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 fly to me (thorn)

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gare à la crise de la quarantaine
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fly to me (thorn)
Dim 15 Juil 2018 - 16:29
fly to me
thorn & dylan
Son arrêt de travail allait bientôt prendre fin. Elle n'était pas prête Dylan, à reprendre le boulot après ce qu'elle avait vécu durant cette manifestation en centre ville, cette manifestation qui avait pris des airs de prise d'otage, qui avait tant mal tourné qu'elle avait du mal à s'en remettre. Les images de violence restaient, un visage qu'elle ne connait pas, la regarde encore, sans vie. Quelqu'un qu'elle n'a pas pu sauver, encore. Elle ne cesse de revivre ces évènements tragiques, n'arrivant pas à se consoler d'être encore en vie elle-même. Alors elle ne fait que pleurer ces jours-ci. Maé a bien tenté de la consoler, le calme n'était que temporaire, Adelaïd aussi, mais elle n'a pas réussi bien longtemps... Puis Thorn était là, il était même le premier à y être, à entendre qu'elle n'allait pas bien sans qu'elle ne veuille lui parler des détails pour essayer d'effacer de sa mémoire les pires images. Et à encore chercher une épaule tout autour d'elle, aujourd'hui, c'était encore à lui qu'elle pensait. Parce que Thorn arrivait à effacer toute les douleurs, même lorsqu'elle avait failli perdre son frère jumeau, même les peines de coeurs, il rendait tout moins lourd.

Trop de pensées faisaient bloc dans sa tête, et la peinture qui habituellement avait cet effet apaisant sur elle, avait perdu tout son pouvoir depuis quelques jours. Le pinceau échappa de ses mains, alors qu'elle, rêveuse, fixe la toile couverte de traits sombres abstraits qui ne révèlent aucune inspiration sans même la voir. Il faut qu'elle sorte, qu'elle s'évade puisqu'elle ne peut plus rien faire dans cet appartement qui occupe les pensées. Elle prend son courage à deux mains, pas beaucoup de rues à traverser pour arriver chez Thorn, elle n'aurait qu'à prendre son vélo une fois son vieux jeans taché de peinture troqué contre une jupe longue plissée, et pédaler quelques bons mètres, voire un kilomètre pour être à bon port. Et c'est ce qu'elle fit, rattachant ses cheveux une fois arrivée, laissant apparaitre un trait fin d'une peinture bleue sombre sur le haut de sa pommette, sous des yeux légèrement rougis par les pleurs qu'elle a pourtant effacés bien avant de venir.

Le doigt posé sur la sonnette, Dylan appuie à plusieurs petits coups, laissant deviner la mélodie spéciale qu'elle attribue habituellement lorsqu'elle vient le voir. Elle était là, à l'improviste, espérant tomber immédiatement sur Thorn et non son colocataire. D'ailleurs, fin de semaine, petite fin d'après-midi, elle espérait qu'il ne soit tout simplement pas là. Elle n'avait envie de voir personne d'autre pour l'instant, elle qui aimait s'entourer, avait besoin de calme, ou plutôt, de quelqu'un comme Thorn, qui la fasse sourire, voire même rire. Lorsque a porte s'ouvrit, c'est exactement ce qu'elle fit. Elle sourit alors qu'il fit son apparition, tout de même dans une moue triste qui vint ternir les traits de son visage déjà peu éclairés. Elle n'aimait pas être la pleurnicharde de service, mais elle contrôlait peu ses émotions, comme toujours. « Je te dérange pas ? » demande-t-elle, inclinant légèrement la tête sur le côté, serrant la lanière de son sac en bandoulière. « Tu m'offres une bière ?! » C'est la question qui déclarait qu'elle avait un problème, non seulement parce qu'elle ne buvait d'alcool que très rarement étant donné qu'elle ne le supportait pas, mais aussi parce qu'elle n'est pas une férue de bière. « Tu vas bien ? » demande-t-elle en rentrant.
(c) nightgaunt


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Re: fly to me (thorn)
Mar 24 Juil 2018 - 1:17
fly to me
dylan & thorn
Affalé sur le canapé, un livre ouvert sur le torse, tu dors à poings fermés. La nuit a été longue. Plus longue que ce à quoi tu es habitué en tout cas, et ce n’est pas peu dire. Ton service au bar terminé, tu es rentré chez toi pour trouver ton frère totalement imbibé, inconscient sur le sol du salon. Ce n’était pas la première fois et tu te doutes que ça ne sera pas la dernière. Cela dit, après t’être occupé de lui et avoir nettoyé l’appartement qui était en sale état, tu t’es effondré sur le canapé. Tu pensais lire un peu, seulement tu t’es endormi avant même d’avoir le temps de lire une ligne complète. Le bruit de la porte d’entrée qui se referme te réveille. La lumière du jour t’aveugle. Ta main vient rencontrer tes paupières. Tu bailles aux corneilles. Il te faut quelques minutes pour te remémorer les événements de la veille et comprendre où tu es. Tes lèvres laissent échapper un soupir. Ton frère a peut-être un léger souci avec l’alcool, ça reste probablement le mec qui gère le mieux les lendemains de cuite que tu connaisses. Parfois, tu l’envies. D’autres, non. Le fait est qu’il t’a réveillé en partant bosser et que maintenant, tu te sens incapable de retomber dans les bras de Morphée.

Après une douche bien méritée, tu enfiles le premier short qui te tombe sous la main. Tu n’as pas l’intention de sortir et tu n’attends personne, alors ton accoutrement t’importe peu. Tu retrouves ta place sur le canapé et attrapes ton ordinateur portable. Tu as une nouvelle à traduire. Un auteur norvégien peu reconnu en Allemagne qui cherche à percer. Tu aimes bien ce qu’il écrit. Tu n’irais pas jusqu’à dire que c’est l’auteur du prochain best-seller de l’année, mais ça se laisse lire tranquillement. Tu t’y mets à ton rythme, te permettant des pauses ici et là pour aller chercher quelque chose à grignoter à la cuisine ou pour remplir ta tasse de café qui se vide un peu trop vite à ton goût. Mine de rien, tu apprécies les journées comme celles-ci. Tu te sens pénard et surtout, tu ne penses à rien. Tu ne t’inquiètes pour personne. Tu es juste dans ton travail. Tu lis les lignes, tu grattes entre les lignes, tu prends note, tu fais des recherches sur internet. Concentré, c’est le mot. Tu n’es pas le gars le plus tranquille qui soit, toujours en mouvement, toujours le premier à te lancer après des idées sans queue ni tête, mais quand tu dégottes un contrat et que tu te mets dedans … personne pourrait te convaincre de faire autre chose. Personne, sauf peut-être Dylan.

Le bruit de la sonnette résonne dans tout l’appartement, tu fais un bond sur le canapé. Ta main sur la peau nue de ta poitrine par réflexe au cas où ton cœur aurait décidé de se faire la malle, tu laisses échapper un rire moqueur à ton intention. Tu sauves ton travail en deux cliques, puis mets ton ordinateur de côté pour aller ouvrir la porte. Pas besoin de regarder de qui il s’agit, tu as reconnu la mélodie jouée avec la sonnette. Comme un code secret entre Dylan et toi. C’est donc sans surprise que tu découvres la jolie brune sur le palier. Elle t’adresse un faible sourire. Tu peux voir la tristesse imprégnée dans les traits de son visage. Tu n’aimes pas ça. Tu sais ce qui lui est arrivé, pas en détail, mais tu n’en as pas besoin pour être là pour elle. Tu as été là pour elle, comme toujours et comme tu continueras de l’être. Comme aujourd’hui aussi. Tu lui esquisses un sourire sincère. « Salut toi, » lui dis-tu avant qu’elle n’ait le temps de prononcer un seul mot. « Je te dérange pas ? » te demande-t-elle. Tu secoues la tête. « Jamais. » Tu ne penses déjà plus à la nouvelle que tu étais en train de traduire. Elle a ce don Dylan. Celui d’occuper totalement des pensées au moment même où tu la vois ou l’entends. Qu’elle soit triste, heureuse ou même de mauvaise humeur, il n’y a plus qu’elle. « Tu m'offres une bière ?! » enchaine-t-elle. Comme si tu en avais besoin, cette question vient confirmer ce que tu as vu sur son visage quelques secondes plus tôt : elle ne va pas bien. Tu le sais parce que Dylan ne boit pas ou que très peu. Elle ne tient pas l’alcool et, ça, tu le sais mieux que personne. Tu hausses les épaules. « Pourquoi pas, » lui réponds-tu en te décalant pour la laisser rentrer. Après tout, il reste un pack de la soirée de ton frère, et vu que tu as fait le ménage, tu peux bien te permettre de le finir pour lui. Un sourire satisfait apparait sur tes lèvres à cette idée. « Tu vas bien ? » Tu fermes la porte derrière Dylan et te diriges vers la cuisine pour vous attraper deux bières. « Ça va, un peu claqué mais rien qu’une bonne nuit de sommeil n’peut rattraper, » réponds-tu à la question de ta meilleure amie. Tu reviens vers elle pour lui tendre une bouteille décapsulée : « t’es sûre que tu la veux ? » Cette question n’est pas anodine, c’est ta façon à toi de lui demander si ça va. Ces deux petits mots te semblent si idiots, surtout quand tu connais déjà la réponse. « J’vais passer un tee-shirt et décongeler des frites, j’ai faim … t’en voudras ? » lui proposes-tu juste après avoir réalisé que tu es toujours torse nu … et que ton ventre gargouille. Avec tout ça, tu lui adresses un de tes sourires compréhensifs.
(c) nightgaunt
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Re: fly to me (thorn)
Dim 5 Aoû 2018 - 1:55
fly to me
thorn & dylan
Se rendre chez lui avait été une évidence, comme s'il était le remède à son mal, la solution à son problème. Parce que Thorn, elle savait qu'il saurait comment l'apaiser, ou comment lui faire oublier un instant qu'elle n'avait pas le cœur à rire. Et puis, déjà, face à lui, alors qu'il venait d'ouvrir la porte, se dévoilant derrière celle-ci, même si les traits ne pouvaient mentir, et ses yeux continuaient d'en dire trop, elle se sentait moins seule, presque comprise sans qu'il n'ait à dire quoi que ce soit. Il faut dire aussi que le fait qu'il soit torse nu arrive à lui faire légèrement tourner la tête, telle la gamine ingénue qu'elle semblait devenir parfois lorsqu'elle était en sa présence. Plus maladroite qu'à son habitude, plus incohérente dans certaines situations, elle avait cette impression de mettre en péril leur amitié, à chaque fois que son cœur commençait à s'emballer. Mais Thorn, il était l'incontournable de sa vie, celui qu'elle ne pourrait pas même éviter si elle le voulait. Une part de son monde qu'elle ne voudrait pas écarter d'elle juste parce qu'elle avait la stupidité de ressentir quelque chose qu'elle s'efforçait de ne pas essayer de comprendre. Elle sourit alors qu'il répond « jamais ».
Elle entra dans son appartement, lui déposant un baiser sur la joue au passage, avant de laisser ses yeux parcourir la pièce qu'elle connaissait déjà par cœur pour être venu tant et tant de fois. Elle pose son sac et sa veste, le temps qu'il aille chercher la bière qu'elle avait demandé, elle ne savait pas tellement pourquoi, juste parce qu'il parait que l'alcool aide. Mais au final, elle avait Thorn, il était bien plus précieux que n'importe quel alcool en matière d'aide ou de quoi que ce soit d'autre. Il lui demande si elle est sure. Elle hésite un moment, se mordant les lèvres pour toute réflexion, ferme les yeux juste une seconde pour terminer par la négative, les yeux rivés sur son regard. « Je crois qu'il vaut mieux que je m'abstienne si tu veux pas que je repeigne ton salon... » fait-elle faussement déçue, dans un haussement d'épaule. Elle se surprend à détourner furtivement le regard chaque fois qu'elle le laisse s'égarer sur sa peau nue, rougissant presque lorsqu'il déclara qu'il allait enfiler un tee-shirt. « Oui... oui je vais en prendre aussi. » Le premier oui est aussi précipité qu'étrange, mais elle agit assez étrangement depuis des semaines et des mois pour que ça passe presque comme normal aux yeux de Thorn. « Attends, je vais t'aider. Pour les frites légendaires pas pour le tee-shirt ! » Elle en laisse échapper un rire léger. Elle se sentait tellement, étrange parfois, avec lui, et pourtant si bien que ce sentiment dernier surpassait toute les complications qu'elle se lançait à débat dans sa tête. Et pour ce qui était des frites, elle savait beaucoup trop que c'était le péché mignon de Thorn qui serait capable d'en manger quasi à tout repas, ce qui la lançait parfois dans de longues tirades des méfaits des frites, de surplus de commerce, à grande fréquence. Mais il était en bonne santé, par chance, même sans faire trop attention à son alimentation, il s'en sortait bien. Il faut avouer qu'elle aime un peu trop ça aussi.

Dylan commence alors à partir en quête du paquet de frites toute faites pour s'en occuper. A la maison, pour son jumeau, la plupart du temps, c'était repas préparé, grande cuisine et légumes variés de toute les façons possibles et le plus souvent un minimum diététique. Elle se permettait les écarts, elle. Mais elle respectait à la lettre le régime de santé de son frère, menée par la constante peur qu'il retombe malade. « Tu travaillais sur quelque chose avant que j'arrive ? »
(c) nightgaunt
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Re: fly to me (thorn)
Ven 17 Aoû 2018 - 12:05
fly to me
dylan & thorn
Tu as beau être bien fatigué, tu te sens bien chez toi. Tu as toujours eu cette facilité à t’installer quelque part et te sentir comme dans ton cocon. Du moment qu’il y fait chaud et que tu trouves un spot pas trop désagréable pour te poser, tu es heureux. Pas très compliqué ? C’est le cas de le dire. Pourtant, de tous les canapés au monde, il n’y en a pas un qui puisse surpasser cette sensation de bienêtre que tu ressens quand Dylan est dans les parages. Elle te fait sourire. Elle te fait chaud au cœur. Ça a toujours été le cas et l’idée même de pouvoir perdre ce sentiment te fout les pétoches. Tu ne sais pas trop pourquoi tu en viens à penser que tu pourrais le perdre. Vous avez toujours été comme les deux doigts de la main tous les deux et il n’y a aucune raison qui fait que les choses pourraient changer … pas vrai ? Tu secoues cette pensée hors de ta tête et acceptes avec un sourire au coin des lèvres le baiser que Dylan vient déposer sur ta joue en entrant dans ton appartement. Tu refermes la porte derrière elle et la regardes se mettre à l’aise.

Comme elle te l’a demandé, tu reviens avec deux bières de la cuisine. Cependant, avant de la lui donner, tu t’assures qu’elle la veut vraiment. Tu la vois hésiter en se mordillant la lèvre, puis finalement, elle secoue la tête : « je crois qu'il vaut mieux que je m'abstienne si tu veux pas que je repeigne ton salon ... » Tu ris légèrement à cette remarque. « En effet, ça serait probablement préférable, » lui réponds-tu avec un sourire amusé. Tu poses sa bière sur la table basse, tu la boiras sûrement un peu plus tard. Tu ne remarques pas le regard de Dylan qui dérape à plusieurs reprises sur ton torse nu. Il faut dire que l’idée qu’elle puisse être attirée par ton corps ne te viendrait jamais à l’esprit et pourtant, au fond de toi, tu sais très bien que tu es attiré par le sien. Mais là n’est pas la question. Ton ventre gargouille et tu lui proposes de faire de frites. Tu connais sa position sur la malbouffe, mais c’est plus fort que toi. Les frites, c’est ton grand amour. Et puis, pour ta défense, tu ne manges pas que des frites à la pomme de terre. Il t’arrive souvent de tailler des carottes ou des betteraves rouges en petits bâtonnets. « Oui ... oui je vais en prendre aussi, » te répond-t-elle un peu précipitamment. Tu arques un sourcil, intrigué, avant de laisser tomber. Tu t’imagines probablement des choses. « Super ! » t’exclames-tu en prenant la direction de ta chambre. « Attends, je vais t'aider. Pour les frites légendaires pas pour le tee-shirt ! » te dit-elle ensuite. Elle laisse échapper un rire léger qui te fait sourire. Tu sais mieux que personne que quand Dylan n’est pas en forme, un rire de sa part – peu importe sa nature ou son intensité – est à chérir comme une pluie d’étoiles filantes ; rare et magnifique. C’est peut-être un peu bête dit comme ça, mais c’est ainsi que tu le ressens. Alors tu souris, parce que ça te fait plaisir de l’entendre rire.

Tu passes un tee-shirt rapidement et retournes voir Dylan qui s’active dans la cuisine. Machinalement, tu viens poser ta main sur sa tête pour la pencher en arrière et lui embrasser le front. Pourquoi ? Juste comme ça, sans raison. Tu en avais juste envie. Tu constates qu’elle a trouvé les frites. Tu sors un plat et le tends à Dylan avant d’allumer le four. Par réflexe, tu ouvres le frigo pour vérifier son contenu. Il vous reste une sauce guacamole maison que tu sors sur le plan de travail. Ça sera parfait avec vos frites. « T’aimes ça ? » lui demandes-tu en agitant légèrement le ramequin. « Sinon, je dois avoir de la mayo et du ketchup quelque part, » ajoutes-tu en réfléchissant. Tu ne sais pas où est-ce que ton frère range ses sauces, il a compartimenté son côté du frigo avec beaucoup trop de rigueur à ton goût, ce qui fait qu’il sait où sont ses trucs, mais que quand tu as besoin de quelque chose, il te faut au moins cinq minutes pour le trouver et remettre tout en place. Maintenant que tu y penses, c’est peut-être le but de la manœuvre. M’enfin bon, tu sais qu’il y a d’autres sauces si jamais Dylan en veut. « Tu travaillais sur quelque chose avant que j'arrive ? » te demande-t-elle alors qu’elle continue de s’occuper de votre repas. Il te faut quelques secondes pour te souvenir ce que tu faisais quand elle est arrivée. « Ah oui, je suis sur la traduction en allemand d’une nouvelle norvégienne. C'est pas trop mal, je trouve que c'est pas sa meilleure ... à l'auteur, je veux dire, » lui expliques-tu. Parler de boulot avec elle, ça te fait penser au sien. Tu sais que son arrêt maladie se termine bientôt et tu n’as aucune idée de comment elle se sent par rapport à ça. « Et toi, tu te sens prête à retourner travailler ? » lui demandes-tu avec une expression concernée sur le visage. Tu espères que tu n’es pas en train de mettre les pieds dans le plat, seulement tu es réellement inquiet pour elle.
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