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 Une Saint Valentin ratée ou pas ? - Isalyne

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Une Saint Valentin ratée ou pas ? - Isalyne
Mer 22 Avr 2020 - 15:10
- Inadmissible, c'est vraiment inadmissible.
Benett Rosenthal tournait en rond dans son salon arrangé tel un mauvais film érotique passé sur le câble à des heures indécentes. Il fulminait tournant en rond comme un lion en cage. Horrifié, il n'arrivait pas à comprendre ce qu'il venait de voir, ou alors son cerveau cherchait à le protéger d'une crise d'hystérie qui augmenterait l'apparition de nouveau cheveux blancs qu'il s'efforçait de camoufler tant bien que mal. Son état n'était pas descriptible, il ne savait pas s'il devait tuer quelqu'un et dans ce cas, il avait déjà une belle cible toute trouvée ou se servir un double scotch en attendant que ses envie de meurtres s'évanouissent. A en croire ses poings serrés et sa mine terreuse, il allait lui en falloir plus d'un. Les effets n'étaient jamais de bon augure mais l'excuse n'était pas là.
- Bordel ! Marmonnait-il, écoeurée de voir sa belle bouteille Louis Roederer Cristal 'Gold Medalion' Orfevres, d'une Edition limité Millésime entamée et certainement engloutie comme d'une vulgaire piquette trouvé en supermarché. Qu'est-ce que j'ai fait pour mériter ça ?
Il reposa la bouteille et posa ses fesses sur le bras du canapé qui avait été volontairement déplacée. Son salon n'était plus vraiment ce qu'il avait été avant qu'il ne parte travailler, et lorsqu'il posait les yeux sur la carpette posé et froissée au sol, il eut la nausée. La vision qu'il avait eu dessus le rendit nauséeux, à tel point qu'il la roula en boule et la jeta au feu. Il s'en achetera une autre qu'il mettra sous clés. Cela dissuadera peut-être sa fille et lui calmerait ses ardeurs. Comment avait-elle pu lui faire une chose pareille ? Sa petite fille. Il reprit sa place sur le rebord du bras de canapé et tenta de se calmer. Si Gabi avait mis en scène cette horrible affaire, Isalyne ne pouvait pas être au courant et concevoir une telle chose, c'était impossible. Il se passa une main dans les cheveux et sortit son téléphone. Deux appels en absence d'un particulier. Étrange mais il n'avait clairement pas la tête à travailler, revoyant avec horreur la scène de la salle à manger. A croire qu'il n'y avait pas que la couverture qu'il allait devoir brûler pour s'exorciser.
Toujours le portable à la main, il envoya un message à Isalyne, la pressant de rentrer pour qu'elle revienne vite à la maison. Où était-elle d'ailleurs ? Ce n'était pourtant pas le moment de faire les boutiques. D'autant qu'il s'était libéré pour cette journée, pour elle, en plus. Pour sa femme qui de toute évidence, n'était pas à la maison et il ne savait pas où elle était. Il s'emmêlait l'esprit, il était furieux, il avait envie d'en découdre mais avec qui ?
Son téléphone vibra annonçant la réception d'un nouveau message. Il le lu et répondit puis quitta la pièce pour rejoindre son bureau, il se servit un scotch, hésita, s'en servit un double et bu la moitié. Il fallait qu'il en parle et maintenant que sa surprise de la Saint Valentin état noyé dans cette vision d'horreur, il ne savait pas comment se ressaisir. Il préféra s'installer dans son fauteuil et attendre son épouse, le verre à la main.

Une petite heure plus tard, Benett avait sortie des dossiers et faisait ses recherches quand il entendit la porte d'entrée se refermer. Cela ne pouvait être que sa femme qui arrivait. Il vida son verre d'une lampée, se leva et quitta son bureau pour rejoindre le grand hall, reliant une grande partie de la villa à toutes les pièces principales. Il ne souriait pas mais s'était assagit. En voyant Isalyne, il s'approcha mais s'arrêta net quand il entendit des pas descendre les escaliers. Quand il se retourna, il fixa sa fille et il renvoya sa fille, apprêtée pour sortir, dans sa chambre : « Jeune fille, tu remontes tout de suite dans ta chambre, jusqu'à nouvel ordre !! » Malgré les réticences et les exclamations de sa fille qui devait toujours être furieuses contre l'accueil de son père l'heure d'avant, Benett n'en avait que faire. Il lui ordonna de s'executer dans la minute où il changerait d'avis contre certaine de ses libertés.
Le ton était donné pour Isalyne mais le père de famille devait avoir une conversation plus que sérieuse avec sa femme, le jour n'était peut-être pas le bon mais il ne pouvait pas faire comme s'il n'avait rien vu. Il se tourna donc vers la brune et pointa du doigt les escaliers désormais désert :
- Non mais tu as vu comment elle me parle maintenant ?
Excédé, il se mit une main sur le crâne pour tenter de se tempérer :
- Je suis toujours son père, rassure-moi ?
Il n'était pas dupe, ses absences répétées n'arrangeaient pas sa situation mais il n'en était pas là :
- Où est le petit ? Demanda t-il afin de s'assurer qu'il n'allait pas entendre. Je dois te parler.
Benett accusa la réponse à sa question et plaça une main dans sur les reins de sa femme pour l'emmener sur la terrasse. Il voulait sortir pour prendre l'air. Son double scotch n'était pas une très bonne idée finalement, son estomac était retourné.
- Notre fille se sent pousser des ailes maintenant. En plein milieu de l'après-midi, elle se permet de ramener ce branleur à la maison, de transformer notre salon en scène de film érotique avec un feu de cheminée et de.. Et de..
Arrivée dehors, il n'arrivait pas à évoquer ce qu'il avait vu aussi facilement qu'il ne l'aurait cru. Il était incapable de voir sa fille grandir. Non pas parce qu'il n'avait pas vu grand chose, si ce n'était de remarquer ses nombreuses crises d'adolescences et ses excès mais surtout parce qu'il ne la voyait comme sa petite fille de quatre ans. Innocente, fragile et heureuse.
- Enfin tu vois ce que je veux dire ? Finit-il par dire après un petit moment d'absence, tant l'image était trop difficile à revivre même après une heure de repos cérébrale.
- De surcroît, ils ont ouvert une bouteille d'une valeur inestimable pour leur ébats.. On ne va pas laisser passer ça, n'est-ce pas ? S'époumonna t-il, en s'insurgeant de plus belle. Déjà, je vais mettre un verrou à la cave.
Ça, ça allait être fait dans la journée, et rapidement, il sévira mais pour le moment, il prit place à la table de salon extérieur et regarda sa femme.
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Re: Une Saint Valentin ratée ou pas ? - Isalyne
Mer 29 Avr 2020 - 17:52

   

     

   

Une Saint Valentin ratée ou pas ?

— Benett & Isalyne
Cette journée du 14 février n’avait pas bien commencé pour Isalyne le petit Dany avait été malade toute la nuit et elle avait passer la journée à courir de partout dans la maison pour ramasser le vomit de l’enfant et tenter de l’apaiser autant que possible, après des heures comme ça elle avait vu avec soulagement l’heure du rendez-vous chez le pédiatre arrivé et était partie l’enfant sous le bras pour aller consulter. Elle n’avait plus pensé à la date, au faite que Benett devait rentré plutôt pour pouvoir passer du temps ensemble elle avait été prise par le quotidien d’une mère et n’avait pas pensé à envoyé un sms à son époux pour le tenir au courant, depuis des années il ne gérait plus ce genre de chose. La brune avait attendue longtemps chez le professionnel de santé ils n’étaient jamais à l’heure dans cette branche là  et elle ne pouvait pas râler elle comprenait le besoin de prendre le temps pour diagnostiqué correctement. En sortant du cabinet elle vit le texto de son époux et se demanda bien pourquoi le ton était aussi froid et aussi présent pour la faire rentrée à la maison mais elle répondit rapidement qu’elle arrivait et s’installa au volant. La route se fit rapidement elle n’était pas bien loin de chez eux et c’est les bras pris par l’enfant endormis, son sac à main et le sac de la pharmacie, qu’elle pénétra dans la maison pour retrouvé fille et époux en toute logique.

Elle avança doucement dans la maison calme, posa Danny sur le canapé et alla à la recherche d’âme vivante, elle s’arrêta dans le hall en entendant les bruits de pas dans les escaliers annonçant l’arrivée imminente de sa vie qui venait toujours la voir quand elle rentrait après elle, mais l’adolescente se fit renvoyé fissa dans sa chambre par son père qui avait débarqué sans qu’elle ne le voit. Bon sang que c’était-il encore passer ici durant son absence, ne pouvait-elle pas sortir sans qu’un drame ne se produise. Elle garda le silence dans un premier temps elle n’allait pas contredire son mari sans savoir pourquoi Gabi était punie elle n’était pas ce genre de mère et de femme. Quand Benett s’adressa a elle pour lui poser deux questions elle ne pu s’empêcher que de sourire elle ne savait que répondre à ça son adolescente rebelle en voulait à son père de privilégié son travail plutôt que de passer du temps avec elle, Isalyne l’avait comprise en observant son premier bébé, son premier amour sans aucun doute mais lui, l’homme de sa vie ne l’avait pas encore compris, et elle ne savait pas si c’était le bon moment pour lui faire commencer une remise en questions. «  Elle te parle ainsi depuis des mois Benett sans que tu ne réagisse plus que ça, tu est son père oui seulement tu ne l’est peut-être pas assez à son goût c’est une adolescente elle te veut et quand tu est là elle te repousse » Les ado c’était chiant, une véritable plaie, elle-même avait vu son bébé quitter ses jupes pour plus d’indépendance et en avait souffert, Gabi c’était sa vie elle s’y était consacré plusieurs années durant, seulement à elle jusqu’à l’arrivée de Dany et le lien fusionnelle qu’elles avaient nouées, différent de celui du père et de la fille, c’était lui aussi distendue un peu alors que la jeune femme tentait de prendre son envol.

«  Sur le canapé endormis la visite chez le médecin à fini de l’épuisé » Et finalement Isalyne se laissa amener jusqu’à la terrasse curieuse dans savoir plus sur la dernière bêtises de sa fille, elle les enchaînait en ce moment cherchant à faire réagir son père sans aucun doute visiblement aujourd’hui elle avait réussit mais pas tellement de la bonne manière elle ne l’avait jamais fut aussi furieux à cause de l’un de leur enfant. Quand la lumière se fit à l’intérieur de la tête de la mère de famille elle ne pu que soupirer de soulagement, a l’intérieure bien sur elle n’aurait pas fait un tel affront à la colère de Benett qui semblait voir le fait que leur aînée de dix sept ans découvre les plaisirs de la chaire comme une aberration le pauvre homme n’avait visiblement pas accepté l’âge réel de leur fille et le fait qu’elle ne soit plus un bébé. Isa savait qu’il voulait le meilleure pour elle, la meilleure école de droit pour prendre sa suite, le meilleur partit pour créer une belle et solide famille comme la leur et il était clair que le choix sentimental de Gabi n’était pas à la hauteur des exigences Rosenthal, mais sa fille était amoureuse, heureuse et en temps que mère rien d’autre ne comptait, maintenant il lui restait à trouvé le juste milieu entre ce qui était à faire et non à faire, les câlins intime n’avait pas lieu d’être dans le salon de la maison par exemple et le fait de se servir de l’alcool cher à pas d’heure non plus. «  Je comprend que tu a surpris notre fille entrain de faire l’amour dans le salon avec une bouteille d’alcool hors de prix je pense n’avoir loupé aucune information bien que tu n’ose pas dire certaine chose » Elle avait moins de mal aller savoir pourquoi. Maintenant il fallait établir e qui énervait le plus le blond qui lui faisait face installé sur leur table de jardin, elle se plaça en face de lui et tendit la main pour prendre la sienne. «  Maintenant dis moi qu’est ce qui t’énerve le plus dans tout ça, l’homme, l’acte, le fait de l’avoir surpris ou le vole de bouteille d’alcool ? Certain point mérite à mes yeux sanctions pas tous mettons nous donc d’accord sur le pire de la situation » Elle-même savait pourquoi elle aurait sévit si cela avait été un jour lambda où Benett n’était pas rentré ici, le vol de bouteille et le fait d’avoir fait de genre de chose dans une pièce commune de la maison elle aurait ensuite mit sa fille en garde pour les grossesses et maladie une nouvelle fois même si ce petit speach avait déjà été fait au moment de la puberté pour être sure que tout soit bien entrée dans sa tête et elle aurait sans doute fini par papoter tranquillement avec sa princesse de tout ça. Mais c’était le père de famille qui avait tout découvert et il serait sans doute bien plus strict pour que le coup qu’Isalyne.
   MAY


     
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Re: Une Saint Valentin ratée ou pas ? - Isalyne
Ven 1 Mai 2020 - 14:26
Benett Rosenthal n'en menait pas large en fait. Le jour de la saint valentin était devenu un peu comme ce genre de rendez-vous qu'il avait noté sur son agenda, à n'absolument pas rater. C'était un peu idiot la sensation de devoir s'obliger à être avec la femme qu'il était censé aimer mais les faits étaient là. L'avocat avait beaucoup de mal à se rappeler les jeunes années qu'il voulait rattraper, retrouver alors qu'il n'arrivait même pas à les frôler du bout des doigts. Vieilli de ses quarante et unes pommes supplémentaires et la sensation que la vie vous filait entre les doigts, d'avoir l'impression d'avoir besoin de goûter à cette jeunesse puisque tout, chez lui, lui rappelait le temps qui passait. D'abord il y avait la monotonie de son couple. Autant il pouvait aimer sa femme autant il ne pouvait pas s'empêcher de s'imaginer toucher une autre peau. Il voyait également ses enfants grandir ce qui lui évoquait sa propre horloge interne qui tic-tac en continue. Benett était de ces hommes un peu perdu, ayant toujours tout eu très rapidement, le fait de ne pas pouvoir retrouver sa jeunesse le frustrait énormément. D'autant plus qu'il lui était encore plus horrible de ne pas réussir à mettre le doigt sur l'assassin de son père. Le pauvre quarantenaire avait beaucoup de mal à oublier ce moment où il tenait son père, se visant de son sang, et de voir l'homme à la cagoule se foutre l'autre balle dans la tête. C'était là la frustration la plus extrême pour un avocat, aucun alibi, aucun mobile. Qui pouvait en vouloir autant à un homme qui s'était sacrifié pour la vie des autres, pour les défendre...

L'homme avait rejoint l'entrée où se trouvait sa femme. Évidemment, il avait renvoyé sa fille dans sa chambre dans le but de discuter de tout ce qui s'était passé dans ce foutu salon. Lorsqu'il apprit que son fils dormait, il emporta sa femme jusqu'à l'extérieur pour ne pas réveiller le petit mais aussi pour prendre l'air. Le père de famille suffoquait. Il s'imaginait déjà mener un procès contre cette pourriture qui avait osé faire ça à sa fille. C'était normal non ? En tant que père, il avait toujours eu cette peur de la voir grandir et devoir être obligée de laisser Gabi aux mains de ses hommes... De cet homme. Alors il s'élança dans son fouillis d'explication, dans une colère noir tant il s'en voulait que ça s'était passé comme ça. Trop de chose se bousculait dans sa tête et il n'arrivait pas à y mettre de l'ordre. Pour un avocat, c'était quand même le comble mais était-il vraiment question de son métier ? Non, aujourd'hui, il était question de son statut de père, de celle qu'il n'arrivait pas à voir grandir et devenir encore plus belle que sa propre mère. Pour lui, elle devait rester cette même petite fille qui lui sautait dans les bras au moment où il arrivait. Aujourd'hui, qu'il soit là ou pas là, Gabi ne pouvait tout simplement pas l'encadrer.

- Je comprends que tu as surpris notre fille entrain de faire l'amour dans le salon avec une bouteille d'alcool hors de prix je pense n'avoir loupé aucune information bien que tu n'oses pas dire certaines choses.

Benett s'adossa au siège sur lequel il était assis. Il était sidéré de voir que sa femme n'avait pas autant l'air choqué que lui. Il ne comprenait plus rien, dans le fond, il pensait quand même trouver une alliée en sa personne mais au lieu de ça, on aurait dit qu'elle listait une programme pour la journée, tout aussi naturellement que possible. Muet de surprise, il ne vit pas la main qu'elle lui tendait et s'en rendit compte seulement lorsqu'elle le toucha. Ses doigts glissèrent sur sa paume : « Maintenant dis-moi qu'est-ce qui t'énerve le plus dans tout ça.... » Benett sentit sa bouche se déssécher. Il revoyait la scène planée dans sa tête et tournait comme une scène tournant en boucle. « L'homme, l'acte, le fait de l'avoir surprit ou le vol de la bouteille d'alcool ? » Le listing n'arrangea en rien son état d'esprit puisqu'il voyait les choses défiler dans sa tête. Etait-il tombé d'une autre planète : « Certains points méritent à mes yeux sanctions pas tous mettons nous donc d'accord sur le pire de la situation. »
- Pas tous ? Répéta t-il comme s'il n'en revenait pas.

Il se leva, lâchant la main de sa femme. Portant une main à son front comme pour tenter d'apaiser son esprit, il scruta la vue qu'il avait de sa terrasse.
- Isa, c'est grave.
Oui c'était grave, sa fille grandissait mais à partir de quand elle avait eu ce déclic concernant les relations amoureuses, depuis quand avait-elle une vie sexuelle ? Etait-il reellement apte psychologiquement parlant d'imaginer qu'elle.. Non, impossible. Son rôle de père s'arrêtait bien en amont de ce genre de pensée, il ne pouvait pas imaginer ce genre de chose, sa fille, c'était son trésor, il devait être cachée et mis sous clé. Gabi devait rester son bébé...
- Premièrement..
Il essayait de garder son calme et pour cela il devait mettre un regard différent sur ce qui venait de se passer ; Benett souffrait mais il devait s'écarter de tout ça pour penser.
- Cette mise en scène de film porno dégueulasse. La fourrure est dans le feu, je te préviens.
Il respira un bon coup :
- Et si Dany les avait surprit hein ? Tout d'un coup, il était presque soulagé que ça soit tombé sur lui et puis, les images revenaient comme une piqûre de rappel. Il secoua la tête, non, aucunement soulagé.
- Deuxièmement, oui, ce merdeux là. Tu le connais ? Tu l'as déjà vu ? Qu'est-ce qui foutait chez nous, hein ?
Dans sa méthodologie, il grinçait des dents. Il ne l'aimait pas du tout.
- Troisièmement, je m'en fous de cette bouteille.. c'est..
Il relâcha la tension de ses bras réalisant qu'il lui était plus difficile de voir sa fille devenir adulte que de jeter une bouteille valant trois mille euros, l'unité.
Il tournait le dos à sa femme.
- C'est elle. Où est ma petite fille dans tout ça ?
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Re: Une Saint Valentin ratée ou pas ? - Isalyne
Sam 23 Mai 2020 - 22:04

   

     

   

Une Saint Valentin ratée ou pas ?

— Benett & Isalyne
Isalyne n’avait pas passer une bonne journée, elle était rentrée chez elle heureuse d’en voir le bout et a la fois étonnée d’avoir reçu un message de la part de son époux qui l’attendait chez eux cela n’arrivait pas  souvent et elle c’était précipitée elle pouvait le dire. Une fois rentrée elle avait laissée Dany dormir sur le canapé elle allait le monté et s’occuper de le mettre au lit après Benett ressemblait à un lion en cage et Gabi avait eut l’air d’un appétissant petit cerf avant de remonté en courant dans sa chambre et elle voulait comprendre ce qu’elle avait loupé. Le fait que sa fille est une vie sexuelle active était un petit coup au moral cela faisait passer un cap de plus à leur bébé et leur montrait à quel point elle devenait femme ce qui n’était pas facile à accepter pour un parent. Benett semblait avoir plus de mal qu’elle encore à accepter tout ça, et elle ne savait mettre le doigt sur le fond du problème qui rendait si chèvre son époux, elle comprenait le choc, le fait qu’il n’accepte pas qu’elle fasse ça n’importe comment dans leur maison, le respect était important et elle était d’accord sur ce point là très clairement mais elle voyait là une réaction bien forte, cela cachait forcément autre chose.

Alors elle tenta de le faire parler, elle était mère cela lui avait la patience et la douceur et cela étonna le blond de ne pas a voir s’énervé comme lui ce qui fit la sourire, pour le coup elle avait l’impression qu’il allait bientôt l’engueuler elle aussi pour ne pas avoir la bonne réaction vis-à-vis de ce qu’il lui apprenait sur leur fille, elle ne lui dirait donc pas qu’elle avait des doutes quand à la virginité de leur bébé depuis quelques semaines cela commençait à faire un moment qu’elle fréquentait son badboy et c’était pour elle une suite logique. La brune ne pouvait pas demander à sa fille d’attendre le fin des temps elle-même n’avait pas été irréprochable elle avait été enceinte avant d’être mariée il fallait avoir à son sens un peu de logique. «  C’est grave d’accord » Isa n’allait pas aller contre lui, le but de la conversation était de parler de Gabi pas de se prendre la tête l’un avec l’autre.

«  Ta fille a peut-être seulement regarder un de ses films romantique a souhait et trouvé que cela était une bonne idée, je doute du fait que cette princesse romantique que nous avons créer ne regard des films de ce genre tu sais … »  Par contre elle le rejoignait sur le fait que la petite brune n’avait pas à faire ce genre de chose dans les pièces communes de la demeure sa chambre était bien assez spacieuse pour cela. «  Je te rejoins par contre totalement sur le fait que nous devons expliqué à cette demoiselle que cela ne se fait pas n’importe où quand nous ne vivons pas seul, c’est d’ailleurs bien dommage j’ai moi-même quelque fantasme devant cette cheminée mais ce n’est sans doute pas le moment de te les expliquer » Car clairement il n’était sans doute pas en état d’accepté de les mettre en place, cela fait un moment que cela était devenu un peu plat entre eux, la routine les a manger sans aucun doute et Isa ne sait quoi faire pour le moment pour lutter contre ça, la vie de famille et le boulot de Benett leur prenant les trois quart de leur temps. Le reste étant pour les besoin essentiel comme se laver, manger et dormir.

«  Elle m’en a parler, je ne l’ai jamais vu et je ne le connais qu’a travers ce que Gabi m’a confié sur lui et je sais que ma fille est amoureuse de cet homme pour le moment cela me suffit elle est heureuse et découvre l’amour. Je ne pensais pas qu’il venait à la maison par contre elle ne m’a pas tenue informé de sa venu et ne m’a pas demandé la permission » D’ailleurs elle parlerait de ça avec sa fille Isalyne n’avait jamais été le genre de mère casse pied qui refusait que tel ou tel personne vienne à la maison mais elle aimait savoir quand sa fille recevait c’était pour elle une base qui devrait être remise au point.

Enfin eut-elle envie de crier il mettait réellement le doigt sur le problème alors elle se rapprocha de lui doucement le prenant dans ses bras de dos appuyant sa tête contre lui et ses bras autours de son torse il vivait mal ce qu’Isalyne avait mal prit quelque mois plutôt, chacun avançait à son rythme et elle pouvait du coup le comprendre, mais sans doute pas l’aider elle-même n’avait jamais réellement eut les réponses à ses peurs, interrogations, et doute pour l’avenir. «  Chéri, ta petite fille est toujours là dans un coin c’est toujours notre princesse, mais elle grandit tu ne peut pas lui en vouloir pour ça, c’est la vie elle n’y peut rien, nous n’y pouvons rien non plus c’est pas facile à accepter mais elle est bientôt majeur elle va faire des études et quitter la maison on doit faire face à tout ça c’est notre rôle de parent » C’était pas facile, un jour on donnait naissance à un petit être, notre monde se mettait à tourner autours de ce petit bout qu’on devait protéger, choyé, un bébé c’était dépendant à mille et un pour-cent de ses parents, et puis se bébé grandissait vite, tellement vite, il devenait de plus en plus autonome et il y avait un moment ou l’on en était même heureux, content, émerveillé de le voir apprendre la vie, faire des choses tout seul, et puis un beau jour on se rend compte que le bébé n’est plus, que l’enfant n’est plus, et qu’un adolescent se trouve là, devenant un peu plus adulte chaque jour, prenant une autonomie encore différente bien plus dure a accepter, cela donnait un air de non retour en arrière comme si quelque chose se cassait alors que le lien quand il était fort n’était pas si facilement cassable. «  On la mise au monde n’ont pas pour qu’elle nous appartienne mais pour qu’elle devienne un jour une merveilleuse personne et c’est ce qu’elle tente de faire en passant par une route qu’on peut ne pas forcément apprécié mais qui est sienne, on doit la guider, l’accompagné mais pas la bridée sinon elle n’aura plus de repère et là je n’ose imaginé ce que deviendra notre fille adoré dans ce monde rempli de noirceur » Clairement elle avait peur pour Gabi si elle se retrouvait en roue libre, déjà en étant présent elle savait qu’ils allaient loupé des choses dangereuse ou risqué que ferait leur enfant parce que c’était la vie et qu’elle-même avait réussit à cacher des choses à ses propres parents. «  On va lui mettre des règles et veillé à ce que cela ne se reproduise plus d’accord ? »

   MAY


     
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Re: Une Saint Valentin ratée ou pas ? - Isalyne
Ven 12 Juin 2020 - 18:32
Benett fulminait de rage mais plus il disait les choses à voix haute plus il avait l’impression qu’il ne savait plus après qui il en voulait le plus. A sa femme, à sa fille, à ce crétin ou à lui-même ? C’était tellement difficile d’être spectateur de tout ça qu’il avait l’impression de devenir dingue. Il fallait qu’il en parle avec sa femme parce qu’elle était réellement la seule à connaître leur fille, pour l’avoir vu évoluer mais aussi à le connaitre lui. Benett avait une confiance aveugle envers Isalyne peut-être plus qu’il ne pouvait se faire confiance à lui-même. Cela incombait d’autre problème mais ce n’était pas la question. Aujourd’hui, il venait de rencontrer un problème de taille qu’il n’arrivait pas à relativiser, à se calmer surtout. Bien sûr qu’après tout ce qu’il venait de raconter à la brune, Benett ne comprenait pas que sa femme ne réagisse pas, qu’elle ne se mette pas à fulminer tout comme lui à l’heure actuelle. «  C’est grave d’accord » Il lui en fallait plus car l’Avocat avait l’impression qu’il allait exploser tant il bouillonnait de l’intérieur. Ce mec avait eu l’audace de toucher sa fille, de lui faire… Même si ce n’était pas raisonnable, il pensait que même s’il pouvait avoir des doutes, il pouvait vivre avec ça mais le savoir - le voir - c’était autre chose. C’était même cruel pour un père de voir sa fille nue, avec un autre homme nu, une pile exagéré de préservatif tout près d’elle, un feu de cheminé et tout le tintouin. «  Ta fille a peut-être seulement regardé un de ses films romantique à souhait et trouver que cela était une bonne idée, je doute du fait que cette princesse romantique que nous avons créer ne regard des films de ce genre tu sais … » Et oui, c’était terminée l’époque où elle courait dans les bras de mickey et minnie pour lui raconter qu’elle voulait une robe de princesse, terminé l’époque où elle sautillait partout quand il s’agissait d’aller voir un dessin animé ou d’aller dans des parcs d’attractions pour y rencontrer ses célébrités préférées. Benett aurait beaucoup aimé pouvoir garder cette période pour toujours mais tout le monde vieillissait, et cela l’effrayait, pour lui comme pour sa petite princesse. Cela allait trop vite, il ne voulait plus.

«  Je te rejoins par contre totalement sur le fait que nous devons expliqué à cette demoiselle que cela ne se fait pas n’importe où quand nous ne vivons pas seul, c’est d’ailleurs bien dommage j’ai moi-même quelque fantasme devant cette cheminée mais ce n’est sans doute pas le moment de te les expliquer » Il était debout, regardant quelque chose qu’il ne voyait pas. C’était tellement difficile, tellement déstabilisant. Gabi ne pouvait pas grandir, elle était son bébé, ce petit être qu’il avait serré dans ses bras toute crasseuse et pourtant, il n’avait hésité à bousiller son costume à plusieurs milliers de dollars. Il commença à énumérer toutes les choses qui le tracasser comme cette mise en scène digne d’un grand film porno de seconde zone. Isa semblait peu surprise mais peut-être qu’elle essayait de mettre de l’eau dans le vin du papa fulminant.

- Deuxièmement, oui, ce merdeux là. Tu le connais ? Tu l'as déjà vu ? Qu'est-ce qui foutait chez nous, hein ?
- Elle m’en a parlé, je ne l’ai jamais vu et je ne le connais qu’à travers ce que Gabi m’a confié sur lui et je sais que ma fille est amoureuse de cet homme pour le moment cela me suffit elle est heureuse et découvre l’amour. Je ne pensais pas qu’il venait à la maison par contre elle ne m’a pas tenue informé de sa venue et ne m’a pas demandé la permission
- Ta fille ? souligna t-il en se retournant qu’à moitié pour soutenir le regard de sa femme un instant et revenir à sa position initiale, légèrement écorché. Et je ne sais pas ce qu’elle t’a raconté mais je ne veux plus le voir ici. C’est un branleur, il n’a rien à faire avec ma fille. Je pèse mes mots, si je le vois enore avec elle, je le tue !
Isalyne s’était rapproché quand il évoqua sa peine. Celle d’être témoin d’un événement qui lui donnait beaucoup de difficulté à avaler.
Il fut surpris de sentir le corps de sa femme se coller contre lui. Il était tellement tendu qu’il avait l’impression qu’elle enlaçait quelque chose de raide et d’inconfortable. «  Chéri, ta petite fille est toujours là dans un coin c’est toujours notre princesse, mais elle grandit tu ne peux pas lui en vouloir pour ça, c’est la vie elle n’y peut rien, nous n’y pouvons rien non plus c’est pas facile à accepter mais elle est bientôt majeur elle va faire des études et quitter la maison on doit faire face à tout ça c’est notre rôle de parent. » Malheureusement, sa femme avait raison et au fur et à mesure de la conversation, il commençait à se détendre. Il retira les mains d’Isa pour se retourner et l’enlacer à son tour. Il glissa une main dans ses cheveux et en inhala son odeur. C’était si rare qu’ils pouvaient se retrouver de cette manière qu’il lui arrivait de s’en mordre les doigts. Il avait de la chance de l’avoir, le problème était qu’il n’en avait pas toujours conscience, ayant inévitablement d’autres priorité. « Je ne suis pas le meilleur dans ce rôle. » avoua t-il.

- On la mise au monde non pas pour qu’elle nous appartienne mais pour qu’elle devienne un jour une merveilleuse personne et c’est ce qu’elle tente de faire en passant par une route qu’on peut ne pas forcément apprécier mais qui est sienne, on doit la guider, l’accompagner mais pas la brider sinon elle n’aura plus de repère et là je n’ose imaginer ce que deviendra notre fille adoré dans ce monde rempli de noirceur.
Isalyne avait le chic pour faire ce genre chose. Il n’arrivait jamais à mettre les mots sur ses propres pensées. Elle, si. Il n’arrivait jamais à s’exprimer et elle, si. Au final, il réalisait qu’elle avait les mêmes peurs mais qu’elle ignorait pas non plus que leur fille grandissait. Et que même s’il ne le voulait pas, c’était la vie. Quand elle lui dit qu’il était temps d’expliquer et de mettre de nouvelles règles pour que les choses ne se reproduisent plus. Il prit une profonde respiration. Ce coup-ci, il resserra son emprise et plongea son nez dans le cou de sa femme. Cela lui fit un bien fou et tout à coup, quelque chose lui revient à l’esprit. Quelque chose que sa femme lui avait dit : j’ai moi-même quelque fantasme devant cette cheminée mais ce n’est sans doute pas le moment de te les expliquer. Beaucoup de chose ne tombait jamais au bon moment pour Benett. Il avait tellement de travail qu’il n’arrivait même plus à s’écouter lui-même.

Aujourd’hui, c’était la Saint Valentin et pour le coup, il avait bien l’intention de freiner des quatre fers pour être avec elle. « Alors comme ça, tu as quelques fantasmes ? » Il se décala légèrement pour voir le visage mutin de sa femme et lui prit ce dernier en coupe : « J’en ai quelques uns également. L’un d’eux se passent ici même. » Un léger sourire espiègle et il captura les lèvres d’Isalyne. Difficile pour lui de dire “merci” “s’il te plait” et malgré tout ce qui le poussait à se poser des questions sur lui-même et sa vie actuelle.. Dès qu’il était avec elle, tout redevenait évident. Le hic, c’était qu’il n’était pas tout le temps avec elle. Suivie du baiser, il fit mine d’avoir oublié quelque chose, se tapota les poches arrière de son pantalon, puis la poche intérieur de son costume. Il en sortit une boîte :
- Isa, je sais que je ne suis pas là et…
Benett soupira : «  Après tout ça, ça m’a.. Bref.  » Il ne voulait pas retomber dans la colère surtout qu’il en voulait mortellement à ce branleur : « Bref. J’ai réussi à me libérer aujourd’hui alors, très Bonne Saint Valentin mon amour... » Il lui tendit la petite boite bleu d’un grand bijoutier. Le Rosenthal la laissa découvrir le collier et attendit de voir sa réaction. Ensuite, il prit le bijoux, passa derrière elle pour lui attacher. Il galérait avec ses gros doigts et le minuscule petit fermoir et l’enlaça à son tour, son torse contre le dos de la jeune femme. Déposant des petits baisers sur dans son cou, il lui murmura à l’oreille « Aucun bijoux ne brille plus que toi... » Il attira sa femme jusqu’à une chaise longue, s’était assis pour qu’elle vienne sur lui, à cheval ; « Tu dis que ce n’est peut-être pas le moment de parler de tout ça.. Pourtant, je suis sûr du contraire. » Pas la peine de tergiverser, il savait que sa femme réglerait le problème pour que cela ne se reproduise plus alors il attira le visage de sa femme vers lui pour l’embrasser. Les cheveux de cette dernière tombèrent en rideau autour de lui et quand le baiser s’approfondit, il relâcha l’emprise sur son visage pour les poser sur ses cuisses. Il l’aimait alors pourquoi avait-il des doutes loin d’elle  ?
- Tu es tellement belle, puis il baissa les yeux lorsque sa femme se rendit compte d’une petite chose sous elle : Ce ne sont pas mes clés, non...
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Re: Une Saint Valentin ratée ou pas ? - Isalyne
Jeu 18 Juin 2020 - 16:01

   

     

   

Une Saint Valentin ratée ou pas ?

— Benett & Isalyne
Isalyne prenait tout ce que lui apprenait son mari avec bien plus de calme que lui. Bon dans un sens cela était nécessaire car si elle se mettait dans le même état que lui rien ne s’arrangerait jamais et elle se devait de l’apaiser pour pouvoir choisir la punition de leur fille. Mais elle était sans doute moins choqué que lui, elle vivait a l’année pour ses enfants, avec ses enfants, elle voyait le moindre petit changement dans leur attitude et Gabi éveillait ses soupçons depuis un temps sans qu’elle ne réussisse à mettre le doigt sur ce qui avait changé, si c’était sa vie sexuelle c’était moins grave que les trois quart des films qu’elle c’était fait et cela la soulagerait presque. Si on oubliait bien sur que son aînée pensait que leur salon était une zone possible de sexe ce qui n’était absolument pas concevable, elle le ferait quand elle habiterait chez elle mais pas sous leur toit. La mère de famille c’était donc concentrée sur sa tâche apaisé son mari tout en lui faisant comprendre que malgré son calme elle était d’accord avec lui et qu’ils leur faudrait avoir une conversation avec Gabi pour remettre les pendules à l’heure, elle ne voulait pas qu’il pense qu’elle n’était pas en phase avec sa façon de jouer son rôle de père qui pour le coup était la bonne. « Désolé … notre fille. Mais parfois j’ai l’impression de les élevé seule alors je prend de mauvaise habitude. Mais tu devrais parler de lui avec elle au lieu de le condamner de la sorte tu lui fera plus de mal qu’autre chose en lui refusant d’être amoureuse de ce type, parle avec ta fille Benett, écoute là te parler de lui et tu verra qu’elle en parle avec des étoiles dans les yeux, comme quand elle te racontait petite son amour pour tel ou tel prince charmant, je crois qu’elle a besoin de ça, besoin de toi, je comble autant que je le peux mais Gabi est celle qui souffre le plus de ton absence, elle a toujours été le bébé à papa, la princesse du roi, passer du temps rien que tout les deux cela apaisera vos cœur » Pour Isalyne c’était tout ce qui manquait dans cette relation père fille, de réel moment ensemble, sans téléphone, sans distraction juste eux tout les deux comme quand la jeune fille était petite, Gabi ne demandait que ça et elle espérait que cette vision d’horreur qu’avait eut Benett lui ferait accordé plus de temps à leur plus grande qui avait mal vécu de ne plus avoir son père d’abord pour elle seule a l’arrivé du petit frère, puis de ne plus l’avoir beaucoup à cause d’un travail de plus en plus prenant.

Son discours semblait avoir apaisé un peu la colère du blond et elle en était ravie, elle n’aimait pas le voir dans tout ses états comme ça, et puis ils avaient peu de moment à deux alors les passer en colère n’était pas tellement dans ses projets. Isa c’était autorisé d’être un peu câline, tactile éloignant les barrières peu à peu mise entre eux prit dans une vie qui allait trop vite. « Tu est un formidable père Benett, quand tu pense à l’être » Aucun jugement dans sa voix , aucune critique, quand le blond était là il était au petit soin pour sa famille, il n’était seulement pas assez souvent là, et Isalyne ne le blâmait pas parce qu’elle avait décidée de s’éloigné de Berlin et qu’elle se sentait un peu coupable de cet éloignement encore plus présent, elle avait pensé aux enfants, puis aussi elle ne le dirait jamais qu’en étant ici avec eux il travaillerait un peu moins, cela n’avait pas fonctionné comme prévu.

Isalyne connaissait son époux, elle lisait en lui depuis toujours, il n’était pas du genre à faire de grande déclaration, a parler ressentit et sentiment, elle composait avec et elle parlait pour deux dans ce genre de cas, elle savait ce qu’il ressentait vis-à-vis de leur plus grande, elle ressentait la même chose, la peur affreuse de la voir lui échapper, la douleur de savoir qu’elle n’était plus a eux mais à quelqu’un d’autre et que bientôt elle prendrait son envol, la frousse terrible qu’elle prenne un mauvais chemin et en souffre, la panique de ne pas pouvoir, de ne pas savoir apaisé cette souffrance qui viendrait un jour abîmé le cœur de la brunette, parce que la vie était faite ainsi, de bonheur et de souffrance personne n’était épargné. Isalyne était une mère, elle l’était devenue à la naissance de Gabi et elle avait du apprendre ce rôle, composé avec quand parfois elle se sentait dépassé et aujourd’hui c’était son plus beau rôle, sa plus belle réussite mais avec l’âge que prenait son tout petit bébé elle allait devoir apprendre à être une mère différente et cela la paniquait, mais comme tout parent elle prenait sur elle pour ne rien montré, pour avoir toujours l’air d’être parfaitement assuré et de savoir ce qu’elle faisait.

Et finalement elle avait réussit sa mission Benett était enclin à passer à autre chose, déviant la conversation sur une phrase qu’elle avait prononcée plutôt dans la conversation lui arrachant un petit rire, elle avait beau avoir prit de l’âge elle continuait à nourrir certain fantasme oui. « Bien entendu cher époux je n’ai pas encore signé pour devenir nonne, cela serait trop difficile avec un tel corps tentateur à mes côtés » Elle était espiègle et elle le fixa en se mordant la lèvre quand il parla des siens, dont un à mettre en place ici, dans le jardin, il l’intriguait. « Et si tu me l’expliquait en profondeur ? » Son époux étant peu là elle ne faisait pas dans la dentelle quand elle l’avait sous la main même si pour le coup elle n’avait pas du tout pensé à la date du jour. Ce fut Benett qui lui rappela qu’il s’agissait du quatorze février et qu’on était donc le jour de la Saint-Valentin fête des amoureux depuis des années. Il lui offrit un collier splendide devant lequel elle ne pu pas retenir son exclamation de joie. Elle avait bien sur un cadeau pour lui aussi dans la maison, elle avait prévu de lui envoyé mais elle avait été détournée par leur enfant malade. « Oh Benett il est si beau, bonne saint-valentin » Et une fois le bijou à son cou elle l’embrassa. « Tu me flatte chéri, j’ai aussi un cadeau pour toi mais il est a l’intérieur » Et pour le moment elle était bien là, avec lui elle lui donnerait plus tard. Visiblement son époux était sur la même longueur d’onde qu’elle car il la tira vers la chaise longue pour qu’elle le chevauche, il avait une idée derrière la tête et elle n’était pas contre le fait qu’il lui explique tout ceci.

« Parlons en alors si le moment est propice » Elle n’allait clairement pas se priver, si il était d’humeur à parler de ce genre de chose autant en profité. Et le baiser qu’ils échangèrent ne donnait guère de questionnement quand à la suite de leur soirée, ils allaient profité un peu l’un de l’autre pour une fois qu’ils se permettaient ce genre d’interlude. « Et toi tellement beau » Isalyne n’était certes narcissique mais elle se savait belle et elle continuait à s’entretenir pour garder la flamme avec son homme. « Humm .. C’est intéressant, crois tu que nous puissions mettre ce fantasme extérieur à exécution ? » Téméraire la brunette glissa sa main entre leur deux corps passant celle-ci sur la bosse se formant dans le pantalon de son mari sous ses cuisses, savoir qu’elle lui faisait toujours autant d’effet était grisant pour elle.


   MAY


     
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Re: Une Saint Valentin ratée ou pas ? - Isalyne
Dim 5 Juil 2020 - 16:07
Benett était toujours extrêmement nerveux lorsque ça concernait l'éducation de ses enfants. Grand travailleur, impliqué dans ce qu'il faisait, il ne rentrait qu'à partir du moment où tout était déjà fait. Quand Gabi était petite, il prenait son tour avec joie, pour la faire rire, faire l'avion ou jeter dans les airs pour l'entendre rire aux éclats. Il n'avait jamais eu à s'inquiéter de ses pleurs ou des problèmes relatifs à l'évolution de son enfant. Alors forcément, il s'en remettait et rejetait la faute des faux pas de Gabi sur le dos d'Isalyne en lui mettant en avant les points qu'il lui hurlait à la figure. Il ne pouvait pas être fautif de tout ça puisqu'il n'était pas là, il n'était pas celui qui était censé rester à la maison pour s'occuper de leur progéniture. Vaste sujet qui le reliait tout le temps à ce père qu'il a tant voulu recevoir une reconnaissance qu'il n'a jamais eu, puisqu'il était mort sous ses yeux, à son premier vrai rendez-vous d'affaire juridique. Alors forcément, ça lui avait fait mal quand Isa relevait que c'était Sa fille et non leur fille. Dans le fond, c'était un peu le chien qui se mordait la queue, il ne pouvait pas s'occuper de ce genre de chose mais en même temps, il voulait légitimer son rôle de père en offrant tout ce que sa famille voulait sans exception. Benett s'avouait vaincu de n'avoir pas réussi à atteindre l'un de ses principaux objectifs : Ne pas finir comme son père, froid et loin de ses enfants. Malheureusement, il y avait des choses qui ne pouvait pas être évité, même si c'était ce que l'on voulait plus que tout au monde. Quand il avait relevé cette faute qui n'en était pas totalement une, Isalyne s'excusa probablement pour apaiser les tensions mais ces mots tempéraient bien le feu qui bouillonnait déjà dans le cœur de l'Avocat. La suite raviva le reste : « Non, il en est hors de question. » vrilla t-il. « Il ne mérite pas qu'un Rosenthal pose les yeux sur ce vaurien. Je ne veux plus le revoir ici, c'est mon dernier mot. » trancha t-il, borné. Benett ne voulait pas que sa fille ne s'attachait plus à un mec qui ne la tirerait pas vers le haut, qu'il voulait toujours mieux pour sa prunelle.

Pour Benett, il n'y avait aucun débat à avoir. Gabi méritait beaucoup mieux et il était assez placé pour le savoir. Apparemment, Isalyne en avait entendu parlé, et de toute évidence à son plus grand damn, sa femme venait de confirmer ce qu'il craignait. Sa fille s'était faite prendre au piège de l'innocence par une crapule. Il roula des yeux et affirma que s'il la voyait encore avec lui, il le tuerait. En tout cas, il lui briserait sa vie jusqu'au bout. Alors évidemment, il n'arrivait pas à concevoir ne serait-ce qu'un instant que sa fille grandissait. De nombreux facteurs pouvaient argumenter cette difficulté. Premièrement, avoué que sa fille grandissait devait forcément le ramenait au fait qu'il vieillissait. C'était inconcevable, il ne voulait pas vieillir, il avait peur de ne pas atteindre son objectif. C'était assurément pour cette raison qu'il passait plus de temps au travail, il avait moins l'impression de s'empâter. Et deuxièmement, il ne voulait tout simplement imaginer sa fille dans les bras d'un autre homme. Et à son grand désespoir, il venait tout juste d'être témoin de sa perte d'innocence. Comment allait-il pouvoir s'en sortir après ça ? Et vu le nombre de capote installée sur le côté, s'il n'avait pas fait irruption avant.. Il secoua la tête. C'était trop dur, il voulait revenir vingt ans en arrière, avant que tout ses soucis le submergent tous les soucis de parents qui donnaient des cheveux blancs aux plus soucieux. Alors forcément il avouait ne pas être doué pour être le père présent qu'il voulait être depuis le début. C'était trop dur, trop puissant pour assumer ce rôle. « Tu es un formidable père, Benett, quand tu penses à l'être. » Il avait sa femme dans ses bras et n'avait pas eu besoin de beaucoup d'encouragement pour se blottir contre elle. Ça faisait tellement de bien qu'il l'inspirait à plein poumon.

Loin d'être aussi beau parleur qu'à la court, le quarantenaire savait pourtant comment se faire pardonner ou, au moins, apaiser les tensions. Oh bien sûr, cela relevait surtout autour d'un cadeau, très cher, trop cher mais qui, comme il le fit bien comprendre à Isalyne, aucun bijoux n'arrivait à pâlir sa beauté. Isa était sa fierté, il l'avait très souvent amené avec lui en trophé, en une personne qu'il avait conquis et lié à lui pour l'éternité. A l'époque, ça avait un sens pour lui mais aujourdh'ui, il se demandait vraiment s'il avait bien fait. S'il l'avait vraiment bien traité et si elle n'avait pas dû faire beaucoup de compromis avec elle-même pour continuer à l'aimer autant. Parce qu'il avait bien vu ce sourire charmé, ce moment où elle lui avait confié qu'elle avait autant de fantasmes en réserve que lui. Et cela lui ravivait une flamme qu'il croyait éteinte. Comme à chaque fois qu'il jouait le mari et le père fantôme. Apparemment, Isa avait également un cadeau mais il se trouvait à l'intérieur. Il fit une moue, bien sûr, il était intrigué mais Benett ne voulait pas forcer les choses, ils avaient tout le temps qu'ils voulaient. Aucun rendez-vous, aucun dossier dont il avait envie de s'occuper aujourd'hui en dehors de sa femme. Il l'attira avec lui jusqu'à une chaise longue muni d'un matelassé confortable. Il l'installa confortablement à cheval sur lui, la tenait par la taille puis juste au niveau du galbe de ses fesses. Ses cheveux ondulés retombaient de part et d'autre de ses épaules. Il aimait tellement ce qu'il voyait. Il prit la peine de la rassurer, qu'à lui parler de ses fantasmes était surement le meilleur moment et le meilleur jour tout en lui affirmant qu'elle n'était pas assise sur son trousseau de clé. A elle d'en faire ses propres conclusions.

Bien sûr qu'après toutes ces années de mariage, Isalyne lui faisait toujours autant d'effet. Il avait beau être entourée de toutes ses jeunettes, d'apprécier se sentir courtiser.. Il en était tout autre avec sa femme. Il admirait sa beauté, sa maturité et son petit côté espiègle qui ne mit pas longtemps avant d'apparaître : « Parlons en alors si le moment est propice. » Un baiser langoureux suivit cette déclaration, cette belle promesse de passer un très bon moment entre mari et femme. Son compliment tiqua en lui, elle le trouvait toujours beau, à son goût, comme elle le voulait. De même qu'il ne pouvait qu'apprécier tout ce qu'elle faisait pour s'entretenir et garder cette allure captante. « Hum.. » Qu'elle disait, bougeant sur lui avec cette fausse innocence qui faisait frissonner son mari. « Crois-tu que nous puissions mettre ce fantasme extérieur à execution ? » Il sentit la main de sa femme se montrer aventurière, jouant malicieusement avec un plaisir naissant. Un homme ne pouvait pas être lucide dans ce genre de moment et Benett ne pouvait pas faire exception à la règle. Il ne pensait qu'à cette femme délicieuse prête à se donner à lui, réalisant un fantasme non-catholique. « Je peux t'assurer qu'il n'existe aucune loi qui va à l'encontre de tout ça. » Il glissa une main sous les cheveux de la quarantenaire, la forçant à rejoindre son visage pour échanger un baiser plein de promesse. Pourtant, il réfléchissait. Il réfléchissait à ce qu'il aimerait, à ce qu'elle aimerait aussi. Contrairement aux apparences, Monsieur Rosenthal n'éprouvait réellement du plaisir qu'à partir du moment où sa compagne en éprouvait aussi. Ses lèvres capturées, le père de famille glissa une main sous le haut de sa femme, de son ventre à son dos, suivit sa colonne vertébrale jusqu'à son soutien gorge, qu'il défit en libérant sa poitrine. « Enlève-le ! » ordonna t-il, la voix lourde et pendant que sa femme s'executa il éprouva une soudaine envie de s'occupe de sa femme, sur cette chaise, voir sa poitrine bouger au dessus de lui. En la dévorant du regard, il déboutonna son pantalon en se léchant la lèvre inférieur. Enfin, il vint prendre ses seins dans ses mains et il ferma les yeux lorsqu'il sentit deux petits boutons durcir contre ses paumes.
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Re: Une Saint Valentin ratée ou pas ? - Isalyne
Dim 12 Juil 2020 - 16:13

   

     

   

Une Saint Valentin ratée ou pas ?

— Benett & Isalyne
Isalyne avait apprit à géré toute les situations même les plus compliqué avec calme et douceur, bien sur il lui arrivait de s’énervé et de se mettre à crier mais bien souvent que cela soit avec ses enfants ou son mari elle n’avait pas besoin d’utilisé la colère pour arrivé à ses fins. Des mots bien pensé et un peu de douceur suffisait à apaisé les tensions et cela avait une fois de plus fait ses preuves avec Benett qui avait laissé sa colère se calmer pour profité à la place des bras tendre de sa compagne qui l’enserrait. Ils avaient peu de moment a deux, peu de moment câlin, ils étaient parents dans un premier temps et cela enlevait quand même pas mal de moment intime et l’homme avait un rythme de travail intensif ce qui retirais encore plus de moment. Ils n’allaient pas se privé de pouvoir profité un peu d’être à deux surtout le jour de la fête des amoureux cela serait bête.

L’adulte n’oubliait bien sur pas tout le reste qui serait à géré plus tard mais elle le rangeait simplement dans un coin de sa tête pour se concentrer sur le moment présent et sur l’envie partagé de l’autre qu’elle avait avec Benett. Cela n’était sans doute pas bien de se permettre ce genre de chose dans le jardin quand on venait de discuté de la punition a appliqué à son adolescente pour l’avoir fait dans le salon mais un peu de folie ne faisait pas de mal. Quand son homme lui confirma qu’aucune loi ne serait enfreinte pour la mise en place de son idée dans ce jardin elle eut un petit sourire coquin et complice à la fois, elle n’avait jamais rien fait d’hors la loi mais elle avait un super avocat sous la main, c’était le cas de le dire vu où était situé la dite main, et elle était persuadée qu’il pourrait lui évité plein de soucis avec la justice.

« Tant mieux alors, sinon j’aurais dû te soudoyé pour que tu me défende devant un vilain juge »

Elle aurait sans doute donné de sa personne pour se payer les service de Benett elle avait l’avantage elle de pouvoir régler la facture de manière plutôt plaisante.

Une fois lancé plus rien ne semblait pouvoir les arrêter ils avaient allumé une flamme qui allait avoir besoin d’être éteinte par une bonne dose de plaisir, et Isalyne ne se fit pas prier pour échangé un baisé passionné avec Benett, elle frissonnait d’anticipation en sentant les mains de l’homme sur sa peau, il n’avait pas perdu de temps pour trouvé par où il voulait commencer et sa main à elle ne c’était pas calmer continuant à se balader entre leur deux corps pour le moment séparer par leur vêtement. Il défit l’agrafe de son soutient-gorge et lui ordonna ensuite de l’enlever libérant ainsi ses lèvres. La mère de famille ne fit pas sa rebelle mais elle commença par retirer très lentement son haut, elle aimait voir la petite étincelle dans les yeux de son époux et elle souhaitait faire durer ce moment autant que possible, se sentir désiré, attendue, pour ensuite se faire aimé était une chose particulièrement plaisante pour elle surtout quand l’âge avançait et qu’on pouvait commencer à douté un peu de soit, ses efforts n’étaient pas vains et cela lui faisait plaisir. Une fois le haut lancé derrière elle, elle fit glissé les bretelles de son sous-vêtement, qui tomba lui aussi pour aller rejoindre le sol n’étant plus attaché à son corps.

N’étant plus une écolière peu sur d’elle Isa ne mit pas longtemps avant d’elle-même attaqué a la chemise de son mari, elle défit un à un les bouton tendit qu’il caressait sa poitrine la poussant à se mordre la lèvre de plaisir. Elle ne voulait pas faire trop de bruit pour ne pas attiré l’attention des deux enfants quand même présent dans la maison, elle n’était pas du genre à aimé se faire surprendre et a apprécié voir son moment coupé par quelqu’un et au vu du regard de Benett sur sa personne il n’apprécierait sans doute pas non plus de ne pas pouvoir aller au bout de son idée.

Isa avait un peu l’impression de redevenir une adolescente de faire quelque chose d’un peu interdit, où il fallait être discret pour ne pas se faire attraper et risqué gros, ici tout ce qu’ils risquaient c’était leur crédibilité auprès de leur fille et l’innocence de leur enfant cela était déjà beaucoup mais sans doute bien moins qu’a l’époque ou ses parents auraient pu l’enfermer en sachant qu’elle s’envoyait en l’air sans être mariée. Chose qui c’était confirmé avec l’arrivée de Gabi. Enfin elle avait retiré le haut de son mari et promenait ses mains du haut de son torse à la limite de son pantalon alors qu’un bouton avait déjà sauté, la température grimpait doucement mais surement.


   MAY


     
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Re: Une Saint Valentin ratée ou pas ? - Isalyne
Dim 23 Aoû 2020 - 16:15
Isalyne avait raison sur plusieurs points. Ils avaient besoin de tirer les choses au clair avec leur fille aînée car il y avait certaines choses à ne pas faire. Benett ne comprenait pas beaucoup de chose dans son cercle familiale dans le mesure où il gérait plus de dossier avec froideur et voracité alors il avait du mal à mettre un peu d'eau dans son vin concernant sa maison. Il avait essayé de s'impliquer un peu durant l'enfance de Gabi mais ses vieux démons l'avaient facilement rattraper et il se sentait vraiment coupable d'avoir abandonné sa femme à ce triste sort : « Tant mieux alors, sinon j'aurais dû te soudoyer pour que tu me défendes devant un vilain juge. » Un vilain sourire s'afficha sur le visage de l'avocat. Il avait toutes les cartes en main et elle ne risquait absolument rien. Isalyne était tellement sereine, réfléchie et souple dans tout ce qu'elle devait entreprendre mais cela cachait également une fougue, une eau endormie qui ne fallait certainement pas réveiller : « Tu ne risques rien, avec moi, ma chérie. » Il avait dit ça avec beaucoup d'assurance et cela ne changeait pas au personnage. Il n'avait peut-être pas réussi à sauver son père car il n'avait rien vu venir mais tout ce qu'il avait mis en place été réellement pour protéger sa famille, coûte que coûte.

- Cela dit, j'aimerai beaucoup savoir comment tu régleras la facture de mes honoraires ! Souffla t-il, amusé.

La flamme rallumée, les liens sacrés du mariage étaient de retour. Benett souffrait beaucoup de sa dépendance mais une fois qu'il s'en séparait, il en retrouvait une autre : sa femme. Il était complètement addict d'elle. Son sourire, sa voix, son corps.. Tout en elle pouvait lui donner les mêmes sensations qu'un drogué en manque. Isa n'avait pas perdu de sa superbe. Son corps donnait facilement le tournis et jouait en ondulant sous ses yeux langoureux. L'homme ramperait à ses pieds si elle n'avait pas voulu de lui vingt ans plus tôt. Il la sentait frisonner sous ses caresses. En tout cas, ce sont les baisers qui lui donnaient ses délicieuses vibrations au creux de son bas ventre.
Quand elle commençait à se déshabiller sans montrer de résistance, ou tenter de jouer avec lui. Elle savait ce qu'il voulait et il était prêt à lui donner. Les bretelles de son soutien-gorge tombèrent presque aussitôt même si elle semblait vraiment se délecter du pouvoir qu'elle pouvait toujours avoir sur son mari.

Quand sa femme commença à déboutonner sa chemise, Benett regarda les doigts habiles d'Isalyne s'activer. Bien sûr, il faisait partit de ses hommes ayant les capacités à faire deux choses à la fois et ses mains à lui, caressaient la poitrine de cette dernière et apprécia de l'entendre gémir doucement entre ses lèvres. C'était quand même très flatteur de voir à quel point il pouvait encore prodiguer autant de plaisir à sa femme. Quelque chose lui disait qu'elle appréciait ce moment un peu inédit, en plein jour, imprévu. Le bouton sauta en même temps que sa chemise avait rejoint le top et le soutien-gorge d'Isalyne.
- Oh mon amour, t'es magnifique !

Benett souleva ses fesses en bandant ses abdominaux et fit glisser son pantalon au niveau de ses cuisses. Pressé et fiévreux, l'homme de quarante-et-un ans, retrouvait son âme d'adolescent. Des battements durcissaient tout son être sans exception, le forçant à étouffer des gémissements profonds. Il n'oubliait pas qu'il avait ses enfants à l'intérieur et qu'il n'était pas question d'attirer l'attention de ces derniers, surtout maintenant : « Tu me fais un cadeau que je n'oublierais jamais.. » Cette intimité, ce désir et le plaisir qui n'allaient jamais l'un sans l'autre, décuplaient l'amour qu'il pouvait porter envers sa femme et elle pouvait le sentir facilement tout contre elle maintenant qu'il était libéré : « J'ai envie de toi... » Il avait envie de cette union comme au premier jour, il avait seulement envie de retrouver cet interdit vécu dans son adolescence, ce premier frisson qui ne croyait jamais retrouver les sensations.

Ce n'était que le début et quand il fondit en elle, il s'agrippa à elle et captura les lèvres de sa femme goulûment, tel un affamé.
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Re: Une Saint Valentin ratée ou pas ? - Isalyne
Lun 7 Sep 2020 - 0:04

   

     

   

Une Saint Valentin ratée ou pas ?

— Benett & Isalyne
La mère de famille se montrait taquine, douce et tranquille en compagnie de son époux, elle l’avait calmer, l’avait détourné de ses soucis, elle remplissait son rôle, celui d’une femme mariée qui devait épaulé et se montré présente, on attendait cela d’elle depuis des années et elle le faisait tout en ayant son caractère. Isalyne avait toujours été une femme forte et de caractère elle n’était pas faite pour se laisser aller et être contrôlé et dans son mariage elle contrôlait sans doute plus de chose que ne le faisait le père de famille. Lui contrôlait ses dossier et son travail elle se chargeait du reste et aujourd’hui elle avait encore géré d’une main de maître sa famille même si sa famille avait fait des choses dans son dos et qu’elle reprendrait tout cela s’en tarder.

« Je risque beaucoup plus avec toi qu’avec n’importe qui, tu possède mon cœur »

Ce qu’il ajouta la fit rire, elle avait bien son idée en tête pour cela, et un moyen qui plairait à tout le monde autant lui qu’elle, la brunette était certaine d’elle-même sur ce coup là.

« Oh mais ça c’était tout vu, je comptais te soudoyé avec mon corps, il fait encore son petit effet et je sais en joué »

Et elle comptait bien le prouvé là tout de suite alors que le feu semblait renaître entre eux, pour son plus grand plaisir.

Son mari semblait avoir de drôle de désir contenant leur jardin et elle comptait bien les faire vivre, surtout que cela était plaisant pour elle aussi, il serait sans doute bête de s’en privé et elle n’était pas bête du tout, son intelligence lui avait toujours permis de sortir son épingle du jeu. Les deux époux ne semblaient pas avoir perdu leur talent pour donner du plaisir à l’autre, la belle c’était dénudé en jouant de ses charme et avait entreprit de faire de même avec Benett elle n’était pas un ange elle voulait son mari pour elle, en elle, et elle comptait bien arrivé à ses fins, surtout qu’il semblait d’humeur câline et que ses mains lui procurait beaucoup de bien. Aucun des deux n’étaient plus capable de s’arrêter, leur esprit devaient savoir qu’il n’était pas tellement mature de faire ceci ici, ils étaient parents, c’était fini l’époque où il était possible d’aller faire l’amour dans toute les pièces de la maison sans se soucier de rien d’autre que la fatigue, la soif et la faim, maintenant il y avait deux êtres avec eux dans cette maison qui ne devait pas tomber sur ce genre de scène mais aujourd’hui cela ne comptait pas, juste leur soif l’un de l’autre.

« Je ne suis magnifique que dans tes yeux »

Parce qu’elle ne voulait l’être que dans son regard les autres hommes ne servaient à rien et ne l’intéressait pas. Isalyne était une femme fidèle elle avait épousé un homme elle n’en regarderait pas un autre tant que son mariage serait effectif et ce même si elle avait été délaissée bien des semaines voir des mois par son époux qui ne pouvait être présent quotidiennement.

« C’est un cadeau égoïste que je nous offre mon amour »

Isa savait reconnaître ce genre de chose, elle faisait souvent des présents rien que pour les autres mais aujourd’hui elle faisait un présent de couple en acceptant de réalisé le fantasme de son époux. Il avait envie d’elle, bon sang que cela faisait du bien à entendre, elle n’était pas le genre de femme à courir les compliments, mais entendre l’homme qu’on aime avoué de manière aussi franche et tranchante qu’il avait envie de vous cela réchauffait un cœur quoi qu’il arrive et Isalyne avait bien besoin de cela en ce moment.

« Tout comme j’ai envie de toi »

Parce qu’il était bon de l’entendre il était aussi bon de le dire que le plaisir soit partagé, elle fonctionnait ainsi même dans ce genre de moment elle était altruiste, elle pensait à elle mais pas seulement.

Quand Benett bougea de manière à lui permettre de fondre en elle, de la combler physiquement parlant elle laissa un nouveau gémissement de plaisir s’échapper de ses lèvres, elle aurait apprécié les contenir pour ne pas ameuter tout le monde mais elle n’avait réussit à le faire, parfois le plaisir prit était bien plus important que le fait de bien se tenir. Ses hanches se mirent à ondulé contre le bassin de son époux parce qu’elle avait faim de plaisir et elle ne voulait pas faire l’étoile de mer.

« Ça m’avait tellement manqué »

Elle souffla plus qu’elle ne parla parce qu’il n’était plus tellement possible de tenir une conversation pour elle, la danse de leur deux corps rendait sa respiration rapide.


   MAY


     
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Une Saint Valentin ratée ou pas ? - Isalyne
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