(SWANN) circonstance bien particulière

   

 « Circonstance bien particulière»  swann andrews & leonnie dietrich

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Leonnie avait besoin de se changer les idées aujourd’hui, et par principe quand c’est le cas, la jeune femme finit soit sur la plage de Hambourg, soit à faire les magasins ou encore faire du sport dans la salle. Aussi vu le temps gris de la journée elle n’avait eu envie que de s’enfermer entre quatre murs. Elle serait bien allée au cinéma mais l’appel des magasins est bien trop fort pour elle, d’autant plus que son cousin a décidé pour sa journée OFF de pratiquer son nouveau jeu de sa console que Leonnie n’avait envie que d’une chose : la balançait par la fenêtre de l’appartement, histoire juste de s’en débarrasser. Inutile de lui dire qu’elle déclenchera la troisième guerre mondiale si cela venait à se produire, et pourtant cette idée revenait à la charge de son esprit à chaque fois qu’elle pose son regard sur son cousin, ou ses oreilles à l’entendre gueuler après son écran. Qu’importe, elle claque la porte de l’appartement et s’en va. Loin de lui, loin de ses jeux. Elle aurait voulu que Lisa la rejoigne, elles ont l’habitude de faire les magasins ensembles, mais cette dernière avait encore une multitude de révision alors Leonnie s’était quand même rendu dans le centre-ville de Hambourg, avec l’intention de dévaliser les magasins. Elle avait déjà cinq sacs qu’elle tenait fermement entre ses mains quand ses jambes la guidaient celui au bout de la rue, l’un de ses magasins préférés chez monsieur et madame Smith. Il la connaissait bien, Leo faisait partie des habitués et la jeune femme ne manquait jamais les dernières arrivées. Aussi il n’y avait pas grand monde dans le petit magasin qui ne paye pas de mine de l’extérieur, mais les prix sont plutôt abordables, et même si sa famille est plutôt aisée, Leonnie avec son salaire de mannequin n’a pas à prétendre à se rendre souvent chez Dior ou Gucci. D’autant plus qu’elle aime la convivialité de ce magasin, et la gentillesse de la patronne. Il n’y a quasiment aucun conseiller dans le magasin, seulement une caissière déjà bien débordée. Alors elle choisit un petit haut et une robe d’été tout en cherchant le coup de cœur de l’année. Après presque vingt minutes à essayer, elle décide de se rendre dans les vestiaires pour essayer. Elle commence par le haut, puis le retire, essaye sa robe. Mais la fermeture éclair est coincée, Leonnie regarde par le miroir de la cabine mais ses bras n’arrivent pas, aussi elle hésite puis elle ouvre discrètement le rideau passant sa tête à travers pour voir si quelqu’un du magasin est là. Elle ne voit qu’un garçon, bien plus jeune qu’elle, visiblement. « Excusez-moi, bonjour, elle regarde le brun debout face aux cabines, en ouvrant alors entièrement le rideau il doit probablement attendre quelqu’un, aussi Leonnie reprend, lui faisant signe de s’approcher, je suis embêtée, j’ai deux mains gauches, je n’arrive pas à remettre ma fermeture éclair…  » Elle se tient le haut de sa robe pour éviter de se retrouver en sous vêtement, la connaissant elle serait très loin d’être heureuse si cela venait à se passer. Elle se retourne alors baissant sa tête espérant qu’il comprenne ce qu’elle voulait lui dire. Remonter la fermeture éclair le long de son dos.

@swann andrews

   

 « Circonstance bien particulière»  swann andrews & leonnie dietrich

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Swann avait besoin d'une nouvelle tenue pour le jour ou il rencontrerait sa famille au grand complet, il avait donc été faire les magasins pas seul parce qu'il n'était pas du genre à aller faire les boutiques tout seul il commandait sur internet quand il ne trouvait pas âme a venir avec lui, mais avec une connaissance qu'il avait noué à l'université n'ayant pas beaucoup de contact ici. La jeune femme l'avait aidé à choisir puis c'était mit à chercher pour elle même une femme ne pouvant pas aller dans un magasin sans choisir une tenue pour elle c'était bien connu et il c'était donc trouvé là bête a faire mille et une boutique et à attendre mille et une année devant un rideau fermé de cabine d'essayages, lui qui venait pour se faire plaisir se retrouvait à subir bon heureusement qu'il avait un bon caractère et qu'il était poli sinon il aurait sans doute abandonné la jeune femme à son sort ayant ce qu'il lui fallait pour son repas de famille. Alors qu'il attendait une fois de plus en silence qu'elle essaye les douze articles apporté dans la cabine pour n'en prendre au final aucun comme à chaque fois une jeune femme sortie la tête de sa cabine sur le coup il ne lui prêta pas attention elle devait chercher une amie ou son chéri pour avoir son aval sur un possible achat mais quand elle parla en vouvoyant et vu qu'il était le seul dans le coin il comprit qu'elle lui parlait. Mayde Mayde une femme lui parle comment réagir quoi faire quoi dire, il était déjà tout rouge il le savait il le sentait il était un âne réellement quand on le mettait en présence de femme qu'il ne connaissait pas. Respiré et ne pas passer pour un fou, l'image du crétin il devait déjà l'avoir en la fixant comme cela s'en rien dire, il fallait désormais protéger sa santé mentale d'un potentiel jugement de sa part. " Bonjour" C'est bien Swann bravo applaudit la petite voie dans sa tête il avait réussit à prononcer un mot sans regarder ses pieds et sans baragouiner dans sa barbe il en faisait des progrès dis donc. Embêtée, deux mains gauches, fermeture éclair, merde merde merde il allait devoir l'approcher de prêt pour l'aider et peut-être même la touche selon la texture du vêtement et la coopération de la dite fermeture éclair il n'était clairement pas prêt pour cela mais la pauvre il n'allait pas la laisser ainsi à son triste sort bloqué dans une cabine avec une robe à demi ouverture, à demi fermée. " Cela doit être embêtant d'avoir deux mains gauches et cette fermeture est une vilaine peste" Ouai c'était de l'humour de Swann ça mais pour une personne ne le connaissant pas cela allait sans doute être un peu bizarre bon sang et lui qui ne voulait pas passer pour un fou. Quand elle se tourna lui offrant son dos pour qu'il puisse venir à bout de cette fermeture il souffla un grand coup et avança pour se mettre derrière elle ses mains tremblait à l'idée de la touchée il ne la connaissait pas bon sang il ne voulait pas qu'elle pense qu'il en profitait pour la palucher alors du bout des doigts il attrapa l'objet récalcitrant et le haut de la robe de l'autre main pour tenir le tout droit sa mère lui ayant maintes fois répété que cela était plus simple pour fermer un vêtement, sa mère si elle avait été là lui aurait été d'un des grand secours. Fatalement elle ne lui résista pas trop longtemps son expérience en matière de fermeture ayant vaincue son adversaire. " Et voilà j'ai vaincu votre ennemie la fermeture par contre je pense que vous allez avoir tout autant de mal à la retirer elle est assez récalcitrante" Pourquoi continuait-il de parler lui il aurait dû simplement dire que cela était bon et partir attendre à nouveau à sa place.

   

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Elle est plutôt sociable Leonnie, elle a le contact facile peut-être moins avec les garçons mais il est vrai que depuis qu’elle a commencé à faire des photos, elle est beaucoup plus à l’aise devant l’étranger qu’auparavant. Alors s’adresser à un inconnu en soit ne la dérange pas plus que ça, elle paraît même plutôt à l’aise. Même si cette situation est inconfortable pour elle. Aussi c’est la raison pour laquelle, elle ne passe que sa tête, à travers le rideau. Pas qu’elle soit pudique, mais elle sait très bien que les cabines ne sont pas séparés des hommes aux femmes. Aussi elle observe rapidement manque de bol, une seule personne, un jeune homme semble attendre patiemment, elle n’a d’autre choix que de lui demander, sinon elle devra attendre longtemps que quelqu’un vienne. Alors, elle tente le coup sans réellement réfléchir sinon elle ne demandera jamais rien. C’est dommage que le petit magasin n’est pas au moins une ou deux personnes en plus, ça éviterait de déranger les clients pour si peu. Malheureusement pour Leonnie elle avait déjà passée beaucoup trop de temps perdu à tenter quand même de remonter cette maudite fermeture éclair sans toutefois y parvenir. Si son frère voyait la scène, il serait le premier à se foutre de sa gueule ! Elle regarde quand même plus attentivement, pour voir si il n’y aurait une folle furieuse qui serait dans les parages et si elle ne sortirait pas ses griffes au simple fait que l’homme qui se tient devant Leo lui parle, et l’aide. Elle observe, mais rien de cela. Apparemment. « Bonjour » Qu’il lui dit en la regardant un coup instant, il doit être lui-même surpris qu’elle lui parle. Ils ne se connaissent pas après tout, c’est pas banale, et surtout c’est la première fois qu’elle emmerde des inconnus pour si peu. Alors Leonnie se retourne assez rapidement, c’est déjà assez mal à l’aise pour éviter de remuer le couteau dans la plaie encore davantage. « Cela doit être embêtant d'avoir deux mains gauches et cette fermeture est une vilaine peste » Elle sourit même si il ne pourra pas le constater vu qu’elle vient de se retourner, « on s’y fais avec le temps, c’est surtout que j’enquiquine le monde autour de moi… Désolée. » Une dérision dont elle avait le secret, pour obtenir facilement ce qu’on veut, Leo a parfois cette habitude. Elle n’a pas peur de l’autodérision en tout cas. « Et voilà j'ai vaincu votre ennemie la fermeture par contre je pense que vous allez avoir tout autant de mal à la retirer elle est assez récalcitrante » Il avait terminé ? Elle n’avait quasiment rien senti, elle se retourne alors en l’écoutant, et son conseil n’est peut-être pas si bête, d’ailleurs elle semble réfléchir quelques secondes avant de dire. « Je vais peut-être éviter de l’acheter alors, je n’aurai pas toujours de l’aide et dans le placard, elle ne me servira probablement pas, » conclut la jeune femme en souriant tout en regardant dans le miroir son reflet avec la robe. « Leonnie, merci beaucoup. » Elle tourne son visage vers lui en lui tendant sa main.

   

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Se faire interpeller de la sorte n'était pas dans les habitudes de Swann il passait souvent inaperçue partout où il allait et ce surtout dans les lieux comme celui-ci ou il n'était pas seul même si pour le coup il l'était un peu devant les cabines la vendeuse étant bloqué à la caisse avec des clients et ne pouvant pas être à deux endroit en même temps la pauvre. Il avait donc apprit que la jeune femme était en proie à une véritable crise de couple avec sa fermeture éclair qui refusait de se laissé remonté jusqu'en haut ce qui était problématique même pour lui qui ne portait pas de robe, la jeune femme ne pouvait pas se balader comme ça dans la rue sans avoir des ennuis et il ne souhaitait pas que cela arrive même si elle était une totale inconnue. Il devait reconnaître qu'avoir deux mains gauche ne devait pas facilité la tâche au quotidien ce n'était pas une mince affaire de tout faire de travers il le savait étant un tant soit peu maladroit même si cela n'était pas aussi handicapant que certain qui avait réellement la poisse alors il se permit une petite blague là dessus ne sachant pas tellement comment cela allait être prit, c'était le risque avec les inconnus on pouvait tenter de bien faire et que cela soit mal reçu. Heureusement pour lui elle lui répondit avec humour aussi c'était donc une personne avec qui il pouvait rire c'était déjà ça de bien car sinon il aurait sans doute été encore plus mal à l'aise qu'il ne l'était déjà. " Si toi tu t'y ai fait l'important est là, les gens peuvent bien être un peu serviable de temps en temps cela ne me dérange pas d'aider ne t'en fait pas" Bien au contraire Swann était de nature très serviable sans doute trop pour ceux qui voyait en lui un moyen de profité de lui et de ses talents dans diverses domaines. Comme le fait qu'il était doué pour remonté des fermetures ou les remettre en place quand elles avaient déraillées c'était son petit plus a avoir vécu seul avec sa mère durant des années il avait apprit à faire ce genre de chose n'étant que deux sa mère lui demandait toujours de l'aide à lui et a personne d'autre. Il arriva donc rapidement au bout de sa tâche mais pensa utile de préciser que celle-ci avait l'air particulièrement récalcitrante et que la jeune femme allait sans doute avoir du mal a retirer la dite robe si elle devait la mettre souvent et si l'habit était dur à enfiler et à enlever cela ne se montrait sans doute pas très pratique du moins c'était son point de vue d'homme sur la question loin de se demander si une jolie robe pouvait compenser le fait d'avoir le droit à deux trois galère lors de la mise en place ou du retrait. La jeune femme lui répondit alors qu'elle allait sans doute évité de l'acheter n'ayant pas toujours quelqu'un à porter de main pour l'aider c'était sans doute une sage décision comme le fait de ne pas condamné la tenue à vivre éternellement au placard une bien triste vie pour un vêtement. " Cela serait sans doute plus simple de la laisser ici oui elle pourrait continué à discuté avec ses copines robes et voir du monde et trouvé personne ayant main à disposition pour montage et descente de fermeture éclair non docile" Quand elle tendit la main vers lui en souriant il eut un sourire en retour et la serra. " Enchanté Leonnie moi c'est Swann, si tu oublie ou écorche je ne t'en voudrais pas ma mère à décidée de jouer sur l'originalité" Et souvent on bugait sur son nom surtout ici en Allemagne ou la signification anglaise de ce nom n'était pas connu de tous. " Tu veux que je t'aide pour la redescendre ?" Après tout il semblait que son amie avait profité de sa distraction pour filer. " Je crois que je viens de me faire abandonné en plus" Bon tant pis il rentrerait sans doute chez lui après cette boutique finalement.

   

 « Circonstance bien particulière»  swann andrews & leonnie dietrich

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Leonnie n’avait jamais de mal à se faire des connaissances dans la vie, là où elle allait elle trouvait toujours quelqu’un à qui elle pouvait parler librement, ou faire connaissance. D’une nature peu réservée dans le sens des rencontres, elle n’avait pas toujours sa langue dans sa poche, et son sourire arrivait à détendre les plus récalcitrants. Bon bien évidemment, cela avait ses défauts aussi, car pas tout le monde n’arrivait à accepter de discuter avec des inconnus, bizarrement les nanas surtout, avec qui Leo n’excellait pas dans ce domaine. Mais Leo avait toujours apprécié discuter avec ceux qui ont moins de chance, les laisser pour compte ! Elle avait cette facilité à observer les gens autour d’elle, et déjà à l’école, elle ne restait pas avec les populaires, ceux qui sont faciles d’approche pour elle, car elle est une Dietrich. Une famille qui a tellement d’argent qu’aucun membre de la famille ne pourra tout dépenser dans toute une vie. Ça avait souvent ses inconvénients car si Leonnie n’est pas une femme méfiante de base, elle a appris à l’être parfois, à ses dépens. Surtout des garçons pour être honnête. Et pourtant cela ne l’empêche pas parfois de se foutre dans une merde monumentale dont seule elle a ce secret. Son aîné vient parfois à sa rescousse, lui passant un savon dès lors qu’il apprend la vérité, elle sait que malgré son côté chiant et protecteur, elle pourra toujours compter sur lui. Leonnie est loin d’être une femme distante ou qui n’a pas d’humour. Il faut bien en avoir et heureusement car jamais elle n’aurait pu habiter à la colocation si elle n’en avait pas eu. Ou encore jamais, elle n’aurait pu supporter ses deux grands frères car enfants ils se taquinaient tout le temps, et elle a gardé cette complicité avec Elias d’ailleurs. C’est certain. « Si toi tu t'y ai fait l'important est là, les gens peuvent bien être un peu serviable de temps en temps cela ne me dérange pas d'aider ne t'en fait pas » Leo n’avait pas à se plaindre sur la solidarité ou la serviabilité des gens, ses parents malgré leurs réussites flamboyantes dans le monde des artistes et de la photo avaient toujours été très clair sur l’éducation stricte de leurs trois gamins. Strictes suffisamment pour ne pas voir l’un d’eux dans le journal pour fait divers mais aimants et protecteurs à la fois. Leonnie est une femme de ce qu’il y a de plus banale en soit, hors mi la mort de l’un de ses frères qui la marque encore, et cela malgré presque l’année écoulée. « Merci c’est gentil… » Qu’elle lui dit doucement, en posant son regard sur lui alors qu’il vient de lui rattacher la robe, peut-être pourrait-il faire des envieux d’ailleurs, « je te rassure, je ne passe mon temps à demander ce genre de chose, d’habitude j’y arrive très bien toute seule. » Qu’elle se force à lui dire, comme si ça aurait un éventuel impact et pourtant, elle rigole une fois sa phrase terminée. C’est vrai que c’est assez étrange, surtout qu’elle aurait pu patiemment attendre la vendeuse. Mais Leo et la patience ce n’est pas ça du tout ! Il lui faut les choses et tout de suite sinon elle râle, elle boude. C’est une nana quoi ! « Cela serait sans doute plus simple de la laisser ici oui elle pourrait continué à discuté avec ses copines robes et voir du monde et trouvé personne ayant main à disposition pour montage et descente de fermeture éclair non docile » Et c’est bien dommage, elle l’aimait bien cette robe mais pas suffisamment, ce n’était pas LE coup de cœur au point de se compliquer la vie, à toujours demander de l’aide aux autres. Quoi qu’elle trouverait certainement une âme charitable mais bon. « Parce que tu crois que les robes entres elles ça parle ? » Elle porte toute son attention au garçon et bien plus encore, plissant les yeux, d’un air sérieux, avant de rire une nouvelle fois. Il est marrant celui-là tiens ! Elle se regarde rapidement dans le miroir, tourne sur elle-même, elle grimace un instant. Elle imprimait sa silhouette dans son exactitude comme si quelque part, elle était déçue de la laisser là. Une petite robe d’été Leonnie les collectionnait. Il n’y a qu’à voir ses multiples photos sur son portable. « Enchanté Leonnie moi c'est Swann, si tu oublie ou écorche je ne t'en voudrais pas ma mère à décidée de jouer sur l'originalité » Leonnie adorait les prénoms à consonance Américaine, aussi elle tenta, « Souan. Souanne… » Qu’elle tentait de répéter à son tour mais elle semblait avoir bien du mal, elle grogna quelques secondes, s’énervant elle-même de ne pas arriver à le prononcer avant de retenter, « Swann. C’est jolie, j’aime bien. C’est très original ! » Et c’était sincère, elle aimait beaucoup même si le garçon s’en ficherait bien. « Tu veux que je t'aide pour la redescendre ? » Qu’il demande après qu’elle se soit regardé une dernière fois, elle lui répond alors, « je veux bien oui, s’il te plait. » Elle se tourne un instant pour le laisser faire, mettant ses cheveux sur le côté pour lui laisser l’accès libre. « Je crois que je viens de me faire abandonné en plus » Qu’il lui dit avant qu’elle referme le rideau de la cabine, prise de court, elle passe sa tête discrètement à l’extérieur de sa cabine, « ah bon t’es sur ? Il n’y a plus personne dans les cabines ? » Elle lui demande faisant signe qu’il regarde. Elle trouvait ça gonflé ! Aussi son côté protecteur bien qu’il n’est qu’un étranger pour elle, revient vite au galop et sans hésiter sa fougue reprend le dessus, « tu veux qu’on la rattrape et qu’on lui dise ce qu’on en pense ?! » Elle était très sérieuse à en voir les traits de son visage, d’ailleurs elle avait déjà parcouru le magasin avec des habits d’essayage quand une femme un jour s’était fait volé son sac à main. Elle l’avait même poursuivi jusque sur la route ou des policiers attendaient sagement en entendant gueuler Leonnie. Sa meilleure amie, Lisa rigolait d’ailleurs de cette démonstration mais le côté policier de Leonnie revient assez vite au galop ! « Je pourrais te ramener si tu veux, ma voiture n’est pas loin, mais en attendant faudra me supporter dans les magasins. » C’était dangereux de monter dans sa voiture avec un inconnu ? Bon Leonnie connaissait les risques, mais Swann n’avait pas l’air agressif, loin de là même ! Si il avait voulu il aurait aisément pu profiter de la chose dans les cabines, mais il ne semblait pas le faire, et puis Leo sait se défendre. Jamais loin de sa bombe lacrymogène même si là le danger était plutôt sa robe que Swann.

   

 « Circonstance bien particulière»  swann andrews & leonnie dietrich

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Pour une fois il était content de pouvoir aider un peu même si il était gêné de devoir se tenir aussi proche physiquement parlant d'une femme qu'il ne connaissait pas dix minutes plutôt, heureusement elle lui tournait le dos pendant qu'il s'occupait de la fermeture il avait donc eut le temps de contrôlé un peu le rouge sur ses joues afin de ne pas passer pour un fou. Et finalement il avait vaincu de manière méthodique et rapide il était doué pour ça il aurait peut-être pu choisir de travailler dans ce domaine là plutôt que de se tournée vers la zoologie même si c'était sa passion et qu'il était doué dedans. " Mais de rien c'était une plaisir" Après tout il n'était pas le genre a pester parce qu'il avait dû apporter de l'aide à une personne le demandant en plus elle avait été polie et courtoise avec lui il n'avait donc aucune raison de ne pas le faire. " Je suis rassurée pour toi on pourrait te prendre pour une tentatrice d'homme si tu criait à l'aide à chaque essayage de robe paraît que les cabines d'essayage donne des idées cochonnes à plein de monde" Bon lui n'était sans doute pas comme tout ce monde là parce qu'il était puceau et donc loin de se faire ce genre de délire ne sachant pas réellement se passait réellement ce genre de chose. Il était d'accord sur le fait que la robe était mieux dans le magasin si elle devait ne pas être porter que dans une penderie entouré d'inconnu avec qui elle ne s'entendrait sans doute pas c'était sans doute un dur choix car la robe lui allait bien mais la fermeture complexe n'était pas un détail anodin et il fallait avoir quelqu'un a porter de main pour pouvoir l'aider et cela n'était pas toujours possible. Le fait de parler de robe qui parle pourrait sans doute le faire passer pour un taré mais elle ne répondit pas en l'accusant d'être malade et de raconté n'importe quoi mais par une question sur le ton de la plaisanterie et celui faisait plaisir de voir quelqu'un rentré dans ses délires un peu louche de la sorte peu de monde se forçait à le faire. " Mais bien sûr qu'elles parlent entre elles sinon elles s’ennuierait tu t'imaginerait toi toute la journée pendu à un cintre en silence les pauvres robes elles feraient une dépression et serait terne quand tu les achèterait." Son prénom dans une bouche allemande, avec leur façon de prononcer les mots et son, leur accent cela donnait toujours quelque chose après tout il avait lui aussi du mal avec les nom très typique d'ici qui ne se disait pas pareil chez lui et il eut un petit rire quand il entendit le brunette tenter de le prononcer comme il faut, il lui fallut plusieurs tentative pour réussir à le dire et il fut fier qu'elle y parvienne. " Ça l'est cela signifie cygne dans ma langue maternelle, je l'aime bien aussi mais depuis mon arrivé à Berlin puis ici j'ai entendu mon prénom souffrir à de maintes reprises" Il lui proposa ensuite son aide pour lui retirer histoire qu'elle ne galère pas et qu'elle profite du fait qu'il soit là pour ne pas avoir à quémander à nouveau de l'aide dans trois seconde et demi c'était somme toute logique et pratique pour tout les deux et cela fut rapidement fait. Après avoir terminé sa mission il jeta à un coup d’œil à la cabine utilisé par sa connaissance afin de savoir où elle en était n'ayant plus rien entendu de sa part depuis un moment, et il fut étonné et un peu blasé de découvrir qu'il avait été abandonné dans la boutique, elle était partie sans dire au revoir, sans un mot comme si il était normal de manquer autant de respect à quelqu'un. " Plus personne elle a filée je la vois pas non plus dans la boutique" Quand Leonnie lui proposa de la rattraper pour lui dire sa façon de penser Swann secoua la tête il n'était pas ce genre de personne il était calme et ne faisait pas d'histoire sans doute pour ça que les gens en profitaient en règle générale. " Non ça va aller je suis pas le genre à faire de problème c'était pas une amie juste une connaissance de classe pour ne pas faire les magasins seul c'est pas réellement une surprise elle ne pense qu'à elle depuis deux heures" Léonnie était plus gentille que sa camarade car sans le connaître elle lui proposa de le ramener chez lui si il faisait les boutiques avec elle, et le roux ne souhaitant pas rentré de suite dans son appartement allait sans doute accepter elle n'avait pas l'air méchante ou dangereuse même si il lisait plein de livre parlant de fou furieux ayant l'air tout à fait normal et kidnappant des gens facilement il faisait facilement confiance. " Je pense pouvoir survivre à ta compagnie dans les magasins mais faut que tu m'aide à m'acheter des trucs aussi suis pas doué pour ça et j'ai apporter grand chose pour mon emménagement j'avais envie de changement" Et du coup il devait se refaire un stock de vêtement même si il avait le plus important sa tenue un peu chic pour son premier repas de famille où il voulait faire bonne impression. " Tu n'est pas une kidnappeuse en série qui va me mettre dans ton coffre pour me violer plus tard hein ? Non parce que j'ai jamais vu une fille nue alors je suis pas un bon candidat"Franc le petit Swann sans doute un peu trop pour une conversation normale mais c'était une question somme toute ironique alors elle se formaliserait sans doute pas de la fin.

   

 « Circonstance bien particulière»  swann andrews & leonnie dietrich

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Leonnie n’était pas dès plus à l’aise, même si elle le cachait bien, d’autant plus qu’avec le mannequinat, elle prenait désormais l’habitude de poser devant des inconnus. Elle était donc plus à l’aise au jour d’aujourd’hui et ne se prenait pas la tête. Bien qu’elle n’avait pas l’habitude de ce genre de rapprochement, elle appréciait la distance du jeune homme quand il n’avait plus besoin de l’aider. Ça se voyait que c’était sincère, qu’il ne faisait pas ça juste pour l’attirer dans une cabine, il l’aurait déjà fait si tel avait été le cas, et bien qu’elle n’est pas une carrure imposante, il serait sans doute arriver au but avant de la voir à l’œuvre dans un combat acharné, car elle faisait de la boxe, et elle avait souvent les bons réflexes. Probablement son côté flic qui ressort sans qu’elle ne se pose véritablement de question. « Mais de rien c'était une plaisir » Elle avait remarqué qu’il était soigneux, qu’il avait été rapide et elle n’avait rien senti, pas même un effleurement comme si il avait peur de toucher sa peau. Elle sourit alors avant de lui dire, « tu sembles doué pour ça, tu as des sœurs ou peut-être ta maman qui t’as appris les détails du métier ? » Qu’elle demande, un sourire aux lèvres. C’était une façon comme une autre d’en apprendre plus sur l’autre. Leonnie est une femme curieuse, qui aime bien tout savoir. Elle peut parfois poser des questions plus personnelles, qui mettent mal à l’aise son interlocuteur. Mais ça c’est quand elle connaît davantage la personne, elle n’allait pas le faire fuir si tôt ! « Je suis rassuré pour toi on pourrait te prendre pour une tentatrice d'homme si tu criait à l'aide à chaque essayage de robe paraît que les cabines d'essayage donne des idées cochonnes à plein de monde » Elle lui jette un regard surprise, elle a le sourire au coin des lèvres, il est jeune il a encore tout à apprendre, ça se voit et d’ailleurs il ne manque pas détailler certaines choses, ce qui fait rire Leonnie. « Une tentatrice d’homme ? Carrément ! » Elle répète amusée par ce surnom même si ça reste très loin de l’image qu’elle projette quand on la connaît un minimum. « Mais j’ai encore jamais testé dans les cabines ! » Elle joue franc jeu aussi, et laisse son rire se faire entendre. En même temps elle n’a pas besoin de cabine dans les magasins pour faire ce qu’elle a envie Leonnie. Et quand il avoue sérieux que les robes parlent entre elles, la jeune femme se marre davantage. Elle rentre complètement dans son jeu en faisant une mine surprise, une vraie gamine quand elle s’y mettait. « Mais bien sûr qu'elles parlent entre elles sinon elles s’ennuierait tu t'imaginerait toi toute la journée pendu à un cintre en silence les pauvres robes elles feraient une dépression et serait terne quand tu les achèterait. » Non Leonnie ne s’imaginait pas un seul instant devoir ne pas parler. Elle est une vraie pipelette, toujours de bonne humeur, accueillante avec les autres, elle déteste la solitude et cherche toujours à combler le vide quand il s’empare d’elle. « Alors faut que je te rende à tes copines… » Qu’elle dit en passant sa main sur cette robe qu’elle portait encore, comme si la robe allait lui répondre, elle lança un regard amusé en direction de Swann en pouffant de rire. Le ridicule ne tue pas n’est-ce pas ? Et heureusement Leo est encore trop jeune pour mourir ! « Ça l'est cela signifie cygne dans ma langue maternelle, je l'aime bien aussi mais depuis mon arrivé à Berlin puis ici j'ai entendu mon prénom souffrir à de maintes reprises. » qu’il lui ajoute alors qu’elle a affreusement sacrifié son prénom sans le vouloir, elle se retourne rapidement et il lui permet de la délivrer de cette robe en ouvrant la fermeture éclair. « Tu viens d’où comme ça ? » Qu’elle demande alors reportant son attention sur lui en se retournant. Si il parlait ainsi des Allemands c’est qu’il n’était probablement pas d’ici, et ça s’entendait peut-être un peu même si Leonnie n’avait jamais quitté Hambourg, et encore moins son Allemagne. Elle voit le jeune homme regardait vers les autres cabines alors qu’elle en profite pour refermer le rideau un instant. « Plus personne elle a filée je la vois pas non plus dans la boutique elle n’a pas le temps de retirer sa robe qu’il est formel, déjà plus personne, elle passe alors sa tête à travers le rideau et réapparaît comme par magie devant lui avant qu’elle lui propose d’aller lui régler son compte, non ça va aller je suis pas le genre à faire de problème c'était pas une amie juste une connaissance de classe pour ne pas faire les magasins seul c'est pas réellement une surprise elle ne pense qu'à elle depuis deux heures » Il hausse les épaules. Alors elle referme le rideau quand il lui dit non, parce qu’elle ne voulait pas lui imposer mais elle aurait été capable de lui dire ses quatre vérités ! Même en robe à moitié sur elle ! Elle se change rapidement alors que le rideau est tiré et ressort finalement déposant la robe sur le cintre pour que la vendeuse la remette en place. « Dommage j’avais bien envie de crêper le chignon de quelqu’un aujourd’hui. » Qu’elle répond bien franchement, sans une once de gêne en haussant les épaules. Leonnie est très protectrice avec ses amis, sa famille et ceux qui lui sont cher. Elle serait tendance à toujours s’inquiéter pour eux, à vouloir les aider, c’est bien plus fort qu’elle-même si on lui dit qu’on a nullement besoin de son aide. Et même si elle ne le connaissait pas vraiment Swann, et qu’elle n’avait aucune raison de le faire, le simple fait de crêper le chignon était une raison qui en valait la peine ! « Je pense pouvoir survivre à ta compagnie dans les magasins mais faut que tu m'aide à m'acheter des trucs aussi suis pas doué pour ça et j'ai apporter grand chose pour mon emménagement j'avais envie de changement » Il lui répond elle récupère ses dernières affaires avant de le regarder et de lui demander, « t’es pas dans le coin depuis longtemps ? Qu’elle demande alors, apprenant mieux sur lui. Si tu as besoin de tuyau, je suis d’ici… » Elle lui sourit avant de lui faire signe qu’ils pouvaient y aller. Alors qu’il reprend, « tu n'es pas une kidnappeuse en série qui va me mettre dans ton coffre pour me violer plus tard hein ? Non parce que j'ai jamais vu une fille nue alors je suis pas un bon candidat » Elle rigolait Leonnie, déjà parce qu’il lui demandait si elle n’allait pas le kidnapper. Et c’était grotesque car si elle avait été une kidnappeuse, elle ne lui aurait jamais répondu qu’elle le kidnapperait. Il n’y avait que dans les films qu’on voyait ça. Mais il peut se rassurer, Leo est dans le camp des gentil ! « Je veux devenir flic, alors t’en fais pas c’est moi qui te protège ! » Elle lui donne un coup sur le haut du bras en rigolant bien volontiers tout en le poussant gentiment alors qu’ils prennent le chemin de la sortie. « Enfin je fais des études pour bosser dans la police scientifique. » Bon c’est peut-être moins glamour que mettre des menottes mais ça a son charme de vouloir connaître comment les gens sont morts, elle est parfois l’ultime étape pour connaître les motivations des meurtriers. « Mais tu devrais te méfier, qui sait, j’en ai vu des scènes pas très catholiques… » Elle le charrie, c’est plus fort qu’elle. Elle rigole Leonnie à sa phrase. Elle ne voulait pas l’effrayer, elle était la première à en rire, car en dehors du boulot, elle pouvait devenir plus détendue que sur les scènes de crimes.

   

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Doué pour remonté des fermetures éclair il l'était, clairement parce qu'il avait été élevé par une femme seule aimant ce genre de tenues qui n'étaient pas simple a enfiler toute seule et qu'elle lui avait toujours demandé son aide parce qu'il était le seul être humain dans leur appartement. Il était donc rodé à la chose même si cela ne lui servait pas souvent depuis son arrivé ici, il n'avait aucun soucis à se vêtir lui même étant donné que ses fermetures étaient à l'avant de son corps mais bon cela finissait par aider une jeune femme alors cela devait être un talent important. " Juste ma mère on vivait que tout les deux jusqu'à ce que je vienne ici, et du coup j'ai dû apprendre à l'aider pour s'habiller et aussi à créer des tenues pour des occasions spéciale et tout ça j'ai passer des heures devant des cabines à lui donner des conseils de mode je suis devenu super calé et beaucoup de mes potes s'en moquait derrière pas super viril d'aller faire du shopping avec sa mère" Mais difficile de faire des trucs virils de bonhomme avec son père quand celui-ci ne savait pas avoir un fils quelques part non loin de lui. Et oui elle aurait pu être une tentatrice d'homme faisant approcher un garçon de sa cabine d'essayage pour pouvoir lui soudoyer du sexe il l'avait déjà vu dans des films même si tout les films ne reflétait pas la réalité beaucoup de fille avait ce genre de fantasme de ce qu'il avait déjà pu entendre bien contre son gré n'étant pas très à l'aise avec le sujet étant donné sa non expérience souvent considérer comme sujet de moquerie au vu de son âge. " C'est ce que vous êtes vous les femmes des tentatrices pour nous faible homme guidé par nos pulsions, du moins d'après la plupart de mes amis mecs même si leur discours est souvent bien moins disons courtois et que le terme salope ou pute viens plus souvent que tentatrice, je le préfère il est plus poli envers vous" C'était ça aussi qui le rendait différent des autres mecs il n'était pas dans le moule qui voulait qu'un garçon de dix huit ans ne pense que sexe et alcool et parle mal de tout il restait poli et il ne considérait pas les femmes comme des objets sans doute parce qu'il n'avait eut qu'une femme comme modèle, une femme qui serait considérer comme une salope par ses amis avec tout ses plans sans lendemain ayant fait partit de sa vie. Swann n'avait jamais vu sa mère posé avec un homme dans une histoire sérieuse et il ne voulait pas que par ce choix de fille commun à de plus en plus de femme libéré soit synonyme d'insulte perpétuelle. " Tu vois tu dit encore, donc tu ne serait pas contre l'idée de le faire je le savais, je ne comprend pas l'envie que fournis une cabine mais visiblement c'est attrayant pour plein de monde" Enfin il avait fait une blague sur le fait que pour lui les robes parlaient entre elles sur le portant sinon la vie d'un vêtement serait sans doute bien triste et longue et cela avait semble t-il fait rire la jeune femme qui entra dans son jeu en parlant de rentre le vêtement à ses amies, c'était une bonne idée surtout si elle ne pourrait pas la porter souvent sinon l'acheté était une bonne chose elle verrait du monde dans la rue, c'était un choix à faire.. " Je suis sur que ce choix va la rendre heureuse elle doit apprécier ses copines" Plus que l'oublie dans une penderie sans doute enfin lui n'aimerait pas être oublier de la sorte. Mais on ne l'oubliait pas ici on ne savait juste pas dire son prénom on lui écorchait de toute les manières possible et cela le faisait soit rire soit grimacer selon la prononciation utilisé. Il apprit donc a la brunette la signification de son prénom dans sa langue maternelle lui apprenant de manière détourné qu'il n'était pas du coin et lui ouvrant la possibilité de posé la question pour connaître ses origines." Je suis né à Londres et j'y ai vécu des années avant que ma mère ne déménage pour Berlin et maintenant je suis à Hambourg je voyage. Mais Londres me manque j'y retournerais sans doute un jour m'y installé" Et quand son interlocutrice retourne dans sa cabine pour retirer la robe il se rend compte qu'il est seul, la fille de sa classe venue avec lui à profité de son inattention pour filer comme une voleuse au lieu de simplement lui dire qu'elle partait il l'aurait su et aurait pu rentrer chez lui tranquillement même si cela était plutôt que prévu, il en fit la remarque à haute voix et Leonnie lui proposa de suite d'aller la chercher pour lui dire ses quatre vérités mais Swann n'était pas comme ça il ne faisait pas d'histoire il restait dans son coin, mais quand on avait profité de lui une fois on n'obtenait plus rien de sa part c'était terminé sa manière à lui de montré qu'il ne fallait pas le prendre pour un abrutis trop longtemps.. Envie de se crêper le chignon fallait bien être une fille pour avoir ce genre d'envie parce que lui cela ne lui arrivait jamais, les ennuis et les disputes il fuyait cela comme la peste tellement cela le touchait et lui demandait de faire ressortir un côté de lui qui n'était pas apprécié de sa personne. " Cela t'arrive souvent d'avoir ce genre d'envie ? Genre de prendre la tête à quelqu'un parce qu'on peut sans doute trouvé un parfait inconnu à qui reprocher un tas de chose" Et il accepta d'aller faire les magasins avec elle a condition qu'elle l'aide à trouvé de quoi remplir sa garde de robe réduite depuis son emménagement dans le coin, il avait réellement souhaité une scission entre sa vie d'avant et celle qu'il aurait ici pour pouvoir avancer sans vivre dans le regrets et la rancœur des émotions qui ne lui allait pas au teint. " Deux semaines et demi seulement, ou déjà je sais pas trop comment dire ça c'est passer vite et c'est tellement cours à la fois" Bientôt trois semaine de vie à Hambourg et une nouvelle routine des connaissances qui se liait pour son plus grand plaisir. " Oh oui des tuyau je prend je connais pas grand chose en dehors de mon appart de burger king et de l'université et chose pas m'aventurer de trop tout seul pour pas me paumer et devoir appeler à l'aide passer pour un nigaud me ferait un peu mal quand même" Pour le rassurer quand au fait qu'elle n'allait pas le kidnapper pour le violer plus tard elle lui apprit faire des études pour devenir flic, entré dans le police scientifique il fallait avoir le coeur bien accroché pour ce genre de chose et il n'aurait sans doute pas eut le tempérament pour supporter tout ça mais le job énoncé lui donna une idée de farce de son crue à formuler et quand l'idée pointait le bout de son nez Swann la laissait sortir tout simplement. [color=#E3A58B]" Mais ça, ça veut dire que tu saurait faire disparaître mon corps sans laisser de trace !"(/color] Des choses pas catholique sur des scènes de crime c'était comme une évidence pour lui, les meurtres n'avaient rien de bien religieux même si parfois on se servait de cela comme prétexte, " En même temps quand quelqu'un vient de se faire tuer ça ne dois pas être la joie je ne sais pas comment tu fait" Pour ne pas cauchemarder en pleine nuit à cause de ce qu'elle voyait ou apprenait mais bon c'était sans doute une question de mental, de caractère. " Alors dis moi tout ou veux tu aller ? Tu a des boutiques préférer dans le coin" Elle devait bien avoir cela vu qu'elle avait grandie dans le coin.

   

 « Circonstance bien particulière»  swann andrews & leonnie dietrich

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La jeune femme semblait connaître le garçon depuis des années, entre eux, il y avait beaucoup de discussion, d’éclat de rire, et de la taquinerie. Elle ne semblait pas être méfiante, bien au contraire, il la faisait rire c’était évident. Et Leonnie n’est pas du genre à faire semblant, si ça match pas elle n’insiste pas et repars de son côté sans forcer les choses. Mais là, bizarrement elle semblait apprécier le jeune homme et repartait à chaque fois dans une conversation qui parfois n’avait ni queue ni tête ! Comme si elle le connaissait depuis des lustres et qu’elle lui racontait ses derniers potins. Encore dans la cabine, elle avait toujours cette robe sur elle quand il vient à lui raconter un peu plus sur sa vie personnelle. C’était parfois plus facile de parler à des inconnus qu’à ses propres amis, Leonnie en avait conscience. Jamais elle ne pourrait se confier sur la mort de son frère à Lisa ou à Maëlan. Tous deux savaient dans quoi elle s’était engagée sans le vouloir. Ils la connaissaient suffisamment pour savoir que Leonnie n’est pas du genre à se confier aux autres facilement, qu’il est plus facile pour eux de fuir, d’enfouir la tête dans le sable. Et pourtant auprès de Swann elle se sentait à l’aise, en confiance. Elle ne comprenait pas vraiment pourquoi il la mettait à l’aise ainsi, et elle se doutait bien que le fait qu’il lui ai remonté la fermeture éclair n’en soit pas la cause formelle ! « Juste ma mère on vivait que tout les deux jusqu'à ce que je vienne ici, et du coup j'ai dû apprendre à l'aider pour s'habiller et aussi à créer des tenues pour des occasions spéciale et tout ça j'ai passer des heures devant des cabines à lui donner des conseils de mode je suis devenu super calé et beaucoup de mes potes s'en moquait derrière pas super viril d'aller faire du shopping avec sa mère » Leonnie plongea un instant son regard dans le sien, un sourire apparut sur son visage. Elle lui répond alors sans une once de doute, « les gosses sont terribles entre eux, j’ai l’impression d’être vieille quand je dis ça, mais c’est la vérité et je suis sûr qu’aujourd’hui, ils s’en mordent les doigts ! » Elle ne supportait pas la méchanceté gratuite même si probablement qu’elle l’a déjà été sans le vouloir, tout le monde devient un jour le méchant pour quelqu’un. Que ce soit par amour, pour une amitié ou une toute autre raison mais l’Allemande a toujours soutenu les plus fragiles, les prenant sous son aile. Elle, elle n’a jamais eu besoin de se battre pour rentrer dans les populaires même si elle n’aime pas ce mot, mais elle n’a jamais été le souffre-douleur de quiconque. Elle a toujours eu de très bons amis, des appuis inébranlables, ses frères aussi très bagarreur n’auraient jamais accepté elle le sait. Mais n’a jamais eu besoin de demander quoi que ce soit, elle a toujours été une jeune fille avenante, appréciée de tous. Ou presque. Ses parents et leur richesse a été probablement pour quelque chose… « Tu peux être fier de ce que tu es devenu Swann. La famille c’est ce qui a de plus important ! » Elle arrivait enfin à dire son prénom sans sacrifier de lettre. « C'est ce que vous êtes vous les femmes des tentatrices pour nous faible homme guidé par nos pulsions, du moins d'après la plupart de mes amis mecs même si leur discours est souvent bien moins disons courtois et que le terme salope ou pute viens plus souvent que tentatrice, je le préfère il est plus poli envers vous » Elle le regardait, faisant mine qu’elle était déçue, qu’il était un petit chat rejeté et seul contre tous. Elle lui répondit alors, « Il ne faut jamais se fier aux apparences tu sais… » On a tous nos blessures, nos problèmes et Leonnie essayait au maximum de ne pas juger même si parfois c’est assez compliqué de trouver le juste milieu. De ne pas se laisser berner par de faux espoirs. Mais de ne pas juger à la va vite et de catégoriser les gens qui nous entoure. Elle est très observatrice Leo, et aime bien fouiner dans la vie des autres sans y être convié ! « Tu vois tu dit encore, donc tu ne serait pas contre l'idée de le faire je le savais, je ne comprend pas l'envie que fournis une cabine mais visiblement c'est attrayant pour plein de monde » Et elle rigole bien volontiers à sa phrase, avant de s’arrêter et de prendre une voix plus chaleureuse, plus attirante, en lui faisant les beaux yeux. « Il n’y a pas que les cabines qui donnent des idées… » Qu’elle siffle d’un ton léger avant qu’il vienne à lui parler de la robe qui va être contente de retrouver ses copines robes. « Je suis sur que ce choix va la rendre heureuse elle doit apprécier ses copines » Elle se retire rapidement la robe après avoir refermé le rideau, « je suis né à Londres et j'y ai vécu des années avant que ma mère ne déménage pour Berlin et maintenant je suis à Hambourg je voyage. Mais Londres me manque j'y retournerais sans doute un jour m'y installé » Quelques longues secondes après elle ressort de la cabine, récupérant son sac à main. Il avait donc voyagé, visiblement beaucoup, elle ne pouvait s’empêcher de lui dire, « moi je n’ai jamais quittée Hambourg ! » Elle n’était pas heureuse, ni triste. Leonnie prenait tout ce qu’elle pouvait sans se préoccuper de savoir si elle pourrait vivre mieux, ou non. Elle n’était pas du genre à se prendre la tête. « Cela t'arrive souvent d'avoir ce genre d'envie ? Genre de prendre la tête à quelqu'un parce qu'on peut sans doute trouvé un parfait inconnu à qui reprocher un tas de chose » Avant de partir des vestiaires, il lui demandait tout innocentement ce qui la fait rire, et pourtant elle s’arrêta un instant avant de prendre une mine choquée. « T’es comme ça monsieur Andrews, je suis outrée ! Affreusement outrée ! » Elle rigolait Leonnie à sa remarque, comme si elle pouvait être choquée de ça, ce serait mal la connaître, et puis elle lui demandait depuis combien de temps il était ici, lui proposant alors son aide. « Deux semaines et demi seulement, ou déjà je sais pas trop comment dire ça c'est passer vite et c'est tellement cours à la fois. Qu’il commence avant de reprendre, enthousiaste, « oh oui des tuyau je prend je connais pas grand chose en dehors de mon appart de burger king et de l'université et chose pas m'aventurer de trop tout seul pour pas me paumer et devoir appeler à l'aide passer pour un nigaud me ferait un peu mal quand même » Il la fait rire, aussi ils sortent du magasin, parcourant déjà quelques rues tout en discutant de tout. « Ok tu veux savoir quoi ? Les bonnes adresses pour manger ? Les activités à faire dans le coin ? Comme le saut de parachute ?! » Qu’elle lui demande, un de ses rêves, sauter en parachute, elle reprend un sourire sur ses lèvres alors que le soleil brille et pointe le bout de son nez, « j’espère que t’aimes l’adrénaline avec moi ! » Et puis elle se confie un peu Leonnie, notamment ce qu’elle souhaite faire, devenir flic. Travailler dans la police scientifique quelque chose qu’elle souhaite faire depuis gosse, elle est têtue Leo elle ne change jamais d’avis ! Et même si elle venait à changer d’avis, elle ne le dira jamais ! « Mais ça, ça veut dire que tu saurait faire disparaître mon corps sans laisser de trace ! » Elle rigole bien volontiers, un rire à lui faire peur, comme si elle se forçait avant de lui ajouter, d’un naturel, « tu comprends vite comme garçon ! En un claquement de doigt ! » Elle se vante la petite, c’est plus fort qu’elle et un sourire se dessine sur ses lèvres elle jette son regard sur un marchand de glace, ses yeux brillent et elle traîne Swann avec elle jusqu’au marchand, « Choisie, c’est moi qui régale ! » Elle choisit une bonne glace à l’italienne vanille/fraise. Elle attend qu’il choisisse avant de payer le gars et de repartir tranquillement auprès du jeune homme avant que ce dernier ne lui ajoute, « en même temps quand quelqu'un vient de se faire tuer ça ne dois pas être la joie je ne sais pas comment tu fait, elle hausse les épaules, elle ne sait pas vraiment, ce métier l’anime elle ne s’est jamais posé plus de questions que ça, « alors dis moi tout ou veux tu aller ? Tu a des boutiques préférer dans le coin » Il lui demande alors qu’ils marchent quelques instants, elle lui répond tout en dégustant sa glace à l’italienne si chère à son cœur, « Je sais pa… Qu’elle commence à dire interrompue quand ses yeux dévisage une nouvelle boutique qu’elle ne connaît pas très bien, une magasin mixte où Swann pourrait trouver son bonheur, le dernier arrivé aura un gage ! » Qu’elle se met à crier tout en courant en direction du magasin, slalomant entre les gens.

   

 « Circonstance bien particulière»  swann andrews & leonnie dietrich

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Swann avait grandit avec sa mère et cela donnait souvent lieu à des remarques quand il était plus jeune, sur le fait de ne pas avoir de père de ne pas savoir qui il était, d'être le fruit d'une salope c'était une insulte qu'il avait souvent entendu plus jeune et qui l'avait toujours mit en rage lui pourtant peu enclin à la violence. Aujourd'hui c'était derrière lui et il en était bien heureux car les enfants étaient sans doute plus mauvais entre eux que les adultes eux ne l'était. " Tu ne fait pas si vieille que ça je te rassure, j'ai entendu pire sur ma mère que ça et du coup pire sur moi mais j'espère que la vie leur aura apprit que se moquer des autres et se montrer insultant n'apporte rien de bon. Ma mère n'est pas parfaite mais elle à toujours prit soins de moi et m'a fait devenir un homme, certain on juste du mal à comprendre qu'il n'est pas nécessaire d'avoir un père et une mère pour être heureux le schéma de la famille parfaite est trop présent dans la tête des gens encore maintenant" Et il ne comprenait pas pourquoi, comment, les gens n'arrivaient pas à évolué avec leur temps et surtout à s'occuper de leur affaire à eux, lui n'avait jamais demandé à personne de juger sa vie et celle de sa famille. Il n'était pas un garçon populaire plus jeune et il ne s'en plaignait pas il ne demandait pas d'attention lui en plus c'était sans doute cela le pire il faisait sa petite vie dans son coin et on était venu le chercher, heureusement pour lui il avait les épaules et le calme nécessaire pour faire face à tout cela. " J'ai toujours été fier de ce que j'étais et ce même si je n'étais qu'un fils à maman voué à devenir une tafiole pour certain, je suis moi et ma mère est le centre de ma vie même si elle est fâchée que je sois venue ici pour rencontré mon père" Il la comprenait elle avait peur de perdre son fils et la brouille partirait sans doute rapidement une fois que les choses serait un peu plus apaisé sa mère et lui faisait front depuis le début.

Le garçon trouvait que les jeunes femmes était des tentatrices et  c'était un terme gentil comparer à certain mot employé par des jeunes garçon de son âge voir plus jeune, attention il ne leur portait pas le blâme il savait que beaucoup était comme ça parce que des garçons appréciait ce genre de comportement et qu'il était ainsi plus simple de les attiré à elle. " Je ne me fit jamais aux apparences, j'énonce juste un fait les femmes aiment tenter les hommes et les hommes aime être tenter par les femmes c'est une chose normale pour la plupart des gens et cela n'est pas forcément péjoratif pour moi" Même si lui n'avait aucune expérience avec les femmes, sexuelle s'entend, il ne jugeait pas ceux ou celle qui en avait beaucoup chacun voyant midi à sa porte et agissant comme il était bon de le faire pour lui c'était sa façon à lui de voir les choses même si il était certain que dans la société actuel certain était encore dans le jugement vis à vis de la sexualité d'autrui surtout de celle des femmes qui ne se limitait pas dans leur nombre de partenaire. " Quoi d'autre alors ?" Parler de ses origines le ramena à une époque de sa vie qui lui manquait beaucoup, Londres était sa maison même si désormais il vivait en Allemagne. Il ne savait pas si voyager était une bonne chose ou non mais cela formait un peu lui avait du mal à se faire a l'Allemagne mais cela n'était pas le cas de tout le monde. " Tu devrais tenter de voyager un peu, pour des vacances ça doit être pas mal, moi j'ai du mal avec le changement en règle générale et j'ai du mal à me faire à la vie allemande mais je sais que cela aide dans un sens à faire ressortir certain trait de caractère" Swann était un peu moins renfermé ici étant donné qu'il n'avait pas le choix pour pouvoir rencontrer des gens et ne pas être tout le temps tout seul, à Londres il n'aurait sans doute pas approcher Leonnie quand elle l'avait appelé fuyant dans le sens inverse pour ne pas être remarqué et ne pas devoir parler. Quand la jeune femme se dit en état de remonté les pendules à quelqu'un il proposa de lui trouvé un parfait inconnu sur lequel passer ses nerfs, cela donna lui à une petite pique ironique de la part de la jeune femme. " Je préfère que tu passe tes nerfs sur un inconnu, plutôt que sur moi alors je suis de ce genre là oui" Lui qui fuyait le conflit préférait imposer cela à une personne qu'il ne connaissait pas.

le roux acceptait avec joie son aide il ne connaissait pas grand chose dans le coin lui en dehors de son université, son appartement et le burker king juste à côté de chez lui pour se nourrir et cela ne serait sans doute pas suffisant pour le quotidien maintenant qu'il savait qu'il allait réellement habité ici pour un long moment, quelques années avant de peut-être un jour repartir chez lui, ou alors il arriverait à se sentir ici chez lui et ne repartirait que pour ses vieilles années. " Le saut en parachute mais fait pour le moment bien trop peur. Mais je veux bien savoir où manger, ou aller se promener, ou aller faire du shopping, ou sortir, tout ce qu'il faut savoir pour pouvoir se fondre dans la masse ici" Aimer l'adrénaline ce n'était pas certain certain pour Swann mais il ferait avec sauf si elle lui en demandait trop il n'était pas courageux et pas a la recherche de sensation forte lui. " Je ne suis pas un fervent fan de l'adrénaline et des situations à risque mais je ferais avec" Et la jeune femme l'emmena devant un marchand de glace tout en continuant à parler du fait qu'elle pourrait le faire disparaître facilement et sans laisser de trace. " Je suis intelligent même si cela ne se voit pas forcément quand on m'entend raconter mes conneries" Et elle lui proposa de lui payer une glace enfin elle lui ordonna un peu de choisir et que c'était elle qui payait il n'allait pas se bagarrer pour payer il lui rendrait l'appareil à un autre moment. " A vos ordre chef" Et il se prit une glace vanille chocolat étant un fan de chocolat depuis toujours. Le duo repartit et le jeune homme demanda à la jeune femme où elle l'emmenait pour la suite et d'un coup d'un seul au milieu d'une phrase elle sembla repérer quelque chose et lui lança un gage. " Ta commencé avant moi tricheuse" Heureusement qu'il avait la forme car il arriva à la rattraper sans trop d'effort et même si il ne voulait pas de gage il ne pouvait pas gagner il n'oserait pas lui en donner un à une fille tout juste rencontré alors il ne se foula pas pour la laisser arrivé à la boutique en première comme ça il ne passerait pas pour un débile même si il prenait le risque de le devenir dans quelque instant en écoutant son gage. " Ta tricher humpf" Et pas lui peut-être en faisant exprès de perdre.

   

 « Circonstance bien particulière»  swann andrews & leonnie dietrich

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Il y a des moments comme celui-ci qui réconforte Leonnie sur le genre humain. Elle voit parfois des choses étranges, qui la dégoûterait presque, et pourtant malgré son boulot et parfois la découverte de corps macabre et de corps sans vie, elle continue de sourire, provoquant parfois sa destinée à des rencontres comme celles-ci. Elle apprécie Swann pour l’image qu’il renvoie même si elle ne le connaît quasiment pas. Mais il la fait rire et il a de l’humour et l’Allemande apprécie ce trait qui le caractérise bien. Elle prend cette rencontre à la légère, sans vraiment se soucier du fait que parfois elle ferait mieux de passer son chemin plutôt que rencontrer des inconnus. Elle serait passée à côté d’une perle, Leonnie en est certaine ! Mais il est différent des garçons qu’elle a l’habitude de fréquenter, elle est plutôt du genre à tourner autour des mauvais garçons, ceux n’ayant pas leur langue dans leur bouche, parfois même le lourd en puissance. Et Swann est totalement l’opposé de ce genre de garçon, elle se questionne au fond d’elle-même la jeune femme, et ne semble pas regarder l’heure en sa présence. C’est partie de rien mais elle ne supporte pas la méchanceté gratuite ou la manque de parole et clairement ce qu’à fait sa collègue, ne plait pas la futur flic. « Tu ne fait pas si vieille que ça je te rassure, j'ai entendu pire sur ma mère que ça et du coup pire sur moi mais j'espère que la vie leur aura apprit que se moquer des autres et se montrer insultant n'apporte rien de bon. Ma mère n'est pas parfaite mais elle à toujours prit soins de moi et m'a fait devenir un homme, certain on juste du mal à comprendre qu'il n'est pas nécessaire d'avoir un père et une mère pour être heureux le schéma de la famille parfaite est trop présent dans la tête des gens encore maintenant. » Elle réfléchit un court instant mais pour elle ce n’était pas que le problème, finalement on est comme nos parents nous éduquent, ni plus ni moins. Même si parfois il y a des enfants plus dur que d’autre, il n’empêche que le feu ne se propage pas sans brèche. « Je l’espère, mais je crois au karma ! » Enfin probablement que oui, le karma doit exister, bien que quand elle regarde sa famille disloquée depuis la mort de Vince son aîné, elle ne sait plus vraiment. Elle n’en dira pourtant rien, Leonnie reste cet enfant souriante, heureuse et épanouie et cela même si de l’intérieur, elle est anéantie par cette douleur vive qu’elle n’arrive à panser. « J'ai toujours été fier de ce que j'étais et ce même si je n'étais qu'un fils à maman voué à devenir une tafiole pour certain, je suis moi et ma mère est le centre de ma vie même si elle est fâchée que je sois venue ici pour rencontrer mon père » Ses yeux s’illuminent un instant, et elle lui demande alors, « tu ne connais pas ton père ? » Mon dieu, Swann avait indéniablement attiré l’attention de la flic, qui reporta aussitôt son attention sur lui. Elle n’était pas malsaine, enfin non sans doute pas, mais elle adorait les potins, les ragots et plus encore quand ça touche la vraie vie. Elle allait vouloir l’aider c’est même certain ! « Je ne me fit jamais aux apparences, j'énonce juste un fait les femmes aiment tenter les hommes et les hommes aime être tenter par les femmes c'est une chose normale pour la plupart des gens et cela n'est pas forcément péjoratif pour moi » Elle continue de marcher en présence du jeune homme quand celui-ci éveille en Leonnie la princesse, la fille à papa, mais probablement plus encore, la féministe. Si son visage reste éclairée d’une rivalité homme/femme sans faille, Swann ne doit pas vraiment savoir dans quoi il s’engage en sa présence et d’ailleurs, s’arrêtant de marcher, elle lui ajoute, bien trop sûre d’elle alors que quand il remarque son arrêt il se retourne vers elle, visiblement amusé lui aussi, « non non ! C’est faux archi faux ! Les hommes aussi cherchent ! Nous ne sommes pas fautives mon cher ! C’est vous qui ne savez pas vous tenir… » Ses yeux s’éclairent de cette lueur, et sur son visage un sourire se dessine, pas prête à avouer quelles idées obscures peut passer dans la tête d’une nana quand elle observe au loin un charmant garçon à son goût. « Quoi d'autre alors ? » Il fît décrocher un rire à la jeune femme, il ne manquait pas de répartie aussi ne voulant pas rentrer dans ses conversations, Leonnie n’étant ni une adepte, ni une connaisseuse incontestée trouva une toute autre mascarade pour y mettre un terme. « T’es bien curieux jeune homme ! » Elle lui souriait en montrant toute ses dents avant qu’il ne lui avoue davantage sur les voyages, « tu devrais tenter de voyager un peu, pour des vacances ça doit être pas mal, moi j'ai du mal avec le changement en règle générale et j'ai du mal à me faire à la vie allemande mais je sais que cela aide dans un sens à faire ressortir certain trait de caractère » Elle l’écoutait parler, il est vrai que la jeune Allemande n’avait jamais quittée son pays. Elle ne savait pas vraiment pourquoi, car il serait mentir que de dire qu’elle n’aimerait pas visiter quelques pays comme l’Egypte, la Grèce son pays par prédilection ou encore l’Australie. Mais elle n’a jamais forcé le destin et ce n’est pas l’argent le souci. « J’sais pas… Partir ne s’est jamais présenté à moi sans doute, et je parle que Allemand… » Est-ce que cela devrait être un frein ? Elle ne parle ni anglais, ni une autre langue et à son âge il est plus difficile de s’y mettre, surtout qu’elle n’y voit aucun intérêt. Mais elle va peut-être y réfléchir… « Je préfère que tu passe tes nerfs sur un inconnu, plutôt que sur moi alors je suis de ce genre là oui » Le filou ! Heureusement pour lui, Leonnie n’est pas une tueuse ou un truc du genre, il a de la chance. Elle est même de l’autre bord plutôt : celui qui protège les autres ! « Le saut en parachute mais fait pour le moment bien trop peur. Mais je veux bien savoir où manger, ou aller se promener, ou aller faire du shopping, ou sortir, tout ce qu'il faut savoir pour pouvoir se fondre dans la masse ici. » Clairement Swann était tombé sur la meilleure personne pour lui indiquer tous les lieux propices aux rencontres, et sympas pour des sorties parfois sortant de l’ordinaire. « A st Pauli, tu as un bar sympa le majora, la patinoire dans ce quartier. Un marché nocturne tous les mercredis à ne pas louper ! Ou encore l’embuscade comme son nom l’indique, c’est un bar où tu n’en sors pas vivant… C’est un bar gay… Elle rigole en observant son visage, avant de poursuivre tout en marchant Dans le quartier speicherstadt tu as un café près du port ou encore le musé du chocolat. L’office du tourisme, l’opéra et le meilleur bar de la ville, le lion se situe dans le quartier altstadt avec de nombreux magasins chics de fringues. » Elle énumère comme si elle est une encyclopédie de Hambourg à elle toute seule. « Je ne suis pas un fervent fan de l'adrénaline et des situations à risque mais je ferais avec, et c’est bien dommage car Leonnie est une grande sportive, aimant mettre sa vie en péril pour rien. Elle devait le reconnaître, elle aime la vitesse, elle aime les sensations fortes, les parcs d’attractions à chute libre etc… Je suis intelligent même si cela ne se voit pas forcément quand on m'entend raconter mes conneries. » Elle sourit avant de lui répondre en haussant les épaules, « tu as de l’humour et c’est ce qu’il faut pour affronter parfois la vie qui s’avère mettre des obstacles, parfois. » En continuant à marcher, Leonnie s’arrêta devant un camion de glace avant de choisir sa glace, et se retournant vers le rouquin, elle lui demande de choisir, ou ne lui pas le choix, « à vos ordre chef » Elle rigole volontiers, avant de payer quand il choisit, il mange quelques instants, et quand ses yeux se posent devant une boutique, elle ne lui pas vraiment les choses, qu’elle se mit à courir en cette direction, surprenant Swann qui finit par la rattraper malgré qu’elle ne l’ai pas averti. « Ta commencé avant moi tricheuse Quand elle arrive devant la boutique, elle se retourne, essoufflée malgré tout par cette montée soudaine d’adrénaline, alors qu’il semble bouder. Ta tricher humpf » Il est mignon en boudant, elle rigole face à cette tête râleuse avant de lui répondre aussi simplement. « T’avais qu’à courir plus vite ! » Si seulement elle savait ! « Vient, parfois on joue à ça avec ma meilleure amie. » Il ne savait pas dans quoi il s’engageait avec elle. C’était certain. Elle rentre dans la boutique, effleurant certains vêtements du bout des doigts, lui cherchant une tenue … Inapproprié ! Le ridicule ne tue pas !

   

 « Circonstance bien particulière» swann andrews & leonnie dietrich

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Le roux n'était pas un garçon comme les autre,s bien sur il ne mettait pas tout le monde dans le même sac mais il savait qu'il n'était pas comme les autres jeune de son âge il n'était pas moqueur, pas fêtard, pas populaire, il restait dans son coin parlant peu et ne se mêlant pas tellement aux gens. Il avait souvent subit en silence les insultes des autres sur lui ou sur sa mère, il avait souvent été moqué de ne pas avoir une famille comme les autres pour être discret, pour préférer travaillé plutôt que de s'amusé il n'en fait plus cas il est rodé il laisse couler et continue sa vie comme si de rien était. " J'y crois aussi pour cela que je laisse la vie s'occuper de tout cela me venger ne me servira à rien, et puis la colère ne me va pas cela me met dans tout mes états alors que cela n'atteint pas les gens ciblé" Et puis lui il est fier de qui il est parce qu'il est quelqu'un de bien il le sait et il peu l'affirmer sans être dans l'abus ou l’excès de confiance il avait toujours prit soins de mener sa barque pour arrivé à ce résultat là il ne pouvait qu'être fier d'avoir réussit par son travail à arrivé là où il voulait être. " Non je ne le connais pas, enfin je l'ai rencontré à mon arrivé ici, c'est pour ça que je suis venu habité ici mais on ne se connait pas il ne savait même pas que ma mère était tombé enceinte de lui il pensait qu'elle avait eut un enfant avec un autre de ce qu'il avait comme nouvelle mais sans plus" Dans son esprit tout le monde est sur le même pied d'égalité les femmes aiment séduire et être séduite et la réciproque est aussi vrai cela n'est pas un jugement ou une plainte mais la cycle normal de la vie pour lui on voulait être aimé qu'importe par qui, qu'importe qui faisait le premier pas c'était pas important pour lui mais visiblement pour Leonnie les hommes étaient forcément les responsable ce qu'il n'approuvait pas. " On sait se tenir, faut pas nous mettre tous dans le même sac il y a autant de mec qui ne savent pas se tenir que de femme, autant de femme qui aime draguer que d'homme, vous êtes sans doute plus discrète car plus sujette au jugement d'autrui mais il n'y a pas de fautif, A moins que l'on parle d'agression et là l'agresseur et réellement le seul fautif" Mais cela n'était pas non plus ce qui arrivait le plus les gens se plaisaient se cherchaient et se trouvaient sans qu'il n'y ai de soucis entre eux.

Et il posa une question à la brune qui lui fallut le faire d'être traité de curieux il ne pouvait nié l'être surtout qu'il ne connaissait pas tellement de chose sur les relations homme femme et sur le sexe en général il devait poser des questions pour avoir l'air moins con le jour où cela serait son moment. " Je le suis madame je dois bien l'être sinon je vais être nul sur le sujet le jour où .." Et ils changèrent de sujet pour parler voyage là c'était lui qui avait l'expérience et qui pouvait parler de tout cela avec la jeune femme, parce qu'il avait déjà changé trois fois de lieu de vie en dix huit année sur terre, et mieux encore il avait changé de pays et cela n'avait pas été simple, il avait eut beaucoup de peur et d'appréhension il comprenait donc que la jeune femme ne soit pas rassuré mais cela était une expérience de vie qui forgeait et qui aidait à grandir même si on avait pas l'impression d'en avoir besoin. " Tu n'est pas obligé de partir en dehors de l'Allemagne pour partir, tu sais un voyage même dans une autre région suffit parfois et puis pour les voyages plus lointain le traducteur est ton meilleur ami même si en parlant anglais je suis avantagé je peux aller partout et me faire comprendre, du moins dans les capitales pour les pays les plus pauvres" L'anglais étant la langue universelle il était pour lui impossible de ne pas le parler il devrait y avoir plus de temps consacrer à l'école pour l'apprentissage de cette langue mais cela n'était pas souvent fait et des gens se retrouvaient à ne pas savoir si débrouillé dans une autre langue que celle maternelle.

Leonnie lui donna des tuyaux sur les endroits à fréquenter dans le coin elle connaissait la ville après tout elle vivait là depuis toujours elle savait où aller et où ne pas aller c'était une bonne chose que d'apprendre pour lui pour ensuite pouvoir se débrouiller par lui même sans avoir besoin de demander à tout le monde. Swann allait devoir faire appel à sa mémoire pour se souvenir de tout cela mais il ferait au mieux. " Un bar gay non merci j'en ai pas besoin du tout du tout. Le musée du chocolat ça par contre ça me parle et me donne envie je vais y passer ma vie en dehors des cours, ou plutôt dans leur boutique souvenir" Pour le reste il ne pensait pas être du genre à aller à l'opéra, la patinoire était a noter aussi mais Gabi l'y traînerait sans doute elle était patineuse après tout et elle adorait lui montré ce qu'elle savait faire, les cafés et bar était à retenir pour pouvoir voir du monde de temps en temps et le marché pouvait être intéressant aussi alors il rangea toute les informations donné dans un coin de sa tête pour pouvoir les utilisé quand il en aurait besoin.

Alors oui il n'était pas très courageux mais il était intelligent et drôle cela contrebalançait sans doute après tout on ne pouvait pas être parfait et on avait tous des choses qu'on faisait et pas d'autre. " C'est vraiment utile oui de savoir prendre la vie avec dérision, cela évite de trop se prendre la tête sur tout et rien, il nous arrive trop de truc con pour tout prendre au sérieux et se laisser abattre" Et finalement elle l'abandonna sur place après avoir lancé un défis du premier arrivé donnerait un défi à l'autre et finalement il perdit il n'avait pas été assez rapide pour la rattraper et il ne c'était somme toute pas réellement foulé cela mettait mal non de gagner comme ça surtout quand derrière on ne savait pas donné de gage derrière on devait toujours lui souffler des idée et il n'avait personne pour le faire. " J'ai courut vite mais toi tu a triché en plus pour devenir flic tu dois faire plus de sport que moi" Et il allait sans doute être manger tout cru pour le coup car elle l'entraîna dans une boutique pour femme en parlant d'un jeu qu'elle faisait normalement avec sa meilleure amie donc une femme, il avait peur et aurait bien aimé pouvoir courir dans l'autre sens. " Mais c'est une fille je n'en suis pas une j'ai peuuuuur" Et c'était réellement le cas.