ordinateur afin de répondre aux questionnements et aux besoins des affaires en cours. ton paternel ne manque pas - alors que tu viens d'activer le haut parleur - de te rappeler à l'ordre. Lizzy honey, you look tired. Do you want me to put you on hold for a few days ? Or should I come and pick up Tomás for the weekend ? Tu souris en continuant de lui envoyer ce qu'il a réclamé. « It's all right, Dad, don't worry, I just brought the reports forward. For the last one, is it OK if I send it to you tonight for tomorrow ? » Il t'accorde tout, avant de raccrocher pour retourner travailler. Tu te redresses en passant une main sur ton visage, venant t'affaler dans le canapé pour poser ta tête sur l'épaule de Liam. « I even came close to adopting a beautiful German shepherd yesterday. I changed my mind because... I had two furies who wanted to leave with a billion animals ! » Tu embrasses l'arrondis de son épaule en te redressant, perdant l'équilibre sur l'instant. rattrapée de justesse par le trentenaire, tu pinces tes lèvres. « I'm sorry, it's just the pressure coming off after the phone call to work. » Parce que tu te doutes pas qu'en réalité, c'est tout autre chose, rouquine.
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Re: whatever it takes ((Liam O'Connor))
Dim 1 Mai - 11:35
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outfit - Confidences faites, peur dévoilée. La belle rouquine sait désormais que tu n’es pas serein lors de tes mauvaises phases. Pas de panique, elle sera là pour te soutenir lors de ces mauvaises passes. Tu n’es plus seul désormais, Lizzy te soutien. Sourire esquissé, moment interrompu par la venue du garçonnet, un appel de son grand-père. La jeune femme récupère son téléphone et y répond. Tu attends patiemment qu'elle termine, retournant auprès des enfants le temps qu'ils terminent leur petit déjeuner. Kiera n’est plus vraiment intéressée par son assiette depuis ton retour, elle n’a d’yeux que pour toi. Adorable petit être que tu ne peux t’empêcher de prendre dans tes bras pour lui offrir des câlins que tu n’as pu lui donner durant ces derniers jours. ”I missed you so much.” Dis-tu en lui donnant un petit baiser esquimau qui la fait rire avec légèreté. Tu la dépose ensuite sur le sol, la laissant rejoindre Tomàs. Carcasse se traîne ensuite jusqu'au canapé. Télécommande en main, tu allumes la télévision  en attendant le retour de ta bien-aimée, toujours au téléphone avec son père. Tu n’as pas à attendre bien longtemps, puisqu'elle vient s’affoler juste à côté de toi, tête reposant sur ton épaule. Nouveau sourire et baiser déposé sur son front, tu passes un bras autour de ses épaules. Elle t’avoue avoir faillit adopter un berger allemand, avant de revenir sur sa décision. Aveu qui te fait rire, effectivement, deux enfants sont bien assez suffisant. ”We'll see about adopting a dog later.” Petit sous-entendu, tu lui fais comprendre que tu ne compte pas la quitter de si tôt. Tu t’Imagines très bien avoir une vie de famille avec elle. Puis elle tente de quitter le canapé. Perte d’équilibre, tu te relèves rapidement pour la rattraper de justesse.

”Are you sure it's okay ?” Front plissé, tu es prit d’une certaine inquiétudes. Culpabilité naissante, elle a dû s’occuper des petits en plus de son travail, pendant que tu jouais les loques dans son lit. ”I'm really sorry, it can't have been easy the last few days. You should get some rest...” Et tu te doutes bien qu’elle ne va pas accepter. Mais têtu comme tu es, tu ne lui laisse pas le choix en vérité. Sourire taquin, tu l’accompagne jusqu'à la chambre, puis l’aides à s’allonger dans le lit. ”Even a one hour nap will do you good, stay here or I'll tie you to the bed.” Idée alléchante, tu viens te positionner au-dessus d’elle, les mains de chaque côté de son visage. ”I will take care of the children, you just have to rest. No computer, no work, nothing but rest.” Doucement tu rapproches ton visage du sien, née se frôlent et lèvres se rencontrent pour un léger baiser. ”If you manage to keep quiet, maybe I can give you a reward.” Tu attrapes sa lèvre inférieur à l’aide de tes dents, tirant à peine dessus. Baiser sur le bout du nez, tu tires les rideaux pour qu'elle soit dans la pénombre, puis tu retournes auprès des enfants. Contrairement à Lizzy, eux ont besoin de se dépenser. Une petite sortie s’impose. Mais avant, tu as bien besoin d’une bonne douche. Une fois lavé et habillé, tu habilles les enfants et les embarques pour une promenade au parc. Avec le nouveau dosage de tes médicaments, tu te sens en pleine forme, c’est un renouveau. Tu peux profiter pleinement de ta nouvelle vie sans avoir l’impression d’être un légume somnolent. Et c’est après deux bonnes heures que tu reviens au domicile de la psychologue. Tu espères sincèrement ne pas la retrouver devant son ordinateur. Laissant les enfants rejoindre leurs jouets, tu retournes auprès de la rouquine, voulant voir comment elle va avant d’aller préparer le repas du midi. ”How are you doing? Have you been serious? Did you get some rest?” Phalanges se glissent entre ses mèches flamboyantes, tu y déposes un doux baiser, tout de même inquiet par cette perte d’équilibre. Tu te sens fautif, c’est à cause de toi qu'elle est dans cet état de fatigue et tu comptes bien te rattraper ces prochains jours, en la déchargeant un maximum de ses tâches.
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Re: whatever it takes ((Liam O'Connor))
Dim 1 Mai - 14:13
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outfit & home - ça le fait rire de t'entendre dire que deux enfants équivalent à un compagnon à quatre pattes. mais dans l'immédiat tu as d'autres priorités, comme prendre soin de Liam et Kiera, t'es passée par là, tu sais que le chemin est long et tumultueux. il te confesse alors que vous prendrez un chien à l'avenir, et cette perspective t'arrache un petit sourire en coin. tu n'as rien contre le fait que votre vie puisse continuer ainsi, comme une véritable famille. malgré la proximité d'âge des deux bambins, vous avez absolument tout pour en être une - jusqu'à la chevelure ! lorsque tu essaies de te lever à nouveau, tu perds soudainement l'équilibre, rattrapée de justesse par l'irlandais au front plissé par le tiraillement. la pression retombe un peu, tu ne t'en inquiète pas plus que cela - contrairement à lui. alors, lorsqu'il s'excuse à nouveau, tu secoues la tête. « it's okay Liam... » coupée dans ton élan, proposition de repos faite, il ne te laisse même pas le temps d'épiloguer, t'entrainant dans les escaliers pour te forcer a lever le pied. « Liam please, no ! » il t'aide même, te borde telle une princesse avec l'épaisse couette. c'est qu'il te menace le rouquin, une heure de repos où tu risques bien de finir attachée à ce lit. tu glousses à son sourire taquin, haussant un sourcil à cela. « you'd love to tie me to it, admit it. » que tu lances alors qu'il se penche pour placer ses mains de part et d'autre de ton faciès - s'enfonçant doucement dans le moelleux du matelas. mais c'est que les ordres sont sans retenue : pas de travail, pas d'ordinateur, peut-être même n'as-tu pas l'autorisation de quitter le lit ! il te promet de prendre soin de vos enfants, alors que tu dois d'abord penser à toi. son faciès s'approcher lentement du tiens, et tu hoches la tête à ses dires évidemment - peu sûre de pouvoir fermer l'oeil toutefois. vos nez se frôlent, avec beaucoup de tentation, un baiser volatile t'es même offert et une risette malicieuse étire tes commissures lorsqu'il mordille ta lippe inférieure. « i'm curious, what kind of reward ?» baiser sur la pointe de ton nez, tu te tournes en remontant la couette par dessus tes épaules, ne le quittant pas des yeux lorsqu'il tire sur les rideaux afin de te plonger dans le noir. lorsqu'il quitte la chambre, tu peux entendre les enfants, à l'étage inférieur, exprimer leur joie de passer du temps rien qu'avec Liam. tu le croises même passer afin de s'apprêter pour une sortie, ne manquant pas de grogner avec sensualité pour juger ouvertement la beauté que tu vois en cet homme. il ne te laisse pas de marbre, l'irlandais.

les deux heures qui suivent, tu tournes en rond sur le matelas. le calme n'a jamais été ton fort, il t'angoisse, il t'effraie. par le passé, cela annoncé aussi que l'alcool coulé à flot, avant d'éveiller les ennuis, de les rameuter. le temps semble interminable. alors, ton corps encore sous les draps, ta joue enfouie dans le moelleux de l'oreiller, tu attends, regardant à droite à gauche ce qui peut bien se dessiner dans la pénombre lorsque tu entends la petite troupe arriver à nouveau. la porte de la chambre s'ouvre sur cette chevelure de feu, l'homme venant se pencher sur ton être pour te demander si tu as su te tenir sagement ou non. « Im fine. I couldn't close my eyes, but I stayed there, I promise ! » risette tendre à l'attention de ses phalanges et son baiser sur ta tignasse, tu relève ton visage pour venir lui offrir à ton tour un baiser - rempli d'un amour que tu ne sais exprimer. mais le calme ne peut perdurer quand il y a ici des enfants en bas âge, là voix de Tomás résonne dans les escaliers. look, I'll show you ! tu t'écartes en fronçant les sourcils. tu te redresses légèrement en retenant Liam par le poignet, secouant ton faciès. « Wait... I taught him to climb the stairs safely. » et vous entendez des bruits, jusqu'à ce que six petites pattes n'accourt jusqu'à vous. le plus jeune se hissant sur ton lit avant de se pencher en allongeant sa petite personne pour attraper Kiera sous les bras et la hisser avec difficulté. « But what are you doing, Tomás ? » une fois les deux enfants installés, il se tourne avec un large sourire. we come to keep you company Momma ! tu lui pinces la joue en déposant un baiser sur son front. Liam s'échappe pour préparer le repas en te laissant en bonne compagnie. tu t'allonges à nouveau sur le dos, Kiera venant se blottir tout contre ton buste - sa tête enfouie au centre de ta poitrine. Tomás lui se glisse à côté de toi, ton bras pour oreiller. tu les dorlotes, papouilles et baisers à volonté, en piquant un peu du nez. finalement, le sommeil vous emporte tout les trois dans les bras de morphée. tu ne sais combien de temps passe avant que tu ne sente les lèvres du père de famille sur ton front - tu souris en lutant pour garder les yeux ouverts. « Do you want to go downstairs to eat ? » tu regardes les plus jeunes encore endormis, tirant sur le poignet de l'irlandais pour se glisser à vos côtés. tu te décales un peu pour poser ta joue sur son torse - Tomás encore entre vous. « Thank you for taking care of everything like that, you know I'm not going to stay in bed all day ? » tu pouffes de rire en relevant ton faciès vers le sien, vos lèvres fort proches. « I would ask my doctor for a check-up, to make sure I'm not suffering from any deficiencies. don't worry. »
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Lun 2 Mai - 15:14
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outfit - De retour de la promenade, petit coup d’œil jeté dans la chambre, pour aller voir la belle psychologue. Tout va bien de son côté, en plus, elle t'a écouté et n'a pas du tout bougé du lit. Le sommeil n'est pas venu jusqu'à elle, mais au moins, le repos était bien là. La voix du petit résonne dans la maison, celui-ci grimpant les marches de l'escalier. Prêt à aller le chercher, Lizzy te retient pourtant. Peu de temps après, les chérubins se présentent dans la chambre, se hissant jusque sur le matelas. Un sourire tendre se dessine sur tes lippes, tandis que les deux enfants se blottissent contre la rouquine. « I'll be back soon. » Dis-tu en descendant du lit pour rejoindre la cuisine afin de préparer le repas de ce midi. Trentenaire n'a rien à faire, tu t'occupes de tout aujourd'hui, tu lui dois bien ça après cette longue semaine. Peu habitué à la robotisation, tu préfères utiliser les bons vieux ustensiles rangés dans la cuisine. Tu dois farfouiller un peu pour trouver ce que tu cherches, mais une fois tout en main, la préparation peut être lancée. Une fois la nourriture cuite, tu laisses tout au chaud, puis remonte à l'étage pour prévenir la petite famille que le repas est enfin prêt. Mais lorsque tu rentres dans la pièce, le silence règne. Kiera et Tomàs se sont endormis, blottis bien au chaud contre la mère de famille. Joli tableau que voilà, un avant-goût de ce qui t'attend dans le futur ? Tu l'espères, tu le souhaites, tu le veux... A pas feutrés, tu t'avances jusqu'au lit pour regarder leurs jolis minois de plus près. Même Lizzy s'est endormie. Ne souhaitant pas les réveiller, tu te contentes de déposer un baiser sur chacun de leur front. Douce rouquine au visage de porcelaine se réveille, comme une princesse réveillée par le doux baiser de son prince. Doux sourire s'élargit en voyant ses mirettes s'ouvrir. Tu secoues la tête lorsqu'elle te demande si tu veux descendre manger, et elle te tire dans le lit. Prenant place à ses côtés, tu laisses tes phalanges parcourir ses mèches rougeoyantes alors qu'elle te remercie d'avoir prit du temps pour les enfants. « There's no need to thank me, it's perfectly normal. I owe you that much, after all you've done so far. » Rire léger pour ne pas réveiller les petits, puis elle se fait taquine la belle rouquine, n'ayant point oubliée ce que tu lui avais promis si elle ne bougeait pas d'ici. Courte distance dévorée pour que vos lèvres se retrouvent dans un baiser langoureux. « I'll do the check-up right away, just let me free my little helpers, Mrs O'Brien. »

Un par un, et avec la plus grande des douceurs, tu prends les enfants dans tes bras, les emmenant dans leur chambre. Plongée dans la pénombre, tu quittes leur chambre aussi discret qu'une souris, puis tu reviens auprès de ta belle, refermant la porte derrière toi. La lumière se fait soudainement vive dans votre chambre jusqu'ici plongée dans le noir. La voix de Tomàs s'élève alors qu'il vous surprend en plein acte. « Jeez... You awake... ? » Pris sur le fait, tu t'empresses de te retirer, vos corps encore cachés sous la couverture. Palpitant fait des siennes sous ton torse, l'adrénaline parcours tes veines. Petite bouille se tient au matelas, un sourire satisfait sur ses lippes. « Well... I think we can go down and eat now. » Léger raclement de gorge sous la gêne et l'amusement, tu te penches pour attraper tes vêtements, prenant soin de ne rien dévoiler de ta chaire. « Are you hungry little man? » Question pour détourner son attention de ce qu'il venait de voir. Une fois habillé, tu sors de ta cachette et fais le tour du lit pour venir récupérer le garçonnet dans tes bras. « Let's let your mum get dressed and go downstairs to eat once we've got Kiera back, huh ? » Dernier coup d'oeil en direction de la concernée, sourire malicieux sur tes lippes, tandis que tu files récupérer ta fille avant de descendre les escaliers. Tu installes les plus jeunes, dresses la table, jusqu'à voir apparaître la maîtresse des lieux. Gentleman, tu tires la chaise pour lui permettre de s'asseoir, puis apporte le repas au centre de la table. « You look a little pale, are you okay? » Lui demande-tu en servant son assiette.
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Mar 3 Mai - 4:55
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le responsable ? nul autre que ton petit garçon avec sa voix enfantine. momma ? « honeeeey... » que tu lances alors que l'irlandais s'enfuit de ton être. il y règne un certain malaise soudainement, et ce ne sera certainement pas la dernière fois que ça arrivera. les risques du métier de parents. tu redresses ton buste en gardant la couette au dessus de ta poitrine, souriant, les joues teintées de rose. liam prend à nouveau les choses en main, s'habillant en un éclair pour venir récupérer la chair de ta chair en détournant son attention sur l'heure du repas. sourires malicieux échangés avant qu'il ne disparaisse, tu attends d'entendre ses pas dévaler les escaliers avant de te tirer de la douceur des épaisses couches cachant ta nudité. après avoir ajusté les pièces de tissus, tout en sentant ton estomac se tourner, se redresser ou autre, tu tires les rideaux avant de quitter la pièce pour rejoindre l'étage inférieur, rejoignant la petite troupe autour de la table apprêtée. tel un gentleman, le rouquin te tire même la chaise afin que tu t'y installe. mais les fumets du plat posé à table réveillent à nouveau ce haut-le-coeur fort désagréable. lorsqu'il te demande si tout vas bien, affirmant que tu as le teint blafard, tu hoches la tête, fine risette sur tes lippes. « Yeah, I'm fine, I just... my stomach's a little... bent. » lorsqu'il repose l'assiette à moitié remplie, tu respires précautionneusement, une fois tous installés et prêts a être nourris, tu te redresses subitement, traversant la cuisine pour rejoindre les toilettes et y rendre le peux se trouvant encore dans tes boyaux. le trentenaire n'a pas tardé a te rejoindre pour t'épauler autant que possible, alors quand tu t'assois au sol après ton affaire, passant une main sur tes traits, tu poses tes prunelles azures sur les siennes. « okay, I'll definitely go see my doctor. » nouveau spasmes, tu te penches au dessus de la cuvette sans pour autant réussir a renvoyer quelque chose. tu te reprends en entendant les petits pas pressés de Tomás jusqu'à vous. Momma !! tu lui souris doucement, passant ta main sur sa joue poupine. « I'm okay tommy, don't worry. » but you're sick. and you're in love now, so maybe you have a baby in your belly ! tu rougis doublement, ne sachant pas quoi rétorquer à cela. « well... Tommy honey... where have been passed my baby ? » puis finalement, tu croises le regard de liam, tu sens sa panique autant qu'il peut ressentir la tienne. « it's not possible, right ? Ri-... » coupée dans ton élan, tu replonges ton visage au dessus de la cuvette, sous le regard malicieux du benjamin. momma gonna have a baby !
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Re: whatever it takes ((Liam O'Connor))
Mar 3 Mai - 13:36
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outfit - Interrompu par une petite rousse, tu prends rapidement les choses en mains pour faire diversion, et emmènes les petits en bas le temps que la mère de famille vous rejoigne dans la salle à manger. La petite troupe au complet, tu fais le service de table, remarquant la pâleur sur le visage de la trentenaire. Lorsque son assiette se pose sur la table, que tout le monde est prêt à manger, la rouquine quitte précipitamment la table, se dirigeant aussi vite que possible vers les toilettes. Inquiets pour ta belle, tu te lèves à ton tour pour la rejoindre, la soutenant comme tu le peux. Comme précédemment, vous êtes rejoint par Tomàs venu prendre des nouvelles de sa mère. Cette dernière tente de rassurer sa progéniture, mais le garçonnet est bien perspicace, trop peut-être. Tu manques de t'étouffer au moment de la déglutition. Regards en panique se croisent, se pourrait-il que... ? Lizzy a d'autres renvois alors que les cris de joie du plus jeune emplisse la pièce. « Look, Tomás, it's not that I think you're wrong, but you know... Your mother's had a lot on her plate lately... » Mots se veulent rassurant, surtout pour vous, jeunes parents. « That's a lot of energy spent, stress... Maybe his body is reacting accordingly. » Pourtant, tu n'écartes pas l'hypothèse d'une éventuelle grossesse. Bonheur ou angoisse ? A dire vrai, tu ne sais pas sur quel pied danser. C'est en soit une très bonne nouvelle, si cela vient à être confirmé, et pourtant, tu te dis que c'est tôt. Cela ne fait que quelques semaines seulement que vous vous connaissez. Certes votre lien est fort, mais tout de même. Et son père ? Comment va t-il réagir si sa fille chérie est belle et bien enceinte. Il est certain que tu seras blacklisté. « But to make sure your mum is okay, we're going to take her to the doctor, okay ? Go back to the table, once you have eaten, we will leave. » Tu pivotes vers la rousse et t'agenouilles pour te mettre à sa hauteur. « Are you OK ? Do you want something to wash away the nausea? »

Tu raccompagnes ensuite le jeune garçon à table et t'occupes de Kiera, lui faisant manger les légumes du plat en purée. Une fois que tout le monde a l'estomac bien remplit, tu aides les petits à s'habiller, tandis que Kiera montre des signes de progrès en ce qui concerne la marche. Ce n'est pas encore l'heure des premiers pas, mais déjà son équilibre est nettement mieux. « You ready ? » Demandes-tu à la concernée. Direction la voiture. Enfants installés dans leur siège respectif, portière côté passager ouverte, interdiction pour ta belle de prendre le volant. « I'm taking the wheel, you're clearly in no condition. » Tu ne lui laisse guère le choix, l'obligeant à s'installer et n'allant te mettre derrière le volant qu'une fois sa ceinture bouclée. Durant le trajet, tu poses une main sur le dessus de sa cuisse, posant par moment tes iris azures sur son faciès. « And... If the pregnancy is confirmed... » Mots hésitants, ton regard jongle entre Lizzy et la route pour ne pas perdre le fil. Tu as peur d'un rejet, traumatisme de ta première relation. « You would be happy, despite the fact that... Is it coming early ? » Trajet se fait en quelques minutes seulement. Petite famille arrivée à bon port, tout le monde descend du véhicule et se rend chez le médecin pour un rendez-vous de dernière minute. Un peu d'attente, puis vient votre tour. La situation est expliqué, Lizzy a le droit à une auscultation, puis une ordonnance lui est prescrite. Cachets contre les nausées, mais aussi une prise de sang à faire pour une simple vérification. Règlement effectué, tu l'emmènes dans un laboratoire d'analyse pour qu'elle puisse faire sa piqûre. Après cette petite virée, c'est le retour à la maison. Et tu es comme un lion en cage, impatient d'avoir les résultats. Plusieurs heures sont nécessaires avant de les avoir. Les enfants sont emmenés jusqu'à leur lit pour une sieste. Encore une fois, c'est toi qui te charge de tout, laissant la jeune femme se repose. Un bisou pour chacun des petits, puis tu retournes auprès de ta belle, te laissant choir sur le canapé dans un soupire bruyant. T'allonges ta carcasse et poses ta tête contre ses cuisses, visage tourné vers son ventre. Ton regard se pose sur lui. Un silence s'installe, puis tu viens poker le petit bidou du bout de ton index. « Is there anyone in there ? » Si petit être il y a, tu seras l'homme le plus heureux du monde. La seule grossesse que tu as connu était celle de ton ex, et elle ne te laissait pas l'approcher, déjà dans le rejet de sa future progéniture. Tu voyais son ventre s'arrondir un peu plus chaque jour sans pouvoir poser une main dessus. Tu profitais de son sommeil pour le faire et parfois, avec un peu de chance, tu ressentais des petits coups. « Tonight we will know. Can't wait.» A l'aide d'une main, tu viens la glisser dans ses cheveux de feu, les caressant avec beaucoup de douceur, tes phalanges dérivant sur son visage opalin, frôlant ses tâches de rousseurs. Regard amoureux, tu te blottis un peu plus contre elle. Tu te sens si bien...
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Re: whatever it takes ((Liam O'Connor))
Mer 4 Mai - 19:20
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outfit & home - même Liam tente de rassurer le petit garçon qui, de part son éducation entourée de beaucoup d'adultes, se fait des déductions forts... perspicaces. au fond, t'espère que l'hypothèse du trentenaire est une cause, même si un enfant maintenant ne sera jamais une mauvaise nouvelle. mais disons qu'avec deux enfants en bas âge, tu n'ais pas bien sûre de pouvoir suivre la cadence, encore trop habituée à une vie solitaire seulement en compagnie de ton fils pour gérer le quotidien. tu ne t'inquiète pas plus que cela de ton paternel, il râlera certes, mais l'idée même d'avoir des petits enfants l'enchante toujours plus. Liam propose alors à ta progéniture de finir son repas avant de te mener jusqu'au médecin, pour en avoir le coeur net, se tournant vers toi à la suite, toujours plus inquiet face à ton état. « i'm okay, i'll just stay away from food for the moment. » tu les laisse aller terminer le repas quand de ton côté tu en profites pour passer de l'eau sur ton visage. pendant que le trio s'affaire a débarrasser, tu restes assise sur le canapé - oeillade bienveillante sur les enfants qui jouent en attendant. Kiera se redressant sur ses jambes tout en prenant appuie sur le canapé où tu te trouves. « good job sweetie ! » lorsque la voix du trentenaire se fait entendre, tu tournes la tête en un hochement, enfilant seulement tes bottines tout en suivant la petite troupe jusqu'à la voiture. et si tu voulais prendre le volant, le rouquin ne te laisse guère le choix. « you know i can still drive. » mais il ne te lâche pas tant que ta ceinture n'est pas attachée, venant se positionner à côté de toi. Sur la route, bien que ton estomac fasse yoyo, tu te concentres sur la route ou tout ce qui peut bien vous entourer. jouant par moment avec les doigts sur ta cuisse, quand il prends la parole timidement, tu le regarde en souriant. incapable d'ouvrir la bouche de peur de rendre le contenu de tes entrailles, tu hoches la tête, risette se voulant rassurante. bien sûr que tu seras heureuse, angoissée, mais heureuse ! une fois sur les lieux, et après une peu d'attente dans la salle prévu à cet effet, tu passes une vingtaine de minutes e  auscultation, ressortant avec analyses sanguines et quelques cachets afin de contrôler tes renvois. petit détour par le laboratoire avant de rentrer à la maison. le père de famille se charge de remettre les petits à la sieste alors que tu retires tes chaussures pour aller t'installer sur le canapé, croisant tes jambes en soupirant. Liam te rejoint une fois les enfants endormis, s'installant le long du canapé pour reposer sa tête sur tes cuisses, traits face à ton ventre. d'instinct, tes doigts glissent dans sa chevelure, alors qu'il poke la zone dans l'espoir d'une réponse.

tu souris tendrement, même lorsqu'il glisse sa menotte dans ta tignasse rouquemoute, pour finir par redessiner les tâches de rousseurs présentent sur tes joues. il est impatient de savoir, de découvrir si oui ou non quelqu'un se cache dans tes entrailles, et tu dois bien reconnaître que tu l'es tout autant. baiser déposé sur ses phalanges, tu te faufiles pour t'allonger contre lui. « i can't wait to know too. » mais t'es fatiguée, et tu luttes un peu avant de sombrer en restant dans ses bras. loin d'être une sieste fort reposante, tu gesticules beaucoup et par habitude, des suites de ce stress post traumatique. mais morphée a ses petits rituels, t'expulsant de ses bras après deux heures. tu reposes tes yeux sur l'irlandais encore endormi, te redressant pour gravir les marches et aller récupérer les enfants qui eux aussi viennent de s'éveiller. are you still sick momma ? baiser sur son front, tu souris lentement en passant ta main sur son petit biceps. « dont worry honey, i'm fine. » que tu murmures pour ne pas réveiller le trentenaire, venant même déposer une couverture sur sa grande carcasse avant de t'occuper de la préparation du repas du soir, toujours dans ce fidèle robot afin que tu puisses travailler en parallèle, ordinateur posé sur l'îlot central de la cuisine. tu pianotes tout en écoutant - écouteur blottit dans une oreille - des témoignages pour certaines affaires en cours. quand la notification d'un nouveau mail survient, celui tant attendu par vous deux. tu stoppes tout pour le lire, avant de te redresser pour venir t'installer à califourchon au dessus de la silhouette endormie. baisers déposés de part et d'autres sur son faciès, lorsqu'il ouvre ses mirettes pour te sourire, tu viens murmurer à quelques millimètres de ses lèvres. « we're gonna have a baby... » redressant son buste sous la surprise, tu suis le mouvement en ne cessant cette risette plus qu'heureuse étirant tes traits. rapide hochements de tête pour confirmer à nouveau, petites larmes roulant sur tes joues sous l'émotion, tu viens à la rencontre de ses lippes dans de doux baisers successifs. tu attires ses mains sous ton pull afin de les plaquer contre ta chair, ton front encore contre le sien. la soirée c'est passée sans encombres, dans un petit cocon rien que tout les quatre, rien que tout les deux. rejoignant votre lit, tu te réveille au beau milieu de la nuit à bout de souffle, malmenée à nouveau par des cauchemars et toc caractéristiques de PTSD. alors à pas feutrés, tu t'échappe pour rejoindre à nouveau l'étage inférieur tout en venant faire bouillir de l'eau, pour la verser dans une tasse afin d'y infuser quelques plantes. pensive, tu n'entends pas le trentenaire te rejoindre, et quand il glisse ses mains sur tes épaules, tu le repousse par réflexe, la crise de panique à deux doigts d'exploser, le regard terrifié, les mains tremblantes. « i'm sorry, i... i didn't want i... » tu ne cesses de reculer, jusqu'à plaquer ton dos contre le mur, tes doigts triturant avec nervosité le bas du t-shirt de l'irlandais qui fait office de pyjama. « i'm sorry... » t'arrives même pas a le regarder, t'attendant au revers de médaille alors que tes démons appartiennent au passé. la crise t'empêche de voir qui est réellement en face de toi.
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Re: whatever it takes ((Liam O'Connor))
Mer 4 Mai - 23:34
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outfit - Rouquine est aussi impatiente que toi en ce qui concerne cerné les résultats de la prise de sang. Moment douceur, moment câlin. Elle vient se blottir contre toi, tu refermes tes bras autour de son corps alors qu'elle ferme les yeux pour s’endormir. Iris ceruléennes scrutent son visage quelques instants, la détaillent. Phalanges redessinent ses traits, puis finalement, tu t’endors à ton tour, ne résistant plus longtemps à l’appel du sommeil. Malgré que le corps de ta belle s’agité, tu ne te réveille pas, paupières closent. Lizzy quitte tes bras et le canapé, tu ne sens pas son absence, profondément endormi. Et pourtant, un poids vient lourdement se poser au-dessus de toi, te forçant à quitter les bras de Morphée. Un sourire radieux illumine ta trogne, bonne nouvelle, vous allez être à nouveau parents. Tu croules sous les bisous et tu en fais de même, pas de jaloux. Menottes guidées jusqu'à son ventre. Ventre que tu peux toucher à ta guise. Bientôt, il prendra une forme ronde. Ton sourire quitte tes lippes, brièvement. Tu ne peux t’empêcher de penser à ta bipolarité, même sous traitement, les petites pilules miracles ne font que retarder les crises, et les font durer un peu moins longtemps. Reculer pour mieux sauter. Tu effaces ces pensées comme tu le peux et profites simplement de la bonne nouvelle. Désormais, tu as un soutien sur lequel compter.

Le reste de la soirée se passe à merveille, tout le monde se met au lit. Médicaments avalés, tu te glisses sous la couverture, bien au chaud contre ta belle, une main reposant sur son ventre. Et tu te réveilles au beau milieu de la nuit. Le matelas est vide, rouquine a quittée le navire. Simplement habillé en boxer, tu quittes la chambre sans faire un bruit pour éviter de réveiller les plus jeunes. Escaliers descendu,’tu rejoints la jeune femme dans la cuisine, tes mains se posant sur ses épaules. La réaction ne se fait pas attendre, elle chasse tes mains, effrayée. Tu lèves doucement les bras en signe de paix, puis te rapproches d’elle avec précaution. ”It’s okay... it’s okay.” Avec douceur, tu poses à nouveau tes menottes contre ses épaules dans un geste rassurant. ”Are you okay ?” Son regard et fuyant, visage se penche vers l’avant pour essayer de le capter. Sourire étire tes lippes, mains remontent jusqu'à ses joues que tu caresses de la pulpe de tes pouces. ”What are you afraid of, hm ?” Toujours avec beaucoup de douceur, tu l’oblige à relever son visage. Tu repenses à son nom dans la liste pour la garde de son fils, puis là ses réactions face à ton arrivée. Tu as peur ee comprendre ce qui aurait pu se passer dans sa vie avant de te connaître. ”Your ex... was he violent with you ?” Tu n’as pas spécialement envie de remuer le couteau dans la plaie, mais cela pourrait lui faire du bien d’en parler un peu. Tu lui as fait assez confiance pour avouer tes soucis, elle pourrait peut-être faire la même chose. ”You know what? During my teenage years, before my parents found out about my illness, I did a lot of insane things.” Parler de toi, l’aidera peut-être à parler d’elle. ” I stole their car and drove several hundred kilometres away just because I wanted to. I found myself naked on the public highway telling anyone who would listen that I was God's messenger. I went up on the roof of the house, I almost jumped because I thought I could fly away.” Lèvres se pincent, yeux brillants, c’est toujours compliqué quand tu repenses à tout ça. ” My relatives called me crazy, I was committed until I was given treatment and could return home. ” Tu replaces une mèche avec délicatesse, derrière son oreille. ” Anyway, All this to tell you that despite the fact that you are here to help me, my demons are still there. I'm afraid of myself, I'm afraid of what I might do to Kiera, Tomàs... or the baby !” Tu pose ton front contre le sien et fermes brièvement les yeux. ” You can tell me anything, you know... and you also know that I would never hurt you or Tomàs.” Tu t’écartes un peu et lui souris.
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Re: whatever it takes ((Liam O'Connor))
Ven 6 Mai - 1:29
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outfit & home - tu peux pas t'enfuir plus que ça, à moins de savoir phaser avec les obstacles. il doit être surpris l'irlandais de te voir ainsi le rejeter. rien n'est volontaire, ce n'est là qu'un automatisme afin de te défendre, de protéger ton être de la panique qui l'envahie pourtant. et dans une douceur qui lui est pourtant propre, il approche, lentement, pas après pas -- jusqu'à ce que ses mains ne se posent sur tes frêles épaules tremblantes. les billes fuyantes, tu hoches rapidement la tête pour ne pas répondre que non, t'es au bord de l'évanouissement, non t'es flippée jusqu'aux tréfonds de ta psyché. pourtant, il n'en démord pas, crispée comme tu es, il remonte ses menottes le long de tes clavicules, sur la peau fine de ton coup, pour venir emprisonner ton faciès entre ses paumes. la pulpe de ses pouces y apposent de tendres caresses, mais tu ne relèves pas tes mirettes pour autant. t'as envie de disparaître, de fuir, mais t'es incapable de bougée, prisonnière de ta propre tétanie. t'en a les cordes vocales paralysées, t'oses pas parler, même quand il te questionne, sur ce qui peut bien t'effrayer ainsi. c'est sous son impulsion que tu relèves tes traits, sous son impulsion que l'azur de tes yeux croise les siens. tu pinces tes lippes à sa question, c'était comme y répondre dans un silence de cathédrale - en un mouvement à peine perceptible. les yeux pleins de larmes. t'as peur d'y répondre, parce que t'es pas ce genre de nana là, t'es la solitaire, celle qui garde le sourire, celle qui panse les blessures des autres. et finalement, t'es bien heureuse qu'il brise de lui-même le silence qui planait autour de vous. sur le point de te confier des erreurs de jeunesse, poussées ou non par sa bipolarité. tu l'écoute, toujours crispée dans ta bulle infernale. parcourir des centaines de kilomètres à bord d'une voiture usurpée, se faire passer pour un prophète d'une divinité à laquelle tu as cessé de croire, nu comme un ver au beau milieu de la rue. se pensant détenteur de pouvoirs, capable de voler. interné malgré lui, ses proches l'ayant pensé fou allié. jusqu'aux premières pilules censées l'apaisé. tu vois que ces souvenirs sont tantôt tordants, tantôt éreintants. et malgré sa propre douleur, il ne manque pas d'arranger là quelques mèches de ta chevelure de feu, d'agir dans une douceur à laquelle tu es peu habituée a recevoir. il te confie avoir toujours autant peur de lui-même, peur de ce qu'il pourrait faire, peur de blesser l'un de vous, particulièrement vos enfants, ou encore cela a venir. alors, lorsqu'il colle son front au tient, t'assurant pouvoir tout entendre, te promettant qu'aucun mal ne sera fait, ni à toi et encore moi à ton enfant, tu fermes tes mirettes, relâchant une respiration difficile.

« it was not only him who was violent. » que tu lances d'une voix étouffée -- le souffle court, les mains tremblantes. « my mother let my stepfather... make me his... a toy. » tu t'en souviens encore, t'as jamais pu oublié l'odeur singulière de sa cruauté, au delà du tabac froid, au delà des repas à moitié cramés dans l'évier. c'était pas une vie tout ça, c'était juste un calvaire, t'as survécu en y laissant bien des bris de ton âme. « the scars on my back, that was him. » tu pinces tes lèvres, abaissant ton faciès, retenant les larmes qui menacent d'inonder tes joues poupines. tu glisses même une main hésitante sur l'un de ses poignets. « I begged my mother to stop him, but she wouldn't believe me. » mais si y avait eu qu'eux, pour te laisser pareil chocs une fois adulte ! Brady était du même genre, que tu sois pour ou non, ton corps lui appartenait. qu'il soit sobre ou non, les coups pleuvaient. tu t'en était pas rendue compte de suite, et quand tu l'as fais, c'était déjà trop tard. la preuve que l'amour rend aveugle. « and tomás' father continued. with or without his drinking problem. » tu fonds soudainement en larmes, venant te blottir contre son torse. t'aimais pas l'avouer, t'aimais pas montrer que t'avais été piétinée. toi, t'as pris la voie de réparer ses personnes, dans l'espoir de te réparer à ton tour, dans ton coin, dans l'ombre. « it has haunted me ever since. i was seven months pregnant when he nearly killed me and tomás. when i fall asleep, i can still hear him screaming, i can still feel them touching me, hitting me... » tu trembles comme une feuille morte, tu lui montres à quel point en réalité, t'es vulnérable. à quel point, tu ne laisses rien paraître au monde entier, de ce que t'as bien pu traverser. « I'm sorry. I didn't want you to suffer my burdens. »
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