gare à la crise de la quarantaine Invité  | (Walt')"Nous ne sommes jamais aussi mal protégés contre la souffrance que lorsque nous aimons."Sam 10 Fév 2018 - 20:22 | Te voilà devant ton ordinateur, à taper de tes doigts frêles les derniers rapports avant de partir chez toi, pour retrouver ton lit et surtout ta couette bien chaude, que tu venais d'acheter. Oui tu l'avais remarqué dans une pub à la télé à 5 heures du matin et tu l'avais acheté sous impulsion. Oh oui tu rêvais de te mettre en pyjama et te roulais sous la couette, allumant la télé pour tomber de sommeil dans les secondes qui suivent, devant des émissions de merdes. Mais, voilà pour le moment tu étais encore au bureau, et tu ne pouvais pas essayer de partir avant, car ton patron était là. Mon dieu qu'il était beau, avec son sourire et son regard perçant. Il fallait que tu reprennes jeune fille, c'était ton patron et il avait l'âge de ton père. Un soupir traversa ta bouche quand il prononça ton nom, pour lui rapporter un dossier important. Celui que tu venais justement de finir, tu l'attrapas de tes mains manucurée. Alors doucement tu te levas décalant ta chaise, tu faisais claquer tes talons sur la moquette pour frapper doucement à la porte de son bureau "Monsieur Hellermann". Il fit signe de rentrer, alors tu exécutas et posas le dossier sur son bureau qui était toujours aussi parfaitement ranger. Tes yeux se posèrent sur chaque recoin de ce lieu, que tu connaissais pourtant par coeur à force de faire des aller retour. Un sourire travers tes lèvres pour reposer ton regard sur cet homme "Vous avez besoin d'autre chose?". Tu espérais que non dans ta tête même si tout ton corps voulait rester avec lui. Ton portable dans ta poche se mit à vibrer, sans doute ton père qui voulait savoir si tu venais manger avec lui ce soir. Mais, voilà tu ne voulais pas le prendre dans tes mains devant ton patron, chose qui ne se faisait pas tout simplement. Tu relevas tes yeux azur pour les plonger dans les siens attendant sa réponse |
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gare à la crise de la quarantaine Invité | Re: (Walt')"Nous ne sommes jamais aussi mal protégés contre la souffrance que lorsque nous aimons."Sam 10 Fév 2018 - 20:38 | nous ne sommes jamais aussi mal protégés contre la souffrance que lorsque nous aimons effie & walter Encore une longue journée qui venait de s'achever. L'avant veille de noël. Walter voyait tomber les flocons de neige depuis la fenêtre de son bureau. Il regarda sa montre, qui affichait vingt deux heure dix sept. Merde. Il avait encore oublié de prévenir piper. Ça allait être sa fête lorsqu'il rentrerait. Sa femme détestait qu'il reste tard au travail sans lui donner de nouvelles. Elle pouvait être très patiente, mais lorsqu'elle commençait à s'énerver, c'était une vraie furie. Il lui envoya un rapide texto. Désolé, pas vu l'heure. Je rentre dès que possible. À tout à l'heure. Il s'appuya contre le dossier de sa chaise et pris son téléphone pour joindre son assistante. Pouvez vous m'apporter le bilan et le compte de résultats s'il vous plaît ? Juste quelques détails à vérifier. La jeune femme s'avança dans son bureau quelques secondes plus tard, après qu'il lui ait fit signe de rentrer, les dossiers sous le bras. Elle n'était là que depuis quelques jours, mais à chaque fois que Walt avait la possibilité de poser les yeux sur elle, son corps s'emplissait d'une douce chaleur qu'il connaissait bien. Posez ça sur le bureau, lui indiqua t-il tout en faisant un geste de la main. Il entendit le bruit étouffé du vibreur de son téléphone portable. Il se fait tard. Vous êtes attendue quelque part peut-être ? Lui demanda t-il sur un ton formel. Un petit ami, peut-être... Il espérait que non. Même s'il n'avait rien à espérer après tout. C'était simplement une employée, rien de plus. Alors pourquoi avait-il la gorge sèche ? Les mains légèrement moites ? Il ne pouvait plus le nier, vraiment, ce petit brin de femme lui faisait de l'effet. Beaucoup d'effet. Il attendit patiemment sa réponse, sans la brusquer. Sans la faire fuir. Comme un gentleman. Ou un prédateur. |
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