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 Deux sourires qui se rapprochent [Swann]

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Deux sourires qui se rapprochent [Swann]
Ven 11 Oct 2019 - 12:14

« Maman ? Je t'emprunte ta robe noire ! » s'écrie Ida du haut de l'escalier. Sans même attendre la réponse de la principale concernée, elle pénètre dans cette chambre devenue étrangère au fil des années. Elle presse le pas jusqu'au dressing dans lequel elle pénètre tel un sanctuaire. Depuis ce qui lui semble être une éternité, la chambre de Kathryn lui donne une sensation d'oppression, comme si l'air qu'elle y respire n'était saturé que de mensonges. Le dressing, adjacent à la chambre, devrait lui faire le même effet. Mais pour une raison qui lui échappe, il la rassure. Entre l'odeur des fringues tout juste lavées et le musc du bois composant essentiellement cette pièce, Ida s'y sent à l'aise. Dans l'air, flottent des centaines de souvenirs d'une enfance paisible.

Seulement vêtue de ses sous-vêtements en dentelle noire et d'un collant de 20 deniers, Ida se hisse sur la pointe des pieds cherchant des yeux son bonheur. Si elle ne la voit pas du premier coup d’œil, marquant son front de plis soucieux, un sourire radieux illumine rapidement son visage lorsqu'elle met enfin la main dessus. « Te voilà ! » claironne-t-elle tout en la décintrant. Sans un regard en arrière, elle s'engouffre dans le couloir et claque la porte de sa chambre derrière elle. Elle finit de se préparer, un sourire sur les lèvres. Bien que l'idée même d'aller à ce rencart – c'en est un pour sûr ! - avec Swann lui met la boule au ventre, elle est heureuse rien qu'à l'idée de passer du temps en dehors de cette baraque et de l'hôpital. Depuis la dispute avec Gabi, Ida n'a pas eu de temps pour elle. Il s'est enchaîné tellement de choses depuis ces derniers mois, que la blondinette ne les a pas vu passer. Et Emmerich à l'hôpital, dans un coma qui ne cesse de l'angoisser, n'arrange pas à sa sociabilité quasi-nulle ces temps-ci.

La robe noire enfilée, Ida l'ajuste avec une ceinture en cuir noir également. Elle est un peu trop grande pour elle, pourtant Kathryn est digne d'un mannequin avec sa taille de guêpe. La jeune femme fronce les sourcils avant de finalement hausser les épaules. Peut-être qu'avec le temps, les fringues s’agrandissent... Jamais ô grand jamais elle ne se dira que c'est elle qui a maigrit – squelette ambulant pourtant ! Ida se mire dans le miroir, finit par défaire ses cheveux de la queue de cheval haute qu'elle vient de se faire. Après une main passée dans ses derniers pour les remettre en place, elle enfile ses bottines en daim et sa parka toutes deux beiges. Ida ne sait pas trop où son – elle ne sait pas trop d’ailleurs quoi! - compte l'emmener. Toujours est-il qu'il lui a donné rendez-vous à 14 heures dans sa rue. Et il est moins cinq. Ni une, ni deux, Ida sort de sa chambre en attrapant un sac en bandoulière et une écharpe bordeaux. « À tout-à-l'heure. » clame-t-elle à ses cadets tout en les bisant sur le front avant de s'échapper par la porte d'entrée. L'air frais la cueille au passage, la faisant s'arrêter sur le pallier le temps de rajuster son écharpe. Elle jette un dernier coup d’œil sur son téléphone pour s'assurer que Swann n'a pas annulé à la dernière minute – elle est encore étonnée par l'invitation du jeune homme ! - avant de le jeter dans son sac. D'un pas enjoué, elle franchit le portillon et avec des papillons dans le cœur elle l'aperçoit. Un sourire plaqué sur ses lèvres rosées pour dissimuler sa  nervosité, Ida va à sa rencontre.

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Re: Deux sourires qui se rapprochent [Swann]
Mer 30 Oct 2019 - 15:27
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 DEUX SOURIRES QUI SE RAPPROCHENT  Ida Engelwald & Swann Andrews


Swann allait retrouvé Ida, il l’avait vu qu’une seul fois à la course de jet ski et ils n’avaient pas beaucoup parler le rouquin passant plus de temps dans l’eau qu’avec la blonde sur l’appareil la pauvre ne sachant pas le piloté. Ils avaient ensuite discuté un peu par sms  rigolant bien l’un avec l’autre  et c’était ainsi qu’ils avaient prévu de se voir en face à face .  Il voulait sortir un peu de chez lui et il pensait que la jeune femme pouvait être de bonne compagnie. Il c’était donc préparé comme pour aller voir un pote et avait quitter son appartement ils avaient prévu de se retrouvé non loin de chez la blonde pour faire simple le roux ne connaissait pas bien la ville ne sortant que peu et il ne voulait pas se perdre en devant rejoindre quelqu’un cela forcerait la personne à attendre sur lui, une maison était plus simple à trouvé il pouvait simplement chercher l’adresse précise. Il était donc parfaitement à l’heure il n’était jamais en retard c’était un principe qu’il avait et quand il fit la blondinette sortir de chez elle il lui fit un sourire, il ne savait pas trop comment il devait se comporter avec elle ils ne se connaissaient pas vraiment et leur principal point commun en dehors de la course partagé ensemble était le fait d’être tout les deux proches de Gabi, il s’avança donc vers elle pour lui faire la bise c’était banal comme politesse mais comme cela il  retirait un peu de la gêne qu’il ressentait à se retrouvé là les bras ballant sans trop savoir quoi faire.  «  C’est que madame à sortit la robe, j’espère que cette journée sera moins humide que la première qu’on a passer tout les deux » Parce que lui avait fini trempé complètement après deux ou trois bain il avait même arrêter de compter passant de toute manière plus de temps à l’eau qu’autre chose et n’ayant même pas atteint la moitié du parcours finissant ainsi bon dernier de la course.


Il ne savait pas trop quoi faire pour cette journée, il ne sortait pas beaucoup avec des amis et il ne voulait pas non plus faire croire quelque chose à la jeune femme en lui proposant une chose qui pourrait être mal interprété.  «  Du coup j’ai besoin de faire un peu de shopping je vais déménagé dans un appartement plus grand et avoir plus de place du coup me faut de la déco et des vêtements j’ai pas tout prit ce que j’avais à Berlin et je veux pas y retourné » Sinon sa mère allait tout faire pour ne plus le laisser repartir et il ne voulait pas avoir à se battre une nouvelle fois contre celle qui avait été son monde durant des années, lui ayant donné la vie et tout ce qu’il avait eut jusqu’alors. Elle ne comprendrait pas surtout si elle venait à apprendre ce qui c’était passer avec Gabi pour elle venir ici étant une mauvaise idée. En tout cas il espérait qu’Ida ne serait pas contre ses projets parce qu’il voulait qu’elle passe aussi un bon moment et il ne savait pas réellement ce qu’elle aimait faire de ses journées.  




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Re: Deux sourires qui se rapprochent [Swann]
Mer 4 Déc 2019 - 10:44
Radieuse, Ida avance à la rencontre de Swann. Ce dernier lui fait la bise que la jeune femme lui rend. Ne se connaissant pas vraiment – hormis par sms et sur un jet ski où l'un était plus dans l'eau que dessus – la demoiselle ne sait pas trop comment se comporter. La gêne aurait pu s'installer mais c'est sans compter sur le naturel du rouquin qui s'exprime un brin moqueur :

«  C’est que madame a sorti la robe, j’espère que cette journée sera moins humide que la première qu’on a passé tout les deux. »

Effectivement, en comparaison avec la tenue du jeune homme, Ida dépareille. Mais loin de se sentir embarrassée, elle lui répond du tac-au-tac : « Le soleil est au rendez-vous, pas un nuage gris dans le ciel... À moins que tu n'aies dans l'idée de m'amener faire du bâteau-jet-ski-et j'en passe, je pense que ça devrait aller. » Un sourire moqueur se dessine sur ses lèvres, se remémorant les nombreuses fois où Swann s'est retrouvé à la mer à cause de la maladresse de la demoiselle. Elle ne relève pas le coup de la robe. Après tout, cela fait plusieurs jours qu'elle reste soit en pyjama, soit en jogging et t-shirt... Porter une robe est une façon à elle de reprendre le dessus sur cette semaine plus que désastreuse.

Dans tous les cas, ce début de conversation brise la glace entre les deux jeunes gens et Ida sait enfin comment se comporter avec lui : comme une amie s'il le souhaite.

«  Du coup j’ai besoin de faire un peu de shopping je vais déménager dans un appartement plus grand et avoir plus de place du coup me faut de la déco et des vêtements j’ai pas tout pris ce que j’avais à Berlin et je veux pas y retourner. »

« Je te suis ! » répond la blonde, en lui lançant un clin d’œil. Le shopping, elle connaît et dire qu'elle adore ça est un euphémisme ! « Tu veux aller où ? Dans le centre ? À Europa Passage, y a de quoi faire si tu veux. » Ida adore ce centre commercial. Proche du lac Binnenalster, il propose une myriade de boutiques dans une galerie somptueuse à couper le souffle. Avec les filles, quand elles veulent faire chauffer la carte bancaire de papa ou maman, c'est là qu'elles vont généralement !

Une fois qu'ils se décident, Ida emboîte le pas à Swann avant de marcher à ses côtés. Moins stressée qu'à sa sortie de la maison, Ida retrouve son naturel enjoué et sa conversation facile. « Alors comme ça, tu t'installes à Hambourg pour de bon ? » demande-t-elle en posant un regard interrogateur au jeune homme. Par Gabi, Ida connaît les grandes lignes, mais sa curiosité l'emporte afin de chasser les zones d'ombres. « Enfin, je veux dire, il n'y a pas tes parents à Berlin ? »
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Re: Deux sourires qui se rapprochent [Swann]
Lun 23 Déc 2019 - 15:42
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 DEUX SOURIRES QUI SE RAPPROCHENT  Ida Engelwald & Swann Andrews


Swann a fait du grand Swann a savoir mettre les pieds dans le plat d'entrée de jeu, il était fort maladroit et très mal à l'aise avec les gens il ne savait que rarement entamer une conversation sans que cela ne tourne a la dérision ou a la catastrophe selon comment les gens prenait sa maladresse. Heureusement pour lui Ida sembla le prendre manière humoristique et trouvé là un bon moyen de brisé la glace entre eux pour cette première sortie en tête à tête suite à leur rencontre a la course de jet ski, elle lui répondit donc avec humour de quoi détendre un peu le rouquin passablement stressé de tout cela.  « J'aurais trop peur que tu tente à nouveau de me noyer et que tu réussisse cette fois alors je vais resté sur la terre ferme et t'emmener avec moi dans un lieu normalement sans risque, ni pour moi, ni pour ta robe qui est joli en passant » Il ce devait quand même de la complimenter c'était le moyen d'être respectueux pour lui, parce qu'il ne savait pas si elle avait fait des efforts vestimentaire pour lui ou pour se faire plaisir à elle mais un effort devait recevoir un gentil mot du moins c'était comme cela qu'il voyait les choses.

Et l'anglais appris à la jeune femme le programme de leur après-midi à savoir aller faire du shopping pour son nouvel appartement, plus grand que le précédant et en dehors de la zone universitaire un véritable premier appartement pour lui qu'il devait meublé à son goût et dans lequel il pourrait prendre réellement ses aises, remplir correctement une garde de robe correcte chose qu'il n'avait pas fait depuis son arrivé ici laissant beaucoup de ses affaires à Berlin chez sa mère et ne voulant pas aller les récupérer. Il aurait pu mais il ne voulait pas se retrouvé devant sa mère, chez elle, parce qu'elle aurait le dessus sur lui une nouvelle fois et pourrait le faire céder surtout au vu de sa relation désormais impossible avec Gabi, elle aurait la possibilité de le faire revenir dans son cocon et il ne voulait pas, il voulait grandir et se libérer totalement de son emprise même si c'était douloureux pour eux deux.  « Le centre commercial c'est très bien, je connais pas encore les coins les plus cool niveau shopping dans cette fille, je connais tout les endroits où on trouve de la bonne nourriture mais pas niveau fringues tu sera donc mon guide » Le duo de jeune prit du coup la route direction le dit centre commercial en profitant pour discuté.

Ida lui demandant alors si il s'installait définitivement ici a Hambourg, chose qui était réelle pour le moment Swann ayant décidé de vivre là au moins jusqu'à la fin de ses études, pour le reste de sa vie il ne savait pas et il ne voulait pas chercher à prévoir ne sachant pas de quoi demain serait fait pour lui et ce que serait sa vie dans cinq ans il avait déjà de longue étude devant lui et préférait se concentrer sur cela.  « Au moins jusqu'à la fin de mes études oui donc pour cinq année minimum pour le futur je ne sais pas ce dépendra de ma situation à ce moment là et de mes envies » C'était un bon plan d'avenir dans son esprit à lui certain ne serait sans doute pas d'accord avec lui mais cela ne le concernait que lui.  « Seulement ma mère, mon père est ici c'est pour ça que je suis venu là dans un premier temps même si finalement je le regrette un peu les retrouvailles avec lui comme avec Gabi n'ayant pas été comme je l'imaginait mais bon je veux réussir à me retourner par moi même pour pouvoir évolué et grandir j'ai ce besoin maintenant » Et cela lui faisait tout drôle.

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Re: Deux sourires qui se rapprochent [Swann]
Ven 17 Jan 2020 - 15:32
C'est étonnant comme parfois les gens se montrent différent derrière un écran et dans la vraie vie. Heureusement, il s'avère que Swann est le même IRL que derrière son téléphone ! Il rebondit sur la boutade de la demoiselle par de l'humour. « C'est vrai que te noyer est ma mission ! » réplique-t-elle en le bousculant amicalement. Ida lève les yeux au ciel, un grand sourire sur les lèvres. Cette journée s'annonce fort sympathique !

À son compliment, Ida rougit avant de tirer sur sa robe et murmurer un petit « Merci. ». Elle en a eu des compliments dans sa vie pourtant... Mais étrangement, elle ne se sent pas à l'aise face aux éloges qu'on peut lui faire. Lorsqu'elle était avec Hänsel, elle n'avait pas le choix de les accepter, bien que ça lui tirait une grimace à chaque fois. À vrai dire, elle ne sait jamais quoi répondre et surtout, si c'est vrai ou juste pour donner le change. Ida est loin d'être comme Gabi ou Saskia, qui elles s'acceptent telles qu'elles sont – et en resplendissent ! Ida, c'est plus la petite souris du groupe, quelque peu timide et qui se sent mal dans sa peau. Au milieu de ce trio, Ida ne le montre pas forcément, fière d'avoir pareilles amies. Elle a appris à avoir confiance en elle grâce à elle et, lorsqu'elle se retrouve seule, elle redevient cette petite chose cassée que personne ne semble voir.

Swann expose le programme de l'après-midi et Ida propose des lieux qui lui semble le plus opportun pour maximiser le shopping et minimiser le temps de transport. Swann reconnaît qu'il ne connait pas les meilleurs lieux de Hambourg et Ida l'écoute préciser qu'il connaît les meilleurs resto du coin. La jeune femme n'aurait pas été de bonne compagnie s'il avait dans l'idée de l'amener manger un bout... Elle lui répond par un sourire et ajoute : « Tes priorités sont... étonnantes. » Non pas que manger n'est pas une priorité, bien au contraire même : pour vivre, c'est mieux. Mais de là à connaître tous les lieux où on mange bien, c'est que c'est un grand gourmand – et sérieusement, ça se voit pas !

Ils se mettent d'accord pour le centre commercial et se mettent en route. La conversation se fait naturellement et oscille du côté du jeune homme. Après tout, c'est lui le nouvel arrivant, il est donc normal qu'elle ait des questions à poser sur sa vie, les raisons de venir s'installer loin de chez lui...

« Au moins jusqu'à la fin de mes études oui donc pour cinq année minimum pour le futur je ne sais pas ce dépendra de ma situation à ce moment là et de mes envies »

« Ah oui, donc tu es là pour un sacré moment. » souligne la blonde. « Tu fais quoi en études ? » questionne-t-elle, intéressée.

À sa question de la présence ou non de ses parents à Berlin, Swann lui répond que sa mère y est encore. Son père, apparemment, est à Hambourg. Si elle sait que ça s'est passé de façon catastrophique avec Gabi, Ida ignore pour son père. Se mordant la lèvre inférieur, la jeune femme ne sait quoi dire. Elle aimerait avoir l'opportunité de revoir son père, mais elle ne sait même pas où il se trouve ! La dernière fois qu'elle l'a vu, elle était une enfant et ne pensait pas une seule seconde qu'elle ne reverrait jamais son visage... Même sa voix commence à s'effacer dans sa mémoire, c'est dire !

« Tu as raison. Vivre pour soi et non pas pour les autres, c'est un bon crédo, je trouve. » résume la blondinette. « Pour ton père, il lui faut peut-être du temps... Savait-il que tu venais ? Et sans paraître indiscrète encore une fois, ça faisait longtemps que tu l'avais pas vu ? »

Ida imagine bien la surprise si un jour elle recroise le sien. Elle imagine très bien ce qu'elle lui dirait. Elle ignore cependant la réaction de celui-ci et surtout, s'il la reconnaîtrait... Après toutes ces années, Ida imagine très bien qu'il a refait sa vie avec un homme. Qu'il a une autre famille. Une qui lui convienne mieux que l'ancienne.

« En tout cas, tu es courageux. » ajoute Ida, réellement impressionnée par la force de conviction du rouquin. « Je ne me vois pas tout quitter et débarquer dans une ville que je ne connais pas et où je ne connais personne... Tout recommencer dans l'espoir de renouer avec mon père. J'aurais trop la frousse ! » Gênée, la demoiselle se passe une main dans les cheveux avant de remettre en place son écharpe.

Ils ne sont plus qu'à quelques mettre de l'arrêt de bus. Pour se rendre au centre commercial, ils doivent prendre le n°51, d'ailleurs il ne doit plus tarder à arriver. Un coup d’œil vers le bout de l'avenue lui signifie qu'il est déjà là. « Vite ! Il va partir sans nous ! » s'exclame-t-elle tout en attrapant le bras de Swann. Elle se met à courir alors que le bus met son clignotant pour repartir. Heureusement, ils arrivent à temps et grimpent dedans. « C'est fou ça ! À chaque fois que je suis avec toi, on fait du sport. » Et Dieu sait qu'elle exècre le sport ! « Tu me diras, y'a du progrès. On a fait mieux que la dernière fois. » ajoute-t-elle en reprenant son souffle.
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Re: Deux sourires qui se rapprochent [Swann]
Mer 5 Fév 2020 - 14:00
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 DEUX SOURIRES QUI SE RAPPROCHENT  Ida Engelwald & Swann Andrews


Rire de ses mésaventures était bien son genre Swann ne se prenait pas au sérieux et il n'en voulait pas du tout à la blonde pour la maladresse dont elle avait fait preuve sur le jet ski certain aurait peut-être prit la mouche de finir autant de fois à l'eau lui en rigolait toujours quelque temps plus tard pensant même qu'elle avait été missionné pour le noyé. Ida confirmait même que cela était sa mission il allait donc faire attention à ne pas se trouvé à côté de point d'eau en sa compagnie pour évité d'éveillez en elle des pulsions meurtrière qui pourrait conduire à un drame.  « Enfin tu avoue avoir tenté d'attenté à ma vie je suis donc en compagnie d'une potentielle meurtrière je vis dangereusement » Et il éclata de rire elle faisait pas bien peur Ida dans sa jolie robe, elle était fluette et il aurait réellement très facile à la maîtrisé si elle venait à l'attaquer même en étant lui même pas une personne très sportive et très affûté physiquement parlant même si il avait gagné en masse musculaire en grandissant ayant décidé de faire un peu plus attention à lui.

Il avait ensuite sans le vouloir provoqué sa gêne en la complimentant sur le choix de sa robe. Pourtant Swann pensait bien faire en lui disant cela, il entendait toujours dire qu'il fallait complimenter une fille qui semblait avoir fait un effort vestimentaire, visiblement cela n'était pas le cas d'Ida qui le remercia mais ne sembla pas ravie comme aurait pu l'être Gabi. Finalement ils parlèrent du programme de l'après-midi et le rouquin lui apprit qu'il ne connaissait pas tellement les endroits a fréquenter pour le shopping dans cette ville qui restait nouvelle à ses yeux. Il était plus au fait des endroits où se nourrir et cela sembla étonné la blondinette, il fallait dire que vu son corps très mince elle ne devait pas être aussi gourmande que lui, après tout Swann était bien foutue mais il passait beaucoup de temps à manger, de tout et de n'importe quoi sans faire attention à sa ligne.  « J'ai pourtant des priorités tout à fait humaine il faut se nourrir pour vivre, alors que je pense qu'on pourrait tout a fait être en mesure de survivre en étant tous tout nu » Tout en allant à l'arrêt de bus ils parlèrent de son plan d'avenir, et elle lui demanda si il avait prévu de resté en ville longtemps et les plan de Swann était clair il allait resté là jusqu'à la fin de ses études, ensuite il verrait si il restait ici ou retournait à Londres sa ville d'origine qui lui manquait beaucoup. Cela représentait un certain nombre d'année et il était conscient que beaucoup de chose pourrait changer d'ici là mais il avait besoin d'une certaine stabilité pour pouvoir réussir son cursus universitaire.  « Un bon moment oui, je me suis engagé dans des études et je ne veux pas les mettre en péril en changeant trop souvent de lieu de vie j'ai fais un choix en quittant Berlin pour Hambourg je vais l'assumé jusqu'au bout. Je suis en cursus de zoologie, en première année »

L'étudiant en apprend plus à la jeune femme sur sa famille, sa mère est encore à Berlin et sa rencontre avec son père ne c'est pas tellement déroulé comme prévu de quoi le faire douté de son choix de venir jusqu'ici surtout quand on connaissait la façon dont cela c'était déroulé avec Gabi qui avait aussi été une donnée très importante dans son envie de venir dans cette nouvelle ville tenté quelques choses.   Je crois que je n'ai surtout pas le choix, si je vis pour les autres je ne vis pas très clairement dans la situation ou je suis » Quand à son père c'était compliqué, l'homme pouvait avoir besoin de temps c'était une chose qu'il pouvait comprendre mais il avait surtout été blessant envers lui et ça il ne pouvait pas l'accepter aussi facilement que cela, il avait beau être gentil il n'aimait pas souffrir par transfert après tout il était tout aussi victime que son père dans cette histoire.  « On ne c'était jamais vu, il ne m'a pas reconnu et ne savait pas que j'étais né ou même que j'étais en création à l'époque, aucune idée qu'il avait un enfant quelque part ma mère le lui a caché tout comme elle me l'a caché jusqu'à ma majorité et mon ultimatum. Alors je peux comprendre qu'il lui faille du temps pour accepté tout cela mais je ne peux accepté son comportement blessant envers moi, je ne suis pas venu ici pour ça, il peut ne pas vouloir être un père, ne pas vouloir s'impliqué mais pas me reprocher des choses dont je suis à mes yeux la principal victime » C'était après tout sa mère la coupable de tout ceci et elle n'était pas là pour se défendre alors a quoi bon lui faire du mal à lui, il n'était qu'un adolescent de dix huit ans à la recherche de réponse et d'amour paternel.

 « Courageux je ne pense pas l'être je suis un trouillu de nature là j'ai surtout tenté un gros coup de poker pour me forcer à changer un peu et sortir de ma zone de confort et puis je n'avais pas le choix c'était vivre sans savoir d'où je venais réellement et complètement ou prendre un gros risque en venant ici. Le risque n'a pas forcément payé mais au moins j'aurais la fierté d'avoir tenté » Et d'un coup la jeune femme crie car elle aperçoit au loin le bus qu'ils doivent prendre approché de l'arrêt où ils ne sont pas encore, ils se mettent donc a courir pour ne pas louper le dit bus et devoir attendre le suivant, une fois à l'intérieur la jeune femme peste humoristiquement sur le fait de faire du sport à chaque fois qu'ils se retrouvent à deux.  « Et c'est pas le sport le plus plaisant » Ajouta t-il sur le ton de l'humour lui aussi.  « Au moins cette fois on a réussit à atteindre notre objectif contrairement à la dernière fois où la ligne d'arrivée n'est jamais venue à nous » Autant dire qu'il y avait du progrès et une forte amélioration, a croire qu'ils étaient plus doué sur leur jambe que dans l'eau.  « Aller direction shopping, va tu me faire être ruiné ? Je sais pas si tu est comme Gabi ou plus tempérer dans les boutiques » Il ne connaissait pas réellement Ida après tout.  

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Re: Deux sourires qui se rapprochent [Swann]
Jeu 20 Fév 2020 - 12:11

Quand d'autres auraient pris la mouche pour avoir été ainsi bousculés – et trempés – pendant la course de jet ski, Swann en rigole ouvertement. Fort heureusement, d'ailleurs. De base, Ida ne souhaitait pas y participer, mais un pari perdu avait fait qu'elle s'était jetée à l'eau, pour le plus grand malheur du jeune homme. En plus de n'avoir jamais franchi la ligne d'arrivée, Swann s'est retrouvé plus d'une fois projeté du bolide dû à l'inadvertance de la blondinette. Forcément, quand le rouquin plaisante sur un éventuel meurtre organisé, Ida saisit l'occasion pour en blaguer. Et le garçon surenchéri, avouant vivre dangereusement avant de s’esclaffer, suivi très rapidement par la demoiselle. S'il savait... Ida ne ferait pas de mal à une pauvre mouche. Pis encore, elle qui a une sainte horreur des araignées, se retrouve à les remettre dehors – après de longs moments d'hésitations, à savoir comment l'attraper sans que ses pattes velues ne touchent sa peau – plutôt que de les tuer ! C'est dire que l'attentat envers la vie du jeune homme risque de tourner en dérision...

Le programme de la journée fixé, c'est sans préambule que les deux jeunes gens se dirigent vers l'arrêt de bus le plus proche du lieu d'habitation de Ida. Sur le trajet, Swann explique sa méconnaissance de la ville, hormis les restaurants et autres fast-food, tirant une boutade de la demoiselle qui se demande bien où il peut agglutiner toutes cette graisse consommée.

« J'ai pourtant des priorités tout à fait humaine il faut se nourrir pour vivre, alors que je pense qu'on pourrait tout à fait être en mesure de survivre en étant tous tout nu. »

Ida a un moment d'arrêt, le regard obstinément tourner vers Swann. « Tu plaisantes ? » demande-t-elle, réellement intriguée. « Le shopping c'est la viiie ! » ajoute-t-elle, reprenant la marche. « Tu t'en rends pas encore compte parce que tu n'as pas eu le bon coach : moi. » répond-t-elle, un sourire ironique sur les lèvres. La bouffe c'est pas la vie. Les fringues et les achats outranciers, si ! « Et puis, tu imagines les visions d'horreur qu'on aurait tous les jours ? » grimace-t-elle avant d'illustrer ses propos. « Bim ! À ce croisement, tu croises cette personne âgée là, avec ses seins tout pendouillant et sa cha... Bref, t'as compris quoi ! » elle demande timidement, un regard en biais sur le jeune homme. « Eurk ! » s'exclame-t-elle, le nez froncé.

Fort heureusement, la discussion vrille sur les études de Swann. Ainsi, il est étudiant en zoologie. « Tu souhaites être soigneur en zoo, ou quelque chose comme ça ? » s'intéresse Ida.

Pour son âge, Swann fait preuve d'une certaine maturité que reconnaît la demoiselle. Si l'on vit en fonction des autres, on passe forcément à côté de sa vie. Si bien résumé. Et le sujet tourne sur ses heurts avec Gabi et son père.

« On ne s'était jamais vu, il ne m'a pas reconnu et ne savait pas que j'étais né ou même que j'étais en création à l'époque, aucune idée qu'il avait un enfant quelque part ma mère le lui a caché tout comme elle me l'a caché jusqu'à ma majorité et mon ultimatum. Alors je peux comprendre qu'il lui faille du temps pour accepté tout cela mais je ne peux accepter son comportement blessant envers moi, je ne suis pas venu ici pour ça, il peut ne pas vouloir être un père, ne pas vouloir s'impliquer mais pas me reprocher des choses dont je suis à mes yeux la principale victime. »

Un père qui ne savait pas. Un père qui n'imaginait pas une seconde avoir un fils. Mais un père qui, visiblement, ne comprend pas qu'un enfant innocent veuille le connaître. Ida fronce ses sourcils, et dégluti avec peine avant de se lancer. « Il a dû avoir peur. Tu sais, de pas être à la hauteur. » elle commence. Ida ne souhaite pas déresponsabiliser le comportement de son père, ou donner raison ou tord à l'un ou à l'autre. Non, elle souhaite juste lui émettre des hypothèses, lui montrer d'autres perspectives quant à la réaction – certes disproportionnée et blessante visiblement – du père. « T'imagines, il ignorait jusqu'à ton existence et du jour au lendemain il est père. Ça doit être difficile à avaler que ta mère lui ai caché qu'il avait un fils. Et le découvrir comme ça, sur le fait accompli. Je pense qu'il s'est senti pris au piège et que la seule riposte qu'il ait eu, c'est de tout te mettre sur le dos. » Ida humecte ses lèvres avant de reprendre. « Laisse-lui du temps, peut-être... T'sais les pères sont des hommes et tu sais mieux que quiconque comment les hommes peuvent se comporter face à leurs sentiments. »

Si seulement Ida croyait un seul mot qu'elle vient de prononcer... Elle les croit, mais pas pour son propre paternel. Lui, c'est un cas désespéré, un laissé pour compte. Ida achève ses paroles en le complimentant sur son courage de quitter Berlin pour une ville inconnue dans l'espoir de connaître un père.

Swann l’interrompe, expliquant qu'il n'a pas eu le choix. C'était soit se connaître enfin, soit accepter de ne pas tout savoir sur son passé. Ida le comprend parfaitement. Quand sa mère lui a avoué que son père s'était barré pour un autre homme sous couverture d'une nouvelle femme, Ida avait été comme soulagée. Pendant des années, elle s'était remis la faute sur elle. Si son père avait claqué la porte, c'était parce qu'elle n'était pas assez bien pour ce père qu'elle aimait tellement. Et le fait qu'il ne réponde pas à ses nombreuses lettres n'avait qu'appuyer sur ce sentiment d'être responsable. Désormais, elle connaît la vérité et vivre avec, devient plus supportable.

Le bruit d'un moteur bruyant l'a alors tiré de ses pensées et elle a couru en direction de l'arrêt, Swann sur ses talons. Un peu plus et ils le manquaient. Ida soupire, reprenant son souffle, s'exclamant qu'avec Swann, elle se retrouve toujours à faire du sport.

« Et c'est pas le sport le plus plaisant. » rétorque le rouquin, tirant un rire à la demoiselle. « Ça non ! » ajoute-t-elle, même si ça fait un bon moment déjà qu'elle n'a plus pratiqué ce sport... « C'est ça. On est bon pour quelque chose, au moins ! » rigole-t-elle.

« Aller direction shopping, vas-tu me faire être ruiné ? Je sais pas si tu es comme Gabi ou plus tempérée dans les boutiques. »

La question du siècle, n'est-ce pas ? Installés dans le bus qui poursuit son trajet et ses nombreux arrêts, Ida papillonne des cils avant de répondre d'un air angélique : « Je ne ruine personne, moi. C'est ta carte bancaire qui s'en charge ! » Devant le regard inquiet du jeune homme, elle le rassure derechef : « Je blague. Certes, avec Gabi et Saskia on dévalise les boutiques généralement. Mais t'inquiète pas, on fera en fonction de toi ! »

Swann vient juste de débarquer et comme il est encore étudiant, elle imagine bien que ses revenus ne sont flexibles. Pas comme la carte bleue à Kathryn, par exemple. « Tu t'habilles chez qui habituellement ? Niveau déco, je connais un magasin immense où les prix sont carrément abordables et où c'est juste magnifique ! » Ida est enchantée, aussi étonnant que ça puisse être. Elle ne fait certes pas les magasins pour elle-même, ce qui aurait pu la rendre morose, mais faire les boutiques avec un ami – oui, Swann est son ami, non ? - et pour lui, rend la chose d'autant plus amusante !

Au bout d'un quart d'heure, le bus s'arrête et annonce le terminus. « Tout le monde descend ! » clame Ida, se levant de son fauteuil pour suivre Swann en dehors du car. En quinze minutes et une dizaines d'arrêts, la foule compactée qui se déverse sur le trottoir fait imaginer qu'il y aura foule dans le centre commercial. Après tout, on est un samedi alors forcément, ça se balade.

« Aloooors... Par où veux-tu commencer ? Fringues ou déco ? » demande-t-elle avant de répondre : « Tu me diras, la déco suivant ce que tu cherches, ça va nous encombrer plus qu'autre chose ! »
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Re: Deux sourires qui se rapprochent [Swann]
Jeu 27 Fév 2020 - 21:53
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 DEUX SOURIRES QUI SE RAPPROCHENT  Ida Engelwald & Swann Andrews


 Swann prend la vie du bon bout toujours, il est plein de maturité et sait que la vie n'est pas un long fleuve tranquille il se force donc toujours à voir le faire à moitié plein et ainsi tourné les choses qui pourraient énervé d'autre gens a de la rigolade pour lui. Mais il y avait une chose avec laquelle il ne rigolait pas du tout c'était la nourriture il ne pourrait jamais se passer de manger il préférait se promener tout nu toute la sainte journée que de devoir faire une croix sur un repas mais sa compagne du jour ne semblait pas avoir la même vision de la vie, car elle c'était fait un scénario bien plus gore que ne l'avait fait celui du rouquin sans doute un peu trop innocent pour imaginer tout un chacun tout nu. Parfois il se demandait si il n'était pas un extraterrestre sur cette planète même si il avait lui même donner l'idée de vivre tous nu il n'était pas aller jusqu’à imaginé les gens croisé dans la rue sans leur vêtements.

 « C'est toi qui plaisante, on ne peut pas comparer l'importance du shopping et de la nourriture tu meurs sans nourriture jusqu'à preuve scientifique du contrairement » Son raisonnement lui paraissait réellement logique à lui, c'était un choix de bon sens on avait besoin de boire et de manger pour vivre, contrairement au fait d'avoir un dressing débordant qui ne faisait pas survivre mais qui ajoutait simplement du bonheur à la vie.  « Tu ne réussira pas à me faire aimer plus le shopping plus que mes repas de roi, je ne suis pas le bon poulain à coacher » Il fit ensuite la grimace en regardant la petite mamie elle ne lui donnait pas envie mais il ne serait pas non plus obligé de la mater il ne regardait pas souvent les gens dans la rue lui de base il fuyait plutôt le regard des autres.  « Mais tu ne va pas bien toi ! Tu est une sacré petite coquine derrière ton air de petit ange, moi je m'étais pas amusé à imaginé les passant tout nu, bwaaaah je vais avoir des cauchemars à cause de toi, si je dors pas je te ferais chier par texto voilà » Parce qu'il était innocent lui, chaste et pur encore mais ça elle ne devait pas le savoir.  « Je crois quand même que tu a des goûts sexuel bizarre pourquoi tomber sur la mamie et pas sur l'homme là-bas avec ses gros muscles hein ? » Et il rigole bien sur il dit cela pour l'embêter il sait qu'elle a voulut lui montré le pire côté de sa la théorie que lui avançait.

La conversation dévia sur ses études et le fait d'être zoologue n'était pas une chose bien connu des gens, ils ne savaient pas souvent à quoi cela correspondait réellement dans la vie, les chercheurs étant souvent caché aux yeux du public.  « Les zoologues ne sont pas réellement des soigneurs à proprement parler, on a une base de médecine vétérinaire bien sur mais on est des chercheurs avant tout, on étudie les espèces, leur mode de vie, la meilleure manière de les préservé. C'est nous qui déclarons les animaux en danger d'extinction tout ça tout ça, mais si je veux je pourrais ensuite être soigneur oui mais je me trouve trop sensible pour ce genre de chose je risquerait de craquer à la moindre bête douloureuse » Peut-être qu'un jour il serait moins sensible à la douleur des autres et pourrait se lancé dans ce genre de métier là mais pour le moment il préférait largement être à l'abris de la douleur visuel et pouvoir se détacher de cela en travaillant sur des faits scientifique. En tout cas il était heureux de ses études et cela était l'une des seules choses qui se passait bien depuis son arrivé Hambourg.

Le rouquin avait un peu expliqué à la blonde sa relation avec son père qui n'avait pas été ce qu'il attendait, il ne voulait pas blâmer son père de trop mais il ne comprenait as pourquoi lui faire du mal comme ça en reprochant des choses pour lesquels lui ne pouvait rien. Il n'avait pas choisit non plus lui de ne pas avoir de père et que sa mère fasse un aussi mauvais choix c'était à elle de lui demander des comptes. Il ne pouvait donc pas trouvé de quoi excusé son père même si il avait tenté de la faire étant le premier a toujours chercher de quoi amoindrir les mauvais actes des autres.  « J'aurais aimé le croire qu'il était juste surpris mais il a été méchant réellement et je ne peux pas l'accepter » Il était gentil, il était doux mais il était aussi sensible il ne pouvait pas tout encaisser et comme tout le monde ses limites étaient atteinte.  « Je n'agis pas comme ça avec mes sentiments alors non je ne sais pas, moi je sais juste que je suis un homme de dix huit ans qui voulait rencontré son père se mettant sa mère à dos pour ça, elle a fait une erreur, un mauvais choix mais il n'est pas parfait non plus dans cette histoire et je ne peux pas accepter un tel comportement de sa part même si cela n'est que de la maladresse de sa part. Enfin bref de toute manière c'est du passé je l'ai vu j'ai été déçu je continue ce n'est qu'une déception de plus après Gabi il fallait bien que cela n'aille pas non plus avec mon père histoire de bien me donner une leçon. La prochaine fois peut-être que j'écouterais bien ma mère » Car celle-ci avait finalement raison son père n'était pas une personne à rencontré, il n'avait rien à lui apporter du moins pour le moment il était dans cette optique là et il lui faudrait sans doute du temps pour pouvoir avaler cette deuxième rencontre pas du tout heureuse.

Le bus arriva finalement alors qu'ils n'étaient pas encore a l'arrêt de bus et ils durent courir pour l'avoir ce qui n'était pas ce que préférait faire Swann il n'était pas le genre à apprécier courir, il faisait du sport pour avoir l'air plus viril et avoir un physique un peu plus épais mais sans plus.  « On doit être bon pour plusieurs chose quand même » Suffisait de chercher un peu pour trouver. Le jeune homme avait désormais peur de finir ruiner, bon il n'était pas en manque de moyen malgré sa colère contre lui sa mère continuait à lui fournir de quoi vivre très décemment, bien mieux que la plupart des jeunes de son âge étudiant comme lui mais il n'était pas très dépensier en matière de fringues et ne savait pas si la blonde était aussi amoureuse du luxe que Gabi qui elle l'aurait sans doute ruiner avec un seul pantalon.  « Ma carte bancaire est sage en règle générale elle ne me ruine pas » Clairement pas parce qu'il faisait attention, il n'avait aucun soucis de fin de mois mais ne vivait pas non plus dans un luxe opulent lui permettant de garder un équilibre stable et sains d'après lui.  « Je pense avoir des moyens tout à fait raisonnable pour pouvoir trouvé notre bonheur de manière correct »

Quand elle lui demanda où il allait pour s'habiller il rigola un peu il devait lui dire qu'il ne faisait jamais les magasins et que tout ses fringues étaient choisit par sa mère.  « Euh je dois avoué que je ne fais jamais les magasins, c'est ma mère qui revint régulièrement avec des affaires pour moi alors je ne peux pas trop te dire » C'était sans doute un peu enfantin de sa part mais il était un petit bébé à sa maman jusqu'à son arrivé ici et il l'assumait. En tout cas il faisait confiance a Ida pour le choix des boutiques il ne connaissait pas grand chose dans le coin et il n'allait pas le jouer le fin connaisseur, et vu son discours elle venait sans doute souvent dans ce coin.  « Je te fais confiance je fais du coup jamais les boutiques et du a l'air de bien t'y connaître et puis une fois dans la boutique je pourrais sans doute plus facilement te montré ce que je cherche, aime » Car il n'était pas très doué pour expliqué surtout pour ce genre de sujet qu'il ne maîtrisait pas à cent pour cent.

Finalement le bus arrive à destination et ils le quittent avec la marée de gens encore à l'intérieur aller faire son shopping le samedi n'était sans doute pas meilleure idée du monde mais quand on était prit par les études du lundi huit heures au vendredi dix huit heures cela limitait les possibilités.  « Quel monde ton centre commercial à réellement du succès » Il ne serait sans doute jamais venu jusqu'ici tout seul en tout les cas il tentait d'éviter autant que possible les lieux trop plein.  « On va commencer par les fringues oui je pense c'est plus léger à transporter que la décoration avec nos petits bras faut mieux qu'on utilise nos cerveaux pour pas être vite emmerder pour me permettre de ne pas être très poli pour une fois » Il faisait normalement assez attention a son langage pour ne pas laisser trop de grossièreté sortir même si il les pensait étant après tout un jeune comme tout le monde.  « On va repartir de là charger comme des mules je crois que tu va devoir aller jusqu'à chez moi au retour » Parce qu'il ne savait pas comment il allait faire en transport en commun avec tout les sacs seul il n'avait pas pensé à se détail là en partant et cela venait de lui sauté aux yeux alors qu'elle lui parlait de l'encombrement potentiel de la déco qu'il allait choisir.

 
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Re: Deux sourires qui se rapprochent [Swann]
Dim 15 Mar 2020 - 14:23

Swann semble choqué par la vision de la demoiselle. Pourtant Ida n'a qu'interprété les dires du jeune homme et c'est avec une pointe de curiosité qu'elle laisse s'expliquer le rouquin. Elle manque de s'étouffer tant son raisonnement lui semble carrément opposé au sien. Oui, ok, pour vivre, faut manger... Logique même de la biologie qui fait de nous des êtres vivants. Mais - oui, il y en a un ! - lécher les vitrines, acheter sans limite, s'éclater avec ses amies à tester toutes ses trouvailles, ça c'est la vie ! Comment Swann ne peut-il pas le voir ? Manger, c'est la base. Se faire plaisir c'est ça qui nous différencie des animaux ! Elle rit quand il se compare à un poulain et qu'il affirme qu'elle n'arrivera pas à lui faire aimer plus le shopping que la bouffe. « Challenge relevé ! » s'exclame la blondinette, le regard pétillant de malice. S'il voulait jouer, elle jouerait !

Lorsque Ida lui assure que se balader à poil n'est clairement pas une bonne idée en lui montrant un exemple pour corroborer ses dires, je jeune homme grimace, dégoûté, avant de traiter la demoiselle de « petite coquine ». La jeune femme fait la moue, écarquille ses yeux avant de tourner son regard vers Swann. « C'est toi qui est déluré ! Tu affirmes qu'on vivrait mieux sans fringue, alors je te prouve par A + B que c'est juste une vision d'horreur. » affirme la jeune femme tout en montrant d'un coup de tête la vieille femme qu'elle vient de s'imaginer sans habit. « Et genre tu vas en faire des cauchemars ? Petite nature, va ! » glousse la jeune femme, amusée. « Tu peux te venger comme ça, si tu veux oui. » lui dit-elle, tout en lui faisant un clin d’œil complice. À sa dernière phrase cependant, elle manque de s'étouffer tellement elle ne s'attend pas à cette remarque. « Cet homme ? Tu rigoles ?! » reprend Ida, grimaçant. « Si ça se trouve il un micro-pénis ou ses... Bref tu vois, qui tombent et font blop blop. » s'écrie Ida, le nez froncé. « C'est toi qui est bizarre, Swann, a imaginer un monde sans shopping et sans tissus pour couvrir notre nudité. » assure Ida, gloussant.

Rapidement, la conversation se tourne vers le jeune homme. Ses études, sa famille et son emménagement à Hambourg occupent les deux jeunes le reste du trajet au bus. Pour la jeune femme, des études en zoologie tournent inexorablement vers le soin des animaux. Elle s'étonne de ce que lui apprend le rouquin et l'écoute scrupuleusement. « Ouais, t'es comme moi, quoi. » résume Ida. « Je tue même plus les araignées – alors que crois-moi, j'en ai une sainte horreur. Je les remets dehors en évitant soigneusement que leurs pattes toutes velues et toutes... » Ida grimace une seconde. « ...Brrr, tu vois ? Ne me touchent ! » Elle avance à ses côtés, soudain pensive, repensant à ce qu'il vient de lui dire. « Donc chercheur, hein ? » elle questionne, un sourire discret aux lèvres. « C'est cool aussi. »

Si leurs études ne se ressemblent pas le moins du monde, ce qu'il avoue sur son père notamment ne peut que rapprocher les deux jeunes gens. Si elle se retrouve sans réponse de la part de son paternel, Swann, lui, a obtenu ses réponses. Elles ne lui plaisent pas, son père sûrement surpris quant à l'existence même d'un fils. Ida le lui en fait part mais je rouquin balaie d'un revers ses hypothèses. Non, selon Swann, son père s'est montré méchant envers le jeune homme, lui reprochant des erreurs passées dont il n'a aucune main dessus. Ida l'écoute, se mordant la lèvre inférieure tant elle espère qu'il reviendra sur ces mauvaises retrouvailles. Oui, sa mère est en partie fautive, notamment d'avoir caché au père l'existence de son enfant. Si son père a pu être surpris par l'arrivée de Swann, il est fautif lui aussi même s'il ignorait la vérité. Il aurait pu se montrer indulgent à l'égard du jeune homme, essayer de le connaître plutôt que de lui balancer en pleine figure les fautes que sa mère a commises. L'être humain est complexe... Si complexe. Ida tente de convaincre Swann qu'il en a été surpris et que la prochaine fois ça se passera mieux, mais le rouquin est blessé. Bien plus que ce qu'il montre ou ose avouer. Ses propos rejoignent la désillusion avec Gabi et Ida se retient de dire quoi que ça soit. Elle n'a pas toutes les clés en main et la brune a tourné la page. Elle a Hänsel et c'est le principal et ce, même si ça semble être un coup dur supplémentaire pour le rouquin à encaisser. « Tu as eu raison. » affirme Ida, réellement convaincue que le jeune homme a agit de la meilleure des façons possibles. « Au moins, tu n'auras aucun regret, même si ça ne va pas dans le sens que tu aurais aimé... »

Ida se garde bien de prononcer la suite de sa pensée. Au fond d'elle, elle est convaincue qu'il y aura un dénouement heureux. Un père ne peut pas rester à l'écart d'un fils. Un enfant qu'il n'a pas eu l'occasion de voir grandir. La seconde rencontre serait mieux. Forcément. La demoiselle est expulsée de ses pensées quand elle voit le bus arriver. Elle se met à courir, suivi de près par Swann et, tous deux, parviennent à entrer dans le transport en commun in extremis. Ida relève comme à chaque fois qu'ils se voient, le sport est pratique courante, ce qui fait rire Swann lâchant qu'ils sont au moins meilleurs dans la course que dans la pratique du jet-ski. « Pour plusieurs choses... ? » Ida fait mine de réfléchir avant de lâcher : « Pour le shopping ! Tu as raison. » Elle glousse quand le jeune homme s'inquiète de voir sa carte bancaire mise-à-mal. La jeune femme le rassure tant qu'elle peut, bien que dans un premier temps elle le taquine. « Si elle est sage, alors il n'y a pas de raison pour qu'aujourd'hui soit un jour différent. » affirme la demoiselle, un sourire mutin aux lèvres. Pas de raison ? Non non... Juste une Ida qui sait dégoter les raretés ! Mais comme Swann semble réellement inquiet, Ida finit par ajouter : « On fera selon tes moyens et le centre commercial recèle de tas de boutiques pour tous les budgets ! »

Ida est une enfant née dans une famille aisée. Se serrer la ceinture ? Elle ne connaît pas. Tous ce qu'elle veut, elle l'obtient, qu'importe le prix que ça lui coûte. Elle ne travaille pas à côté de ses études, n'a jamais fait un job de sa vie, bien qu'elle cherche un stage en éditions. Mais bon, un stage ça compte pas, si ? Néanmoins, bien qu'elle ait grandi avec une cuillère en argent dans le bec, la demoiselle sait être raisonnable comme elle sait respecter des règles – ici le porte feuille du jeune homme.

Comme ils en ont pour un petit bout de temps en bus, la demoiselle demande les boutiques que le jeune homme a l'habitude de faire afin de cerner ses besoins. Le rouquin rigole, soudain gêné et finit par lui avouer qu'il n'a pas coutume de faire ses propres achats, sa mère y allant à sa place. Ida lève un sourcil interrogateur, la bouche légère entrouverte. « Tu rigoles ?! » elle s'exclame, sur le cul. « Tu n'as jamais choisi tes fringues ? Genre, jamais jamais ?! »
Oui, la demoiselle tombe des nues. Pour elle, c'est logique qu'un enfant, quel que soit son âge, ait le choix dans ses tenues vestimentaires. Passer par la case magasin est carrément normal mais le jeune homme, avec ce qu'il vient d'avouer, chamboule tout ce en quoi elle croit. « Tes fringues, là, c'est ta mère qui les a choisi ? » elle demande, soucieuse de la réponse. « Tu n'as donc pas de style défini ? Puisque tu ne choisi pas comment tu t'habilles. » Mais le jeune homme le rassure rapidement, lui expliquant qu'il saurait lui montrer ce qu'il aime une fois dans le centre commercial. Légèrement rassurée, la jeune femme se rassied, dos au dossier, jusqu'à ce que le bus s'arrête au terminus. « J'espère, oui... » soupire-t-elle, bien que le challenge de trouver ce qu'aime Swann la motive plus que jamais. Ils descendent du bus, derrière une flopée de gens. Le rouquin siffle quand il voit le monde qui se déverse aux portes, tandis qu'Ida hausse les épaules. « C'est souvent bondé, mais t'inquiète, y'a tellement de magasins différents qu'on sera réparti. » remarque-t-elle. « Pis tu ne vas pas t'échapper comme ça ! Crois-moi. » elle rigole. « Tu as attendu tes... quoi ? 20 ans ? 22 ans ? Pour faire les magasins, alors courage et on y va ! »

La demoiselle se dirige vers les portes, suivant la foule. Ils se mettent d'accord sur le fait de faire les boutiques de fringues avant la déco, pour plus de facilité à porter le tout. Utiliser le cerveau plutôt que les bras, comme le fait très justement remarquer Swann. « On peut aller au premier étage, y a une boutique avec pas mal de styles. Tu me diras comme ça si tu trouves ton bonheur. » propose la blondinette avant de l'inviter à la suivre au premier étage du centre commercial. S'il est bien vrai que Swann n'a jamais fait les magasins pour lui – d'ailleurs, pourquoi mentirait-il là-dessus ? - Ida avait hâte de pouvoir lui faire essayer des styles et tenues différentes. Elle en jubile d'avance et c'est avec un grand sourire qu'elle passe les bornes de sécurité du magasin en question. « Les femmes, on s'en fout. Ce qui nous intéresse c'est le rayon homme. » dit-elle, cherchant des yeux le coin réservé aux mecs. Son regard se pose une fraction de secondes sur une veste en jeans au bleu intense. La veste lui fait de l’œil, aguicheuse, mais malgré son envie irrésistible d'aller ne serait-ce que la toucher, elle bifurque dans un rayon la menant exactement là où Swann peut trouver son bonheur. Après un imperceptible soupire de peine d'avoir délaissé cette si belle veste, elle se tourne vers le rouquin : « Hauts ? Bas ? Les deux ? » demande-t-elle avant de laisser flâner dans les rayons au gré de son cœur.
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Re: Deux sourires qui se rapprochent [Swann]
Mer 18 Mar 2020 - 20:49
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La blonde ne le connaissait elle ne pouvait donc pas savoir que ce qui lui proposait comme défi ne pourrait pas être réalisé tellement il aimait manger, c’était un réel plaisir pour lu, pas juste une activité nourricière comme pour beaucoup de gens et comme cela semblait être le cas pour Ida qui ne semblait pas du tout partagé son amour de la nourriture. Après elle était très fine elle ne devait pas avoir grand appétit ou un très très bon métabolisme mais au vu de sa façon de le regarder quand il avait dit préférer la nourriture au shopping cela devait être la première idée qui était la bonne. « Tu as perdu d’avance ma pauvre tu t’est lancé dans un combat impossible à mener » Il se marierait a la nourriture si il le pouvait mais il ne voulait pas mourir puceau alors il tenterait de trouvé une femme quand même, sa façon de pensée le fit intérieurement rire il était réellement bête des fois heureusement que personne ne savait lire ce qu’il se passait à l’intérieur de sa tête.

Le rouquin réussit à choqué encore plus la jeune femme qui l’accompagnait en parlant de vivre mieux si tout le monde était nu, plus de soucis de comment s’habiller, de différence sociale entre les habits de luxe et les habits de première main pour lui cela serait la solution parfaite mais l’esprit un peu pervers de la blondinette c’était mit à imaginer la mamie de l’autre côté de la rue à poil. C’était une chose que son esprit n’avait pas imaginé, sans doute un peu trop naïf encore il n’imaginait pas les gens nu il serait trop gêné de faire une chose pareil et il rétorqua a Ida qu’elle était une perverse et qu’elle aurait pu imaginé le jeune homme de l’autre côté qui était déjà plus en forme que la mamie et qui devait avoir un corps plus appétissant pour lui car du coup il n’y avait rien à ce mettre sous la dent pour l’étudiant en dehors de son accompagnatrice et si il se mettait à l’imaginé dénudée il allait fuir avant d’avoir pu acheté la moindre chose et cela ne serait pas très bien perçut par la jeune femme et il ne voulait pas la blessée ou qu’elle le pense pervers. « Tu ne me prouve rien du tout pour moi la mamie nue bien que peu ragoûtante ne me dérange pas je ne fais pas tellement attention aux autres dans la rues autre point où nous ne somme pas semblable » Bon par contre il allait faire des cauchemars de la vision qu’elle venait de lui donner parce qu’il était chaste et innocent et n’avait jamais réellement vu une femme nue il ne pouvait donc qu’imaginé et devait être bien loin de la vérité même pour un corps tout fripé comme celui de la mamie. « Je n’ai jamais vu une femme nue et toi tu me fait imaginé une vielle personne autant dire que mon imagination doit rendre la chose encore pire, je pourrais donc faire un tas de cauchemars durant la nuit et tu ne dormira pas non plus si c’est le cas mais tu dois bien avoir ce qu’il faut pour camoufler la fatigue tu t’en sortira encore mieux que moi une ne nouvelle fois » Il éclata de rire quand la jeune femme parla de l’homme visiblement la jeune femme avait une imagination encore plus débordante que lui pourquoi directement pensé que l’homme avait un micro pénis ou encore des boules flasque et pendantes, il allait finir par croire qu’elle était attiré par les vieilles femmes à la peau fripé. « Tu sais que je vais finir par pensée que tu est attiré sexuellement parlant par les mamies a la peau ridée, pourquoi directement pensé que le pauvre homme à un pénis d’enfant, ou les boules flasques, tu sais que c’est rare ce genre de physique on est pas tous formé de la même façon mais il y a quand même une moyenne plutôt correct » Il restait un homme et même inexpérimenté il était passé comme la plupart des ado masculin dans la phase de questionnement quant a la taille de son engin et il c’était documenter et ainsi rassuré quand son physique. « Je ne suis pas bizarre, seulement différent de toi, je saurais très bien vivre sans fringues et sans shopping contrairement à toi » Pour lui être bizarre, louche ou curieux c’était faire une chose incompréhensible pour le commun des mortels, et pour le coup il ne pensait pas l’être il savait que certaine communauté de personne vivait nu entre eux pour une raison ou une autre.


L’étudiant répondit ensuite aux questions de la jeune femme sur ses études ils pourraient en parler des heures durant il était un réel passionné par tout cela il voulait réussir à mener ses études jusqu’au bout en restant dans les meilleurs de sa classe c’était une chose importante pour lui. Il était réellement passionné par les animaux et très sensible à leur cause, que cela soit de leur façon de vivre, de leur manque de nourriture ou de terre, a la maltraitance ou au trafic il était sensible envers tout ce qui touchait les petits être fragile qu’était les animaux, et ce terme s’appliquait pour lui-même au plus dangereux et cruel qui n’était rien face à la part sombre de certain homme. « On fait partit des gens sensible je ne tue pas non plus les insectes même si je ne les apprécient pas non plus, ils sont quand même intéressant à étudier pour certain et puis ils méritent tout autant de vivre que les autres même si ils sont moches et un peu inquiétant pour certain » Swann se contenterait donc de la recherche bien mieux pour lui, bien moins douloureux et lui permettant de faire appel à son cerveau chose qu’il appréciait il voulait faire une métier qui stimulait son intelligence c’était un besoin qu’il avait. « Chercheur oui j’ai besoin de stimuler mon esprit en permanence pour cela que je passe beaucoup de temps à lire, à travailler et tout ce genre de chose que beaucoup trouve ennuyeuse parce que cela fait travailler mes neurones. C’est une face caché du métier, on n’y pense pas réellement et peu de gens savent qu’on existe mais on est utile aux animaux alors oui pour moi c’est cool » Même plus cool que le métier de contact direct mais c’était sa vision à lui et il n’obligeait personne à voir les chose de son point de vue.

Ensuite il parla de son père racontant en détail leur rencontre et la maladresse de l’homme, qui a beaucoup blessé le jeune roux qui ne sait plus quoi faire et qui ne se sent pas capable pour le moment de pardonner et de revoir l’homme qui avait sans doute eut ses raisons de réagir comme cela mais qui n’aurait pas du agir comme cela envers le plus jeune qui lui n’avait rien demandé de tout cela. Il était la première victime du secret de sa mère parce qu’il avait du coup grandit sans père et il avait du batailler dur envers sa mère se fâchant même avec elle pour avoir le droit de venir ici ce qui rendait sans doute le rouquin encore plus fragile. Sa mère c’était réellement sa vie, elle l’avait élevé toute seule faisant toujours tout pour qu’il soit équilibré, sains et heureux alors se dire qu’il l’avait blessé en voulant à tout prix savoir qui était son père pour en arrivé là le mettait encore plus en colère contre l’adulte qui ne se rendait sans doute pas compte de ce qu’avait fait son fils pour le rencontré et lui apprendre la vérité. « Enfin de toute façon c’est fait que j’ai raison ou tord, qu’on se voit à nouveau ou non je sais maintenant qui est mon père et c’est ce que je voulais savoir en venant ici alors je me contenterait de cela » Parce qu’il fallait savoir se contenter de peu parfois pour ne pas être encore plus déçu par la suite rien ne lui disant que son père serait un jour capable d’agir comme tel ce qui le faisait beaucoup hésité à tenter une nouvelle rencontre. « C’est ça je pourrais me dire que j’aurais tenté et que je ne suis pas resté dans ma zone de confort a attendre que cela arrive » Pour une fois il avait agit avec courage et c’était tout ce qu’il aurait à retenir de cela si il n’arrivait pas à avoir une finalité heureuse pour lui.

Devoir courir pour attraper le bus voilà une nouveauté, non pas qu’il n’appréciait pas faire du sport de temps en temps il n’appréciait pas courir sans raison et il avait l’impression que chaque fois qu’il voyait la blonde il devait faire des effort physique, alors que là ils allaient simplement faire du shopping de prime abord. « Je ne crois pas apprécier de devoir faire du sport pour pouvoir ensuite faire du shopping mais soit de toute façon c’est fait maintenant » Ils étaient dans le bus et avait le temps du trajet pour pouvoir se mettre d’accord sur le budget à ne pas dépasser. En réalité il n’en avait pas tellement il avait un compte bancaire plutôt bien fournis par sa mère sans doute pas autant que celui que pouvait avoir une Ida ou une Gabi mais bien suffisant pour vivre en s’offrant pas mal de plaisir qui n’était pas permis à tout le monde dans sa situation d’étudiant, il se savait privilégié et tentait d’agir comme un jeune responsable. « Normalement elle ne sort pas dans les centre commerciaux, elle visite plus de fast food que des magasins » Il ne fait jamais les boutiques de ce genre il laissent les autres faire pour lui, ses fringues ne sont que des cadeau ou des choses ramener par sa mère qui a de bon goût et qui suit la mode de prêt lui offrant alors un look a la mode et de bon goût sans qu’il n’ai a aller lui-même chercher. Mais il dirait à la blonde ce qu’il appréciait même si il venait de la choqué en lui avouant ne jamais avoir fait du shopping pour lui-même avant, ceci expliquant un peu son besoin d’avoir quelqu’un pour aller avec lui et sa peau de la somme à dépensé il n’y connait après tout pas grand-chose niveau tarif sa mère ne lui faisant pas les comptes en rentrant. [color=#B30E63]« Je ne rigole pas, je ne connais pas les tarifs ni rien, j’ai cessé d’accompagné ma mère a ses séances shopping et elle a remplis mon armoire m’évitant d’avoir a aller chercher quelque chose, la famille m’a offert des choses aussi et cela a suffit pour moi du coup je n’ai jamais été faire du shopping pour moi, j’ai fais plus de boutique de femme pour offrir des choses à ma mère que pour moi » A la question suivante le roux détail sa tenue pour voir si tout vient de sa mère et il regarda ensuite Ida pour lui répondre le sourire aux lèvres. [i]« Oui c’est tout elle qui a choisit en dehors des chaussures mais c’est pas moche hein ? Enfin moi j’aime bien c’est simple passe partout ça me correspond bien » Après tout il portait une tenue de ville simple, il ne se ferait pas avec un look pompeux cela ne serait pas lui et sur cela sa mère avait toujours respecté sa personnalité. Une bonne chose selon lui mais cela semblait un peu inquiété la jeune femme qui ne devait sans doute pas comprendre le pourquoi d’un tel désintérêt envers sa garde de robe. « Quand même ce n’est pas parce que je ne choisit pas que je n’ai pas d’opinion sur la question » Et finalement le bus arriva enfin, laissant sortir une vague impressionnante de monde, l’endroit choisit par la blonde était visiblement prisé des gens signe que cela devait être gorgé de bonne chose. « Tant mieux je panique un peu quand il y a trop de monde autours de moi, et ne me vieillit pas tu veux j’ai que 19 ans » Même si il faisait un peu plus âgé avec son côté sérieux et calme il n’était encore qu’un jeune adulte, un pied dans le monde adulte un autre dans le monde des adolescents qu’il devait peu à peu quitter. Finalement le duo entra dans le centre commercial et choisit son plan d’attaque préférant d’abord commencer par les fringues pour pouvoir ensuite passer à la déco qui serait sans doute bien plus encombrante et compliqué à transporter ensuite et il écouta Ida qui choisissait la première boutique où ils allaient aller pour pouvoir avoir plein de choix et qu’il puisse lui indiqué ce qu’il aimait et ainsi lui facilité le choix des autres magasin à faire ensuite. « Je te suis tu connais mieux les lieux que moi, alors je te fais confiance si tu pense que c’est une bonne boutique pour que je puisse te montré ce que j’aime je te fais confiance »

Et finalement elle le guida jusqu’à là-bas passant rapidement devant les rayons pour femme pour aller chercher le coin homme elle semblait réellement impliqué dans sa mission de l’aider lui car en l’entendant parler de sa passion shopping il aurait pensé qu’elle serait sans doute plus sensible et plus facile à détourné mais non elle avait prit son rôle au sérieux. « Les deux, pour t’évité de trop te chercher, je mets essentiellement du blanc, du gris, du noir, du marron et du bleu, le reste jure un peu trop avec mes cheveux je trouve » Elle lui dirait sans doute son avis là-dessus après mais il n’avait jamais réussit à porter d’autre couleur sans trouvé que cela faisait bizarre avec sa tignasse qui n’était pas d’un des couleurs les plus arrangeantes du monde. « Tu vois finalement j’ai des goûts, ils sont ce qu’ils sont mais ils existent au moins » Ce qui était mieux que rien du moins de son point de vue à lui.
  

 
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Re: Deux sourires qui se rapprochent [Swann]
Ven 27 Mar 2020 - 12:11
Le rouquin répond en rigolant, assurant à la jeune femme qu’elle a d’ores et déjà perdue avant même de commencer. Elle sourit en coin, ils verront bien mais elle souhaite tout de même que cette journée soit appréciée du jeune homme. Donc même s’il n’aimera toujours pas les joies du shopping, peut-être avouera-t-il avoir passé une excellente journée ! Et c’est tout ce qui importe à la demoiselle. La discussion dévie sur la perception de la nudité et Ida, bien que choquée par les propos de Swann, se retrouve à son tour à choquer le jeune homme. Il explique alors que ça ne le choque pas plus que ça, ne prêtant pas forcément attention aux autres. Ida a un moment d’arrêt et remue la tête comme pour se chasser de l’esprit ce qu’il vient de dire. Comment peut-on ne pas faire attention à ce qui les entoure ? Il a des yeux, pourtant, comme la jeune femme. Si ce n’est pas pour voir, à quoi lui sont-ils utiles ? Ida préfère ne rien dire, plutôt que d’ajouter son grain de sel. D’autant plus que Swann la choque encore plus en lui avouant ne jamais avoir vu de femmes nues. « Tu… Tu te fiches de moi ? » elle lâche avant de rajouter, soudain confuse. « Excuse-moi, je voulais pas le dire comme ça. » Après tout, ça parait logique s’il était le petit ami de Gabi à l’époque où elle habitait Berlin… La brune avait bien explicité à Ida sa non connaissance du corps masculin et du sexe en général. Alors forcément qu’avec Swann, il ne s’était rien passé. Du moins, rien qui n’aille en dessous de la ceinture. « C’est juste que j’oublie que tu étais avec l’ancienne Gabi. » Elle s’enterre vivante, la blondinette et elle le sait, c’est ça le pire ! « Enfin, j’veux dire… Laisse tomber. » elle termine, préférant se taire plutôt que de continuer de s’enfoncer. Après tout, le jeune homme aurait très bien pu ne rien lui dire du tout, c’était une preuve qu’il lui faisait tout de même confiance. « Ah ça oui, fond de teint, poudre, anti-cernes… » elle résume, un sourire sur les lèvres. « La totale quoi ! » elle pouffe alors qu’elle est plutôt nude niveau maquillage. Rien d’extravagant, juste un peu de poudre histoire d’unifier le teint et maquillage des yeux. En soirée, c’était toute autre chose, mais en même temps, pour se faire remarquer, il le faut bien !

Swann montre un homme, plutôt bien proportionné, lui demandant pourquoi elle a préféré lui montrer comme exemple la vieille femme plutôt que ce bel homme. La demoiselle rigole, imaginant un micro-pénis ou toute autre chose désagréable, présentant ses arguments au jeune homme qui ne peut s’empêcher de partir en fou rire. « Touché. » elle répond, mutine. « Tu m’as percé à jour. J’aime les mamies toutes fripées à la peau douce. » elle ajoute avant de suivre Swann dans son rire. « Eurk ! Tu vas vraiment me prendre pour une tarée ! » elle s’exclame, riant encore. Le rouquin continue dans sa lancée, rejetant le mot bizarre, expliquant juste être différent de la jeune femme. Assurément, il l’est. C’est bien là la complexité de l’être humain. « J’avoue, sans la joie de faire du shopping, je ne serais plus que l’ombre de moi-même. » raille-t-elle, ironique. Si le jeune homme semble la percevoir ainsi, il en est pourtant tout autrement. Ida ne vit pas pour le luxe ou le paraître. Elle est pleine d’autres nuances. Elle est une lectrice, une virtuose, une femme, une sœur… « Crois-moi, c’est mal me connaitre. » elle répond, un léger sourire planant sur ses lèvres.

La discussion bascule à nouveau, cette fois-ci vers les études du jeune homme et ce qui l’a poussé à venir à Hambourg. Ils tombent d’accord sur le fait qu’ils sont tous deux sensibles envers les insectes et animaux. Si Ida a horreur des araignées – pour ne citer qu’elles – elle se répugne pourtant à les tuer et préfère les relâcher dehors. Bon, pas sûr qu’elles ne reviennent pas à l’intérieur après, mais au moins, elle n’a pas leur mort sur la conscience ! « C’est ça. » acquiesce Ida à la phrase du rouquin. Pourquoi l’une, plus moche que l’autre, aurait plus le droit de mourir que l’autre ? C’est comme si dans la société humaine, on décidait de tuer certaines personnes parce que moches. Sérieusement… Mais le garçon avoue ne pas pouvoir s’occuper des animaux et préférer plutôt être dans un laboratoire. Ida le comprend, elle-même incapable de ne pas verser une larme à chaque fois qu’un animal se fait blesser ou meurt dans un film… C’est dire ! « Ça doit être intéressant, oui. » résume-t-elle, réellement intéressée. Elle ignorait jusqu’ici que la zoologie était aussi ouverte, ne pensant qu’aux soigneurs ou autres personnes aux petits soins des animaux…

Swann finit par expliquer les raisons de sa venue à Hambourg. Si Gabi en fait partie, le jeune homme a mis les pieds ici dans l’espoir de créer des liens avec son paternel. Évidemment, les retrouvailles ne se sont pas passées comme il le souhaitait et Swann se retrouve dégoûté de ce qu’il a vu chez son père. Ida essaie de lui montrer le positif et fait un peu l’avocat du diable en trouvant des potentielles excuses à son père. Mais le garçon les rejette et finit par dire qu’il sait qui est son père quoiqu’il se passe après. Ida reste pensive et ne contredit pas les paroles du jeune homme. Elle le pense encore éreinté de leur rencontre et sûrement sous le coup des émotions. Elle espère secrètement qu’il saura faire un pas vers l’homme qui lui a donné la vie tout de même, si ce dernier revient vers lui. Ida finit par avouer que le jeune homme est brave, réellement impressionnée par son action. Elle-même en serait incapable… Aller voir son père qui l’a abandonné ? Jamais de la vie !

Dans le bus, la conversation dévie vers le projet de base : trouver des fringues et déco pour Swann. Alors forcément, la blondinette demande après ses goûts, afin de savoir exactement quels magasins privilégier. Mais le garçon avoue ne jamais faire les magasins, laissant sa mère s’occuper de sa garde-robe. Si Ida en reste ahurie, elle finit vite par comprendre que le rouquin sait ce qu’il aime tout de même. « Oui, c’est plutôt classe ! » elle répond comme le jeune homme la questionne sur ses habits qu’il porte, des fringues que sa mère a acheté pour lui. « Elle a bon goût. » elle ajoute, souriante. Mais elle remarque tout de même comme à son âge, il est étonnant qu’il ne fasse pas les boutiques pour lui ! Mais Swann la contrecarre, lui révélant n’avoir que dix-neuf ans. « Oh, tu fais plus vieux. » répond-t-elle en pouffant. Se dire qu’il n’a qu’un an de plus qu’elle la rassure tout d’un coup. Elle le voyait plus dans la tranche d’âge de son aîné, et forcément le parallèle se faisait tout seul.

Ida prend les reines et entraîne le rouquin dans une boutique où il devrait trouver son bonheur. Le jeune homme la suit, assurant lui faire confiance. Elle passe rapidement le rayon femme où une veste aguicheuse lui fait de l’œil et finit par arriver dans le rayon homme. Elle se tourne vers le jeune homme et lui demande alors ce qu’il recherche. Swann lui répond qu’il recherche de tout,  complémentant avec les couleurs qu’il a l’habitude de porter. « Ouais, t’es sobre en couleur. » elle répond, son visage se fendant d’un sourire. « Tu peux aussi te permettre du kaki. Ça irait bien avec tes cheveux et tes yeux. » Elle ajoute, son regard vrillant vers celui du jeune homme. « Oui, finalement, je me sens moins perdue ! » rit-elle à la remarque de Swann. Pour avoir des goûts, il en avait oui. Pas forcément énormément, mais au moins ça l’aiderait à l’aider.

Rapidement, les bras de la jeune femme se chargent de fringues en tout genre. Comme il est temps de trier un peu, ils se dirigent vers les cabines où elle laisse Swann se changer pour faire son défilé. « Et tu sors hein ! J’veux voir ! » elle ajoute, alors qu’il disparait derrière le grand rideau. Le temps qu’il ressorte pour la première tenue, elle jette un regard sur son téléphone qui lui indique déjà qu’il est presque quatre heures. Le temps filait à une de ces vitesses !
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Re: Deux sourires qui se rapprochent [Swann]
Mar 7 Avr 2020 - 23:59
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 DEUX SOURIRES QUI SE RAPPROCHENT  Ida Engelwald & Swann Andrews


Swann c’était un peu dévoilé a Ida il ne le faisait pas souvent parce qu’il n’était pas très confiant en lui-même et qu’il ne voulait pas qu’on se moque de lui parce qu’il n’était pas dans la norme il le savait et cela lui faisait souvent du mal de se rendre compte qu’il n’était pas comme tout le monde, trop différent pour réellement se sentir bien dans sa peau alors qu’il n’avait rien fait de mal, après tout attendre de trouvé une femme dont il était réellement amoureux n’était pas si horrible même si c’était sans doute un peu niais de sa part. Sa révélation fit mouche et la jeune femme ne réussit pas à cacher son étonnement ce qui ne fut pas pour le mettre à l’aise et la suite de ses paroles lui firent mal au cœur terriblement mal au cœur elle ne s’en rendait sans doute pas compte mais savoir des choses sur la nouvelle vie de Gabi qui semblait bien plus heureuse ici qu’avant été une épreuve pour Swann qui tentait de faire de son mieux pour ne pas le montré à chaque fois. «  Je n’ai pas pour habitude de rire a ce sujet là c’est pas véritablement une source de joie » C’était même un petit secret honteux qu’il avait tendance à taire même Gabi ne le savait pas. «  Mais tu la dit t’inquiète pas c’est pas comme si je savais pas que j’étais un cas a part » Il ne le savait même que trop bien mais il composait avec. «  Merci de me rappeler que celle que je pensais ma copine était en réalité plus occupé à découvrir le sexe avec un autre mec que moi j’avais presque oublié ce fait là »

La jeune femme enchaîna en parlant maquillage et là elle le perdit complètement lui n’y connaissait rien du tout il ne s’amusait pas à se peindre la tête même si selon les filles qui l’entourait c’était amusant a faire. «  Et là tu viens de me parler chinois tout ça se met réellement sur la tête pour avoir meilleure mine ? Je pense pas que tu ai besoin de tout ça quand même » Il ne connaissait pas beaucoup la jeune femme mais elle ne semblait pas avoir besoin de se faire une ravalement de façade pour sortir il ne s’attarda pas sur le sujet ne le maîtrisant pas et préféra questionner la blonde sur ses goûts elle semblait avoir l’esprit très critique envers les corps des autres et trouvait cela bizarre qu’elle préfère imaginé la vielle mamie nue plutôt que l’homme de l’autre côté de la rue cela cachait-il un intérêt un peu louche envers les mamies en tout cas Ida sauta a pied joint dans la blague et rétorqua qu’il avait percé a jour son secret ce qui le fit éclater de rire. «  Tu m’a laissé beaucoup d’indice concordant, je ne sais pas que la peau fripé pouvait être douce en même temps tu viens de me rendre plus intelligent ou plus bête je ne sais pas réellement pour faire ce genre de blague »  Et il rigola encore plus à la phrase suivante si elle était tarée qu’était-il lui après tout c’était lui qui avait lancé la vanne pas elle. «  Je ne pense pas que tu le sois sinon je ne le suis encore plus et je ne me décrirais pas moi-même comme fou je ne suis pas encore à ce point là dans mon auto critique » En tout cas leur point de vue resterait sans doute divergent car ils étaient très différent l’un de l’autre pas forcément les mêmes centre d’intérêt et ils ne se connaissaient pas encore très bien pour se trouver des points commun permettant de trouvé un compromis entre les deux point de vue qui tentait de convaincre l’autre. «  Je ne pense pas qu’on soit défini que par une seule chose tu sais ? Tout le monde peut survivre sans shopping même les plus passionné qui aurait du mal à se contenir ce n’est vitale pour personne juste une addiction pour les cas les plus grave d’acheteur et tu n’a pas l’air d’en faire partie » Mais encore une fois il ne la connaissait pas tellement alors il ne savait pas qu’elle genre de shoppeuse elle pouvait être c’était difficile de cerner quelqu’un qu’on ne connaissait que depuis quelque jour et qu’on avait peu vu. «  Je ne te connais pas encore tellement bien tu sais c’est pas facile de cerner quelqu’un avec des brides d’informations  seulement et des sujets survolé au détour d’une conversation »

Swann du expliqué ses études a sa camarade de jour qui ne connaissait pas tout les nuances du travail de zoologiste comme beaucoup de monde car la facette la plus connu du métier était simplement les soigneurs animalier on oubliait les scientifiques qui faisait tout le travail de l’ombre pour aider ceux du terrain à prendre soins de toute sorte de bête des petites comme des grosses des moches ou des belles il voulait toute les étudier et toute les aider a survivre dans un monde de plus en plus coriace et de plus en plus transformer par les humains. Il était de ceux défendant la cause animal sans aller dans les extrêmes et son principal objectif était de sauvé les animaux pas de trouvé qui était le couple car il n’y en avait pas un particulier juste des années d’humanité ayant bouleversé un équilibre fragile. «  Je devrais faire la promotion de mon boulot enfin futur boulot peu de gens le connait mais je suis content de pouvoir en parler a un public intéressé souvent j’ennuis les gens à parler du côté scientifique plutôt que du côté échange avec l’animal » Le sujet suivant fut son père ce qui était bien moins facile pour le rouquin parce que tout ne c’était pas déroulé comme il le voulait et que cela restait encore frais il ne réussissait pas encore à passer au dessus et à avaler sa rancœur d’avoir fait tout ça pour rien donnant raison à sa mère qui lui avait prédit une mauvaise surprise cependant le fait qu’Ida lui dise qu’il avait été courageux de tenter cela lui faisait du bien de l’entendre avoir du courage ne faisait normalement pas partit de ses qualités alors l’avoir été pour une fois lui faisait un peu de bien au cœur et la suite de la conversation dévia une nouvelle fois sur le but de leur ballades ses achats.

Il avait du expliquer qu’il ne choisissait pas ses vêtements laissant sa mère se faire plaisir lors de ses séances shopping elle aimait ça lui non alors autant la laisser faire mais maintenant il devait se prendre en main et il était bien heureux d’avoir encore quelqu’un pour le guider un peu pour la première fois qu’il allait faire ce genre d’activité comme un grand c’était bizarre de faire ça a dix neuf ans tout le monde gérait sa garde de robe durant l’adolescence mais il avait mit du temps à couper le cordon restant très proche de sa mère qui n’avait après tout que lui, et la réciproque était vrai il était peu sociable et peu lié aux autres. «  C’est la meilleure ma maman même si elle est parfois chiante à me voir encore comme un bébé, mais je l’ai laissé faire parce que c’était plus facile de vivre ma vie avec une mère s’occupant de tout le reste la facilité avait du bon et maintenant a moi la vie d’adulte et les nouveautés » Quand à son âge il ne s’était jamais demandé quel âge on lui donnait sans le connaître mais visiblement il faisait plus vieux que ses dix-neuf années ce qui pouvait faire plaisir si il ne faisait pas gamin c’était une bonne chose. «  Pas beaucoup plus vieux hein ? Parce que bon avoir l’air mature c’est pour moi une qualité mais si j’ai déjà l’air d’un vieux je vais aller pleurer » Il ne voulait pas être vieux avant l’heure malgré sa petite vie bien tranquille digne d’un adulte installé dans une routine bien loin des folles années de jeunesse. Enfin lui n’avait pas encore vécu cette vie là il faisait sans doute les choses un peu à l’envers, emménager avant de savoir se vêtir seul, s’installer dans une vie d’adulte avant même de profité de sa vie il ne suivait pas le chemin pavé des jeunes adultes dans les normes de la société.

Enfin arrivé dans le magasin il pu montré à la jeune femme ce qu’il appréciait et les couleurs qu’il portait le plus souvent cela n’était pas bien difficile il restait classique et sobre n’aimant pas tellement se faire remarqué, pouvoir se fondre dans la masse en ne ressortant pas trop était une bonne chose surtout quand on était déjà roux comme lui, couleur de cheveux pas forcément très discrète et répandue dans le monde. «  Ouai classique ça me défini bien je crois, je veux pas me faire remarqué du coup j’évite les couleurs trop voyante » Quand elle lui parla de kaki il fut d’abord septique il ne savait pas réellement si cette nuance de vert pouvait aller à un rouquin comme lui mais si elle le disait il allait lui faire confiance et testé il pourrait avoir de bonne surprise. «  Ravi d’avoir pu t’aider un peu dans cette quête de vêtement » Il ne pourrait sans doute pas faire beaucoup plus il pourrait se choisir deux ou trois truc mais ne saurait pas forcément les accordé facilement et après quelques minutes à tourner dans les rayons elle l’envoya en cabine avec une pile de linge et une consigne lui montrer chaque tenue bon sang il n’était pas sortit. Du coup il décida de tenter en premier ce qui lui semblait le plus dangereux à savoir un pull kaki et un pantalon de la même couleur c’était accordé mais cela ne ferait-il pas carotte inversé avec ses cheveux il ne savait pas alors il enfila le tout et se regarda dans le miroir et ne su quoi en penser. «  Je vais pas avoir le choix je ne sais même pas si c’est ok ou pas » Du coup il quitta sa cabine et attendit son verdict pour pouvoir passer à la suite le temps filait et il leur faudrait valider le reste aller chercher de la déco et rentrer ils avaient fort à faire.
   

 
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Re: Deux sourires qui se rapprochent [Swann]
Jeu 16 Avr 2020 - 15:26

La jeune femme s'étonne, de l'inexpérience du jeune homme. Elle en reste étonnée, trop ancrée dans un présent où Gabi couche avec son petit ami. Elle n'ignore pas le fait que pour la brune, Hänsel ait été sa première fois, mais elle n'imaginait pas Swann n'avoir jamais touché une autre femme que son ancienne et perdue copine... Alors oui, elle parle avant même de réfléchir et, au lieu de tourner sept fois sa langue dans la bouche, se retrouve à exprimer son choc tout haut, blessant ainsi le rouquin qui l'exprime bien haut. Elle s'excuse alors avant d'éclairer ses propos et commet une seconde gaffe. Swann semble réellement touché par les mots de la jeune femme, gênée comme jamais. « T'es pas un cas à part. » elle souffle, jetant un regard compatissant vers le jeune homme. « Tu sais, j'en connais pleins qui attendent de trouver l'homme ou la femme de leur vie. Alors... » Elle hausse les épaules et sourit timidement. « T'inquiète. » La troisième gaffe enfonce la jeune femme six pieds sous terre, comme elle affirme qu'elle connaît la Gabi d'aujourd'hui, qui n'a visiblement rien à voir avec la Gabi d'aujourd'hui. « Pardonne-moi. » elle lui demande. « Je parle sans même réfléchir en amont. J'suis pas blonde pour rien! » elle tente l'humour, espérant dérider le jeune homme. Ida ne souhaite pas se le mettre à dos, encore moins lui faire du mal comme elle vient de le faire.

« Oh non, c'est juste histoire de sembler avoir bonne mine. » elle rit, comme le jeune homme avoue ne rien comprendre au langage maquillage. « Certaines s'en servent pour un ravalement de façade et là, c'est ignoble ! » Elle fronce son nez avant d'imager ses propos : « Tu sais, les pots de peinture ? » Mais Ida hoche la tête quand il prétend que la blondinette n'en a pas besoin. Non, là dessus elle a plutôt été épargnée par l'acné et n'a pas forcément de points noirs ou boutons à déplorer. « C'est pas que j'en ai besoin, juste que, j'sais pas, j'me vois pas sortir sans poudre et mascara. » elle explique à Swann. La société fait que les jeunes femmes se doivent d'être apprêtée un minimum pour sortir, sinon elles se retrouvent en marge de la société... Oui, voilà, c'était plus par norme qu'Ida se maquille tous les matins, même lorsqu'elle ne sort pas. Un tic devenu routinier en quelque sorte.

« J'avoue que je t'ai plutôt mis sur la voie. » Ida rigole. Non, elle n'est pas spécifiquement attirée par les vieilles femmes. Et ce n'est pas parce qu'elle sait comme la peau des anciens est douce qu'elle en a déjà fait l'expérience. En lisant, elle apprend pas mal de chose, dont ce fait assez intriguant... Loin d'avoir une peau rugueuse et sèche par les années, les vieux ont la peau douce bien que parcheminée. Swann la rassure quant à sa folie, lui rappelant que dans ce cas il l'est lui aussi, voire plus. Les gens fous sont des gens biens, pourtant et Ida sourit espièglement au rouquin quand il avoue ne pas être arrivé au bout de son auto-critique. « Tu as le temps pour ça. » elle assure. « Genre, toute la vie devant toi ! » Parce que l'être humain se construit avec son présent. Il forcément sculpté par son passé et son futur est un tout de ça avec en prime, toutes ces petites choses de la vie que l'on rencontre ou croise sur sa route. Peu d'humains arrivent à une conclusion sur leur réalité et sur leur personne. Non pas qu'elle ne pense pas Swann capable de s'auto-critiquer, juste que la critique constructive et personnelle et celle qui est la plus compliquée à définir. Encore plus à l'aurore de la vie !

« Ah ça oui. On ne se connaît pas encore, mais ne sommes nous pas ici pour mieux faire connaissance ? » demande la demoiselle, un sourire en coin. À vrai dire, elle aussi s'est posée mille et une questions au sujet du jeune homme. Bien qu'elle en sache davantage que lui qu'il n'en sait sur elle par le biais de Gabi, elle ignore ses goûts, ses convictions, ses objectifs, ses peurs et ses joies. Elle ignore tout du jeune homme, hormis que boire la tasse est son fort. Fort heureusement, elle en apprend davantage comme la discussion part sur les études de Swann. Ida s'y intéresse et pose des questions que Swann y répond avec un entrain non dissimulé. Elle acquiesce comme il avoue ne pas intéresser beaucoup de monde avec le côté scientifique du métier. Ida imagine parfaitement les gens qui se détournent de ce côté peu connu de zoologiste, d'autant que tout ce qui touche de près comme de loin à cette sphère est vite ennuyant pour bons nombres de personnes. Souvent, parce qu'elles sont juste incapable de tenir la conversation et admettre ne rien savoir, ou peu, revient à montrer une faiblesse. Ida est curieuse de nature. Même si elle ne s'y connaît absolument pas, elle se montre captive de la moindre explication du rouquin. Il est autant subjugué et passionné par son futur job qu'elle ne l'est envers l'édition. Un nouveau point commun à compter, donc !

La blonde en apprend davantage sur sa famille, comprenant ainsi les tensions avec le père de Swann. Elle ose donner son point de vue et finit rapidement par se taire. Non pas parce que le jeune homme en face d'elle le prend mal, mais parce qu'il est juste blessé. Elle a appris que quand quelqu'un est déçu par une autre personne, il faut laisser l'eau couler sous les ponts avant d'envisager une nouvelle rencontre.

Ida apprend sur Swann bien plus qu'elle ne l'aurait imaginé. Si elle est choquée d'apprendre que le garçon n'a jamais été faire les boutiques pour se vêtir, elle comprend rapidement les motivations de celui-ci. C'est si facile de se laisser vivre quand les parents font tous les choix pour soi. Et en même temps, c'est limitant. Elle n'imagine pas une seule seconde laisser libre court sa mère. Elle ne se voit pas être privée de la liberté de ses choix et de ses actions. S'habiller comme il l'enchante en fait parti. « Hum, je vois. » lâche-t-elle seulement. Ce sont les choix de Swann, elle n'a rien à redire là-dessus, même si elle lui demande son âge par une exclamation détournée. Il n'a que dix-neuf ans et pourtant, c'est déjà bien trop pour que ça soit sa première fois en shopping. Ida est certaine d'une chose : elle va tout faire pour que le jeune homme apprécie les emplettes et passe un excellent après-midi ! « Non, non, tu es loin d'être vieux. » elle rigole, avant de porter son regard sur ses cheveux cuivrés. « Mais ! Ce ne serait pas un cheveu blanc, ça ?! » s'écrie-t-elle avant de partir dans un fou rire face à la consternation du jeune homme. « Je blague, papy ! » elle ajoute, toujours hilare.

Le centre commercial les accueille et très vite, Ida comprend les goûts du jeune homme. Elle l’entraîne à sa suite dans un dédale de couloir avant de s'arrêter devant un magasin de fringues où ils devraient trouver leur bonheur – tout du moins, Swann. « Hum, tu peux te permettre, pourtant. » elle dit comme Swann indique ne pas vouloir être remarqué. « J'veux dire, tu n'as pas à te cacher parmi la foule. » elle explique. Les bras chargés, les deux jeunes gens finissent dans les cabines où Ida ordonne à Swann de lui montrer tout ce qu'il test. Elle rit comme Swann ressort habillé tout de vert kaki, avouant ne savoir quoi accorder avec quoi. « Va y avoir du boulot... » rétorque-t-elle avec humour. Elle passe sa tête dans la cabine de Swann avant d'attraper un pull bleu chiné et un autre bordeaux. « Avec le jeans kaki, ça ou ça conviendront parfaitement. » elle explique, les mettant de côté sur un autre porte-manteau. « Les t-shirts iront parfaitement avec ces pantalons blancs et jeans basique ou délavés. T'habiller entièrement de la même couleur, c'est vraiment quand on ignore avec quoi l'accorder, ou pour un total look noir ou blanc. » elle ajoute, triant les habits de façon à ce que l'essayage se fasse mieux. « Voilà, à toi ! » Ida se réinstalle sur le pouf en face de la cabine, une lueur amusée dans le regard. Ça fait très Pretty Woman – enfin, Man pour le coup – et elle a en tête la chanson rien qu'en y songeant ! Pendant qu'il se change, son regard croise une veste en jeans qui irait parfaitement au jeune homme. Elle se lève et la récupère avant de lancer au rideau « J'ai trouvé une veste sympa ! ». Rideau qui finit par s'ouvrir devant un Swann avec fière allure. « Whaou canon le Swannou ! » elle siffle, avant de pouffer face au surnom qu'elle vient de lui donner. « Désolée, le shopping, tout ça... La folie me guette, vois-tu. » dit-elle, pleine d'ironie.
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Re: Deux sourires qui se rapprochent [Swann]
Mar 19 Mai 2020 - 15:27
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 DEUX SOURIRES QUI SE RAPPROCHENT  Ida Engelwald & Swann Andrews


Swann ne pouvait pas s’avoué surpris de la surprise qu’il avait provoqué chez Ida en parlant de son inexpérience il était malheureusement habitué à ce genre de réaction et même si cela était toujours un peu blessant pour lui et ce qu’elle avait ajouté sur Gabi ne faisait qu’enfoncer un couteau profondément plongé en lui depuis quelque temps et qu’il tentait de ne pas trop faire bouger pour ne pas réveillé de sale douleur et de sale rancœur qui lui empoissonnerait l’existence pendant des mois. Il ne pu donc garder pour lui le fait d’avoir mal prit les paroles de sa camarade du jour comme il aurait tenter de le faire dans une toute autre situation.

[color:6bdd=##e6faeb]«  Je sais que je le suis, les gens qui attendent le grand amour on est vu comme des gens a part, des coincés ou des naïf selon les gens »

Il avait eut le temps d’entendre les points de vue de tout un chacun sur sa situation du moins de tout ceux au courant et il était rodé au jugement.

«  C’est pas grave je pense qu’il faut que j’arrive a me faire à cette vérité elle n’est plus totalement pareille et à fait des choses qui l’éloigne de moi c’est encore trop frais pour ne pas être douloureux mais je ne vais pas me mettre à pleurer en pleine rue alors c’est pas la fin du monde. T’inquiète la blonde t’est accompagné d’un roux on entendra sans doute plus de commentaire sur mes cheveux que sur les tiens même si niveau préjugés on se fait je pense bien la guerre »

Il tentait de faire comme ci, prétendre que cela n’était pas douloureux serait sans doute une bonne façon d’oublier réellement la douleur ressentis quand on lui rappelait que Gabi avait franchit se pas avec un autre que lui.

Sujet du maquillage était sans danger, il n’y connaissait pas grand-chose, il ne comprenait pas tellement pourquoi les femmes s’imposait tout ça alors que la plupart n’en avait pas besoin et qu’il entendait souvent les dites femme se plaindre du temps que cela prenait.

«  Sembler avoir bonne mine sérieux ? Genre une petite triche ? »

Si c’était pour triché c’était sans doute encore pire et de ce que rajoutait Ida il comprenait que cela était plutôt pour rentré dans une case et faire ce qu’on attendait d’elle et des femmes en règle général.

«  Mais en vrai vous êtes conditionné a vous sentir réellement belle que si vous êtes pomponné  alors que c’est pas vrai,  en plus cela donne ce genre de dérive de femme voulant s’en mettre le plus possible sur la tête pour avoir l’impression d’être canon et au final elles ressemblent juste des peintures de picasso »

Ce qui était réellement horrible de son point de vue.

Il rigola ensuite de son attrait pour les vieilles dames et que la blondinette lui indiqua qu’elle lui avait donné de gros indices ce qui n’était pas faux.


«  Cela n’a pas été bien dur a deviné c’est le cas de le dire »


Quand au temps qu’il avait a passer sur terre il ne savait pas réellement si il en avait beaucoup ou non il ne contrôlait pas ce genre de chose bien qu’il apprécierait avoir ce genre de donnée en sa possession afin de pouvoir savoir ce qu’il aurait le temps d’accomplir ou non.

«  On sait pas on peut très bien mourir demain, je pars du principe que j’ai pas un temps infini pour me motivé à faire les choses même celle qui me font peur et que je repousse je tente de voir la vie différemment »


Parce qu’a se dire qu’on a le temps on ne le voit pas filer et un jour on se retrouve vieux limité et plein de regret chose qu’il ne souhaite pas voir arrivé. Comme le fait d’apprendre à connaître de nouvelles personnes alors qu’il est de nature timide, comme il tente de le faire aujourd’hui en allant faire les magasins avec Ida après leur rencontre au jet-ski.

«  On est bien là pour ça, il faut passer du temps avec quelqu’un pour pouvoir apprendre à le connaître »

Et pour se faire Swann se livre.

Il parle de ses études pour commencer un sujet qui le passionne réellement et dont il parle peu souvent parce qu’il n’intéressait pas les foules a partir du moment où il annonçait ne pas vouloir travailler au contact direct des animaux mais à l’écart dans le domaine scientifique lié au espèce en danger. Pour une fois il avait trouvé en Ida un public réellement curieux sans forcé de savoir ce en quoi consistait son futur boulot et quand on lançait un passionné on avait facilement les réponses aux questions. Le sujet suivant a savoir sa famille et son père n’était pas aussi prenant et joyeux pour lui, il lui avait expliqué parce que cela faisait partie prenante des raisons qui le poussait à se trouvé à Hambourg aujourd’hui mais cela était douloureux un pansement arraché trop vite après trop d’année qui laissait une peau rouge et brûlante. Etre déçu de rencontré son père était un comble, cela n’était déjà pas logique en soit ce genre de rencontre n’ayant normalement pas lieu, mais que de plus en plus d’enfant devait vivre dans une société ou les familles devenaient moins conventionnelle avec le temps créant à la fois des familles plus épanouie les adultes pouvant enfin être librement heureux et à la fois des enfants laissé sur le carreaux, souvent Swann était en colère quand il entendait qu’une famille c’était un père et une mère, pour créer un enfant équilibré, sur le papier techniquement il avait les deux, son père ne l’avait pas reconnu mais il était le fruit d’une liaison entre un homme et une femme l’exemple type de ce que prônait les arriérée et pourtant il avait grandit avec une mère uniquement et avait été déçu de son père alors bon la famille parfaite n’existait sans doute pas. Un jour peut-être avec du recul il pourrait revenir sur cette épisode avec moins d’amertume mais pour le moment il était encore trop a vif.

Concernant le shopping il avoue bien volontiers à la jeune femme qu’il n’y connait rien qu’il c’est laisser vivre et porter par sa mère durant longtemps et qu’elle faisait ça pour lui le libérant de cette chose qu’il voyait comme une corvée quand il était encore sur Berlin. Il sait qu’à dix neuf ans c’est bizarre de laisser ce genre de choix a sa mère mais il ne voyait pas cela comme un véritable problème vu qu’ils étaient tout les deux d’accord pour que cela fonctionne ainsi et que rien ne lui avait été imposé sa mère ayant toujours prit soins de lui demandé son avis et de suivre ses goûts quand il n’aimait pas porter telle ou telle chose qu’elle avait choisit.


«  Je me disais bien qu’on était pas vieux avant d’atteindre les trente ans j’ai encore un peu de temps devant moi »


Quelques années avant d’être vu comme vieux par plus jeune que lui, même si cela devait déjà être le cas seulement les enfants ne prenaient pas autant d’importance à savoir l’âge des gens un chiffre ne représentant pas grand-chose pour eux jusqu’à un certain pallier.

«  Un cheveux blanc dans une marée rousse cela détonnerait un max je pense pas que je pourrais louper ça le jour où cela arrivera »

Et il éclata de rire quand elle le traita de papi bon sang elle le cherchait la blondinette.

«  Elle va se calmer l’enfant où je la ramène à la crèche non mais, un peu de respect pour les anciens »

Tout le monde avait un jour entendu cette fin de phrase, comme si une personne vieille méritait plus de respect qu’une autre personne, si cela était vrai tout le monde reverrait d’être vieux au lieu de craindre ce moment de vie.

Swann explique a Ida ses goûts simple et passe partout niveau vêtement, qui va de paire avec son côté réservé et son envie de passer partout sans se faire remarqué il a déjà une couleur de cheveux qui lui rend difficile cette tâche alors autant ne pas en rajouté avec les fringues, chose qu’Ida semble avoir du mal à comprendre.

«  Je suis comme ça, je n’aime pas du tout me faire remarqué je me sens mieux dans l’ombre perdu dans une foule qu’en pleine lumière, tu sais quand Gabi est venue me parler la première fois j’étais étonné qu’elle sache qui j’étais et je pensais qu’elle venait me demander de l’aide pour un devoir, on venait me parler que pour ça, elle, elle aime être à la lumière qu’on la regarde et qu’on l’apprécie elle en a besoin même dans un sens pour aller bien moi je ne supporte pas ça »

Et cela se répercutait sur plein d’aspect de sa vie, il était toujours discret, effacé et si une fois le premier contact passé il arrivait à discuté facilement dans un tête à tête dans un groupe on ne l’entendait plus.

« Rien que toi, on aurait pas été mit ensemble à la course de moi-même je ne serais pas venu te voir pour parler »

Et finalement elle l’envoie dans une cabine les bras chargé il allait en avoir pour mille siècle déjà rien que le temps de tout posé il avait eut l’impression de passer dix minute à l’intérieur sans même se changer, et finalement quand il fut temps de le faire il ne su quoi passer il prit deux vêtement d’une même couleur dans l’espoir de ne pas faire d’erreur d’assemblage et il quitta la cabine pour avoir l’avis de la blonde avouant rapidement ne pas avoir su accordé et avoir fait le choix de la facilité en tentant une tenue dans une seule et même teinte., et la jeune femme entra dans la cabine pour l’aider a préparer des tenues pour la suite de ses essayages.

«  Faudrait que je note tout ça pour m’en souvenir une fois chez moi, parce que tu va devoir venir m’aider le matin sinon enfin déjà on va essayer tout ça et voir comment ça rend »

Et il repartit pour un tour alors que la lycéenne retournait s’asseoir pour attendre qu’il ressorte changer Il se dit qu’il a sans doute prit trop de temps quand la jeune femme lui dit qu’elle a trouvé une veste sympa en plus, avec tout ça il n’est pas près de quitter le magasin lui et finalement il se dépêche de s’habiller et de sortir.


«  Une veste sympa alors ? »


Il voulait la voir lui cette veste avant de rigoler en l’entendant lui dire qu’il est canon et l’appeler Swannou dans une même phrase, pour la virilité du surnom on repassera totalement.

«  Swannou t’a pas plus viril en stock ? Suis vraiment canon là ? »

On ne l’avait jamais décris comme ça alors il doutait un peu du fait qu’elle ne le dise que pour lui faire plaisir.

« Ça va c’est un surnom j’aurais pris peur si tu avait débarqué à l’intérieur pour me sauter dessus je peux survivre à ta folie et puis Swannou c’est assez mignon, ça me donne l’impression d’être un chat, c’est mignon un chat et tout doux j’aime bien »

Et là il faisait aussi un peu fou sans doute.

« Aller j’y retourne »

Et il retourna pour faire un tas d’aller et retour devant Ida lui montrant tout pour avoir son aval avant de finalement ressortir une dernière fois habillé de ses vêtements originel, il avait vaincu la cabine d’essayage et il en était bien heureux.  

«  Allons payer tout ça et voir si je suis encore dans le vert pour aller cherche de la déco »

Il leur restait encore ça a acheté et ils allaient déjà être pas mal encombré le retour allait être pas mal drôle. Le passage à la caisse fut rapidement exécuté et les bras pleins de gros sac ils purent quitter la boutique.

«  Et maintenant où allons nous madame la carte ? »

Oui il avait parfois de drôle de référence.

   

 
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Re: Deux sourires qui se rapprochent [Swann]
Mar 25 Aoû 2020 - 12:23
Ida n'imaginait pas, en allant à la rencontre du jeune homme aujourd'hui, avoir autant d'informations personnelles le concernant. L'un se montre véritablement à l'autre, sûrement dans le besoin de se confier à quelqu'un de neutre. Si tant est qu'Ida le soit, comme elle est une amie – et non des moindres – de Gabi. Toutefois, ils ne discutent pas seulement de la brune mais de la famille du jeune homme et des motivations qui l'ont fait déménager à Hambourg. Une mère sur-protectrice, un père inconnu qui ignore l'existence même de la chair de son sang. Un fils qui a besoin de trouver ses racines, de confronter ce paternel qu'il idéalise certainement depuis qu'il est gosse. Un fils désenchanter par cette rencontre. Un fils amer, un peu paumé dans cette nouvelle ville où ce qu'il pensait retrouver n'est que mirages et désillusion. Vient ensuite des confidences qui ne font que surprendre la demoiselle. Le jeune avoue son inexpérience et Ida se montre des plus surprise, ne feignant même pas son étonnement. Rapidement, elle se reprend. L'idée n'est pas de blesser encore plus le rouquin. Swann a l'air d'un mec bien. S'il n'a pas encore franchi le pas, c'est qu'il n'a pas trouvé la personne qu'il lui faut. Swann se montre une nouvelle fois honnête envers elle, lui avouant avoir essuyer nombres de réactions semblables à la sienne. Un sourire compatissant s'installe sur les lèvres de la demoiselle, réellement désolée pour lui.

« J'aurais plus dit des gens qui savent ce qu'ils veulent. » dit-elle cependant, contrant les propos quelque peu obscurs de Swann. Ida affirme aussi comme Gabi a évolué, dévoilant bien trop de choses en si peu de temps. Des éléments que, peut-être, Gabi souhaitait partager avec le jeune homme pour ne pas qu'il l'apprenne d'une autre bouche. Mais les mots sont balancés et Ida s'excuse à nouveau, cette fois-ci honteuse. « Si tu pleurs, tu as de la chance, j'ai des mouchoirs ! » essaie-t-elle de blaguer, tentant d'apaiser l'atmosphère. « Ah ça ! A qui le dis-tu ! » s'exclame Ida, un sourire ironique sur les lèvres. Sa blague a réussi à dérider le jeune homme et Ida en profite pour changer de sujet.

La question du maquillage vient sans qu'elle ne se souvienne comment. Une chose est sûr, elle est de l'avis de Swann, même si la société est telle que ne pas se maquiller revient un peu à ne pas porter de soutiens-gorges par exemple. Les femmes ont toujours été pointées du doigt pour un oui ou pour un non. Le dictât de la société... Voilà un aspect de la vie dont la demoiselle se passerait bien, malgré son attrait pour la mode et pour le maquillage. « Tout petit, oui. » rigole-t-elle, mimant un espace minime entre ses doigts. « C'est exactement ça ! Mais peut-on, au final, dénigrer ces dérives ? » questionne la blonde. « Après tout, elles ne font qu'exécuter ce que leur dicte la société. Si elles ignorent où s'arrêter, c'est une autre question. » Ida hausse ses épaules, montrant qu'elle-même ne sait quel raisonnement est le plus pertinent. « Et qu'est-ce qu'un « canon de beauté » ? Ce qui est considéré comme beau par toi ne l'est pas pour d'autres et inversement. »

Une énième fois, la conversation dérive et ils se retrouvent à imaginer les personnes qu'ils croisent sans habits. Ida lance une boutade au jeune homme et ce dernier en rit avant d'avouer. « Oh. My. God. Avec qui vais-je faire les boutiques ? » lance-t-elle, les yeux ronds avant de finalement capituler, ironique : « Au moins, je sais que tu n'es pas là pour ma beauté fascinante. »

La conversation dévie sur le temps qui passe et sur le fait qu'il faut profiter de la vie comme si demain n'existait pas. Un certain capitaine dirait même « Carpe Diem » et Ida en est convaincue. La vie vaut la peine d'être vécue. Gaspiller son temps pour des broutilles est une réelle perte de temps, tout comme le fait de repousser au lendemain ce que l'on peut faire le jour même. Certes, la vie est telle qu'on se dit qu'on a le temps. Malgré tout, chaque être vivant a une épée de Damoclès suspendue au-dessus de leur tête. Swann est de l'avis de la demoiselle et Ida ne peut qu'opiner de la tête pour montrer son accord. « Ah donc tu n'es juste pas à mes côtés pour mes goûts en matière de mode et de déco ? » questionne Ida, un sourire moqueur au coin des lèvres.

Forcément, Ida le questionne sur ses études et s'intéresse à ce qu'il dit. Il lui parle de sa mère, de sa vie à Berlin, de son emménagement à Hambourg et de ses désillusions pour enfin, en venir sur les raisons de leur virée shopping aujourd'hui. Swann est parti sans affaire, il a donc besoin et de fringues et de quoi remplir et personnaliser son logement. Une nouvelle fois, Ida ne peut cacher sa surprise au fait que le rouquin n'ait jamais été faire du shopping. Elle en rigole même, lui demandant quel âge il peut bien avoir pour n'avoir jamais été choisir une seule fringue pour lui. Swann est jeune, oui. Bien plus que ce qu'elle pensait.

« De la marge ? Fais gaffe, le temps passe de plus en plus vite à ce qu'on dit. » le tanne-t-elle avant de lui trouver un cheveu blanc. « J'avoue que ça se voit plus que sur des blonds ! » consent-elle, avouant dans un même temps son ironie dans un rire, tout en l'affublant d'un surnom équivoque. Swann éclate de rire à son tour avant de lui rendre la pareille. « À la crèche ? On a qu'un an d'écart donc on se calme le vieux, sinon je te ramène à ta maison de retraite ! »

Finalement, ils finissent pas discuter des goûts de Swann à propos de l'habillage. Ida le comprend. Passe-partout, pour sûr il l'était, mais le jeune homme avait tout de même une certaine particularité qui ne pouvait rester invisible. Il était entier. Lui-même, peu importe les circonstances.

« Ah ouais ? T'oses prétendre que je suis trop... Tape-à-l’œil ? » s'inquiète-t-elle, réellement intriguée. De la bande, Ida est la moins visible. Elle est un peu comme Swann, à vouloir la discrétion plus que la lumière, même si elle a appris à aimer être dans les feux des projecteurs. Toutefois, à côté de Gabi ou de Saskia, elle est la plus discrète.

Sur les goûts de Swann, Ida encombre ses bras et ceux de son nouvel ami de tout un tas de pantalons, jeans, t-shirts et pull. En cabines d'essayage, Swann sort une première fois habillé de la tête-aux-pieds d'une seule et même couleur. Ida lui avoue alors qu'il peut marier différentes couleurs sans pour autant dénoter dans sa façon d'être. « S'il le faut, je me dévoue pour venir t'habiller chaque matin. » affirme-t-elle avant de rire. « Franchement, tu vas voir, c'est limpide comme de l'eau de roche une fois que t'auras essayé. » ajoute-t-elle pour le rassurer.

Quand il sort pour la seconde fois, Ida ne peut que siffler d'admiration. Les couleurs font ressortir son teint clair et sa tignasse de feu. C'est piteuse et désolée qu'elle hausse les épaules face à sa question : « Mon stock est limité. Sache cependant que je ne mens presque jamais, ou n'enjolive la réalité. Oui, tu es franchement canon. » elle affirme, sans aucune once d'hypocrisie ou d'humour.

Swann la rassure alors, avouant ne pas entièrement détester le petit sobriquet qu'Ida vient de lui donner. Oui, Swannou, ça peut faire chat. Le jeune homme retourne en cabine, tester les dernières fringues avant de sortir vêtu comme à son arrivée. C'est heureux qu'il se dirige vers la caisse, entraînant Ida à sa suite. Chargés de plusieurs sacs, Ida l’entraîne vers la sortie, non sans avant s'assurer que sa CB est encore en vie. « Madame la carte ? » fait-elle mine de s'offusquer. « Et bien, « Madame la carte » va finir par mourir de déshydratation si elle ne boit pas quelque chose dans la minute. Alors, si ça ne te dérange pas, on s'arrête à une sandwicherie dès qu'on en voit une ? Sinon, direction le magasin de déco ! » affirme-t-elle, bien que sa langue soit pâteuse et qu'elle ne sente plus en si grande forme.
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