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 Tu ne me fais plus jamais ça - Maëlan Becker

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Tu ne me fais plus jamais ça - Maëlan Becker
Mar 1 Oct 2019 - 0:28
Peu importe où je me trouvais, le quartier des affaires était souvent le quartier que je visitais en premier lieu et avec régularité. Chacun avait sa particularité, ce petit quelque chose, qui faisait que l’atmosphère qui y régnait était unique. À Londres, la City avait ce côté résolument moderne, avec tous ces gratte-ciel, et cette touche paisible, avec la Tamise. Mes bureaux londoniens ne dérogeaient pas à la règle, si ce n’est que seul mon bureau était doté d’une vue sur le fleuve. Et même si j’adorais cet immeuble, ma première visite à Hambourg m’avait complètement fait changé d’avis.

La Speicherstadt avec ses briques et son architecture néogothique m’avait foudroyé et même si ma famille insistait pour que je m’installe à Berlin, je savais déjà que c’était là que je voulais m’installer. Dans mon métier, l’instinct était une chose primordiale. Le mien me trompait très rarement. Il m’avait longtemps crier ce que que je ne voulais entendre au sujet de Jake, il m’avait suggéré de me laisser emporter par la vague de mon idée d’entreprise, il m’avait amené à choisir le turbulent bébé Danois parmi d’autres... Ainsi, à m’en remettant à mes intuitions, j’acquis un ancien entrepôt de sept étages. Ce bâtiment à la façade classée avait une vue imprenable sur le Zollkanal et sur le Brooksfleet. Les sept étages rénovés dans un style plus moderne ne dénotaient pas avec le style extérieur.

Le bureau estampillé E. Gallagher - PDG était celui du dernier étage. C’est là que je vérifiais une énième fois le dossier Überkampf quand mon assistant frappa à ma porte pour m’informer que des consignes d’évacuation venaient d’être transmises par la brigade des pompiers. Après quelques réticences et l’insistance de mon avocat principal, j’emportai mes affaires et fit en sorte que Loki me suivit.
Arrivée hors du bâtiment, on m’expliqua qu’une cave d’un entrepôt voisin du mien était inondée ce qui menaçait les fondations du bâtiment. Cet immeuble n’était pas occupé et n'avait pas encore fait l’objet de rénovation. Cela signifiait que les piliers de fondations dataient, à peu de chose près, du XXe siècle.
Je présumai que les soldats du feu avaient été appelés pour sécuriser les lieux avant l’intervention d’autres experts. Cela allait prendre un bon moment. Depuis la zone de sécurité, je donnai quelques consignes à mon assistant pour rentrer travailler chez moi quand Loki me surprit. Il commença par pleurnicher avant de trépigner sur place. Quand finalement il n’y tint plus, il s’élança vers le bâtiment. J’eus beau l’appeler, il ne tourna même pas la tête vers moi. Tout ce que je vis, en traversant le ruban de sécurité, c’est qu’il suivait un Berger Australien qui lui aussi se dirigeait vers la zone sinistrée. D’un seul coup, mon cœur s’arrêta avant de repartir à vive allure. Mon chien, mon bébé, venait de disparaître dans ce bâtiment. Je voulus le suivre, mais un pompier m’en empêcha. Je n’avais plus aucune pensée rationnelle et lui dit, en gesticulant dans sa poigne, que c’était mon chien qui venait de rentrer là-dedans.
Je tournais en ronds là où l’on m’avait ramenée, je me prenais la tête dans les main et je jurais comme jamais.Mon assistant n’avait jamais eut l’air aussi désemparé, je n’avais jamais été aussi peu mesurée. L'attente, c'était le pire des poisons. Je n'avais pas de patience en règle générale, mais là c'était le summum.
Pendant que je patientais, un petit couinement attira mon attention. Là, à mes côtés, au coin d’un muret, se trouvaient deux chiots légèrement mouillés. Ils ne devaient pas avoir plus de deux semaines, car ils n’ouvraient pas les yeux. Je pris soin de vérifier s’ils respiraient encore et à cet instant, je compris: Loki avait suivi la mère de ces bébés qui ne cherchait qu’à évacuer, elle aussi. Je reconnectais mon adjoint à la réalité en lui demandant un carton et du linge propre et chaud qui permettrait de recréer un nid pour les chiots.  Il se précipita dans la tâche et me ramena ce que j'avais exigé. Je les manipulai avec précaution pour les placer dans la boite. Ma distraction passée, mon angoisse reprit. Et si Loki ne sortait jamais de là? Je recommençai à tourner en ronds les mains sur le haut de la tête tout en gardant un œil sur la boite en carton à mes côtés.

“- Bête têtue...je tâchai de brider ma respiration. Si jamais il sort de là vivant, je le tue.

Je m’adressais à mon avocat et ami, mais il savait qu’il ne fallait pas me répondre, que ce fusse sérieusement ou avec humour.
Après de longues minutes, le Berger Australien repassa la porte avec un petit chien dans la gueule. Je restai le regard fixé sur l’entrée dans l’expectative.

Allez, Loki... Sors. Je t'en prie.” (en Anglais dans le texte)

Les mains jointes devant mon nez et ma bouche, je le priais de revenir. Mon souhait fut exhaussé quand je le vis sortir lui aussi avec un petit dans la gueule et accompagné d’un homme du feu. Après avoir posé le petit paquet aux côtés de sa mère, Loki avança vers moi la tête basse et les oreilles baissées sachant qu’il avait fait une belle bêtise.

Toi! Toi! Toi! j'étais tellement heureuse que je ne pouvais même pas le réprimander et pris ce grand dadet dans mes bras. Tu ne me fais plus jamais ça!

La petite chienne plaça d’elle-même les deux autres petits dans le carton. Je lui présentai ma main qu’elle accepta avant de lui caresser la tête. Elle semblait craintive, mais reconnaissante. Je relevai les yeux vers le pompier.

Merci beaucoup. je lui souris, quel autre visage arborer après cela? Je ne sais pas ce que vous avez fait, mais merci beaucoup!

Je vérifiais sommairement l’état des deux autres petits avant de demander à ce que l’on appelle en mon nom le Docteur Maxence, vétérinaire installé à deux pas de mes bureaux.
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Re: Tu ne me fais plus jamais ça - Maëlan Becker
Lun 21 Oct 2019 - 16:22
TU NE ME FAIS PLUS JAMAIS ÇA
Ellena Gallagher & Maëlan Becker
Aujourd’hui Buck était de bonne humeur, il était à la caserne travaillant aujourd’hui même si pour le moment il n’avait rien eut à faire. Cela n’allait pas duré il le savait alors il en profitait, il était en plein concert improvisé dans la salle de repos entouré de ses collègues il s’amusait à pousser la chansonnette et tout y était passer, et là il était entrain d’hurler un refrain de Lara Fabian [Je t'aime, je t'aime, Comme un fou, comme un soldat,Comme une star de cinéma Je t'aime, je t'aime Comme un loup, comme un roi Comme un homme que je ne suis pas Tu vois, je t'aime comme ça ]  Pour le plus grand bonheur de ses collègues qui devait avoir hâte de partir en mission pour ne plus avoir à l’entendre. Le blond ne se questionnait même pas sur sa soudaine envie de chanter, gueuler pour être plus exact, des chanson d’amour il profitait simplement de sa bonne humeur encore plus présente qu’à l’ordinaire et cela lui allait bien. Il venait de finir sa chanson quand l’alarme retentit signifiant une intervention, et il partit en courant direction le camion de pompier c’était a la fois une obligation et un jeu que d’arrivé le plus vite possible dans le dit camion et Maëlan ce jour là perdit la course s’étalant de tout son long juste avant de pouvoir grimper dedans, maugréant avec le sourire il se remit debout secoua la tête et prit place au volant. Le capitaine lui apprit l’objet de leur intervention, un incendie dans une entreprise, en ce moment les incendies et lui c’était pas ça, le feu ne cessait de lui rappeler Lorna et cela le déconcentrait pas mal même si il savait la jeune femme à l’abri chez lui, sans doute parce qu’il la savait à l’abri chez lui d’ailleurs, il n’était pas habitué à avoir une femme tout les jours avec lui, surtout une avec laquelle il ne couchait pas. Enfin cela n’était pas le moment de pensé à tout cela alors il se concentra sur la route pour arrivé le plus vite possible au bâtiment en feu pour pouvoir contenir les flammes et sauvé les personnes se trouvant à l’intérieur si besoin. Cinq minutes lui furent nécessaire pour arrivé au lieu dit, et a peine le camion garé il s’équipa et suivit les instructions de son capitaine, celui-ci s’occupait de parler avec les gens déjà sortit eux devait aller à l’intérieur au plus proche possible du feu pour l’asperger et le voir s’éteindre.

Une fois dedans le blond commença son boulot il n’était plus le jeune homme insouciant chantant quelque minutes auparavant, là il était un homme du feu il devait lutter contre un élément que les êtres humains ne savait pas réellement maîtrisé, le feu c’était ce qui faisait le plus mal, c’était un élément totalement incontrôlable qui leur donnait toujours un boulot monstre pour pouvoir le tué. Mais il fut interrompu par un bruit, il avait entendu un aboiement mais il n’était pas certain de ne pas avoir rêver avec le bruit des flammes il était difficile de bien entendre les autres sons et de les différencier correctement, seulement cela recommença alors il sut qu’un animal était coincé là. Il était donc important pour lui d’aller voir, l’animal pouvait accompagner un être humain ou ne pas être en mesure de sortir et un pompier ne laissait pas mourir quelqu’un sans rien faire même si c’était une bête à quatre pattes et qu’il n’était pas vétérinaire. Approchant il réussit à prendre l’animal contre lui, heureusement cela n’était pas un chien agressif le combat aurait été plus rude et il aurait prit un plus gros risque. Rapidement il sortit du bâtiment avec le chien remarquant à ce moment là le chiot coincer dans la gueule du plus grand il comprenait mieux pourquoi il n’avait pas bouger, une fois dehors il reposa le chien à terre le suivant pour voir à qui il était et la femme semblait réellement en proie à une hystérie qui ne lui était pas compréhensible mais il la laissa parler à son chien si cela pouvait lui faire du bien il n’allait pas aller contre.

Cependant quand il entendit le nom de l’animal il eut un petit rire, le prénom lui avait rappeler l’erreur de numéro dont il avait été victime et en regardant la blonde elle pourrait bien être la personne assez folle dingue qui envoyait des sms peu gentil à son assistant pour s’occuper correctement du chien. «  Oh je l’ai juste entendu et aider à retrouvé la sortie, en somme mon boulot.  En tout cas pour un beau mâle de 85 kg il ne m’a pas mordu les fesses et ce malgré l’absence de penne de chez Gennero » Il allait bien voir avec cette phrase si la blonde réagissait ou non et comprenait, si elle le faisait cela était donc bien elle qui lui avait envoyé les messages et il avait sauvé son gros chien, il rigola de nouveau en pensant que Lorna avait été bien plus simple à sortir du bâtiment il allait lui raconté cela elle allait sans doute rire avec lui. Il fallait qu’il lui envoie un sms.


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Re: Tu ne me fais plus jamais ça - Maëlan Becker
Mer 23 Oct 2019 - 22:20
La première fois que j’avais rencontré Loki s’était dans l’élevage où il était né. La propriété était immense et abritait une petite dizaine de chiens en plus de la portée dont faisait partie Loki. Ils avaient un jardin immense, un abri par molosse et une nurserie. C’est qu’on me présenta les bébés chiens qui étaient destinés à trouver une famille. Ma boule de poils était le huitième chiot d’une fratrie de dix petits et sa mère n’avait pas assez de lait pour nourrir tous ses bébés. Je lui avais donné à boire à la pipette et c’est ainsi que j’avais fait la connaissance de Loki. À cette époque, il tenait dans la paume de ma main. Il était minuscule et adorable. Déjà très vif et gourmand pour son âge, je l’avais immédiatement aimé. J’étais revenue le voir plusieurs fois avant son sevrage et à chaque fois, ce sentiment s’approfondissait. Plus tard, quand il fut en âge de me reconnaître, il venait vers moi avec empressement. Ces yeux chocolat toujours pétillants de malice et son grand corps maladroit m’avait fait craquer. Je l’avais emmené avec moi à peu près à cette âge-là. Et puis le temps avait fait son œuvre, même s’il restait adorable à mes yeux, il n’était plus du tout minuscule. Il prenait beaucoup de place au sens propre comme au sens figuré. Il avait pris une place énorme dans ma vie et dans mon cœur. C’était un compagnon de tous les instants. Alors oui, j’avais eu la peur de ma vie lorsque j’avais vu cet être cher se précipiter dans cet immeuble sinistré. Effectivement, j’avais éprouvé un profond soulagement lorsque je l’avais vu, accompagné de ce pompier. Alors peu m’importait de passer pour une hystérique aux yeux des personnes qui ne savaient strictement rien de tout cela.

J’avais un sourire béat en me redressant face à ce soldat du feu, Loki à mes côtés. J’envisageais toutes les possibilités qui s’offraient à moi pour le remercier particulièrement ou de manière générale.

« - Oh je l’ai juste entendu et aidé à retrouver la sortie, en somme mon boulot. En tout cas pour un beau mâle de 85 kg il ne m’a pas mordu les fesses et ce malgré l’absence de penne de chez Gennero. je fus interloquée par cette phrase avant de me souvenir d’un échange de sms avec un interlocuteur involontaire.
- Ravie de vous rencontrer monsieur le pompier. je lui montrais que j’avais compris qui il était tout en grattant mon compagnon à quatre pattes derrière l’oreille. Vous noterez qu’il est plus sociable que sa maitresse. je préférais rire de cette situation que de m’en indigner, après tout c’est moi qui avais composé le mauvais numéro. [color=#000000]Toutefois, je vous renouvelle mes excuses pour cette erreur…[/color] je vis peu à peu mon assistant se tasser face à cette remarque ; il se souvenait assez bien que ce fût son empressement qui m’avait amenée à composer le mauvais numéro. et si je peux me faire pardonner et vous remercier de quelque manière que ce soit faites le moi savoir, monsieur le pompier… ? »

Je réfléchissais toujours à la manière la plus appropriée de les remercier et je me disais qu’une livraison spéciale de chez Gennaro serait assez drôle. Mark, quant à lui, essayait de se renseigner à propos du moment où nous pourrions réintégrer nos bureaux.
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Re: Tu ne me fais plus jamais ça - Maëlan Becker
Lun 28 Oct 2019 - 18:04
TU NE ME FAIS PLUS JAMAIS ÇA
Ellena Gallagher & Maëlan Becker
Tomber sur la jeune femme qui lui avait envoyé des sms par erreur était quand même une drôle de situation, il ne savait pas si c’était le destin qui voulait leur jouer des tours, parce qu’il  était toujours drôle de mettre un visage sur un sms surtout au vu de ceux qu’il avait reçu. C’était le chien qui lui avait donné la clef du mystère, et il avait voulut tenter pour voir si c’était la blonde qui lui avait envoyé des sms pas vraiment gentil et agréable, elle n’avait pas l’air d’être branché sur le mode douceur et gentillesse quand elle parlait a ses employés. Il n’avait pas réellement apprécié et même si il était resté courtois il n’avait pas manqué de lui faire une réflexion là dessus et il ne savait pas du coup si elle allait être cordiale envers lui en sachant qui il était mais visiblement elle ne l’avait pas mal prit, du moins c’était ce qu’il comprenait a sa façon de lui répondre, elle avait eut un temps d’arrêt comme si elle se posait des questions avant sans doute de comprendre ce qu’il lui racontait, lui répondant alors sur le ton de l’humour. C’était une bonne chose parce qu’il n’aimait pas les choses trop sérieuse et trop guindé cela n’était pas pour lui, il était toujours entrain de prendre la vie du bon côté et entrain de rire de tout.


«  Je vais attendre de savoir si vous allez me sauté à la gorge ou non pour vous retournez la réciproque » Il ne pouvait être ravis avant de savoir si elle était plus avenante, plus gentille en face à face et même si cela était souvent une politesse de base utilisé quand on rencontrait quelqu’un il aimait faire les choses un peu différemment. Il fut quand même un peu rassuré en entendant les paroles suivante de la jeune femme, il était vrai que l’animal avait été plus sociable qu’elle, du moins que la elle des textos, pour dire sa taille et son poids il c’était laisser prendre facilement par le pompier sans doute parce qu’il sentait le danger rodant autours de lui, c’était comme une légende pour beaucoup de personne mais les animaux possède réellement des sens plus aiguë que les humains et un instinct de survie réellement très développé. «  Je l’ai noté il ne m’a pas mordu les fesses même si je n’avais pas son plat favoris, il  c’est sagement laisser faire et je ne suis pas certain que cela aurait été le cas de la propriétaire » Qu’il n’aurait sans doute pas porter à l’extérieur vu qu’elle aurait été en état de marché comme une grande fille.

Au moins la blonde reconnaissait l’erreur et le fait de ne pas avoir été très agréable s’excusant une nouvelle fois envers lui, même si Maëlan ne lui en tenait réellement pas rigueur, il se fichait bien de la façon dont elle traitait son employé c’était entre eux que cela se jouait et une fois établi qu’il n’était pas le destinataire prévu des messages il avait laissé cette histoire derrière lui. «  Ce n’est pas très grave, bon j’aurais été votre assistant j’aurais sans doute pas tenue deux jours au vu de votre façon de lui parler mais je ne le suis pas alors je ne vais pas vous en vouloir à mort d’avoir fait une faute dans un numéro » Et pour le reste il avait seulement fait son boulot il était pompier et avait signé pour aider et sauvé les gens et il le faisait correctement parce qu’il aimait ce qu’il faisait.

[i]«  Je n’ai fait que mon boulot, bon bien sur j’accepte les chocolat et autre douceur du genre parce que je suis gourmand mais cela est un secret, et sinon vous pouvez m’appelez Buck parce que monsieur le pompier ça me vieillit quand même vachement »[i] Bon il avait donné son surnom pour ne pas donner son prénom à tout le monde mais cela faisait déjà bien moins formel qu’un monsieur.  


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Dernière édition par Maëlan Becker le Dim 3 Nov 2019 - 20:39, édité 1 fois
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Re: Tu ne me fais plus jamais ça - Maëlan Becker
Mar 29 Oct 2019 - 0:42
Quelques semaines plus tôt, K. Digger le patron d’Überkampf industrie avait réussi à retourner la situation à son avantage. Il avait obtenu des fonds d’un mystérieux investisseur. Ce coup de théâtre avait secoué tout le bâtiment de la Speicherstadt. Nous étions sur ce dossier depuis des semaines, voire des mois. Nous avions à un pas de la conclusion de cette affaire. Digger était à terre : les affaires ne fonctionnaient plus aussi bien, les fonds de départ étaient épuisés et plus personne ne voulait investir dans un Titanic. Il n’avait plus aucune autre solution que de vendre. Cependant, Digger senior était de ceux qui ne lâchaient pas l’affaire aussi facilement. Il avait résisté à presque tout ce que nous avions pu mettre en place en misant sur des fonds alternatifs et la concurrence. À la grande époque, cette entreprise générait des bénéfices impressionnants et ensuite, son gérant avait vu trop grand ce qui l’avait fait passer du sommet au bas-fond. Je voulais cette entreprise ne serait-ce que pour le temps que j’avais passé sur ce dossier. Ainsi, au moment où nous était parvenue l’annonce d’un possible renouveau d’Überkampf, nous étions tous sur le pied de guerre. La nouvelle avait atterri sur mon bureau vers vingt heures et cela m’avait rendue plus belliqueuse que jamais. J’avais fait revenir tout ceux qui travaillaient sur ce dossier, y compris mon assistant. C’était l’affaire à l’origine du sms envoyé par erreur ; Ugo s’était trompé d’un chiffre dans l’encodage de son numéro de téléphone. Cela pouvait expliquer le ton peut-être un peu sec et peu avenant de mon message. J’avais d’autres préoccupations que la politesse au moment de l’envoie. Je reconnaissais volontiers mes torts, mais l’heure était grave. Nous avions fini par trouver une solution à se déblocage de nouveaux fonds ce qui me rendait plus sereine. Mais tout cela, l’homme qui se tenait devant moi ne pouvait pas le savoir. Il n’avait été que la malheureuse victime collatérale d’une situation de crise.

« - Je vais attendre de savoir si vous allez me sauter à la gorge ou non pour vous retourner la réciproque. je souris à sa réplique ; après tout, je ne pouvais que l’approuver : qui aimait se faire agresser par sms par un étranger. Je l’ai noté il ne m’a pas mordu les fesses même si je n’avais pas son plat favori, il s’est sagement laisser faire et je ne suis pas certain que cela aurait été le cas de la propriétaire. je ris légèrement. Ce n’est pas très grave, bon j’aurais été votre assistant j’aurais sans doute pas tenue deux jours au vu de votre façon de lui parler mais je ne le suis pas alors je ne vais pas vous en vouloir à mort d’avoir fait une faute dans un numéro. ce dernier s’éclipsa pour ne pas avoir encore à attendre parler de notre erreur commune.
- Il est vrai que je ne suis pas toujours commode, mais c’est mon métier. chacun ses spécificités.
- Je n’ai fait que mon boulot, bon bien sur j’accepte les chocolat et autre douceur du genre parce que je suis gourmand mais cela est un secret, et sinon vous pouvez m’appelez Buck parce que monsieur le pompier ça me vieillit quand même vachement. et là un rire de surprise m’échappe : Buck ? Comme… Buck ? mon esprit avait fait un lien plutôt cocasse entre ce nom et une créature tirée d’un univers magique.
- Ah la peur de se voir un jour appelé monsieur à temps complet… j’avais dépassé ce stade depuis un certain temps, fonction oblige. mais soit Buck. Et donc du chocolat ? Moi qui imaginais vous faire livrer spécialement par Gennaro en souvenir de notre mésaventure. je continuais de lui sourire sans aucune arrière-pensée. »

Il était étrange de se dire qu’un simple sms avait conduit à cette conversation, qu’une bête erreur nous avait conduit à avoir des préjugés l’un sur l’autre. Les apparences tout comme le hasard étaient des éléments bien volatiles comparé à ce que j’avais devant les yeux. Il était tout aussi déterminé que dans ses écrits, mais en plus il dégageait une passion pour ce métier plus que louable.

Pendant que nous badinions tout deux sur les mésaventures passées et sur les possibilités à venir, une détonation se fit entendre et des fenêtres du bâtiment assailli furent soufflées vers l’extérieur. Visiblement, tout n’était pas aussi réjouissant que le retour de mon compagnon.
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Re: Tu ne me fais plus jamais ça - Maëlan Becker
Lun 4 Nov 2019 - 22:10


TU NE ME FAIS PLUS JAMAIS ÇA

 
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You kidding me ? Le jeune homme se moquait un peu de la jeune femme en lui faisant comprendre qu’il savait qu’il elle était et qu’il n’avait pas oublié la façon dont elle avait parler dans ses sms et qui n’était pas a son goût il était sans doute trop jovial pour pouvoir accepter qu’on puisse parler de la sorte à une personne avec qui ont travaillait mais visiblement la jeune femme semblait trouvé cela normal, pensant que cela allait avec son boulot. Il était du coup bien heureux du siens ou on ne faisait pas parler comme a un larbin sans rien pouvoir dire pour ne pas être virer par un patron ou une patronne devenu grossier. Bien sur il tombait parfois sur des gens pas tellement heureux de se faire aidé par les pompiers et qui n’était pas de très bonne humeur mais c’était souvent à cause d e la douleur donc cela pouvait se comprendre et se pardonner pas sur que cela soit le cas aussi pour la blonde qui semblait ne pas avoir besoin de beaucoup de raisons pour être un peu sur les nerfs et parler mal à ses subalternes. «  Il y a un métier qui consiste à mordre les gens avant même de savoir qui ils sont ? Je ne savait pas qu’on pouvait être payer pour cela mais je suis bien content de mon métier du coup je suis un peu trop solaire pour ça même si je suis parfois un peu chiant à supporter n’étant pas patient je suis rarement disons le pas commode » Et finalement il donna son surnom de pompier à la femme qui lui faisait face pour qu’elle arrête de l’appeler monsieur le pompier c’était sans doute une manière d’être respectueuse envers lui mais cela le vieillissait et il n’avait pas encore passer les trente ans alors il ne voulait pas être vieillit plus que de raison un jour il s’en ficherait sans doute mais pas encore il voulait resté jeune le plus longtemps possible pour ne pas avoir à pensé à certaine chose de la vie qui arrivait dans les pensées de tous a un certain âge, Comme un potentiel mariage ou le fait d’avoir des enfants et ainsi de suite certaine choisissant de se passer de tout cela d’autre ayant tout un coup la frousse que cela ne leur arrive pas, tournant ça en fixette et ne profitant plus pleinement de la vie. En tout cas son surnom avait fait rire et il préféra réagir à cela plutôt que de se perdre de trop dans ses pensées. «  Vous vous moquez de mon côté peter pan ou de mon surnom ? J’aime l’hyppogriffes d’Harry Potter moi je le trouve classe et ça va avec mon nom de famille mais oui je préfère passer mon tour pour le monsieur à longueur de journée je suis pas du genre à voir cela comme un respect que je souhaite avoir je trouve ça vieillissant et j’aime pas ça » Dans dix ans il aurait peut-être changé d’avis mais pas maintenant.


«  Je suis plus chocolat et saucisson qu’autre chose, et je ne connaît pas le restaurant dont tu parle alors je ne saurais dire si je veux d’une livraison de ça ou non » Il était surprit de voir qu’il y avait encore des choses qu’il ne connaissait pas dans cette ville alors qu’il y vivait depuis vingt six ans maintenant il allait devoir parfaire son éducation car il avait visiblement raté quelque chose. «  J’ai toujours habité ici et pourtant je ne connais pas tout ce qu’il y a dans le coin c’est quand même fou » Bon il pouvait mettre tout ça sur le fait de passer beaucoup de temps au travail et de ne pas avoir beaucoup le droit de sortir quand il était plus jeune mais cela ne comblait sans doute pas tout. 



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Re: Tu ne me fais plus jamais ça - Maëlan Becker
Ven 8 Nov 2019 - 19:05
Être assistant n’était pas la fonction la plus gratifiante du métier. On était toujours soumis aux volontés du patron : café, dossier, pressing … On ne vivait plus vraiment pour soi et les horaires n’étaient pas réellement fixes. J’avais vécu cette situation pendant mes études et je savais que ce poste n’était pas facile et qu’il fallait avoir les nerfs bien accrochés. Néanmoins, ce poste pouvait conduire à de formidables avancées. On était au plus proche de l’action et donc au plus proche des retours de flammes. C’était le cas de ce pauvre Ugo, même si il ne s’en plaignait pas vraiment au vu de ce qui l’attendait potentiellement dans l’avenir.

« - Il y a un métier qui consiste à mordre les gens avant même de savoir qui ils sont ? Je ne savait pas qu’on pouvait être payer pour cela mais je suis bien content de mon métier du coup je suis un peu trop solaire pour ça même si je suis parfois un peu chiant à supporter n’étant pas patient je suis rarement disons le pas commode.
- Chacun est différent et il y a un métier pour chacun, j’en suis convaincue. je continuai de sourire face à cette critique à peine déguisée. »

Il n’était pas le premier à critiquer ma profession et mes façons de faire et il ne serait sans doute pas le dernier. J’étais consciente de ce que mon métier sous-entendait et de l’image qu’il reflétait et pourtant, j’étais en paix avec moi-même. Je connaissais par cœur ces critiques et elles ne faisaient plus le moindre effet venant des personnes extérieures à mon entourage. Alors je souriais.

« - Vous vous moquez de mon côté Peter Pan ou de mon surnom ? J’aime l’hyppogriffes d’Harry Potter moi je le trouve classe et ça va avec mon nom de famille mais oui je préfère passer mon tour pour le monsieur à longueur de journée je suis pas du genre à voir cela comme un respect que je souhaite avoir je trouve ça vieillissant et j’aime pas ça.
- Me moquer ? Loin de moi cette idée. j’employai un ton contrit. Je suis juste surprise par votre surnom après tout vous avouerez que ce n’est pas commun, mais nous sommes d’accord sur la classe de l’hypogriffes. je souris à nouveau. Pour le côté Peter Pan, vous n’êtes pas le seul sans aucun doute. je glissais un regard vers Mark.
- Je suis plus chocolat et saucisson qu’autre chose, et je ne connaît pas le restaurant dont tu parle alors je ne saurais dire si je veux d’une livraison de ça ou non. le tutoiement m’avait surpris, mais non pas dérangée.
- Vraiment ? j’étais encore plus surprise encore.
- J’ai toujours habité ici et pourtant je ne connais pas tout ce qu’il y a dans le coin c’est quand même fou.
- En effet, surtout que Gennaro fait les meilleures arancini entre ici et Palerme. De plus c’est un traiteur proche de mon travail ce qui le rend d’autant plus attrayant. Et va pour du chocolat… Vous allez littéralement crouler dessous, j'esp... »

J’allais poursuivre ma phrase quand mon assistant toussota à nos côtés. Il m’annonça que le docteur Maxence était arrivé. Je m’excusais auprès du soldat du feu et rencontrais mon médecin vétérinaire pour lui expliquer la situation.
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Re: Tu ne me fais plus jamais ça - Maëlan Becker
Dim 17 Nov 2019 - 20:01


TU NE ME FAIS PLUS JAMAIS ÇA

 
Ellena   ϟ  Maëlan

You kidding me ? Le jeune homme était d'accord il y avait des boulots pour tout le monde en fonction de leur caractère, heureusement il avait même envie de dire, sinon la vie serait bien triste, lui ne pourrait pas se complaire dans un travail comme celui de la blonde cela ne lui ressemblait pas du tout. C'était comme le fait de s'entendre avec une personne ou non, certaines personnes n'étaient pas faite pour pouvoir se parler, se voir ou encore dialoguer ensemble trop différente pour que cela passe. C'était une chose contre laquelle personne pouvait rien, il fallait seulement l'accepter et ne pas se prendre la tête avec cela, il ne deviendrait sans doute jamais amis avec la jeune femme qui lui faisait face mais il avait fait son job et c'était là le principal le reste n'était pas tellement important. « Bien heureusement oui, on a déjà assez de difficulté dans la vie pour ne pas avoir à subir un travail ne nous correspondant pas, enfin pour ceux ayant la chance d'avoir pu trouvé leur voie et s'y être développé tout le monde n'ayant pas cette chance. Mais c'est comme tout on a tous notre place dans le monde et de la même façon qu'on ne peut pas s'entendre avec tout le monde on ne peut pas être en accord avec tout les boulots présent sur terre» Le blond était passer à autre chose, prévenant la blonde qu'il ne voulait pas avoir du monsieur à tout bout de champs il n'était pas du genre à apprécié ce genre de marque de respect pour le reste de la société, lui trouvait cela vieillissant et il préférait qu'on utilise son surnom de boulot à savoir Buck et oui cela pouvait faire réagir et rire quand on connaissait l'univers d'Harry Potter.

Par contre il ne voulait pas qu'on se moque de lui pour ce choix qui était tout à fait beau et bien, a son goût. « J'ai du mal à vous croire» Malgré le ton contrit utilisé. « L'originalité fait du bien, un surnom commun c'est trop ennuyeux et je ne suis pas quelqu'un d'ennuyeux. C'est mon personnage favoris avec Dobby l'elfe» Quand au fait de ne pas vouloir grandir il savait qu'il était loin d'être le seul au monde beaucoup de gens ne voulant pas prendre de l'âge et certain étant même plus extrême que lui se modifiant physiquement pour avoir l'impression de ne pas avoir prit de l'âge. « Vous l'apprécié un minimum ce pauvre homme ? Ne pas vouloir vieillir est une bonne chose je vous le dis moi »

Quand à ses goûts en matière de nourriture on ne pouvait pas dire qu'il était très équilibré, il ne se nourrissait pas du tout correctement et pourtant il avait un corps bien dessiné et était en parfaite santé, le tout en mangeant gras salé et sucré, évitant à tout prix les légumes, comme quoi ne pas toujours écouté les autres avait du bon. « Vraiment oui ! Je ne me nourrit pas réellement correctement je dois bien l'avoué un autre défaut a ajouté à ma liste sans doute» Même si pour lui cela n'était pas tellement dérangeant, pas autant que le fait de ne pas connaître sa propre ville alors qu'il y habitait depuis vingt six ans, ça c'était terrible un peu. « Traiteur voilà pourquoi je ne connais pas je me nourris pas au traiteur et je ne travail et n'habite pas dans ce coin ci, et je ne sais pas ce que sont les trucs que vous avait cité, mais ça doit être bon je pense.. »

En tout cas il ne pensait pas qu'elle allait souvent dans un endroit qui ne fournissait pas de bon repas. croulé sous le chocolat lui donnait pas contre tellement envie. « Génial avoir du chocolat a foison me fait rêver » Mais il ne pu continué à parler de son amour pour le chocolat car la jeune femme le planta là sur place sans un mot de plus, et cela n'était pas une chose qu'il appréciait, alors il retourna au camion légérement énervé de tout cela.  


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Re: Tu ne me fais plus jamais ça - Maëlan Becker
Mar 26 Nov 2019 - 23:43
On ne pouvait s’accorder avec tout le monde, c’était un fait. Le courant ne passait visiblement pas entre le pompier et moi. J’avais comme l’impression qu’il avait une idée assez précise de ce que j’étais et ne s’en détacherait pas de sitôt. Il avait envers moi un ton et un regard qui était déplaisant, mais j’en faisais abstraction au regard du zèle qu’il avait eu à sauver mon fidèle compagnon. Après tout, tous les êtres présents sur terre n’étaient pas faits pour s’accorder. Au cours de ma carrière j’avais, à de nombreuses reprises, expérimenté cela. J’avais appris que l’on ne pouvait pas se faire apprécier de tout un chacun et qu’en règle général la première impression, qu’elle soit bonne ou mauvaise, était celle que l’on gardait comme mètre étalon pendant un très long moment.
Le docteur Maxence prit immédiatement les nouveaux patients en charge après que je lui ai exposé la situation. Il emmena la mère et ses petits après un examen sommaire. Tous semblaient bien aller, ce qui me réjouit, mais des analyses plus poussées permettraient de s’assurer que tout irait pour le mieux. Je reportais mon regard sur le travail des soldats du feu. J’avais beau avoir présenté mes excuses avant de mettre fin à notre conversation, j’avais noté son air légèrement vexé.

« - On dirait que le charme made in Gallagher n’opère pas vraiment. mon avocat avait ce regard espiègle et ce sourire en coin que je connaissais bien.
- Pas vraiment… je lui souris à mon tour, pendant qu’il continuait à me taquiner à ce sujet quelques secondes.
- Il faudrait que l’on sache quand nous pourrons réintégrer nos locaux. il revenait à un sujet plus sérieux. Je te laisse l’immense privilège d’aller lui poser la question. »

Je n’avais aucune peur à retourner me plonger dans la conversation. J’avais l’habitude de me lancer dans une conversation où mes interlocuteurs n’avaient pas l’image la plus positive à mon égard. Le travail des pompiers paraissait avancer dans leur travail pendant que je demandais à Ugo de commander un chocolat chaud et un cappuccino.
Les sapeurs continuaient de s’afférer en tous sens. Leur travail était coordonné et ressemblait à celui d’un orchestre. Tout le monde savait où était sa place et quel était son travail. C’était fascinant à observer. Une fois que mon assistant m’eut apporté les deux gobelets, je m’avançais précautionneusement vers le dénommé Buck et je toussotais.

« - Une avance sur ce que je vous dois ? je lui tendis le gobelet empli du liquide sucré. Et donc vous ne savez pas ce que sont des arancini ? je pris une gorgée de mon café. Vous devez absolument y goûter. C’est une spécialité italienne. En réalité, c’est une boule de riz entourée de panure avec de la bolognèse à l’intérieur. »

J’essayais de reprendre la conversation aussi cordialement que je pensais l’avoir laissée. On ne peut pas être aimée de tout le monde, cela je le savais, mais je pouvais au moins me montrer cordiale.
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Re: Tu ne me fais plus jamais ça - Maëlan Becker
Sam 14 Déc 2019 - 23:04


TU NE ME FAIS PLUS JAMAIS ÇA

 
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You kidding me ?   Un peu énervé de c'être fait abandonner de la sorte en pleine conversation alors oui cela n'était pas très drôle comme discutions les deux n'étant sans doute pas fait pour s'entendre et pouvoir avoir des choses plaisante à se dire. Mais de là a partir comme cela il n'acceptait pas réellement mais il n'était pas du genre à faire un scandale alors il était retourné au camion ranger le matériel pour pouvoir rapidement repartir vers d'autre aventure avec son équipe. Pour lui c'était terminé ici il n'y avait plus rien à faire et il n'avait plus rien d'autre à géré que le rangement le capitaine s'occupant de parler avec tout le monde c'était son rôle après tout les informations c'était lui qui les transmettait et qui devait supporter parfois le mécontentement des personnes en face qui n'aimait pas qu'on leur demande d'attendre ou des choses du genre.

Il ne s'attendait donc pas a voir la blonde revenir à lui comme si de rien était avec une boisson pour lui, il n'arrivait réellement pas à la cerner il ne savait pas si elle était réellement maladroite ou si elle prenait plaisir à énervé son petit monde, il préférait pencher sur la première option parce qu'il trouvait que cela était moins mauvais que la seconde et il se demanda un moment si il devait accepter la boisson et reprendre la conversation ou signifié la fin de celle-ci sans prendre de gant. Malheureusement pour lui, ou heureusement il ne savait pas trop il n'était pas un mauvais bougre et il ne savait pas tellement être méchant en dehors de période de grosse colère ou de tristesse qui laissait libre cours à ses émotions.

« Je prend j'ai pas eut le temps de boire mon chocolat avant de partir de la caserne ça me fera du bien  » Et sans sa dose de chocolat chaud il n'était pas bon à grand chose même si pour le coup cela ne c'était pas réellement remarqué durant cette intervention qui avait été simple à contrôlé. Quand a la spécialité italiennes dont lui parlait la blonde il ne connaissait réellement pas et il se demandait si cela était connu et si il était passer à côté de quelque chose ou si la jeune femme venait d'une autre planète de connaître ce genre de chose dont il n'avait jusqu'alors pas entendu parler alors qu'il connaissait quand même beaucoup de restaurant dans le coin ayant mit du temps à se mettre à la cuisine. « Des boules de riz pané et remplie de sauce bolognèse je vois, je ne sais pas si cela m'inspire réellement je ne suis pas trop sauce a base de tomate cela doit être pour cela que je n'ai jamais prêté attention a ce plat  » Alors peut-être qu'il se prendrait au jeu de la curiosité et testerait un jour mais comme cela il ne salivait pas devant la description faite par son interlocutrice il était difficile niveau nourriture.
 



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