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 (aliéna) je suis devenue mon pire fantôme

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(aliéna) je suis devenue mon pire fantôme
Mar 21 Mai 2019 - 9:06
(aliéna) je suis devenue mon pire fantôme Tenor  (aliéna) je suis devenue mon pire fantôme Tenor  
 « je suis devenue mon pire fantôme »  aliéna gunther and harvey brahmberg


Harvey Brahmberg vient tout juste de débarquer en ville, à vrai dire il ne connaît rien encore de l’Allemagne, et visiblement, il n’a pas vraiment beaucoup de temps pour cela. Il passe des heures dans un boulot qui le passionne et peine pour repartir dès lors qu’il est sur une mission qui le passionne, qui l’attire mais qu’il n’a pas encore touché à son but. Harvey sait pourquoi il fait ce métier, il a toujours su ce qu’il souhaitait faire et cela depuis toujours. Rien d’étonnant pour cet enfant de militaire, qui a toujours été passionné par les armes, les obus. La guerre. Défendre et protéger les plus vulnérables. Les femmes surtout, peut-être parce qu’il n’a grandi qu’en leur compagnie. Deux mois qu’il est dans ce nouveau pays qui l’a toujours attiré parce que son père biologique est né ici. Militaire, il a rencontré la mère de Harvey et celle qui l’a élevé sur les champs de bataille. Elle, elle était une journaliste de guerre, elle aimait montrer la vie dure et réelle des militaires. De ceux qui se battent pour leur peuple, dans l’unique but, défendre une vérité et leur peuple. Pas toujours que pour les intérêts du peuple et la jeune femme, remplie de conviction n’a jamais mâché ses mots quant au gouvernement successif de son pays. Harvey est donc né au Tchad en pleine guerre avant de revenir dans son pays, en Amérique vers l’âge de quatre ans. Il n’a jamais vraiment voyagé, préférant rester avec ses grands-parents plutôt que partir visiter les pays en guerre avec sa mère. Il savait que plus jamais il ne reverrait son père et elle ne lui a jamais rien caché sur l’identité de son père ni de quelle manière ils se sont rencontrés. Il s’est forgé une image de super héros, et très vite, il voulait devenir comme cet homme qu’il s’est imaginé. Formaté peut-être, une fausse idée très certainement. En tous les cas après la mort de sa mère et parce que Harvey ne l’a pas vraiment accepté, sa demi-sœur a décidé de les voir débarquer ici, dans le pays qui appartient à son cœur. Parce qu’elle sait combien l’Allemagne est un pays qui lui est important. Parce qu’ainsi ils pourront fermer un chapitre, et ouvrir de nouvelles pages, elle en reste convaincue. A peine fût-il arrivé le matin et si Harvey pensait pouvoir retrouver son binôme avec qui tout ce passe très mal. Il n’a pas l’habitude des femmes comme Nora et son arrogance revient vite au galop dès lors qu’elle fait comme si elle avait besoin de personne. Il ne supporte pas la prétention de la jeune femme, parce qu’il est le même, parce qu’il a un ego peut-être trop important. Un ego d’homme, protecteur envers les femmes et ne supportant pas qu’on le laisse sur le banc de touche ! Ca non ! Il fait tout pour se faire remarquer d’elle, mais s’y prend très mal et les deux adultes n’y vont pas de main morte alors que le boulot ne devrait jamais en pâtir ! Le voilà dans la grande salle du premier étage, où il pourra faire valoir ses droits sauf que la journée n’allait pas se dérouler comme prévu. Et si il avançait un sourire sur ses lèvres jusqu’au bureau de Smith, déposant ses affaires dessus, avant d’être foudroyé par Nora, il voit apparaître son chef qui semble se diriger vers lui. Il le salut avant que ce dernier ne s’arrête à sa hauteur et lui demande de se rendre à la banque de la ville, pour un cambriolage qui aurait pu mal se finir. « Mais Chef je suis déjà sur une affaire avec Nora et les petits vols c’est pas mon domaine ! » Qu’il tente en vain de se défendre, il aurait préféré rester sur son enquête avec Nora même si ses quelques heures loin de la jeune femme lui ferait le plus grand bien. En réalité, ce qu’il ne sait pas et finira par apprendre très vite c’est que l’un des cambrioleurs est l’une des affaires suivie par un binôme de l’équipe, déjà occupé sur un autre cambriolage le même matin. « On discute mes ordres Brahmberg ?! » Harvey passe sa main sur son visage laissant un soupire sortir de ses lèvres, c’est bien sa veine tiens ! « Non Chef ! » On ne pouvait pas dire qu’il soit très enthousiaste mais il n’avait guère le choix. Son premier réflexe fût de relever son visage vers sa binôme, en principe Nora Hausmann avant de voir son sourire et sa fierté lui explosait en pleine figure. Prit dans  sa fierté, que cela se passe devant les yeux de la brune le dérangeait fortement et il la détestait si fort à ce moment précis, avant même qu’elle n’ouvre sa bouche, il lui dit, avant de prendre ses affaires et de quitter la pièce. « La ferme Hausmann ! » Il repasse devant elle, sans lui porter de regard alors qu’il l’entend rire, qu’elle aille au diable ! La porte se referme derrière la silhouette du flic, qui se dirige vers son casier pour mettre sa tenue et son brassard qui le stipule flic, il n’avait pas besoin de jouer les infiltrés et par conséquent se rendrait à la banque avec sa tenue de flic, et son arme. Quittant les locaux de la police il arriva devant la banque, dans le quartier Altstadt quelques minutes plus tard, il commençait à s’y faire aux noms des rues, et commençait à connaître certains lieux les yeux fermés. Ça lui faisait penser qu’il devait prendre rendez-vous ici, pour installer tout son dossier dans sa nouvelle ville, il n’avait même pas prit le temps encore de le faire. Sortant de sa bagnole, il arrive rapidement dans le lieu et y trouve un homme derrière le bureau à l’entrée, il lui sourit tout en s’avançant vers lui. « Je suis policier et je viens prendre votre déposition suite au cambriolage de ce matin. » Quelques vigiles sont présents et s’approchent de lui, alors qu’il regarde l’homme derrière le comptoir, il ajoute alors, « j’ai besoin de savoir si il y avait quelqu’un de présent ici au moment du cambriolage, et si oui j’ai besoin de m’entretenir avec cette personne… » Ce rôle il l’avait quand il était encore en Amérique, prendre des plaintes, ou constater les dégâts, il connaissait ce travail mieux que personne pour l’avoir exécuté pendant presque dix ans, et resterait professionnel jusqu’au bout alors qu’il attendait que l’homme lui réponde.


@Aliéna Gunther
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Re: (aliéna) je suis devenue mon pire fantôme
Dim 26 Mai 2019 - 14:41
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Harvey Brahmberg & Aliéna Gunther
Aliéna passait pour le moment une journée comme toute les autres, la vieille avait été plus hard une tentative de cambriolage était arrivée durant son temps de présence dans la banque cela n'avait pas été un moment des plus joyeux de sa vie mais cela c'était passer sans trop de heurt au final, et puis l'argent était resté dans la banque les malfrat ayant paniqué quand la sirène c'était mise en route pour prévenir de ce qu'il se passait à l’intérieur. La porte qu'ils avaient fracturé ayant opérer avant l'ouverture au grand public avait été remplacé le matin même et Aliéna ne se sentait pas moins en confiance qu'avant. Alors qu'elle était en plein dans un travail de dossier planifiant les rendez-vous à venir et les versements à faire ou à recevoir son téléphone fixe sonna, signe que quelqu'un voulait la joindre, elle décrocha rapidement pour entendre le préposé à l’accueil lui dire qu'un policier voulait la voir pour lui poser des questions sur ce qu'il c'était passer la vieille. La brunette ne pouvait pas dire que cela était une surprise elle s'y attendait car même si au final rien n'avait été volé les policier voulait sans doute pouvoir coincer le duo avant qu'ils ne réussissent réellement à braquer une banque de la ville, elle quitta donc son bureau pour rejoindre le hall ses talons claquant au sol indiquant sans doute son approche, c'était beau ce genre de chaussure, cela faisait de longue jambe et améliorait le port de la personne, on ne marchait pas courbé en talons haut mais c'était terriblement peu discret surtout sur un sol tout carrelé comme ici. Enfin cela n'était pas le chose importante du jour alors elle avança sans se traîné pour arrivé face à un homme qui se trouvait face à son collègue qu'elle venait d'avoir au téléphone avançant vers lui elle lui tendit la main, déformation professionnel sans doute elle avait ce geste envers toute personne qui désirait lui parler désormais comme un vilain tic qu'on ne pouvait pas contrôlé. " Aliéna Gunther monsieur c'est moi qui était d'ouverture lors du cambriolage qui finalement n'aura été qu'une tentative." Par contre elle n'était pas une rodée des procédures policière devait-elle le suivre quelque part pour qu'il prenne sa disposition ou pouvait-ils aller en parler dans son bureau le hall n'étant pas propice à ce genre de présence et de parole il ne fallait pas effrayer les clients les patrons n'accepterait pas. " Mon bureau fera t-il l'affaire pour les questions que vous avez à posé ? Je ne voudrais pas que les clients soit apeuré de voir un policier en service ici" C'était son métier à elle de pensé au client lui devait trouvé les coupables et les mettre en prison chacun son boulot mais les deux devaient être respecté.

Souriante elle accompagna l'homme jusqu'à son bureau pour pouvoir être tranquille fermant la porte derrière eux pour ne pas être entendu par les personnes passant dans le couloir pour aller dans les différent bureaux qui était tous desservie par le même couloir. ce qui n'était pas le plus pratique pour pouvoir avoir le droit à un tant soit peu d'intimité.. " Alors que voulez-vous savoir ?" Elle allait lui laisser le temps de poser ses questions afin de ne pas rendre la chose plus longue que prévu après tout il devait avoir une manière de procédé pour ne rien oublier et que le récit ne dure pas mille ans. " Vous savez à qui on a eut affaire ?"

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Re: (aliéna) je suis devenue mon pire fantôme
Mer 26 Juin 2019 - 15:41
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Harvey Brahmberg commence à s’y faire doucement à cette ville, à ses habitants. Son rôle est de les protéger, de veiller sur eux et le jeune homme prend ses choses très à cœur. De toute façon rien n’est plus important pour lui que son travail, et sa sœur. Il se donne entièrement à ce boulot et fera tout pour accomplir au mieux ses missions. Aussi il avait cherché à fuir du mieux qu’il pouvait la demande de son chef, tentant alors de l’amadouer de son regard mais auprès de Nora ça ne se passait pas très bien. Son chef avait jugé que pour les prochaines heures, Harvey devrait être loin d’elle. Et il n’avait peut-être pas tort, il ne supportait pas cette nana et cette façon de vouloir être la première dans tout. Même si ça lui faisait pas plaisir, très certainement d’être un peu loin d’elle lui fera le plus grand bien. C’est pour cette raison qu’il ne tarda pas à arriver sur le parking de la banque, et qu’on lui avait rapidement fait le topo avant de partir. Mais il en apprendrait davantage sur le lieu de l’attaque. Devant le bureau d’accueil, le brun attendait la personne présente avant d’entendre des talons qui claquaient sur le sol et d’apercevoir une fine silhouette élégante et souriante arrivait en sa direction. Elle s’arrêta alors à sa hauteur confirmant qu’elle était là pour le recevoir. « Aliéna Gunther monsieur c'est moi qui était d'ouverture lors du cambriolage qui finalement n'aura été qu'une tentative. » Il lui serra la main quand elle lui tendit la main, ne voulant pas l’offenser, ce serait mal venu de sa part c’est certain. Harvey est quelqu’un d’assez sûr de lui, certain de ses choix, et très avenant surtout envers les femmes, il ne pouvait vraiment effacer ce sourire presque instinctif qu’il porte sur son visage. Finalement, il lui répond assez simplement, restant immobile. « Harvey Brahmberg, je n’en aurai pas pour longtemps, j’ai quelques questions concernant la tentative… » Elle devait être très occupée, et peut-être avait-elle un peu peur de ce qui aurait pu se passer. Il était là pour la rassurer, répondre aussi à ses craintes en la protégeant du mieux qu’il le pouvait. Mais pour ça, pas d’autres choix que de répondre et revivre la scène pour qu’il puisse avec ses collègues arrêter les malfrats ! Bon visiblement ils n’ont pas l’air très doués et pourtant Harvey préfère de loin n’avoir aucun blessé, il allait tout faire pour les arrêter avant qu’un drame se produise dans ce pays. « Mon bureau fera t-il l'affaire pour les questions que vous avez à posé ? Je ne voudrais pas que les clients soit apeuré de voir un policier en service ici » Et il ne pouvait que le comprendre c’est pourquoi, il surenchérit avant de se fondre dans le décor accompagné de la jolie banquière. « Oui je comprends et votre bureau sera parfait. L’uniforme peut parfois faire peur dans ce pays… » Il grimace légèrement. En Amérique, cela n’est pas tout à fait ainsi et pourtant beaucoup de ses confrères ne se conduisent pas forcément correctement c’est certain. Beaucoup de prétentieux dans ce milieu, qui se croit au-dessus des autres, et des règles. Aussi c’est l’une des raisons pour lesquelles, à la mort de sa mère il a lâché pays et amis et est venu avec sa sœur affronter cette vérité qui l’a longtemps fuit : découvrir son père biologique. Un père militaire et allemand. Un père qui est censé vivre ici, dans cette petite ville. Mais dont il n’a aucune preuve finalement de son existence, aucune lettre, aucune réponse pour cet enfant qui ne connaît pas son père et qui ne l’a jamais connu ! « Alors que voulez-vous savoir ? Arrivant devant la porte de son bureau, elle le laisse entrer avant de le rejoindre et de refermer la porte derrière eux. Elle ne manque pas déjà de curiosité, et le policier jette un bref regard autour de lui avant de s’installer sur la première chaise qu’il voit, invitant la banquière à en faire de même. Vous savez à qui on a eut affaire ? » Elle semble être attentive au jeune homme, curieuse d’en savoir plus, ce genre d’affaire attire souvent les foules, et c’est parfois compliqué pour les policiers de maintenir ce flux de curiosité. « Pour être franc avec vous, pas encore non. Cela dit j’ose espérer qu’on le découvre assez tôt. » Il conçoit parfaitement, l’Américain a sait parler, il sait trouver les mots justes pour ne faire peur et n’effrayer personne, « je sais que ce n’est pas une joie de discuter de ça ou d’y repenser, mais j’aurai quelques questions… Vous savez si il y avait d’autres personnes même à l’extérieur qui étés présents lors de ce cambriolage ? » Il prend quelques notes sur un petit cahier au fur et à mesure qu’elle parle, il analyse.
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Re: (aliéna) je suis devenue mon pire fantôme
Jeu 27 Juin 2019 - 0:56
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Harvey Brahmberg & Aliéna Gunther
Aliéna avait vécue une situation très stressante la veille avec une tentative de cambriolage dans la banque où elle travaillait alors qu'elle était seule dans le lieu étant celle qui ouvrait la banque. La jeune femme savait qu'elle allait devoir parler de tout ça à la police pour qu'ils puissent retrouvé le groupe de personne ayant fait cela pour qu'ils ne recommence pas et ne réussisse pas mieux leur prochain coup ou ne fasse de victime car elle était sans doute chanceuse d'avoir réussit à survivre à une attaque qui ne c'était pas bien passer comme celle-ci. Alors quand le préposé à l’accueil de la banque l'appela pour lui dire qu'un policier était présent et souhaitait parler aux personnes présente durant l'attaque elle ne fut pas surprise et elle gagna rapidement le hall ses talons prévenant de son arrivée. Elle se présenta à l'inspecteur de police et lui proposa de passer dans son bureau pour les questions pour ne pas effrayé les clients de la banque, les uniformes cela faisait toujours de l'effet soit en bien soit en mal sur elle cela avait un petit côté émoustillant mais elle ne le criait bien sur pas sur tout les toits et elle gardait son attitude professionnel. " Posé toute les questions à posé je ne suis pas pressée du moins les clients on l'habitude des retards dans les banques ils ne prennent même plus la peine de crier quand ils sont devant nous" Et elle prit la direction de son bureau l'homme sur ses talons, écoutant en même temps la réponse de l'homme qui la suivait sur les uniformes et leur effet il était bien placé pour en parler étant donné  qu'il en portait un et qu'elle non. " Faire peur ou excité cela dépend de la personne mais cela fait toujours un effet puissant en tout cas" Et finalement ils arrivèrent dans son bureau et curieuse elle lui demanda ce qu'il voulait savoir et si ils avaient des pistes sur le groupe qui s'en était prit à son lieu de travail c'était de la curiosité mais sans doute normal étant donné qu'elle avait été touché par tout ça sinon elle n'aurait pas posé de question elle n'était pas d'une curiosité maladive et elle ne dépassait pas les limites de la politesse comme pouvait le faire tout un tas de personne sur terre. " Je l'espère aussi pour ne pas que d'autre ai à le subir et que cela soit plus grave dans sa finalité" Il était clair qu'elle aurait aimée ne pas avoir à reparler de tout ça mais elle était lucide depuis le début et savait qu'on allait venir la questionner à ce sujet là. " Avant que cela arrive j'ai vu quatre homme en dehors de la banque il n'y en avait pas autant dans la banque, et une voiture a démarrer en trompe quand ils ont fuit" Cela n'était pas beaucoup mais cela donnait un chiffre à l'inspecteur qui pouvait commencer ses recherches et savoir si ils avaient déjà frapper ailleurs. " Cela ne vous aidera sans doute pas beaucoup mais c'était des hommes et ils étaient au moins quatre, ils parlaient allemand et n'avait pas d'accent étranger c'est la seule chose que j'ai pu noter, oh est ils n'avaient pas l'air réellement expérimenter étant donné que j'étais seule ici et qu'ils ont foirer leur coup" Ce qui restait quand même très étonnant pour elle qui pensait qu'elle allait avoir des ennuis pour avoir permis un braquage dans  son établissement.

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Dernière édition par Aliéna Gunther le Dim 7 Juil 2019 - 14:26, édité 1 fois
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Re: (aliéna) je suis devenue mon pire fantôme
Mar 2 Juil 2019 - 14:47
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Harvey avait perdu l’emprise sur ses interrogatoires depuis son arrivée ici. En Amérique, il avait commencé comme tout le monde en bas étage et en avait fait des centaines. Pas que ce travail soit ingrat car ça permets de rencontrer du monde, et Harvey en avait vu des vertes et des pas mures c’est certain. Mais depuis trois ans il avait été confié dans un groupe très fermé sur les meurtres et trafics en tout genre, et c’est dans cela qui puisait toute ses forces. En demandant sa mutation pour l’Allemagne, il avait rejoint le groupe de la criminelle sans mal. Il faut dire qu’il est très professionnelle et ne lâche jamais sa proie. Il est particulièrement doué pour suivre ses intuitions qui le mènent bien souvent à la victoire et cela depuis son arrivée chez les flics. Réussissant son challenge, il est monté de grade très rapidement car Harvey n’est pas bien compliqué, à condition d’être dans les règles ! L’injustice le débecte et l’Américain fera tout ce qu’il peut pour défendre les droits des victimes, parfois ne supportant pas quand la victime n’obtient pas satisfaction de la justice du pays. Mais son travail s’arrête à poursuivre, arrêter les méchants. Les interroger et faire le rapport avant que la décision finale ne soit en rien de son ressort. C’est parfois frustrant c’est vrai. Et il ne prétendra jamais l’inverse. Il attend depuis quelques secondes, observant alors tout autour de lui, les différentes personnes, ce qui se dit des conversations qui parviennent sans mal jusqu’à ses oreilles. Et puis une femme s’arrête à leur hauteur, Harvey relève son regard vers cette charmante créature avant d’échanger quelques mots, alors elle lui répond sans attendre, « posé toute les questions à posé je ne suis pas pressée du moins les clients on l'habitude des retards dans les banques ils ne prennent même plus la peine de crier quand ils sont devant nous, qu’elle lui avoue en souriant légèrement avant que Harvey ne lui emboite le pas pour s’enfermer dans son bureau pendant quelques minutes. Il ne sait pas très bien pour combien de temps il en a, parfois que quelques minutes si la personne a peur de parler, ou encore si elle ne se souvient que de peu d’élément. Parfois plus longtemps s’ils échangent de la conversation. Il ne sait pas encore si Aliéna sera coopérative avec lui, elle finit par refermer la porte derrière elle, alors que son regard se perd dans le bureau de la femme face à lui et qu’elle ajoute, doucement, faire peur ou excité cela dépend de la personne mais cela fait toujours un effet puissant en tout cas » Un long soupire sort de sa bouche alors que ses yeux se posent dans les siens, un fin sourire vient apparaître son visage pourtant impartial jusque-là. Il ne comprenait pas vraiment si c’était une phrase anodine ou si elle demeurait dans un sous-entendu éventuel. Harvey était un beau garçon et il n’était pas en reste, couchant parfois avec de nombreuses femmes, il ne se permettait jamais plus, à cause de son boulot principalement, et il était clair que Aliéna aimait l’uniforme, vraisemblablement. L’arrogant Brahmberg ne pourrait qu’en jouer si il venait à le savoir… « Il y a eu parfois quelques tensions dans l’air, je ne peux nier… » Sa voix suave se laisse glisser dans la chaleur de la pièce alors qu’il pose doucement ses yeux bruns dans ceux de la banquière sans aucun mal. Il n’était pas ici pour ça, et professionnellement il devait prendre sa déposition et clarifier certains points encore non résolus. « Je l'espère aussi pour ne pas que d'autre ai à le subir et que cela soit plus grave dans sa finalité » S’installant alors sur la première chaise qui s’offrait à lui, il avait sorti ses quelques affaires, juste de quoi noter et un stylo. « Vous avez eu beaucoup de chance c’est vrai, si toute les histoires pouvaient se finir ainsi… » Harvey Brahmberg n’est plus un homme naïf, il ne l’a jamais vraiment été de toute manière. Il connaît les risques du métier, mais plus encore de ses éventuelles victimes qui peuvent parfois toucher davantage. Notamment quand il y a des meurtres, ou des blessés avec une conséquence indéniable. « Avant que cela arrive j'ai vu quatre homme en dehors de la banque il n'y en avait pas autant dans la banque, et une voiture a démarrer en trompe quand ils ont fuit » Qu’elle avoue alors sans aucune hésitation quant au nombre des malfrats avant qu’elle poursuit, « cela ne vous aidera sans doute pas beaucoup mais c'était des hommes et ils étaient au moins quatre, ils parlaient allemand et n'avait pas d'accent étranger c'est la seule chose que j'ai pu noter, oh est ils n'avaient pas l'air réellement expérimenter étant donné que j'étais seule ici et qu'ils ont foirer leur coup » Il note quelques trucs puis en relevant son visage vers elle, il ajoute, « ça ne veut rien dire vous savez, ils ont très bien pu entendre un bruit ou être dérangés et c’est la raison de leur fuite précipitée… Concentré, Harvey prend les choses au sérieux, ne supportant pas les échecs, vous avez vu quelque chose sur la voiture ? La marque, la couleur, quelque chose qui pourrait la différencier des autres ? »
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Re: (aliéna) je suis devenue mon pire fantôme
Dim 7 Juil 2019 - 15:17
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Harvey Brahmberg & Aliéna Gunther
Le fait qu'il confirmait le fait que la tension soit présente en présence d'un uniforme que cela soit bon ou non la fit sourire elle se doutait bien qu'elle n'était pas la seule à avoir un petit faible pour les hommes en uniforme comme elle savait que certaine personne pouvait craindre le dit habit qui représentait quand même un certain pouvoir sur la vie d'autrui. Enfin elle n'avait jamais eut de soucis avec la police ce qui l'aidait sans doute à être sans a priori vis à vis d'eux et à accepter qu'ils fassent leur job du mieux possible ce qui incluait de ne pas toujours réussir à la perfection, certaine histoire étant un peu compliqué à démêler sans aucun doute. " Vous devez en éveillé des tensions qu'elle soit bonne ou mauvaise même si les bonnes sont sans doute plus agréable à subir que les mauvaises a moins de donné dans le masochisme mais cela ne regarde pas le grand public" Aliéna voulait aider autant que possible pour que d'autre n'ai pas à subir ce qu'elle avait subit avec toute la tension qu'elle avait elle même du supporter en pensant qu'elle allait sans doute finir morte étendue sur le sol de la banque pour ne pas avoir été assez rapide ou ne pas avoir donné assez d'argent, et puis c'était flippant de se faire braquer de la sorte même quand on s'en sortait vivant cela tournait en boucle dans la tête et la brune avait de la chance d'être forte mentalement sinon elle n'aurait sans doute pas pu revenir au travail dès le lendemain comme elle l'avait fait, elle était assez intelligente pour reconnaître sa chance. " Vous n'auriez sans doute plus de travail si c'était le cas, on aurait pas besoin de police si les bandit n'arrivaient plus à en être même si cela doit être moins disons stressant pour vous d'enquêté sur une tentative raté sans victime que sur une tentative loupé ayant laissé des morts sur le carreau" En tout cas si elle était à sa place elle préférait le cas de figure qui concernait sa banque plutôt que les glaçant fait d'hiver qu'on pouvait voir à la télé ou lire à la une des journaux.

La brunette donna donc les indications qu'elle avait pu noter ainsi que son ressentiment envers tout ceci, elle avait sentit une certaine inexpérience chez les hommes qui lui faisait face mais elle ne savait comment réellement l'expliquer. " Il n'y a eut aucun bruit et nous étions seul, non je les sentais stressé, apeuré et peu sur d'eux, ils bégaillait en me donnant leur ordre, tremblait en me menaçant je ne pense pas qu'ils l'aient déjà beaucoup fait ou alors ils joue très bien le jeu des novices" Quand à la voiture elle dû se concentrer fortement pour chercher dans sa mémoire ce qu'elle pouvait dire là-dessus son esprit c'était tellement plus concentré sur les hommes qu'elle n'avait pas plus que cela prêté attention à leur voiture mais les caméra de la banque devait l'avoir filmé après tout elle était stationné juste devant les portes de l'autre côté de la rue bien en face. " Elle était sombre marron ou noir je ne sais plus, une assez neuve, mais je pense que les caméra ont du la filmer elle était garée en face des portes qui sont filmé par notre système de sécurité" Pour le coup elle s'en voulait un peu de ne pas avoir fait plus attention à ce détail là car la plaque aurait sans doute beaucoup plus aider les flics que ce qu'elle avait pu dire jusque là mais dans ce genre de moment le cerveau n'arrivait pas réellement à pensé de manière correct et il occultait des choses en jugeant ce qui était le plus important en étant brouillé par la peur et le stress. " Je suis désolée je n'ai pas pensé à noter leur plaque sur le moment c'est maintenant que je me rend compte que cela aurait été plus utile pour les trouvé que de savoir si il parle allemand ou non" Même si cela pouvait aider à un certain moment de les avoir entendu parler il fallait pour que cela serve avoir mit la main sur eux et cela n'était pas gagné pour le moment.


En plus le pauvre policier n'avait pas mille et un témoin à entendre dans cette histoire il était assez tôt le matin les gens du coin était tous occupé à commencer le travail et peu de chance avait dû faire attention à ce qui se jouait pour elle étant donné que tout c'était passé avec calme et discrétion. " Il faudrait peut-être demandé à la boulangère en face elle avait vu sur le conducteur vu comme sa boutique est agencé" Ali tentait de donner le plus d'information possible pour être utile.

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